Recherche par propriété

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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Explanations » avec la valeur « Les observations mettent en évidence les zones de l’estran qui abritent la plus grande spanersité d’espèces d’algues et d’animaux. Ces zones peuvent être plus riches en habitats variés (rochers, flaques, crevasses, algues…), et s’avérer plus vulnérables aux perturbations, telles que la pêche à pied, les pollutions ou le piétinement. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

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Liste de résultats

  • Volcan sous-marin  + (Vous savez peut-être que l'air chaud est pVous savez peut-être que l'air chaud est plus léger que l'air froid et que c'est grâce à cela que l'on fait voler les mongolfières par exemple. Il en va de même pour l'eau : l'eau chaude est plus légère et a tendance à monter tandis que l'eau froide a tendance à descendre. Dans le cas ici, l'eau chaude cherche à rejoindre le haut, ce pourquoi elle sort de la bouteille. C'est la différence de température qui créer ce mouvement d'ascendance.ature qui créer ce mouvement d'ascendance.)
  • S'initier aux sciences participatives sur le littoral  + (Les observations mettent en évidence les zLes observations mettent en évidence les zones de l’estran qui abritent la plus grande diversité d’espèces d’algues et d’animaux. Ces zones peuvent être plus riches en habitats variés (rochers, flaques, crevasses, algues…), et s’avérer plus vulnérables aux perturbations, telles que la pêche à pied, les pollutions ou le piétinement. à pied, les pollutions ou le piétinement.)
  • Biodiversité - Diversité des espèces et des milieux  + ('''Les milieux naturels''' décrits dans ce'''Les milieux naturels''' décrits dans cette activité sont très différents les uns des autres, et notre planète en compte beaucoup d’autres ! Tous accueillent la vie, mais pas de la même manière : par exemple, les récifs coralliens et les forêts tropicales hébergent une plus grande quantité d’espèces que le désert saharien est le pôle nord. Chacun de ces milieux de vie est ce qu’on appelle un '''écosystème''', défini par '''la diversité des espèces qui y vivent et qui sont en interactions les unes avec les autres, et avec ce milieu''' (roches, sol, eau...). Quelques écosystèmes que l’on connaît à grande échelle, et qui définissent les grandes zones géographiques de notre planète, s’appellent des biomes (citons par exemple les forêts tropicales, la toundra, les prairies tempérées, les savanes, les abysses...). Intéressons-nous maintenant aux espèces : en général, elles diffèrent d’un milieu naturel à l’autre. Cependant, certaines d’entre elles se ressemblent fortement. Par exemple, le fennec, le renard polaire et le renard roux (qui vit en milieu tempérée), sont des espèces de la même famille (canidés) et du même genre (Vulpes), qui se sont différenciées en s’adaptant biologiquement à leurs différents milieux de vie. Nous remarquons aussi que l’espèce humaine est présente dans presque tous les milieux. Elle a su s’adapter à différentes conditions de vie, notamment en utilisant les ressources de la biodiversité. Quels que soient ces milieux, l’humain entretient des liens étroits avec les espèces qui y vivent : pêcheurs, plongeurs dans les récifs coralliens, pasteurs nomades dans le désert, chasseurs nomades au pôle Nord qui, tout comme les Indiens d’Amazonie, tirent de la nature la majeure partie de leurs ressources (nourriture, vêtements, médicaments, matériaux de construction...).vêtements, médicaments, matériaux de construction...).)
  • Décomposition d'une feuille au sol  + ('''Phase 1.''' On observe que la feuille '''Phase 1.''' On observe que la feuille change de consistance, devient moins dure, moins rigide. '''La peinture représente l’action des micro-organismes (champignons microscopiques (moisissures blanches et brunes) et bactéries)''' qui colonisent la feuille humide. Ils jouent deux rôles dans la dégradation de la feuille : *ils s’étalent et commencent à dégrader (décomposer) certains constituants de la feuille que les autres êtres vivants du sol ne peuvent pas dégrader : la lignine, le bois… *ils rendent la feuille plus appétissante pour une partie de la faune du sol (comme une couche de confiture sur une biscotte !).         '''Phase 2'''. '''Les crayons à papier représentent différents petits animaux du sol (collemboles, acariens oribates) qui perforent (trouent) la feuille''', ce qui favorise sa décomposition. Les collemboles se nourrissent des champignons, grignotant ainsi indirectement la feuille. '''Phase 3.''' Comme en phase 1, '''la peinture représente des champignons microscopiques et des bactéries''' qui colonisent de nouveau la feuille. Ils agrandissent les trous en continuant à décomposer certains constituants de la feuille. Ils sont aidés par des petites larves d’insectes. '''Phase 4.''' '''Les ciseaux et nos doigts représentent une partie de la macrofaune du sol''' (animaux du sol visibles à l’œil nu) ''': vers de terre, cloportes, diplopodes (mille-pattes…)'''. Ils grignotent la feuille et ses nervures, la découpent et la fragmentent en petits morceaux. '''Phase 5.''' Les morceaux de feuilles sont découpés en débris de plus en plus petits par la '''mésofaune du sol''' (animaux du sol visibles à la loupe) ''': enchytrées''' (appelées aussi enchytréides)''', petits collemboles, acariens oribates'''... Macrofaune et mésofaune rejettent des '''crottes, appelées boulettes fécales''', représentées par les boulettes de papier. '''Phase 6.''' '''Cette fragmentation des feuilles en tout petits débris et le rejet de boulettes fécales stimulent l’activité des micro-organismes du sol (champignons et des bactéries). Ils s’étalent et colonisent les crottes''' (boulettes fécales) de la macrofaune et microfaune du sol, et les dégradent complètement, jusqu’à obtenir des minéraux et nutriments (représentés par la bouillie), suffisamment petits pour être transportés par l’eau du sol et absorbables par les racines des plantes. '''Phase 7.''' '''Grâce à l’action fine des micro-organismes (champignons et des bactéries) et au brassage par la macrofaune et la mésofaune, les petits débris de feuilles et les boulettes fécales sont enfouies dans le sol et convertis en terre (humus), minéraux et nutriments, mélangés avec les éléments minéraux du sol.''' '''''Ainsi, grâce à la biodiversité du sol, les feuilles des arbres, une fois tombées au sol, sont décomposées en terre, nutriments et éléments minéraux.'''''rre, nutriments et éléments minéraux.''</big>''')
  • Cyanotype : La photo qui fait bronzette  + (<nowiki>Sous l'exposition à des '''rSous l'exposition à des '''rayons ultraviolets''', le fer des surfaces exposées est réduit, formant sur le papier une couleur bleu de Prusse à bleu cyan.


    L’intensité du changement de couleur dépend de la quantité de rayons UV, mais on peut obtenir des résultats satisfaisants après trois à six minutes d’exposition en plein soleil en été.


    Les motifs, qui apparaissent en clair sur fond sombre, peuvent être obtenus par contact avec tous formats de négatifs, sachant qu’il n’y a évidemment aucun agrandissement dans ce cas. N’importe quel type d'objet peut aussi être utilisé pour obtenir des photogrammes. Après l’exposition, le fer non réagi (jaune-vert) est éliminé par rinçage à l’eau courante. La couleur bleue est due à un précipité bleu de ferrocyanure ferrique de formule chimique complexe : KFe2(CN)6, appelé historiquement bleu de Prusse ou bleu de Turnbull.


    En réalité les deux ions du fer sont à des degrés d'oxydation différents : KFe+III[Fe+II(CN)6].


    Ce pigment bleu, solide et peu soluble dans l'eau, est incrusté dans les fibres du papier. Aussi, le type de papier que vous utiliserez aura une incidence sur la tenue de votre cyanotype.
    Aussi, le type de papier que vous utiliserez aura une incidence sur la tenue de votre cyanotype.</nowiki>)
  • Découvrir les habitants du sol  + (<u>Les habitants du sol (ceux qui viLes habitants du sol (ceux qui vivent ou s’abritent dans le sol ou à son interface) peuvent être classés en fonction de leur taille. On retrouve : *'''Les plantes ''': elles développent dans le sol leur système racinaire - lieu clé de vie de nombreux organismes. Cet habitat s’appelle la rhizosphère.
    *'''La mégafaune (animaux vertébrés >8/10 cm) ''''':'' (''visibles à l’œil nu)'' Ils utilisent le sol comme abri ou habitat et le modifient par leurs terriers et leurs galeries. Gros organismes mais pas très nombreux dans le sol : '''renards, serpents, lapins, taupes, marmottes, campagnols, crapauds, castors, blaireaux, loutres…''' *'''La macrofaune (2/4 mm à 8/10 cm) : ''(animaux visibles à l’œil nu)''''' '''les annélides comme les vers de terre ; ''' **'''les insectes tels les fourmis, les termites, carabes, gendarmes…''' **'''les larves d’insectes : larves de mouches, de cousins, de hannetons, de papillons…''' **'''les arachnides comme les araignées, ''' **'''les mollusques tels les escargots ou les limaces ;''' **'''les myriapodes (milles pattes) comme les iules ou les scolopendres ;''' **'''les crustacés isopodes : cloportes...''' *'''la mésofaune (0,2 à 2/4 mm) : ''(animaux visibles à la loupe) :'' les acariens (oribates, gamases), les collemboles, les diploures, les protoures, les tardigrades, les enchytréides '''(petits vers appelés aussi enchytrées)''', les nématodes... ''' *'''la microfaune (moins de 0,2 mm) : ''(animaux visibles au microscope) :'' '''les '''rotifères''', les '''tardigrades''' et les '''nématodes''' (petits vers)...
    *'''les micro-organismes ''''': organismes (autres qu’animaux) visibles au microscope :'' '''nombreux et en pleine découverte. Les bactéries''', les '''champignons''', les '''micro-algues''' ; les '''protozoaires '''('''''organismes unicellulaires : amibes, flagellés, ciliés (paramécies))...'' ''' La faune du sol est majoritairement représentée, en terme d'espèces, par les insectes (80%, principalement des coléoptères) et les arachnides (12%), qui sont les plus diversifiés. Les autres arthropodes (hors arachnides) (5%), les micro-invertébrés (2%), les annélides (1%) et les vertébrés (< 1%) peuvent être abondants, comme c'est le cas des myriapodes (mille pattes) et des vers de terre, mais ils ne sont représentés que par un nombre d'espèces relativement modeste en comparaison à la diversité des insectes et des arachnides. De plus, la faune du sol est fortement influencée par le climat et les écosystèmes dans lesquels on la trouve. ''Par exemple, dans une forêt non gérée par l’humain avec une diversité d’arbres et un sol basique, il existe de nombreux micro-habitats différents au sol (mousses, bois morts, petites plantes, …) : il y aura une plus grande diversité d'habitants du sol que dans un champ agricole fortement travaillé par l’humain. Sous un climat tropical, nous trouvons une très grande diversité et quantité d'habitants du sol en forêt car de nombreux éléments (débris végétaux et animaux) sont à dégrader rapidement grâce à la température et à l’humidité qui accélèrent le processus de dégradation.''
    la température et à l’humidité qui accélèrent le processus de dégradation.'' <br/>)
  • Biodiversité - Diversité des individus  + (Bien que présentant une morphologie communBien que présentant une morphologie commune (une tête, deux jambes, deux bras, deux oreilles, un nez...), les humains peuvent se différencier sur une multitude de caractères physiques comme la couleur des cheveux, des yeux, la présence de fossettes, la forme du nez, la taille... Et même au sein d'un même caractère, cheveux blonds par exemple, les individus aux cheveux blonds diffèrent fortement les uns des autres par une grande diversité d'autres caractères (taille, lobe des oreilles, couleur des yeux...). '''Qu’est-ce qui rend chaque individu unique ?''' Même au sein d'une famille biologique, les parents et les enfants auront certains caractères physiques communs (par exemple couleur des yeux, forme des cheveux…  hérités des parents, donnés aux enfants) mais il n’y aura pas d'individus identiques (à part les vrais jumeaux, sur le plan génétique). Chaque individu possède '''un mélange''' '''de caractères physiques issus des parents qui le rend unique''', différent de tous les autres individus de la même espèce.us les autres individus de la même espèce.)
  • Force cachée du papier  + (Ceci s'explique grâce à la forme cylindriqCeci s'explique grâce à la forme cylindrique que l'on a donné au papier. En effet, la forme cylindrique est la plus efficace pour la répartition du poids des livres. Plus efficace car cette forme offre, pour le même périmètre, plus de surface par rapport aux autres formes géométriques comme le carré ou le triangle. Un pied carré est moins robuste car les arêtes constituent des points où les tensions s'accumulent au lieu de se répartir. Nous avons une surface plus grande grâce à la forme cylindrique ce qui implique donc une meilleure répartition des forces.donc une meilleure répartition des forces.)
  • Zootrope  + (Chaque image (ou dessins) est légèrement dChaque image (ou dessins) est légèrement différente de la précédente. En passant très vite et en boucle devant tes yeux, on a l'impression qu'une seule image bouge. Les hypothèses scientifiques suggèrent que cette illusion du mouvement pourrait être due à deux types de phénomènes : # La persistance rétinienne : phénomène attribuant à l'œil une image rémanente durant 1⁄25 de seconde sur la rétine. # L'effet phi : le cerveau comble l'absence de transition entre les images avec celle qui lui semble la plus vraisemblable.elle qui lui semble la plus vraisemblable.)
  • Exprimez votre créativité grâce au stop motion  + (Dans la réalité, la vision humaine ne permDans la réalité, la vision humaine ne permet pas de traiter de l'ensemble des informations visuelles qui parvient à notre oeil: notre oeil fait parvenir à notre cerveau une '''succession d'images''' (environ 40 à 50 par seconde), mais une succession d'images tellement rapides que ce dernier l'interprète comme étant continues. Avec le stop motion, mais aussi avec les animations, les vidéos et les jeux vidéos, on joue avec ce principe! En mettant bout à bout des images d'un même objet que l'on a progressivement déplacé, on "trompe" notre cerveau en lui donnant l'illusion d'une continuité et d'un mouvement: c'est l''''effet Phi'''. Une dizaine d'images successives par seconde peuvent suffire à induire cet effet. Toutefois, en théorie plus la cadence d'images par seconde sera élevée, moins l'animation donnera la sensation d'être saccadée.tion donnera la sensation d'être saccadée.)
  • Lampe a lave, sans lampe  + (Huile et vinaigre ne se mélangent pas. QuaHuile et vinaigre ne se mélangent pas. Quand on met de l'huile et du vinaigre dans un pot et qu'on secoue très fort, cela forme des goutelettes qui finissent par se rejoindre et reforment une couche de vinaigre qui flotte à la surface de l'huile. On dit que huile et vinaigre ne sont pas miscibles. L'huile flotte à la surface du vinaigre car l'huile est moins dense que le vinaigre. Moins dense signifie que si on pèse 1l d'huile et qu'on pèse ensuite 1l de vinaigre, le litre de vinaigre pèse plus lourd que le litre d'huile. La différence est assez faible donc il faut être très précis pour pouvoir vérifier cela. Quand on dépose une goute de vinaigre à la surface de l'huile, le vinaigre coule car il est plus dense que l'huile. Une fois au fond du bocal, le vinaigre rentre en contact avec le bicarbonate. Il se produit alors une réaction chimique. Cette réaction chimique libère un gaz (le CO2). Ce CO2 forme des petites bulles. Ces bulles restent collées au vinaigre et finissent par former une espèce de bouée pour la goutte. Une fois que la "bouée" formée par les miniscules bulles de gaz est assez importante, la goutte de vinaigre remonte à la surface de l'huile. Une fois à la surface de l'huile, les petites bulles à la surface du vinaigre explosent. Quand la "bouée" qui entoure le vinaigre devient trop petite, le vinaigre coule à nouveau et le cycle se reproduit. La "lampe lave" dure jusqu'à ce que l'acidité du vinaigre ou le bicarbonate soit épuisé. Quand la réaction chimique s'arrête, il n'y a plus production de petites bulles de CO2 et la goutte colorée reste au fond.de CO2 et la goutte colorée reste au fond.)
  • Lumière en réflexion  + (La lumière est un ensemble de rayons luminLa lumière est un ensemble de rayons lumineux composés de photons. Les photons sont des unités assimilables à des balles tirées d'un pistolet. Ils possèdent une vitesse qui leur est propre, il s'agit de la vitesse de la lumière, et par conséquent, ils possèdent une énergie associée. Lorsque la balle rencontre un obstacle métallique, par exemple une sorte de bouclier, elle est réfléchie et est alors renvoyée plus loin. Si elle traverse alors un poster de papier collé sur un mur, on dit qu'elle est transmise, enfin, une fois que celle-ci se trouve logée dans le mur, on parlera d'absorption. Il est bien évident qu'une telle balle provoquera un échauffement de la surface rencontrée. Ceci met en évidence le phénomène de dégagement d'infrarouge . Voici à quoi pourrait ressembler un photon.oici à quoi pourrait ressembler un photon.)
  • Pupille mobile  + (La pupille est une ouverture dans l’œil quLa pupille est une ouverture dans l’œil qui laisse entrer la lumière. Si ta pupille t'apparaît noire, c’est parce qu’elle ne laisse presque pas ressortir la lumière qui vient d’y entrer. Le diamètre de la pupille varie de 8 mm à 1,5 mm selon la luminosité ambiante. Dans l’obscurité la pupille se dilate pour faire entrer plus de lumière. Cela permet d'y voir mieux dans le noir car, plus la lumière active de récepteurs présents sur la rétine qui est au fond de ton œil, et plus tu peux distinguer les objets qui t'entourent. Comme il y a moins de lumière dans une pièce obscure, il faut que la pupille soit grande ouverte pour qu'un nombre suffisant de rayons lumineux puissent pénétrer dans ton œil et parvenir jusqu'à la rétine. De plus, il faut généralement un certain temps pour que la vision s'habitue à une forte obscurité, car les cellules de l’œil qui permettent de voir dans la pénombre ne peuvent s'activer qu'au bout d'un certain temps après avoir quitté une pièce lumineuse. Si tu restes un certain temps dans une pièce sombre, tu constateras qu'au bout d'un moment tu distingueras beaucoup mieux ton environnement que juste après y être entré. Dans un lieu où la lumière est intense, la pupille se contracte pour limiter la quantité de lumière qui pénètre dans l’œil. Si la luminosité est vraiment trop forte, tu es ébloui : tu ne vois plus rien, à part un bref flash lumineux. Cela explique pourquoi la contraction est plus rapide que la dilatation : il s'agit d'un réflexe de protection contre l’éblouissement, qui pourrait brûler ta rétine s'il persistait trop longtemps. Il ne s'agit pas du seul réflexe qui est déclenché par l'éblouissement : généralement, cette sensation est tellement désagréable que tu vas chercher à te protéger de la lumière en fermant les yeux, en détournant le regard, voire en portant la main devant ton visage pour bloquer les rayons lumineux.n visage pour bloquer les rayons lumineux.)
  • Faire flotter de la pâte à modeler  + (La pâte à modeler a une masse volumique plLa pâte à modeler a une masse volumique plus forte que celle de l'eau, c'est pourquoi elle coule lorsqu'elle est en boule. Si nous comparons le poids d'une bille d'eau avec celle d'une bille de pâte à modeler (même volume), la pâte à modeler est plus lourde, ce qui signifie que sa masse volumique est plus forte que celle de l'eau. Cependant, il est possible de faire flotter des objets ayant une masse volumique plus forte que l'eau. Lorsqu'un objet est dans l'eau il subit une force de bas en haut plus communément appelée poussée d'Archimède : l'eau pousse l'objet vers le haut. En étalant et en creusant la pâte à modeler, on agrandit sa surface de contact avec l'eau, la poussée d'Archimède est plus grande et l'objet ne coule pas.e est plus grande et l'objet ne coule pas.)
  • Test du boudin de terre  + (Les argiles minérales ont une grande capacLes argiles minérales ont une grande capacité à fixer les sels minéraux et l’eau du sol. Mais elles donnent des sols collants, souvent lourds et difficiles à travailler. Les limons se travaillent mieux, mais ils sont très "fragiles"(à définir). Les sables sont filtrants, mais ils ne retiennent bien ni l’eau ni les sels minéraux issus des engrais. -Le Sable est minéral et grossier. Il est issu de la désagrégation de roches ou coquille… -Les Limons sont minéral et fin. Ils se situent entre les sables et les argiles pour leur finesses. Ils proviennent de l'érosion des roches dans les rivières. -Les Argiles sont minéral et très fin. Il y a de nombreuse famille d'argile et c'est compliqué… mais on peut dire que les argiles sont issue de la dégradation de la roche par les racines des plantes et les micro organisme (bactéries). Ils sont souvent concentré en profondeur dans les sols.ent concentré en profondeur dans les sols.)
  • Manège à farine  + (Les mouvements des grains de farine que tuLes mouvements des grains de farine que tu vois permettent de visualiser le mouvement de l'eau à la surface du saladier'''.''' L'eau au fond du saladier est réchauffée par la bougie. Quand l'eau se réchauffe, elle se dilate (prend plus de volume pour un même poids, donc sa masse volumique, masse par unité de volume, diminue) et remonte vers la surface. Ce faisant elle "pousse" l'eau plus froide qui du coup est "obligée" de plonger. Une fois que l'eau chaude est arrivée à la surface, elle s'étale à la surface de l'eau plus froide. Cela créé un léger courant du centre du saladier vers l'extérieur. Puis l'eau se refroidit et elle est à nouveau poussée par l'eau chaude qui remonte. L'ensemble de ces mouvements (dans et à la surface de l'eau) sont appelés mouvement de convection. Les grains de farine sont entraînés par ce mouvement. C'est la même chose pour les roches en profondeur de la Terre. Leur masse volumique diminue avec la chaleur, et quand la masse volumique diminue, la roche fondue remonte vers la surface de la Terre. Ce phénomène est très très lent car il concerne des masses de matière colossales. Par ailleurs, la roche fondue est très visqueuse, le déplacement se fait très lentement. Les zones dans lesquelles les roches fondues remontent vers la surface de la Terre sont appelées "points chauds". Le magma peut même percer la croute terrestre solide, et forme dans ce cas là des volcans. Dans tous les cas il existe un mouvement de convection très lent sous la surface solide de la Terre. Ce mouvement entraîne la partie solide de la surface (qu'on appelle la lithosphère) au point que celle-ci se "déchire" en plusieurs morceaux (les plaques tectoniques) qui s'éloigent les unes des autres ou se rentrent dedans. C'est la dérive des continents.nt dedans. C'est la dérive des continents.)
  • Volcans par milliers  + (Les volcans sont des lieux de sortie du maLes volcans sont des lieux de sortie du magma (roche en fusion) contenu dans le manteau de la Terre. Ce magma cherche à sortir, et s'infiltre à travers des fractures et failles de la croûte terrestre. Au fur et à mesure de son chemin vers la surface, le magma change de composition. Il peut se charger en éléments minéraux et dégazer. La façon dont la lave va sortir à l'air libre au moment de l’éruption volcanique va dépendre de sa composition. Elle peut être plus ou moins pâteuse (visqueuse), et contenir plus ou moins de gaz. Quand la lave est très visqueuse et contient beaucoup de gaz, l’éruption se fait sous la forme d'une explosion qui aboutit à la formation d'un cratère, celui-ci pouvant à nouveau exploser à l’éruption suivante. C'est le cas que l'on observe avec la semoule. Ce sont des éruptions dites explosives. Une lave visqueuse contenant peu de gaz sort en formant des boules (dôme) comme avec la pâte dentifrice. Ce sont des éruptions effusives. Une lave plus liquide et contenant très peu de gaz va s'étaler très largement. Cela forme des cônes qui ont des pentes très douces. Là encore ce sont des éruptions effusives. Les différents types de volcans présents sur le planète : * Volcan bouclier lorsque son diamètre est très supérieur à sa hauteur en raison de la fluidité des laves qui peuvent parcourir des kilomètres avant de s'arrêter (exemples : le Mauna Kea, l'Erta Ale ou le Piton de la Fournaise). * Stratovolcan lorsque son diamètre est plus équilibré par rapport à sa hauteur en raison de la plus grande viscosité des laves ; il s'agit des volcans aux éruptions explosives comme le Vésuve, le mont Fuji, le Merapi ou le mont Saint Helens. * Volcan fissural formé par une ouverture linéaire dans la croûte terrestre ou océanique par laquelle s'échappe de la lave fluide ; les volcans des dorsales se présentent sous forme de fissure comme les Lakagígar ou le Krafla. * Dôme volcanique (Puy de Dôme) grand dôme volcanique formé par l'accumulation et le refroidissement d'une lave visqueuse. * Une caldeira est une vaste dépression due à l'effondrement des roches au-dessus d'une chambre magmatique : Champs Phlégréens, le Santorin, caldeira de Yellowstone ; * Cône de scories, accumulation de matière éjectée autour d'un cratère: Puy de Pariou * Le cratère d'explosion, dépression due à une ou plusieurs explosions. Il n'y a pas de cône : Dallol Lorsque que la dépression est remplie par un lac, on appelle cela un maar : Gour de Tazenat.on appelle cela un maar : Gour de Tazenat.)
  • Cuillère cloche  + (Lorsque l'on tape la cuillère sur la tableLorsque l'on tape la cuillère sur la table, on fait vibrer la cuillère. La '''vibration''' va être transmise par la ficelle puis passer par tes os au bout de tes doigts jusqu'à ton oreille. La vibration est alors interprétée par l'organe du corps qui transmet l'information sonore au cerveau : '''ton système auditif.'''re au cerveau : '''ton système auditif.''')
  • Son en 3D  + (L’être humain a deux oreilles pour percevoL’être humain a deux oreilles pour percevoir les sons différemment et les situer dans l’espace. Il peut donc repérer les différentes sources de son et choisir, en se concentrant sur l’une ou l’autre, celle qu'il veut comprendre. Le micro, lui, n’a qu’un seul capteur, ce qui implique que lors de l’enregistrement l’information en trois dimensions du son est perdue. On ne peut plus distinguer les différents sons les uns des autres.er les différents sons les uns des autres.)
  • Planète bleue  + (On appelle la Terre la planète bleue, carOn appelle la Terre la planète bleue, car vue de l'espace, elle est toute bleue, comme sur la photo. Cette couleur vient du fait qu'elle est majoritairement recouverte d'océans que nous percevons bleus. Et oui, sur 510 millions de km² de surface terrestre : - 361 millions de km² (71%) sont occupés par les océans ! - alors que seulement 149 millions de km² (29% ) sont occupés par les continents. Grâce à cette expérience, tu as pu te rendre compte que ce que tu imagines n'es pas toujours fidèle à la réalité et tu as pu comprendre pourquoi on appelle la Terre la planète bleue...bleu, comme les océans qui la recouvrent en grande partie !céans qui la recouvrent en grande partie !)
  • Airbag pour oeuf  + (On constate que le cône fixé à l’œuf est déformé, il a absorbé une partie de l’énergie du choc, ce qui a permis à l’œuf de ne pas être cassé.)
  • Concurrents ou associés dans le milieu marin  + (On observe que lorsqu'une espèce fragiliséOn observe que lorsqu'une espèce fragilisée est enlevée (coraux, plancton), une grande partie du réseau trophique est fragilisée elle aussi. En effet, la proximité des espèces dans un réseau trophique et la complexité des interactions entre les organismes vivants impliquent que la fragilisation ou la disparition d'une espèce peut avoir d'importants impacts en cascade sur l'ensemble du réseau. L'acidification des océans fragilise des espèces à squelette calcaire comme le plancton et le corail qui sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépend une grande partie de la biodiversité marine et dont on dépend également. Ainsi, premier maillon des réseaux trophiques marins, le plancton est à la base de la vie dans les océans. Quant aux récifs coralliens, ils ne recouvrent que 0,5% des fonds marins, mais environ un tiers des espèces marines s'y nourrit, s'y abrite ou s'y reproduit. s'y nourrit, s'y abrite ou s'y reproduit.)
  • Ballon à réaction  + (On retrouve ici un principe d’action-réactOn retrouve ici un principe d’action-réaction, l’air qui est expulsé du ballon est “l’action”. En s’échappant du ballon l’air produit une force contre l’air ambiant. Imagine simplement qu’elle pousse l’air, comme tu pousserais un objet. Comme le dit [https://fr.wikipedia.org/wiki/Isaac_Newton Newton] cette force s’exerce également dans le sens opposé. C’est-à-dire que l’air ambiant pousse le ballon. Le ballon étant libre de bouger il se déplace le long de la ficelle, c’est la “réaction” ! C’est le principe des avions à réaction. Les réacteurs, fixés sous les ailes expulsent de l’air et du kérosène brûlé à grande vitesse vers l’arrière, ce qui fait avancer l’avion.e vitesse vers l’arrière, ce qui fait avancer l’avion.)
  • Drôle d'air dans mes poumons  + (Plus le ballon contient de farine, moins iPlus le ballon contient de farine, moins il se gonfle. Cela est dû au fait que la farine occupe du volume dans le ballon, mais également au durcissement de la paroi du ballon, rigidifiée par le mélange d’eau et de farine : moins élastique, la paroi se gonfle plus difficilement. Pendant le séjour de l’air dans les poumons, une partie de l’oxygène (O 2 ) qu’il contient passe dans le sang, tandis que le dioxyde de carbone (CO 2 ) que le sang a récupéré en circulant dans le corps passe dans les poumons. Mais les poumons reçoivent également toutes les petites poussières et gaz présents dans l’air que l’on respire. Lorsque ces intrus arrivent dans les poumons, ils sont évacués de deux façons différentes : * soit par la toux ou l'éternuement qui fait sortir l’air beaucoup plus fort, entraînant ainsi ce qu’il transporte ; * soit par la sécrétion par la membrane des poumons d’une grande quantité de mucus qui enveloppe les poussières et les entraîne vers la gorge, provoquant une toux ou une déglutition emportant les poussières dans le système digestif. Comme la farine et l’eau dans l’expérience, des poussières atteignant en grande quantité les alvéoles pulmonaires peuvent se mêler au mucus, durcissant ainsi les parois des poumons. Ces dernières se gonflent et se dégonflent alors plus difficilement, pouvant provoquer des difficultés respiratoires.t provoquer des difficultés respiratoires.)
  • Avion de paille  + (Pour pouvoir planer, un avion a besoin de Pour pouvoir planer, un avion a besoin de se faire porter par l'air. C'est pourquoi il doit être fabriqué avec du matériel léger. L'avantage de la paille, par rapport au papier, est que l'air peut la traverser dans toute sa longueur. Elle oppose donc moins de résistance à l'air que le papier. Les deux tubes de papier servent d'ailes à notre avion, ils le guident. Plus ils sont gros, plus l'avion est déséquilibré et tourne sur lui-même. Le trombone, pour finir, sert à rétablir l'équilibre de l'avion au moment du lancer. Si on le retire, l'avion a tendance à s'envoler vers le haut pour retomber à pic au sol.r vers le haut pour retomber à pic au sol.)
  • Fabriquer un planeur  + (Un planeur est composé de trois parties prUn planeur est composé de trois parties principales : *'''La voilure''' : assure la portance de la machine, soit l'élévation du planeur. *'''Le fuselage''' : Sa fonction est de porter et d'abriter le ou les pilotes et sa liaison avec les empennages et la voilure. *'''Les empennages''' : Leur fonction est d'assurer la stabilité et le contrôle de deux axes de pilotages. Pour planer, l'engin doit être équilibré. * '''La portance''', perpendiculaire au déplacement, permet de compenser une partie du poids du planeur, lui évitant de chuter à la verticale et lui permettant ainsi de planer.rticale et lui permettant ainsi de planer.)
  • Parachute  + ("N'importe quel objet de par son poids dan"N'importe quel objet de par son poids dans le vide tombe avec une grande vitesse nous pouvons constaté cela avec la chute d'une feuille d'un arbre . Cependant, le parachute ouvert emprisonne de l’air et cela crée une résistance. La surface du parachute étant grande, l’air exerce une résistance importante à l’avancement".une résistance importante à l’avancement".)
  • Billes sauteuses  + ('''Étape 3.''' <br /><br />La'''Étape 3.'''

    La matière est faite de particules minuscules dont certaines ont ce qu’on appelle une charge électrique. Les charges de même signe se repoussent alors que les charges de signe opposé s'attirent.

    Toutes les matières sont normalement électriquement neutre, c'est-à-dire qu'elles possèdent le même nombre de charges positives (protons) et négatives (électrons). Seuls les électrons peuvent être arrachés à la matière. Certaines matières "retiennent" leurs électrons mieux que d'autres.

    Par exemple, en frottant le ballon de baudruche sur tes cheveux, tu le déséquilibres électriquement, c'est-à-dire que des charges négatives (électrons) sont arrachées des cheveux et récupérées par le ballon. '''On dit que le ballon se charge en électricité statique'''. Grâce à cette électricité statique, si tu approches le ballon des billes de papier aluminium, celles-ci se chargent à leur tour et il se crée alors un phénomène de force électrostatique.

    Les billes d'aluminium vont transporter les charges négatives du ballon vers la feuille de papier d'aluminium, en faisant un va-et-vient jusqu'à ce que les matières redeviennent à peu près équilibrée électriquement.


    '''Étape 4.'''

    Dans l’expérience tu as pu observer la réaction entre des billes d’aluminium et un ballon chargé en électricité statique. Les billes d’aluminium sont attirées par le ballon et viennent s’y fixer. C’est le même principe que l'on peut observer pour certains grains de pollen et certains insectes pollinisateurs comme le bourdon et l’abeille. '''En volant, leurs ailes battent si rapidement que des charges positives apparaissent à la surface de leurs corps'''. Les fleurs et les grains de pollen quant à eux sont généralement chargés négativement. Ainsi, lorsque les insectes se posent sur une fleur, '''du pollen est attiré par le corps de l’insecte qui est chargé positivement.''' Certains grains de pollen viennent s'accumuler sur l’insecte et s’accrochent aux poils.
    Billes sauteuses Annexe 8.jpg
    394" /></a></div></div></span></div>)
  • Réparation électronique  + (<nowiki>===Définitions===<br />===Définitions===
    ====Électricité====
    Fait d'utiliser l'énergie des électrons, en les déplaçant. En général en grande quantité et à haute tension ( + de 50V ).
    ====Électronique====
    Utilisation fine de l'électricité, pour lui faire faire des tâches plus complexes, en général à basse tension - de 50V.
    ====Électronique de puissance====
    À l'interface entre électronique et électricité, elle vise à permettre de convertir de l'énergie avec le minimum de pertes.
    ====='''Court-circuit'''=====
    Quand 2 points d'un circuit sont connectés (on mesure 0.0Ω entre eux), alors qu'ils ne devraient pas l'être.

    Ça peut venir d'un composant cramé en court-circuit, d'un bout de métal qui touche, ou du fait de tremper dans l'eau.

    Et c'est différent du...
    ====='''Faux contact'''=====
    Branchement présentant un '''contact peu fiable''', sujet aux débranchements intempestifs.

    Par exemple : soudure cassée sur le circuit, prise mal branchée, corrosion sur les contacts de la prise, piste du circuit fendue, ...

    - Les contacts des interrupteurs sont connus pour se corroder / charbonner, et sont souvent démontables. En les grattant avec du papier de verre, une lime, ou simplement le bout d'un tournevis plat, on refait apparaître le métal, et en remettant tout en place en le remontant, il peut remarcher.

    Pour les '''prises''' et les '''interrupteurs''', on utilisera éventuellement de la bombe contact.

    Une fois le produit appliqué, on actionnera l'interr. au moins une dizaine d'allers-retours, pour que le produit fasse bien effet.

    Mais '''tout produit sera utilisé hors-tension''', en laissant sécher quelques minutes l'appareil avant de le rebrancher.

    - Les '''potentiomètres''' peuvent aussi faire des faux contacts. En général ils sont dus à de la poussière, et si c'est sur une machine audio (un ampli par exemple) on entendra un souffle en passant sur certaines positions du ''potar''.

    Dans ce cas on utilisera une bombe spécial potentiomètres qui lubrifie en plus, elle est donc parfois nommée ''Contact Cleaner Lubricant''.

    On peut l'appliquer à la base de l'axe mais le plus efficace est d'accéder à l'arrière, et d'en injecter directement un peu à l'intérieur, grâce au petit tube placé sur la bombe et à travers un petit trou au dos du ''potar''.

    Une fois le produit appliqué, on actionnera le ''potar'' au moins une dizaine d'allers-retours, pour que le produit fasse bien effet.
    ====Alimentation====
    Pompe à électrons, fait déplacer des électrons, ce qui, quand le circuit les contrôle comme prévu, permet d'en faire ce qu'on veut.
    ====Tension====
    "Pression" d'électrons, se mesure en Volts (V), différence de potentiels entre un + et un -, sonde rouge (+) sonde noire (-), en général à la masse
    ====Intensité du/ou courant====
    "Débit" d'électrons, se mesure en Ampères (A), quantité d'électrons passant par un fil / un composant
    ====Résistance====
    "Serrage du tuyau", frein à laisser passer les électrons, se mesure en Ohms (R, Ω), si R est haut/augmente, le débit est faible/diminue, et inversement
    ====Terre====
    '''''Elle sert à sauver nos vies !'''''

    Pour cela, les parties métalliques des machines branchées au 220V (four, machine à laver, machines de cuisson, etc.) y sont connectées. Si elles viennent à être électrifiées (fil qui touche, eau, etc.), le disjoncteur détecte le courant qui part à la terre et coupe le disjoncteur général.

    Des 3 fils de nos prises de courant, c'est le jaune et vert.

    Dans nos machines il est souvent directement vissé/soudé à du métal.  
    ====Masse====
    La masse est le niveau de référence, 0V, qui nous sert à faire nos mesures, un peu comme avec les altitudes et le niveau de la mer.

    On y place donc la sonde noire de notre multi.

    On peut l'identifier visuellement en inspectant les pistes du circuit imprimé.

    Elles se trouvent souvent sous la forme de grandes pistes larges (plans de masse), et les parties métalliques des connecteurs y sont souvent branchées.

    Il est important que la masse soit bien connectée partout, pour que les électrons puissent bien circuler.




    ==== Polarité et "polarisé" (composant) ====
    La polarité correspond au sens de circulation de l'électricité. On la trouve au niveau de la sortie d'une alimentation (continue) / batterie / pile et elle est indiquée par un + et un -. Si on bricole une alim, il est bon de vérifier quelle est bonne (on mesure la tension DC en mettant la sonde noire -COM- sur le "-" et la rouge -V- sur le "+", on doit voir une tension positive (donc si on voit un - à l'écran c'est que la polarité est inversée = Danger !).

    Un composant polarisé, risque lui aussi des dégâts si on l'alimente / le branche / le soude à l'envers. Exemples : certains condensateurs, les diodes, leds.

    ====Composants====
    Fil, résistance, fusible, condensateur,  bobine, transformateur, diode, transistor, potentiomètre, encodeur...

    Pour chacun de ces composants il existe des unités de mesure caractéristiques, et des centaines de modèles différents.

    Il convient de remplacer chaque composant mort par un modèle équivalent si non identique.

    Dans le doute on utilisera le même modèle.
    ====='''Les reconnaître'''=====
    =====Résistance, fusibles, condensateurs, bobines, transformateurs, diodes, transistors, potentiomètres, etc. : https://fr.wikipedia.org/wiki/Composant_%C3%A9lectronique=====
    =====Roues codeuses (encodeurs) : https://www.globalspec.com/learnmore/sensors_transducers_detectors/encoders_resolvers/rotary_encoders=====
    )
  • Electrolyse de l'eau  + ('''''Comment sait-on que l'hydrogène est p'''''Comment sait-on que l'hydrogène est présent ?''''' Le courant électrique dissocie la molécule d'eau (soit H2O) en ions hydroxyde (OH)- et hydrogène H+ : dans la cellule électrolytique, les ions hydrogène acceptent des électrons à la cathode dans une réaction d'oxydation en formant du dihydrogène gazeux (soit H2), alors qu'une oxydation des ions hydroxyde - qui perdent des électrons donc - se produit à l'anode, ce qui produit l'oxygène (O2). On constate aussi que le volume de l'hydrogène est deux fois celui de l'oxygène. On utilise une flamme pour constater la présence de l'hydrogène, puisque c'est un gaz très inflammable. '''''L'électrolyte ?''''' L'eau pure conduit peu l'électricité, ce qui contraint à l'emploi d'un additif hydrosoluble - électrolyte - dans la cellule d'électrolyse pour « fermer » le circuit électrique (autrement dit, faire en sorte que les potentiels chimiques en jeu permettent la réaction chimique). L'électrolyte se dissout et se dissocie en cations et anions (c'est-à-dire respectivement des ions chargés positivement et négativement) qui peuvent « porter » le courant. Ces électrolytes sont habituellement des acides, des bases ou des sels minéraux.s électrolytes sont habituellement des acides, des bases ou des sels minéraux.)
  • La colonie des plantes  + ('''<u>Manche 1</u>''' Pour co'''Manche 1''' Pour coloniser un espace et pour que la plante trouve son équilibre, cela prend plusieurs années. Les plantes sont soumises à différentes pressions en lien avec le territoire qu'elles occupent (zone +/- humide, disponibilité de ressources dans le sol, lumière, etc.). De plus, leurs moyens de dissémination dépendent totalement d'éléments extérieurs : le vent, l'eau ou encore les autres animaux. En raison de la forte urbanisation et de l'agriculture, les plantes sauvages perdent beaucoup d'espaces à coloniser. Les activités humaines fragmentent également leurs territoires par l'installation de routes ou de lignes de train par exemple. Toutes les espèces ne sont pas adaptées de la même manière au changement climatique. Certaines sont plus résistantes et/ou résilientes à ce phénomène. Des plantes peuvent en effet vivre dans des climats très arides ou à l'inverse très humides. '''Manche 2''' Une augmentation de la température sur Terre provoque l'apparition de régions désertiques au Sud et la diminution de zones ayant un climat tempéré et/ou froid. Dans un désert, le sol est sec, infertile et il fait très chaud : 30-35°C. Certaines plantes sont plutôt résistantes et d'autres moins : elles entrent alors en compétition les unes avec les autres, et les plus vulnérables disparaissent. Des espèces de plantes s'adaptent plutôt bien au changement climatique et vont même aller jusqu'à conquérir de nouveaux territoires. Celles-ci peuvent être plus compétitrices que les plantes endémiques à une zone, ce sont les espèces exotiques envahissantes (EEE). '''Manche 3''' A l'échelle de vie des plantes, le changement climatique est très rapide. Comme pour de nombreuses autres espèces vivantes d'ailleurs. Les espèces n'ont pas le temps de s'adapter et sont également en difficulté du fait de leur faible vitesse de dispersion. En exemple, montrer les aires de répartitions actuelles et futures de deux espèces européennes : le Chêne vert et le Hêtre. actuelles et futures de deux espèces européennes : le Chêne vert et le Hêtre.)
  • A quoi servent les fleurs  + ('''<u>Étape 3</u> :''' La fle'''Étape 3 :''' La fleur est le lieu de reproduction de la plante. Elle renferme les organes reproducteurs: les étamines (l’organe mâle) qui contiennent le pollen, et le pistil (l’organe femelle) qui contient l’ovule. Dans la nature, pour qu'une plante se reproduise, il est nécessaire que le pollen soit transporté sur le pistil de la fleur - '''c'est la pollinisation''' - pour rencontrer l'ovule. L'ovule devient alors une graine et le pistil (ou une partie de la fleur) devient un fruit, source de nourriture pour de nombreuses espèces, dont la nôtre ! La graine, en tombant, germe pour donner une nouvelle plante. '''Étape 4 :''' Les plantes dont le pollen est transporté par le vent doivent fabriquer une grande quantité de pollens, car seul une infime partie de ce pollen atteint le pistil d'une plante de la même espèce. ''(Ainsi, plus la plante fabrique de pollen, plus elle aura de chance que son pollen atteigne une autre plante)''. '''Étapes 5 et 6 :''' Les insectes pollinisateurs (et parfois certains oiseaux et chauve-souris) sont attirés par les fleurs colorées et parfumées, comme celles de la plupart des arbres fruitiers (pomme,abricot, orange...) et des plantes potagères (courgette, tomate, pois, tournesol...), dont ils consomment le nectar. Ainsi, sans pollinisateurs, de nombreux fruits et légumes disparaîtraient. Les pollens de ces plantes sont généralement collants, huileux ou crochus, ainsi, ils se fixent mieux aux insectes. Ces adaptations naturelles sont à l’origine de la grande richesse et diversité des végétaux de notre planète. Quant aux fleurs discrètes (petites, sans couleur ni odeur) comme celles des céréales (blé, maïs...) et des arbres forestiers (pin, sapin, châtaignier, chêne, hêtre,noisetier...), c'est souvent le vent qui transporte le pollen sur les fleurs voisines, ces plantes fabriquent une grande quantité de pollen, dont seule une infime partie atteindra le pistil d'une autre plante de la même espèce. Parfois, le pollen d'une fleur tombe directement sur le pistil de la même fleur. '''Ainsi les plantes, très diversifiées, sont adaptées aux différents modes de dissémination des grains de pollen !'''
    aptées aux différents modes de dissémination des grains de pollen !''' <br/>)
  • Capillarité dans le céleri  + ('''<u>Étape 3</u>''' * La cou'''Étape 3''' * La coupe horizontale montre des petits ronds colorés, la coupe verticale, des lignes colorées : '''l'eau colorée a été transportée par les petits tubes contenus dans la plante, appelés « vaisseaux capillaires ». Ce mode de transport d'un liquide''''' (montée naturelle d’un liquide dans des tous petits vaisseaux)'' '''est appelé capillarité.''' * La buée observée dans le second sac plastique est formée par l'air emprisonné. Ce sac sert de témoin à l'expérience. Les gouttes observées dans l'autre sac, plus nombreuses et plus grosses, proviennent un peu de la buée (comme dans le sac témoin), mais surtout de la feuille. '''L'eau s'évapore donc des feuilles dans l'air : c'est la transpiration de la plante'''. Ces gouttes d'eau sont transparentes : la plante a stocké les pigments colorés et a restitué une eau pure. '''Étape 4''' * Le papier (représentant la racine) a absorbé l'eau contenue dans le sol (mélange d’argile et de sel), qui s'est déversée dans second verre (représentant la plante). Dans son trajet, l'eau a entraîné avec elle tout ce qui pouvait passer par les trous minuscules du papier. C'est pourquoi nous retrouvons le sel, dissout dans l’eau, mais pas l’argile. '''De la même manière, les racines servent aux plantes pour absorber l'eau et différents minéraux du sol.''' '''Les végétaux jouent un rôle important dans le cycle de l'eau. La transpiration couplée au phénomène de capillarité permet à l'eau de circuler à travers les plantes et d'être évaporée dans l'atmosphère. La plante peut ainsi se nourrir, mais aussi capter certains polluants et les stocker ou les dégrader.'''rrir, mais aussi capter certains polluants et les stocker ou les dégrader.'''<span></span>)
  • Fleurs et insectes pollinisateurs  + ('''<u>Étape 3</u>''' De nombr'''Étape 3''' De nombreux pollinisateurs butinent les fleurs : abeilles, papillons, bourdons, mouches, coléoptères, ainsi que des chauves-souris et des oiseaux (colibris) dans les climats tropicaux, d’où le fait de réaliser des bouteilles de taille différentes, avec des tailles de trompes différentes. Une fois le nectar au contact de la paille (la trompe), de la gouache (ou de la craie) se dépose sur la bouteille (corps de l’insecte). L’insecte-bouteille est plein de “pollen”. De plus, les fleurs sont recouvertes d’un mélange de gouache (ou de craie). Le pollen est donc bien transporté d’une fleur à l’autre par l’insecte ! Dans la nature, les insectes sont attirés par le parfum et la couleur des fleurs. Ils consomment leur nectar pour se nourrir. Le pollen est alors accroché aux poils  ou aux organes spécialisés de l’insecte (par exemple les corbeilles à pollen sur les pattes arrières des abeilles) pendant qu’il boit le nectar. Et en butinant, il frôle le pistil d’une autre fleur où le pollen se dépose ! Il existe un bénéfice réciproque entre l’insecte et la plante. Mais tous les insectes-bouteilles n’atteignent pas le nectar au fond de la fleur (cas des insectes à petites pailles avec la fleur-grand récipients). '''Étape 4''' La forme des insectes pollinisateurs et la forme de leurs trompes varient, ainsi que la forme des fleurs, qui abritent le nectar. Il existe dans la nature une correspondance anatomique entre la forme des fleurs et la longueur des trompes des insectes qui les visitent. '''La diversité des insectes est donc vital pour les plantes, et réciproquement !''' Car les insectes pollinisateurs, en se nourrissant du nectar que leur fournissent les fleurs, permettent à un très grand nombre de plantes à fleurs de se reproduire en transportant leurs pollens. Et comme les fleurs pollinisées se changent en fruits, cela permet à de très nombreuses espèces  (dont nous!) de se nourrir, donc de survivre. '''Ainsi les insectes pollinisateurs contribuent inconsciemment à la sauvegarde de la planète.''' Pour vivre, chaque espèce est amenée à aider et à servir les autres.ur vivre, chaque espèce est amenée à aider et à servir les autres.)
  • Découvrir une espèce menacée : le panda  + ('''<u>Étape 4</u>''' La menac'''Étape 4''' La menace identifiée dans la BD est la destruction d’une partie de la forêt pour construire une route. Non seulement cela détruit directement des zones de forêts de bambous, mais ça contribue également à la fragmentation de la forêt, c’est-à-dire à son découpage en petits îlots séparés les uns des autres, ce qui réduit encore plus la surface disponible pour les pandas vivant dans cette zone et leur mobilité. De plus, la création de routes s’accompagne souvent de plus de déforestation le long de ces routes pour construire des habitats, récupérer des champs… Il existe d’autres causes à la déforestation : *l’agriculture (couper des parcelles d’arbres pour les transformer en champs) ; *l’urbanisation (construire des villes, des routes pour augmenter le tourisme…) ; *la construction de barrages ; l’exploitation de mines... *l’exploitation de la forêt pour récolter le bambou, le bois et les herbes médicinales... '''AU delà de la déforestation, qui est la principale menace qui pèse sur le panda''', il existe encore un peu de braconnage, ou des pièges (destinés à d’autres animaux) qui peuvent blesser voire tuer les pandas. Et indirectement, les changements climatiques fragilisent dans certaines zones géographiques les forêts de bambou, ce qui diminue également les zones de vie des pandas. '''Étape 5''' Au delà du fait que le panda soit mignon (donc tout le monde s’y intéresse), et que toute espèce doit être préservée pour elle-même, il existe plusieurs raisons de protéger le panda : *Qu’elles soient grandes ou petites, poilues ou avec des écailles, avec des pattes, des ailes ou rampantes, avec ou sans feuilles et fleurs, toutes les espèces jouent un rôle dans l’environnement, et sont liées à de nombreuses autres espèces. C’est pour cette raison que la disparition d’une espèce peut mettre en danger tout un ensemble d’autres espèces. C’est pourquoi il est important de les protéger. *De plus, le panda est une espèce dite “parapluie” : comme un parapluie, les efforts mis en place pour le protéger bénéficient à de nombreuses autres espèces partageant les mêmes territoires, et souffrant de ce fait des mêmes menaces (''notamment les singes dorés, les takins, les pandas roux, une espèce de cerf des bois, les ours noirs asiatiques, ainsi que la flore locale).''oux, une espèce de cerf des bois, les ours noirs asiatiques, ainsi que la flore locale).'')
  • Concurrents ou associés dans le milieu terrestre ? Les réseaux trophiques et réseaux alimentaires  + ('''Les végétaux sont toujours à la base de'''Les végétaux sont toujours à la base des réseaux trophiques. Ce sont des producteurs'''. Grâce à l’énergie du soleil, ils utilisent le dioxyde de carbone (CO2) de l’air pour produire de la matière (dite organique). Ils se nourrissent des minéraux du sol, provenant de la dégradation de végétaux et d’animaux par les micro-organismes (bactéries et champignons qui sont des décomposeurs). '''Les animaux sont des consommateurs''' : ils ne produisent pas seuls leur propre matière organique, ils ont besoin pour cela de consommer d’autres êtres vivants. '''Il en existe 3 types : les herbivores''' qui consomment les végétaux (lapin, chevreuil, chenille…), '''les carnivores''' qui se nourrissent d’animaux (rapace, loup, serpent…) et '''les omnivores''' qui se nourrissent d’animaux et de végétaux (mulot, renard...). Le réseau trophique est surtout basé sur des relations alimentaires, mais il n’existe pas que des relations alimentaires. Certaines espèces servent d’habitats ou d'abris à d’autres (arbres de la forêt pour le chevreuil, le lapin, le renard…), et il existe des relations entre espèces, bénéfiques ou non, qui peuvent être parfois très spécifiques : mutualisme, commensalisme, symbiose, parasitisme. À ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). Les multiples relations qui existent entre les espèces peuvent être parfois bénéfiques pour certaines, au dépend d’autres '''(+/-) : compétition, prédation et parasitisme'''. Mais les relations de coopération, bénéfiques pour les individus '''(+/+ ou +/0)''', sont également très importantes dans un écosystème. Elles se présentent sous trois formes : '''commensalisme, mutualisme et symbiose.''' Du fait de la disparition de certaines espèces (ex : mulot, renard...), d’autres vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient) ou augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le fonctionnement de l’ensemble de l’écosystème. Ainsi, en perturbant un écosystème (autoroutes, pesticides, coupe d’arbres, changement climatique...), non seulement nous altérons les réseaux trophiques des milieux concernés, mais nous modifions également les habitats et les relations de coopération et compétition qui existent entre les espèces, ainsi que les différentes fonctions de ces espèces dans leur milieu.différentes fonctions de ces espèces dans leur milieu.)
  • Chandelle fait monter l'eau  + ('''Lorsque tu couvre la bougie avec le ver'''Lorsque tu couvre la bougie avec le verre il se passe deux choses :''' - D'une part, la combustion nécessite du dioxygène (O2) et produit du dioxyde de carbone (CO2). Lorsque la quantité de dioxygène présente dans le verre devient trop faible alors la flamme s'éteint. - D'autre part, la flamme de la bougie produit de la chaleur qui va chauffer l'air présent dans le verre. L'air en chauffant se dilate. C'est à dire que pour la même quantité d'air, cet air prend plus de place. On peut d'ailleurs constater cette dilation, car lorsque l'on pose le bocal sur la bougie, un bulle d'air s'échappe. Lorsque la flamme s'éteint (du fait du manque d'oxygène) l'air refroidit. A l'inverse de la dilatation , en se refroidissant, l'air se rétracte, c'est à dire qu'il prend moins de place. L'eau va alors être aspirée dans le verre occupant la place ainsi libérée. le verre occupant la place ainsi libérée.)
  • Les besoins des végétaux  + ('''Photo témoin :''' le géranium ne présen'''Photo témoin :''' le géranium ne présente pas particulièrement de signes de « manque » car il a tous les éléments nécessaires pour pousser convenablement (dont l’eau et la lumière mais aussi les nutriments présents dans la terre, la chaleur et le Co2 présents dans la pièce) '''Expérience 1 :''' le géranium n'avait pas accès à la lumière. Or, la lumière permet aux végétaux de vivre. Elle permet également aux feuilles d'être de couleur verte grâce aux chloroplastes. Si on avait mis le géranium pendant une semaine dans un endroit totalement noir, le géranium serait, au bout d’un certain temps, mort. Cette lumière lui permet en partie de faire la photosynthèse (voir pour aller plus loin) qui lui permet de pousser et de vivre. A savoir : trop ou pas assez de lumière entraîne la mort des chloroplastes et donc une mauvaise croissance '''Expérience 2 :''' nous avons retiré au géranium l’accès à l’eau. Or, l’eau permet elle aussi aux végétaux de vivre. Comme l’expérience nous le montre, sans eau, le géranium s’assèche, fane et finit par mourrir. L’eau est un élément essentiel de la vie de tout être vivant. Les végétaux fanent voir même meurent sans eau car l’eau permet le transport du sucre dans la sève, elle permet à la plante de réguler sa température, elle nourrit ses cellules et limite la prolifération des maladies et des parasites. Comme tout être vivant, la plante a besoin d’un certain nombre d’éléments pour grandir. Deux de ces éléments ont été mis en évidence au travers de cette expérience mais ce ne sont '''pas les seuls'''.ience mais ce ne sont '''pas les seuls'''.)
  • Concurrents ou associés dans le sol  + (<u>Étape 4</u> : Dans le sol, Étape 4 : Dans le sol, les organismes vivants peuvent être identifiés :
    *''par taille '': micro-organismes et microfaune (échelle du micron = un millième de millimètre)), mésofaune (échelle du millimètre), macrofaune (échelle du centimètre), mégafaune et plantes (échelle du décimètre/mètre) *''et par niveaux trophiques :'' **A la base des chaînes alimentaires, les végétaux – appelés '''producteurs primaires''' - utilisent les minéraux du sol et le dioxyde de carbone (CO2) de l'air pour produire de la matière (dite organique) grâce à l'énergie du soleil. **Feuilles, bois, débris végétaux et animaux sont dégradés par '''les décomposeurs''' (micro-organismes : bactéries et champignons) et '''les détritivores''' (collemboles, vers de terre...) qui fragmentent et transforment la matière organique. Les minéraux issus de cette dégradation sont ainsi remis à disposition des plantes. **De toutes les tailles, '''les consommateurs (herbivores, omnivores et carnivores :''' vers nématodes, acariens, carabes, araignées, fourmis, hérissons, poules…) permettent la régulation des populations d’organismes vivants du sol. Étape 5 : Les interactions entre espèces ne sont pas qu’alimentaires. Elles peuvent être aussi bénéfiques pour les deux espèces (mutualisme, symbiose), bénéfiques pour une espèce sans nuire pour autant à l’autre (commensalisme), bénéfiques pour une espèce au dépend de l’autre (parasitisme). A ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). Étape 6 : Suite à la destruction d’un habitat, les premiers maillons du réseau qui sont touchés ne vont modifier que légèrement le réseau d’interactions. Mais au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau. Du fait de la disparition des vers de terre ou des carabes, certaines espèces vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient), d’autres augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le bon fonctionnement du sol et de sa biodiversité. Non seulement cela altère le réseau trophique, mais cela va aussi modifier les relations de coopération et de compétition qui existent entre les espèces. D’où l’intérêt de réfléchir, dans un jardin, aux bonnes pratiques pour maintenir le plus de biodiversité : http://ephytia.inra.fr/fr/C/25197/jardibiodiv-Conseils-de-gestion-des-jardins. À travers ses activités (agriculture, jardinage, urbanisation, haies végétales, paillage, compost…) l'humain peut avoir différents types d’impacts sur le sol. Il interagit donc directement ou indirectement avec toutes les espèces du réseau : *en favorisant ou réduisant la présence de débris végétaux dans un sol ; *en privilégiant certaines espèces (qui deviendront alors plus abondantes) ; *en faisant disparaître certaines espèces (du fait de l’utilisation de produits chimiques, de certains modes de production agricoles, de l’urbanisation…)
    espèces (du fait de l’utilisation de produits chimiques, de certains modes de production agricoles, de l’urbanisation…))
  • Pile avec des pommes de terre  + (==='''De manière simple'''=== Chaque pomme==='''De manière simple'''=== Chaque pomme de terre se comporte comme une petite pile : au contact du zinc et du cuivre, elle produit un faible courant électrique. On remarquera que si on branche une diode sur une seule "pile-patate", elle ne s'allume pas. Il faut en réaliser plusieurs et les brancher en série (c'est à dire à la suite l'une de l'autre) pour créer produire suffisamment de courant pour allumer une simple diode. Le cuivre représente la borne + de la pile. Le zinc représente la borne - de la pile. '''Il faut veiller à bien respecter les polarités de la diode, sinon celle-ci ne s'allumera pas.'''
    Attention : la réaction chimique qui se produit dans les pommes de terre au cours de cette expérience peut créer des substances toxiques. Les pommes de terre utilisées ne doivent pas être consommées après l'expérience.

    utilisées ne doivent pas être consommées après l'expérience.</div> </div><br/>)
  • Créer du vent  + (==='''La manipulation'''=== Note : Expéri==='''La manipulation'''=== Note : Expérience difficile à réaliser puisqu'il faut réussir à créer une différence notable de température entre le pain de glace et le spot. Les enfants peuvent également faire les manipulation en autonomie durant cette expérience en restant proche pour éviter les risques de brûlures. L'expérience fonctionnera davantage si le pain de glace est en hauteur et l'encens droit. ==='''De manière simple'''=== La fumée provenant directement de l'encens est chaude, elle monte et se répand sur le dessus de l'aquarium. Lorsqu'elle s'approche de pain de glace, elle se refroidit et descend. Elle se répand alors dans la partie inférieure de l'aquarium pour ensuite se réchauffer lorsqu'elle se rapproche du spot : elle remonte. On a ainsi formé un cycle et créé du vent.le remonte. On a ainsi formé un cycle et créé du vent.)
  • Production d'électricité à partir d'énergie humaine  + (Après le montage, en actionnant le pédalieAprès le montage, en actionnant le pédalier, le mouvement est transmis à la roue arrière par la chaîne. Le mouvement de la roue est donné à la poulie de l'alternateur par une courroie. Cette transmission se fait par multiplication de la vitesse manuelle "d'entrainement" ainsi on obtient une plus grande vitesse sur le rotor.ient une plus grande vitesse sur le rotor.)
  • Apollo thé  + (As-tu essayé de réceptionner le reste du sAs-tu essayé de réceptionner le reste du sachet dans ta main quand il retombe ? Combien pèse-t-il ? Quand on a mis le feu au sachet de thé, la combustion a chauffé l'air aux alentours. Cet air plus chaud s'est précipité vers le haut ("la chaleur monte, le froid descend"). Au début, le sachet de thé est un peu trop lourd pour être entraîné vers le haut avec ce courant d'air chaud mais plus il brûle, plus il devient léger, au point qu'il finit par l'être assez pour se laisser emporter !ar l'être assez pour se laisser emporter !)
  • Ça n'a pas l'air lourd  + (Avec cette expérience, on peut mettre le pAvec cette expérience, on peut mettre le poids de l'air en évidence. En effet, on met la balance à l'équilibre avec les deux ballons gonflés et ce n'est que lorsqu'on enlève de l'air de l'un des deux ballons que la balance se met à pencher du côté du ballon le plus gonflé, ce qui nous permet d'en conclure que la seule chose qui peut influer sur l'équilibre de la balance est l'air contenu dans les deux ballons. On peut alors bien dire que l'air à une masse.eut alors bien dire que l'air à une masse.)
  • Équilibre d'un poisson  + (Ce qui redresse le poisson avec la pièce àCe qui redresse le poisson avec la pièce à chaque fois c'est son poids. C'est donc le déséquilibre de la masse du poisson avec la pièce qui lui permet son équilibre ventre vers le bas. Grâce à la pièce, la masse du bloc est plus grande sur le côté où elle est enfoncé. C'est pourquoi le poisson se tient toujours droit : lorsque l'on penche le bloc avec la pièce et qu'on le relâche, le poids de la pièce entraîne le ventre du poisson vers le bas et le ramène à sa position initiale. Le bloc seul a une masse bien réparti ce qui ne permet pas au poisson de retrouver sa position ventre en bas.on de retrouver sa position ventre en bas.)
  • La roue des énergies  + (Comme on l'a vu, les sources d'énergies peComme on l'a vu, les sources d'énergies peuvent être classées en catégories. D'un côté, les énergies dites '''renouvelables''' et de l'autre, les '''non-renouvelables'''. Les énergies non-renouvelables (exepté pour l'énergie atomique) sont issues de la décomposition des matières organiques (végétales, animales) sur plusieurs millions d'années. On les appelles les '''énergies fossiles'''. Les énergies non-renouvables sont donc présentes en quantité limitée sur notre planète. De plus, tous les pays du monde ne sont pas riches en énergies fossiles ou atomique. Par exemple seulement quelques pays dans le monde possèdent des gisements d'uranium, utiles à l'énergie nucléaire. Plus on consomme des énergies non-renouvelables en grands quantités, moins il y a de gisements disponibles dans le monde.
    isements disponibles dans le monde. <br/>)
  • Observation des arbres autour de chez toi  + (Comme tu as pu le remarquer, il existe pluComme tu as pu le remarquer, il existe plusieurs arbres différents. Chaque arbre différent est une essence particulière. Chaque essence a sa particularité pour vivre dans des conditions spécifiques, en fonction de leur environnement, de l’altitude. Certaines plantes cohabitent et d’autres non. Pour maintenir l’équilibre des milieux, il est important de maintenir la diversité des espèces, on parle de préservation de la biodiversité. parle de préservation de la biodiversité.)
  • Tester l'effet de serre avec des glaçons  + (C’est le bocal en verre qui reproduit l’efC’est le bocal en verre qui reproduit l’effet de serre que l’on a sur la Terre. La température sous le bocal est plus élevée que pour les deux autres glaçons. Cela se vérifie avec l'expérience du thermomètre sous un saladier en verre, en parallèle de l’expérience des glaçons. Le glaçon qui fondra le moins sera celui situé sous le coton car celui-ci apporte un effet isolant au glaçon.   La température peut être moins élevée sous le saladier au début de l'expérience car le saladier peut avoir un effet isolant au départ (s'il est plus froid que la température de la pièce notamment) que la température de la pièce notamment))
  • Eponge contre inondation  + (Dans cette expérience, le bac peut représeDans cette expérience, le bac peut représenter une rivière ou un terrain. L’eau du verre, la pluie, l’eau de ruissellement ou une inondation. L’éponge, située au dessus du bac pour l’expérience, joue le même rôle qu’une zone humide (tourbière, marais...). Comme l’éponge, les zones humides peuvent accueillir et filtrer une grande quantité d’eau et ralentissent ainsi le débordement des rivières et l'inondation des sols. Elles atténuent donc les risques d’inondation des villes et villages situés en aval. Comme l’éponge, les zones humides conservent l’eau longtemps, ce qui permet d’avoir une flore et une faune spécifique aux milieux humides (sphaignes, droséras, linaigrettes, libellules, grenouilles, tritons...). Ces zones humides sont également des lieux de repos et de reproduction d’un grand nombre d’espèces de la rivière, et des lieux de refuge en cas de crues. Elles permettent aussi l’épuration des eaux.les permettent aussi l’épuration des eaux.)
  • Laver de l'eau  + (Dans la première manipulation l'eau sale rDans la première manipulation l'eau sale remonte le long du papier absorbant en s'infiltrant dans les fibres de ce dernier. En effet, il est composé de multitudes de petits trous. Chaque petit trou définit un pore dans le papier par lequel le liquide peut monter. L'expérience met en évidence le phénomène de la '''capillarité''' : l''''eau''' remonte dans le '''papier''' essuie-tout. Elle retombe ensuite par gravité dans le verre vide qui, peu à peu, se remplit. Dans la seconde, l'eau est nettoyée grâce à son passage à travers trois couches successives, des filtres de plus en plus fins : gravier > sable > coton et papier essuie-tout. Elle arrive donc en bas, grace à la gravité, en étant chaque fois un peu plus propre après chaque couche franchie.un peu plus propre après chaque couche franchie.)
  • L'évaporation et la concentration des polluants  + (Dans le cas du vinaigre, il s’évapore en mDans le cas du vinaigre, il s’évapore en même temps que l’eau lorsque le mélange est chauffé. L’élément polluant, ici représenté par le vinaigre, se retrouve dans l’air. Il peut ensuite se déplacer et atteindre les nuages (ici, le coton). Le colorant alimentaire, lui, reste dans la casserole tandis que l'eau s'évapore. À la fin de l'expérience, il reste une grande quantité de colorant dans une très petite quantité d'eau. On observe alors une couleur plus foncée, comme si on avait ajouté plus de colorant au début.on avait ajouté plus de colorant au début.)
  • La diversité spécifique, l'assurance de la fonctionnalité  + (Dans le premier groupe, le nombre d’espèceDans le premier groupe, le nombre d’espèces est important. À chaque fois, quatre espèces différentes possèdent le même régime alimentaire. Lorsqu’une perturbation se produit dans l’écosystème, certaines espèces vont disparaître, mais comme d’autres partagent le même régime alimentaire, il y a peu de risques que celles-ci disparaissent de l’écosystème. Dans le deuxième groupe, le nombre d’espèces est faible. Ici seules deux espèces possèdent le même régime alimentaire. Lorsqu’une perturbation se produit dans le milieu, il y a un risque important qu’un des régimes alimentaires ne soit plus représenté dans le milieu. À plus forte raison lorsque deux perturbations adviennent.son lorsque deux perturbations adviennent.)
  • L'acidification de l'océan  + (De nombreux organismes marins (coraux, molDe nombreux organismes marins (coraux, mollusques, crustacés, algues, planctons, vers marins...) possèdent une coquille ou un squelette externe constitué en partie de carbonate de calcium (principale composante du calcaire), qui se raréfie quand le pH diminue, et se dissout en milieu acide. Les organismes marins peuvent donc rencontrer des difficultés à construire ou à maintenir leurs squelettes ou coquilles si les océans s'acidifient. Mais attention ! L'effet sur les coquilles et les squelettes externes des organismes marins ne sera pas aussi rapide et impressionnant que dans l’expérience, car l'océan ne deviendra pas aussi acide que du vinaigre ! Cependant, même une baisse du pH inférieure à une unité cause une diminution très nette de la quantité de carbonates disponibles pour les organismes calcifiants. Ainsi, la fragilisation des espèces à squelette calcaire suite aux changements qui affectent l'acidité des océans touche entre autres le plancton et le corail qui, essentiels, sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépendent une grande partie de la biodiversité marine ainsi que les populations humaines.marine ainsi que les populations humaines.)
  • Kiwizz  + (Derrière chaque devinette de fruits et/ou Derrière chaque devinette de fruits et/ou légumes, se pose la question de l'importation et de l'impact écologique de cette dernière. En mettant en évidence l'origine de l'aliment, on rend compte de son parcours au fil de l'histoire et des différence avec son mode de production originale et actuelle. L'outil peut donc servir d'initiateur de débat.il peut donc servir d'initiateur de débat.)
  • Voiture propulsée par un ballon  + (En gonflant le ballon, on va le remplir d'En gonflant le ballon, on va le remplir d'air et emprisonner l'air dans le ballon. Comme le ballon ne laisse pas échapper l'air, il va rester à l'intérieur et remplir tout l'espace dans le ballon. Grâce à cela, on crée ce qu'on appelle une '''pression''' de l'air. Plus le ballon sera gonflé, plus la pression de l'air dans le ballon sera grande, et plus l'air expulsé fera avancer la voiture. Lorsque l'on relâche le bout du ballon, l’air sort par là où il peut sortir : par la paille. Pourtant, la voiture n'avance pas du ballon vers la paille, mais dans le sens opposé ! C'est ce qu'on appelle le '''principe d'action-réaction'''. Ici, l'action correspond à la sortie de l'air par la paille, qui va provoquer comme réaction l'avancée de la voiture dans le sens inverse.vancée de la voiture dans le sens inverse.)
  • Imagine... ton bord de mer  + (Gérer un territoire demande de prendre en Gérer un territoire demande de prendre en compte de nombreux éléments, en commençant par les besoins essentiels de la population, mais aussi de prendre chaque décision en prévoyant ses conséquences positives ou négatives. L'installation d'une construction occupe de l'espace, et peut parfois diminuer la beauté du paysage, ou générer des déchets, voire des pollutions, elle peut aussi apporter de nouveaux services aux habitants (nourriture, travail, production d'énergie...). L'aménagement et l'urbanisme s'appuient sur l'avis de professionnels experts, comme le.la responsable des déchets, des eaux... mais doivent aussi impliquer les citoyens, qui peuvent eux aussi agir sur leur territoire.euvent eux aussi agir sur leur territoire.)
  • Imagine... ta ville  + (Gérer un territoire demande de prendre en Gérer un territoire demande de prendre en compte de nombreux éléments, en commençant par les besoins essentiels de la population, mais aussi de prendre chaque décision en prévoyant ses conséquences positives ou négatives. L'installation d'une construction occupe de l'espace, et peut parfois diminuer la beauté du paysage, ou générer des déchets, voire des pollutions, elle peut aussi apporter de nouveaux services aux habitants (nourriture, travail, production d'énergie...). L'aménagement et l'urbanisme s'appuient sur l'avis de professionnels experts, comme le.la responsable des déchets, des eaux... mais doivent aussi impliquer les citoyens, qui peuvent eux aussi agir sur leur territoire.
    eux aussi agir sur leur territoire. <br/>)
  • Imagine... ta campagne  + (Gérer un territoire demande de prendre en Gérer un territoire demande de prendre en compte de nombreux éléments, en commençant par les besoins essentiels de la population, mais aussi de prendre chaque décision en prévoyant ses conséquences positives ou négatives. L'installation d'une construction occupe de l'espace, et peut parfois diminuer la beauté du paysage, ou générer des déchets, voire des pollutions, elle peut aussi apporter de nouveaux services aux habitants (nourriture, travail, production d'énergie...). L'aménagement et l'urbanisme s'appuient sur l'avis de professionnels experts, comme le.la responsable des déchets, des eaux... mais doivent aussi impliquer les citoyens, qui peuvent eux aussi agir sur leur territoire.euvent eux aussi agir sur leur territoire.)
  • Indices biologiques de qualité de l'eau  + (Il est possible d’étudier les communautés Il est possible d’étudier les communautés de plusieurs façons différentes. > Il est possible de compter '''le nombre d’espèces''' (ou de taxon, selon le niveau de détermination choisi, voir fiche détermination) total ou par groupe (par exemple le nombre d’espèce de trichoptères). Il s’agit de la richesse dite richesse spécifique ; > Il est possible de compter '''le nombre d’individus''' total ou par groupe (voir même par espèce). Il s’agit de l’abondance. Ces deux paramètres sont centraux en écologie et sont couramment étudiés. De nombreux facteurs peuvent faire varier la richesse et l’abondance, comme la température, la disponibilité en ressources, l’introduction d’espèces… Ces deux paramètres sont aussi étudiés séparément et de façon concomitante. Si la mesure de la richesse et de l’abondance donne déjà des informations sur la structure des communautés, associer les deux donne des informations supplémentaires. Dans cette activité, il est possible de voir que : '''- La perturbation « Matière organique »''' ne va pas avoir d’effet sur la richesse, mais va en avoir une sur l’abondance en favorisant les Diptères, moins polluo-sensibles, au détriment des Éphémères – Plécoptère – Trichoptères ; '''- Les perturbations « Biocide » et « Morphologie »''' vont avoir un effet sur l’abondance et sur la richesse, en provoquant une chute à la fois du nombre d’espèces et d’individus, mais pas de la même façon. # '''La perturbation « Biocides »''' va provoquer une chute des effectifs et de la diversité de tous les groupes avec un effet moindre sur les Diptères, plus polluo-resistants. Cela va traduire l’effet toxique direct sur les individus ; # '''La perturbation « Morphologie »''' va provoquer aussi une chute des effectifs et de la diversité de tous les groupes avec un effet moindre sur les Éphémères – Plécoptère – Trichoptères cette fois. Ce résultat va plutôt traduire la disparition des habitats dans le milieu et donc la capacité de celui-ci à accueillir des communautés variées et abondantes.capacité de celui-ci à accueillir des communautés variées et abondantes.)
  • Défi : l'eau monte !  + (Il existe un très grand nombre de stratégiIl existe un très grand nombre de stratégies et de constructions possibles avec le matériel proposé. On peut globalement classer les stratégies en quatre grandes catégories : - créer une barrière contre l'eau, - surélever les contructions, - créer des constructions flottantes, - reculer les zones de construction loin du littoral ou sur les hauteurs (ici en remontant les pots en haut de la pente ou en les enlevant totalement de la bassine).en les enlevant totalement de la bassine).)
  • Dessine moi un arbre  + (Il n’existe pas de définition universelle Il n’existe pas de définition universelle en dessin de l’arbre tant cette notion recouvre une grande variété de formations et d'espèces aux agencements divers. L’une des définitions communément acceptée est la suivante : l’arbre est considéré comme un végétal ligneux, c’est à dire composé de bois (à l’inverse de l’herbe), ayant un tronc nu et non composé de branche (donc non ramifié) dès la base, d'une hauteur supérieure ou égale à sept mètres ou susceptible d'atteindre cette dimension à maturité. Lorsque la taille est inférieure à 7 mètres, on parle d’arbustes.nférieure à 7 mètres, on parle d’arbustes.)
  • Transport et érosion : la dynamique des cours d'eau  + (L'eau emporte beaucoup de choses sur son pL'eau emporte beaucoup de choses sur son passage ! En se déplaçant, l'eau vient bousculer les dépôts dans le lit de la rivière et les entraine avec elle. Ceux-ci peuvent se retrouver emportés et déposés plus loin. Les plus petits sédiments, comme le sable ou l'argile, sont facilement emportés par le courant. Même la plupart des galets qu'on retrouve au fond d'une rivière viennent de bien plus haut. Lorsque la pluie s'intensifie, la rivière grandit et peut même sortir de son lit. On dit alors qu'elle est en crue. Comme on l'a vu, plus elle va vite, plus elle a de force et plus elle va emmener de sédiments avec elle. Lorsque la rivière est en crue elle devient capable d'emmener des éléments beaucoup plus lourds, comme des rochers ou des arbres entiers ! comme des rochers ou des arbres entiers !)
  • Bulle d'huile  + (L'huile a la même densité que ce mélange dL'huile a la même densité que ce mélange d'eau et d'alcool, ce qui veut dire qu'un volume d'huile et un même volume du mélange ont une masse identique. L'huile flotte au milieu et prend une forme ronde, car elle est entourée par le mélange auquel elle ne peut pas se mélanger, et la forme ronde est celle qui permet à l'huile d'être le moins possible en contact avec le mélange. Un liquide lancé hors de son récipient dans une station spatiale réagit de la même manière en prenant la forme d'une boule qui flotte.n prenant la forme d'une boule qui flotte.)
  • Le sténopé  + (La lumière se déplace en ligne droite. EllLa lumière se déplace en ligne droite. Elle va partir de l'objet, traverser le trou du sténopé puis s'afficher sur le calque de la boîte. La particularité du déplacement de la lumière fait que l'image est inversée (voir shéma).

    Pour un petit trou, l'image est nette car peu de rayons lumineux rentrent dans le sténopé. L'image est assez sombre et donc moins visible du fait de ce peu de lumière.

    Pour un grand trou, davantage de rayons lumineux rentrent multipliant les images visibles sur le papier calque. L'image est alors floue, mais aussi plus grande. Comme il y a plus de lumière qui rentre, l'objet est plus visible sur l'écran.

    trajet de la lumière dans le sténopé, affichage de l'image

    gt;</div><br/>)
  • Le canon à ondes  + (La membrane fixée sur l'oreille représenteLa membrane fixée sur l'oreille représente le tympan. Le tube représente le système auditif. Le ballon, au bout du tube représente l'information sonore transmise au cerveau. C'est le tympan, qui reçoit les informations sonores qui à travers le système auditif vont être transmises au cerveau. C'est le cerveau qui décode ou interprète l'information sonore (ex : miaulement = chat)nformation sonore (ex : miaulement = chat))
  • Disque de Secchi  + (La turbidité correspond à l’opacité (l’invLa turbidité correspond à l’opacité (l’inverse de la transparence) d’un liquide, ici l’eau d’une rivière ou d’un lac par exemple, à cause de matières en suspension (comme de la terre) ou d’algues microscopiques. Le disque de Secchi permet de déterminer la profondeur de pénétration de la lumière et donc la quantité de matière qui absorbe la lumière présente entre le disque et la surface de l’eau.te entre le disque et la surface de l’eau.)
  • Observer la faune d'un bloc de sol  + (Le bloc de sol est une méthode simple, quiLe bloc de sol est une méthode simple, qui permet d’observer les organismes qui vivent dans les premiers horizons du sol (ceux vers la surface). Ces animaux peuvent souvent passer inaperçus à nos yeux. Ce protocole nous donne une occasion de les découvrir. Cette opération permet d’identifier différents groupes d’organismes vivants dans le sol et de connaître leur abondance et leur densité par m². Une fois les petits animaux du sol récupérés et les différents groupes d’organismes vivant sur le sol identifiés, tu peux t'intéresser à leur abondance (= nombre d’individus d’une même espèce trouvés). Plus il y a d’individus différents, plus ton sol peut être considéré comme équilibré, en bonne santé. ''Les collemboles, par exemple, servent de bio-indicateurs de la qualité des sols (pollution, disponibilité en eau et en matière organique). S’ils sont présents en grande quantité, c’est un bon signe pour la santé du sol étudié !'' Si tu n’as pas récolté des individus de tous les groupes présents sur la clé de détermination, c’est normal. Tous ne vivent peut-être pas dans ton jardin, ne circulent pas durant les mêmes heures, ou ne s’attrapent pas de la même façon ! Cette expérience permet simplement d’identifier la présence et l’absence d’une petite partie des organismes qui vivent sur ton sol. Plus tu diversifieras les types de pièges utilisés (piège barber, aspirateurs à insectes, berlèse…), plus ta réponse sera complète !berlèse…), plus ta réponse sera complète !)
  • Bon état écologique  + (Le bon état écologique se définit à l’aideLe bon état écologique se définit à l’aide des différents sous-critères : - Critères biologiques (présence/absence d’organismes végétaux et animaux considérés comme bioindicateurs) ; - Critères hydromorphologiques (naturalité/artificialisation du milieu et des processus qui y sont à l’œuvre) ; - Critères physico-chimiques (toxicologie…) ; - Indices de qualité tels que l’indice biologique ou les indices basés sur les macro-invertébrés. Pour chaque masse d’eau, l’état écologique est qualifié selon cinq classes : très bon, bon, moyen, médiocre et mauvais. Dans tous les cas, il est caractérisé par l’écart aux conditions de référence. Ce référent correspond à la classe « état très bon » attribué lorsque les conditions sont représentatives d’une eau de surface pas ou très peu influencée par l’activité humaine. Les signes d’impact des activités humaines sont visibles dans les différents sous-critères : - Absence de certaines espèces emblématiques ; - Modification de la morphologie des cours d’eau ; - Présence de pollution dans les eaux ; - Indices biologiques avec des notes dégradées ; - …iologiques avec des notes dégradées ; - …)
  • Initiation à la soudure  + (Le but de la soudure est d'assembler ensemLe but de la soudure est d'assembler ensemble plusieurs éléments tout en permettant le passage du courant entre eux. Pour se faire on utilise le plus souvent en électronique un aliage métallique composé en grande partie d'étain. En fonction des composés associés, ce fil de soudure aura une température de fusion entre 200 et 400°C. Il est donc important que le fer soit bien chaud avant de commencer à souder. Une fois l'étain sur la carte, et le fer retiré, il va refroidir rapidement et ainsi fixer la soudure.idir rapidement et ainsi fixer la soudure.)
  • Lait Psychédélique  + (Le lait est constitué en grande partie d'eLe lait est constitué en grande partie d'eau, de gras et de protéines. Le liquide vaisselle est un produit qui permet de solubiliser, c'est à dire mélanger, deux entités qui ne se mélangent au départ. A la surface du lait, les molécules d'eau forment une sorte de membrane tendue. Ce phénomène est dû à une force appelée tension superficielle. Dans ce cas cette tension peut être considérée comme une force qui retient les éléments présents sur la surface : les molécules d'eau agissent comme une bâche sur laquelle reposent les gouttes d'encre. En touchant la surface du lait avec du produit vaisselle, on affaiblit la tension superficielle et cela fixe les molécules d'eau et pousse les gouttes d'encre car le liquide ne réagit qu'avec l'eau ! Cet effet se propage et les gouttes d'encre se dispersent progressivement. Le liquide vaisselle joue donc la fonction d'un agent de dispersion.donc la fonction d'un agent de dispersion.)
  • Attention, ça déborde !  + (Le lit d’une rivière est l’espace occupé lLe lit d’une rivière est l’espace occupé lors de l’écoulement de l’eau en période normale. Cependant, certains phénomènes peuvent entraîner une montée du niveau de l’eau. C’est le cas d’une forte pluie, des crues (à la fin de l’hiver), des marées à fort coefficient, de la libération de l’eau des barrages… Cette montée du niveau de l’eau se fait dans le lit majeur du cours d’eau, c’est ce qu’on appelle communément les « zones inondables  ». Ce lit correspond au plus haut niveau d’eau enregistré le long du cours d’eau. En fonction de la quantité d’eau, l’augmentation du niveau de l’eau va occuper une partie ou la totalité du lit majeur.r une partie ou la totalité du lit majeur.)
  • Piéger la faune du sol  + (Le piège fabriqué s’appelle un « piège BarLe piège fabriqué s’appelle un « piège Barber éthique ». Il permet d’observer facilement '''la petite faune du sol''', c’est-à-dire les animaux qui vivent dans et sur le sol. Ces animaux se déplacent silencieusement, de nuit comme de jour et peuvent ainsi passer inaperçus à nos yeux. Ce piège nous donne une occasion de les découvrir. Une fois les petits animaux du sol récupérés et les différents groupes d’organismes vivant sur le sol identifiés, tu peux t'intéresser à leur '''abondance''' (= nombre d’individus d’une même espèce trouvés). Plus il y a d’individus différents, plus ton sol peut être considéré comme équilibré, en bonne santé. ''Les collemboles, par exemple, servent de bio-indicateurs de la qualité des sols (pollution, disponibilité en eau et en matière organique). S’ils sont présents en grande quantité, c’est un bon signe pour la  santé du sol étudié !'' Si tu n’as pas récolté des individus de tous les groupes présents sur la clé de détermination, c’est normal. Tous ne vivent peut-être pas dans ton jardin, ne circulent pas durant les mêmes heures, ou ne s’attrapent pas de la même façon ! Cette expérience permet simplement d’identifier la présence et l’absence d’une petite partie des organismes qui vivent sur ton sol. Plus tu poseras de pièges, plus ta réponse sera complète ! Tu peux aussi diversifier les types de pièges utilisés (''aspirateurs à insectes, piège à moutarde pour les vers de terre, bloc de terre, berlese''…).vers de terre, bloc de terre, berlese''…).)
  • Un coup de pouce pour la biodiversité  + (Le tableau de synthèse propose des exempleLe tableau de synthèse propose des exemples de placement des vignettes "mesures" sur les différents habitats. Il s'agit d'une possibilité, elle est loin d'être la seule combinaison possible. Plusieurs mesures sont possibles pour différents types d'habitats, et toutes les mesures applicables ne sont pas forcément présentées sous forme de vignettes. Ne pas hésiter à ajouter des propositions en créant des vignettes supplémentaires sur papier, ce qui enrichira les discussions et valorisera les réflexions des groupes !et valorisera les réflexions des groupes !)
  • Les plantes au secours des berges  + (Le temps au bout duquel la terre est emporLe temps au bout duquel la terre est emportée par l’eau et le volume de terre qui est emporté varient d’une barquette à l’autre. En effet, moins il y a de morceaux de bois, moins la terre est retenue. Et inversement, plus il y a de morceaux de bois, plus la terre est maintenue en place. Dans cette expérience, les morceaux de bois participent à la réduction de l’érosion de la terre en diminuant le débit (la vitesse) de l’eau mais aussi grâce aux racines qui retiennent la terre et l’aident à résister à la force de l’eau. Voilà comment des plantes peuvent protéger le sol qui abrite et nourrit leurs racines.e sol qui abrite et nourrit leurs racines.)
  • Plantes au secours du sol et des dunes  + (Le temps au bout duquel la terre est emporLe temps au bout duquel la terre est emportée par l’eau et le volume de terre qui est emporté varient d'une barquette à l’autre. En effet, moins il y a de pailles, moins la terre est retenue. Donc, plus il y a de pailles, plus la terre est maintenue en place. Dans cette expérience, les pailles participent à la réduction de l’érosion de la terre en diminuant le débit (la vitesse) de l’eau mais aussi grâce aux racines qui retiennent la terre et l’aident à résister à la force de l'eau. '''Voilà comment des plantes peuvent protéger le sol qui abrite et nourrit leurs racines.'''ol qui abrite et nourrit leurs racines.''')
  • Trombone qui flotte  + (Le trombone reste à la surface de l'eau grâce à la [http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] qui peut être rompue en ajoutant du produit vaisselle.)
  • Photographie végétale  + (Les feuilles de végétaux contiennent un ceLes feuilles de végétaux contiennent un certain nombre de pigments naturels. La plupart d'entre elles contiennent de la ''chlorophylle'', un pigment vert, mais aussi des ''carotènes'' et les ''xanthophylles'', des pigments jaunes généralement masqués par la ''chlorophylle'' (c'est pourquoi on voit les feuilles des plantes de couleur verte en général). La ''chlorophylle'' est dégradée sous l'effet des rayons du soleil, contrairement aux ''carotènes'' et aux ''xanthophylles''. Donc sur notre feuille photosensibilisée: - les zones exposées virent progressivement du vert au jaune, - tandis que les zones cachées restent vertes puisqu'elles ne sont pas exposées aux rayons solaires. Le virage de couleur ne se fait pas toujours du vert au jaune, cela dépend du légume utilisé, et des pigments qu'il contient! Par exemple c'est la bétanine, un pigment rouge, qui dégradé dans le cas de la betterave. Votre papier photosensible peut-être conservé plusieurs années dans la mesure où il n'est pas exposé à la lumière. Vous pouvez donc si vous le souhaitez préparer votre papier à l'avance et l'exposer ultérieurement.er à l'avance et l'exposer ultérieurement.)
  • Marche comme l'australopithèque  + (Les grands singes font partie de la famillLes grands singes font partie de la famille biologique des hominidés, comme nous les humains aussi appelés en biologie par notre nom de genre et d'espèce ''homo sapiens''. C'est pour cela que nous considérons les grands singes comme nos cousins et que nous nous sommes souvent comparés à eux. Nous avions même envisagé qu'ils faisaient partie de l'évolution de notre espèce : n'as-tu jamais entendu dire que nous descendions du singe ? Nous avons eu un ancêtre commun, mais ''homo sapiens'' ne descend pas du singe. La lignée humaine est complexe. L'australopithèque afarensis (''Australopitecus afarensis*''), dont les restes les plus connus sont ceux de Lucy, est également un de nos vieux cousins (ou peut-être un de nos ancêtres, mais les scientifiques s'interrogent toujours), et on s'est rendu compte qu'il était bipède. Notre anatomie, et particulièrement la forme de nos os et de leurs articulations, détermine nos mouvements. Grâce à des restes osseux suffisament importants, les paléoanthropologues et paléozoologistes arrivent à déterminer la capacité des mouvements. Les scientifiques ont pu récolter pas mal d'indices avec les restes retrouvés des australopithèques afarensis et les traces de pas laissés sur le site de Laetoli. L'étude de la profondeur des traces de pas a également permis de constater les points d'appui du marcheur et donc de réaliser des hypothèses plus approfondies sur sa démarche.
    =====*''Australopithecus'' est le genre biologique , et ''afarensis'' le nom de l'espèce. Les anthropologues ont défini plusieurs espèces d'australopithèques, toutes retrouvées sur le continent africain. ''Afarensis'' fait référence à la region de l'Afar en Ethiopie, là où a été retrouvé le premier fossile relativement complet de cette espèce. Ce fossile célèbre est surnommé Lucy.=====
    pèce. Ce fossile célèbre est surnommé Lucy.=====)
  • Filtration de l'eau  + (Les graviers offrent un obstacle limité auLes graviers offrent un obstacle limité au passage de l'eau car il reste de grands espaces entre eux, où l'eau et une grande partie de ses éléments polluants peuvent passer. Ils retiennent donc les plus gros débris. Le sable, constitué de grains très fins, offre des espaces libres beaucoup plus petits pour le passage de l'eau, les débris les plus petits seront donc bloqués par la couche de sable. L'efficacité du charbon actif ne tient pas dans la taille des espaces entre ses grains mais dans sa capacité à piéger certaines substances chimiques, comme les polluants organiques qui dégradent la couleur et l'odeur de l'eau.
    ent la couleur et l'odeur de l'eau. <br/>)
  • S'initier aux sciences participatives à la campagne  + (Les observations mettent en évidence les zones et les plantes qui attirent de nombreux pollinisateurs, les groupes ou espèces de pollinisateurs qui viennent le plus souvent se nourrir dans la zone étudiée, et lesquels sont les plus nombreux.)
  • S'initier aux sciences participatives en ville  + (Les observations mettent en évidence les zones urbaines qui abritent la plus grande diversité de plantes, et quels micro-habitats sont plus favorables au développement de certaines espèces (fissures, murs, chemins, pelouses...).)
  • S'initier aux sciences participatives sur le littoral  +
  • Evolution du trait de côte  + (Les zones côtières ont attiré beaucoup d'hLes zones côtières ont attiré beaucoup d'habitants depuis les années cinquante, ce qui se traduit directement par l'augmentation de la taille des villes. Cette augmentation de la population a entrainé le développement des activités économiques telles que le transport maritime, la plaisance et les autres loisirs nautiques et le commerce. Cela explique la forte urbanisation du littoral, et la construction de nouveaux ports port de commerce et de plaisance, de zones portuaires, parkings, commerces, écoles de voile... Lorsque l'espace venait à manquer pour de nouvelles constructions, il était courant dans les années soixante et soixante-dix d'augmenter artificiellement les surfaces terrestres en ajoutant des roches et du béton dans la mer jusqu'à faire émerger des zones de construction supplémentaires. On voit dans ce cas le trait de côte avancer sur la mer entre les années 50 et 2010.


    Les nouvelles constructions réalisées sur la mer, de même que les digues et les barrages, modifient la circulation des courants, et des sédiments qu'ils transportent. Le sable et la vase, dont l'évacuation peut être bloquée, vont alors s'accumuler sur certains sites et créer des îlots, des plages ou des vasières. Ce phénomène est parfois si important qu'il peut gêner la circulation maritime et nécessiter des opérations de dragage.


    Au contraire, les zones où les courants ou la force des marées se renforcent à cause de certaines constructions peuvent être plus fortement exposées à l'érosion, phénomène naturel alimenté par le vent et la mer, qui grignote peu à peu les plages en emportant le sable. Il est fréquent aussi, après la construction d'un port, d'observer une zone plus sombre qui trace comme une sorte de couloir dans la mer. Il s'agît de chenaux, qui sont souvent creusés pour faciliter la circulation des bateaux.
    Constructions récentes sur le littoral et dégâts de l'érosion.
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  • Les petits pois de Mendel  + (Lors de cette expérience nous avons abordéLors de cette expérience nous avons abordé beaucoup de vocabulaire complexe, voici les différentes définitions :
    Ces différentes informations sont très simplifiées et ne sont valables qu'en génétique mendélienne
    *Trait : un trait un aspect d'un être vivant. Par exemple la couleur de la graine, de la fleur, ... *Gène : On considère, de façon très simplifiée, qu'un gène est une séquence génétique codant pour un trait. *Allèle : Un allèle est une version d'un gène. *Allèle récessif : Il s'agit d'une version d'un gène qui ne s'exprime que s'il n'existe pas d'autre allèle (donc d'autre version du même gène) dans le code génétique d'un individu. *Allèle dominant : Il s'agit d'une version d'un gène qui s'exprime même s'il existe d'autre allèle (donc d'autre version du même gène) *Génotype : Le génotype est la composition allélique de tous les gènes d'un individu, qu'ils soient exprimés ou non. *Phénotype : Le phénotype correspond aux différents caractères visibles chez un individus (ou trait). Il dépend du génotype et de l'environnement (le ou les endroit(s) où l'on vit, les évènements qui nous arrivent, la qualité de la nourriture que l'on trouve, ...).
    vit, les évènements qui nous arrivent, la qualité de la nourriture que l'on trouve, ...).)
  • POCL Pokou  + (Lorsque tu appuie sur le POCL, ton POCL caLorsque tu appuie sur le POCL, ton POCL capte cette action. C'est une donnée. Cette donnée est envoyée par internet à un serveur particulier qu'on appelle MQTT. Tout les POCL pokou sont connectés à ce serveur MQTT. Lorsque que le serveur MQTT reçoit un pokou, il le renvoie à tout les POCL pokou, tous les POCL pokou se mettent à luire à l'unisson. Libre à vous de répondre aux pokous par d'autres pokous ! Nous avons là une utilisation de données temps réel : une donnée est captée, elle utilisée pour déclencher des actions. Dans notre POCL, les données ne sont pas sauvegardées, elles ne comporte que le mot pokou et évidement l'heure d'émission.mot pokou et évidement l'heure d'émission.)
  • Tuto Trébuchet  + (Lorsque vous avez accrocher votre poids auLorsque vous avez accrocher votre poids au trébuchet (pierre par exemple), votre bâton va être verticale. Vous pouvez ensuite placer le projectile dans la poche et lorsque vous souhaitez le lancer il vous suffit de ramener votre poids au sol ( manuellement) puis de relâcher, cela aura pour effet de lancer le projectile.a aura pour effet de lancer le projectile.)
  • Intelligence artificielle DIY imbatable à l'hexapion  + (L’Hexapion est un jeu dit '''« résolu »'''L’Hexapion est un jeu dit '''« résolu »'''. Un jeu résolu est un jeu dont le résultat (gagner, perdre ou match nul) peut être correctement prédit à partir de n'importe quelle position, en supposant que les deux joueurs jouent à la perfection. Exemples de jeux résolus : Morpion (qui s’appelle aussi Tic-Tac-Toe ou OXO), puissance 4, Awalé, ... Les boîtes d’allumettes représentent l’arbre des possibles du jeu dans son intégralité. Chaque fois que l’IA perd, c’est une des branches de l’arbre qui mène à la défaite de l’IA qui est coupée. Petit à petit il y a de moins en moins de perles dans les boîtes, c’est-à-dire qu’il y a de moins en moins de possibilité de perdre pour l’IA. Si il ne reste plus qu’une perle par boîte, il est impossible de gagner contre l’IA. Dans ce système d’IA, c’est l’humain qui crée la donnée nécessaire au système pour apprendre. C’est un apprentissage qui est '''supervisé''' puisque c’est nous qui fixons les règles de ce qu’est un « bon coup » ou un « mauvais coup ». Notre IA possède également deux atouts de l’informatique : *Une mémoire parfaite *La capacité de répétition Ainsi la machine ne fait jamais deux fois la même erreur. Ce jeu permet d’illustrer ce qu’est '''l’apprentissage par renforcement''' utilisé en IA, de voir émerger un algorithme optimal et de s’interroger sur '''la notion d’« intelligence »''' dans ce système (particulièrement sur l’intelligence d’un système de boîtes d’allumettes !).ce d’un système de boîtes d’allumettes !).)
  • Catapulte à air comprimé  + (L’air comprimé désigne l’air dont la pressL’air comprimé désigne l’air dont la pression est supérieure à la pression atmosphérique. Il peut être stocké à haute pression et constitue un formidable outil pour fournir de l’énergie. Plus sûr et plus simple à utiliser que d’autres solutions alternatives, comme la vapeur ou les piles, l’air comprimé est une source d’énergie très répandue. En tournant la vanne, on libère l'air comprimé de la bouteille, et toute l'énergie fournie en pompant se libère d'un coup.ie fournie en pompant se libère d'un coup.)
  • Aspirateur à bestioles  + (L’aspirateur à insectes est une méthode siL’aspirateur à insectes est une méthode simple et ludique pour apprendre à observer les milieux dans lesquels vit la petite faune qui vit sur le sol. Notons que cette faune de surface peut se déplacer la nuit (comme beaucoup de carabes) et donc être invisible pour l’humain. Cette opération permet d’identifier différents groupes d’organismes vivants sur le sol. Une fois les petits animaux du sol récupérés et les différents groupes d’organismes vivant sur le sol identifiés, tu peux t'intéresser à leur abondance (= nombre d’individus d’une même espèce trouvés). Plus il y a d’individus différents, plus ton sol peut être considéré comme équilibré, en bonne santé. Si tu n’as pas récolté des individus de tous les groupes présents sur la clé de détermination, c’est normal. Tous ne vivent peut-être pas dans ton jardin, ne circulent pas durant les mêmes heures, ou ne s’attrapent pas de la même façon ! Cette expérience permet simplement d’identifier la présence et l’absence d’une petite partie des organismes qui vivent sur ton sol. Plus tu diversifieras les types de pièges utilisés ( piège barber, bloc de sol, berlese…), plus ta réponse sera complète ! De plus, comparer des milieux différents entre eux reste également très intéressant pour évaluer les similitudes et différences et les lier par exemple à différents modes de gestion des sols.le à différents modes de gestion des sols.)
  • Les balistos  + (Notre catapulte fonctionne de la manière sNotre catapulte fonctionne de la manière suivante: On place notre projectile dans notre rail de lancement ce qui va permettre un lancement stable. Il va être lancé grâce à notre élastique car c'est lui qui permet de donné l'impulsion du projectile. Et enfin l'inclinaison grâce aux deux pieds en bois permet une inclinaison qui favorise un bon angle de tir et donc de tirer plus loin.n angle de tir et donc de tirer plus loin.)
  • Fabriquer une pile électrique  + (Nous avons utilisé 3 métaux différents : Nous avons utilisé 3 métaux différents : - le cuivre, présent dans les pièces de monnaies - le zinc, présent dans les rondelles de bricolage - le papier aluminium ainsi qu'un acide : le vinaigre. '''Les électrons''' (atomes) présents dans le cuivre, se déplacent dans les autres métaux grâce à un '''électrolyte''' (un acide). C'est l'acide du vinaigre qui va donc permettre à ces électrons d'être libérés de façon à créer un courant électrique continue qui permet d'alimenter la diode. continue qui permet d'alimenter la diode.)
  • Habitat bioclimatique  + (Nous venons de réaliser les plans d'une maNous venons de réaliser les plans d'une maison issue de notre imagination. Après les calculs des déperditions et des gains, il appraît que la disposition des pièces et des couvertures par rapport au soleil a une importance non négligeable. En effet, le soleil est une source d'éerngie renouvelable et économique, il faut favoriser cet apport d'énergie gratuit dans la maison. En France métroploitaine, il brille au Sud, cette orientation est donc privilégiée pour installer les baies vitrées. N'oublions pas que les osleil peut apporter jusqu'à 500 Watts de chauffage par mètre carré de surface vitrée placée au Sud, ne nous en privons pas ! A contrario, au Nord, il n'y a pas de Soleil. De plus, les vents froids de l'hiver arrivent souvent de cette direction, il est donc impératif de s'en protéger : - en isolant au mieux ces parois afin de limiter au maximum des déperditions de chaleur. - en plaçant au Nord de la maison les pièces que l'on chauffe pas ou moins (le garage, le débarras, la buanderie, ...). C'est ce qu'on appelle des espaces tampons. - un préau placé sous les vents dominants permet à la maison d'être plus aérodynamique, c'est à dire que le vent glisse par dessus elle et réduit ainsi le refroidissement généré par celui-ci. - Le hall d'entrée est un sas qui permet de ne pas refroidir toute la maison lorsqu'on la pénètre. - chaque mur est une occasion pour la chaleur de s'échapper de la maison. Plus une maison offre des surfaces d'échanges avec l'extérieur, plus elle perd d'énergie. De même, bien que les coins de murs soient parfois esthétiques ou nécessaires, ils sont aussi problématiques car difficiles à isoler et entraînent des ponts thermiques qui sont alors autant d'échappatoires à l'énergie.
    autant d'échappatoires à l'énergie. <br/>)
  • Détermination des invertébrés d'eau douce  + (Outre la simple diversité, la présence ou Outre la simple diversité, la présence ou l’absence de ces espèces, il est important de noter que celles-ci constituent une part importante des écosystèmes aquatiques. En effet, ces organismes assurent une partie des fonctions des écosystèmes, comme la décomposition de la litière (accumulation de feuilles) et servent aussi de nourriture à de nombreux organismes, comme les poissons ou les batraciens.mes, comme les poissons ou les batraciens.)
  • Adaptation  + (Plus la surface en contact avec l’air est Plus la surface en contact avec l’air est grande, plus les échanges de chaleur sont importants, et donc rapides. C’est la surface de l’eau qui se refroidit d’abord, au contact de l’air. Elle a ensuite des échanges de chaleur avec l’eau située au-dessous d’elle : elle lui prend de la chaleur. C’est pourquoi l’assiette d’eau perd plus vite sa chaleur que le gobelet d’eau.plus vite sa chaleur que le gobelet d’eau.)
  • Parapluie japonais  + (Pourquoi le tissu du parapluie japonais doPourquoi le tissu du parapluie japonais doit Être de couleur claire et unie, c’est tout simplement pour mettre en évidence les petits bête. En effet ces petites bêtes sont presque invisibles dans leurs milieu naturel, elles se camouflent dans leur habitat par leurs couleurs. Leurs camouflages leurs permet de se cacher des prédateurs et donc de se protéger. Ansi la couleur du parapluie japonais est très importante.du parapluie japonais est très importante.)
  • Thymio - découverte de l'interface VPL  + (Quand on écrit une commande sur le logicieQuand on écrit une commande sur le logiciel installé sur l'ordinateur, on utilise un langage spécifique, propre au logiciel (ici le langage "VPL"). Le logiciel converti ce code en un message qui pourra être compris par le robot. On dit que le logiciel joue le rôle "d'interface" entre l'humain et la machine.d'interface" entre l'humain et la machine.)
  • AMP ou pas (Jeu sur les Aires Marines Protégées)  + (Respectivement 33,4% et 44,8% de tous le tRespectivement 33,4% et 44,8% de tous le terrritoire marin français et de la métropole sont considéré comme protégé. Il y a plusieurs type d'aire marine protégé sous plusieurs appelation en fonction des outils énoncé dans un texte de loi français appelé "Le code de l'environnement", comme les zones Natura 2000, les parcs naturels marins, la partie maritime des parcs nationaux etc. Ces différents types d'AMP ne sont pas équivalent au niveau des restrictions des actions humaines Du 3 au 9 février 2023, s’est déroulé Le Congrès international sur les aires marines protégées (IMPAC) à Vancouver, au Canada en vue de planifier la protection de 30% de l’océan mondial d’ici 2030. La communauté internationale des gestionnaires et praticiens de la conservation marine ont pu échanger autour du renforcement de la conservation de la biodiversité marine et de la protection du patrimoine naturel et culturel de l’océan.patrimoine naturel et culturel de l’océan.)
  • Découverte du robot Thymio  + (Réponse du défi bonus (étape 7) : il faut aligner les robots en file indienne. Le premier robot doit être de couleur jaune (pour avancer tout seul et éviter les obstacles), les suivants de couleur verte (pour suivre le wagon de tête).)
  • Fabrique du papier recyclé  + (Tu as sûrement déjà appris à trier tes décTu as sûrement déjà appris à trier tes déchets. En effet, dans la cuisine de tes parents, à l’école, au parc, tu trouves souvent deux poubelles : une noire ou verte et une jaune. D’autres déchets sont mis de côté également : les bouteilles et les pots en verre, les piles électriques, les ampoules, les médicaments, et peut-être les épluchures. Une fois sortie de ta maison, tous ces objets n’auront pas la même suite de vie. Certains sont enfouis sous terre, d'autres sont recyclés. C’est-à-dire qu’ils vont être transformés en de nouvelles matières et objets.formés en de nouvelles matières et objets.)
  • L'effet Barnum  + (Un biais cognitif est un fonctionnement noUn biais cognitif est un fonctionnement normal du cerveau qui parfois génère des résultats "imparfaits". En être conscient permet d'y prêter attention, et de nous "auto-réguler" dans certaines situations. Il n'y a rien de mal à aimer "jouer" à l'horoscope ou adorer l'appli de personnalisation d'une nouvelle cuisine. Il est bien plus problématique de croire dans les affirmations d'un horoscope ou dépenser une fortune pour une cuisine sur mesure.r une fortune pour une cuisine sur mesure.)
  • Fabrication d'une maquette de bassin de versant  + (Une maquette de bassin versant permet de sUne maquette de bassin versant permet de se familiariser avec le cycle naturel de l'eau et de réaliser de nombreuses observations et expériences en reconstituant le comportement de l'eau dans le paysage. En versant de l'eau en pluie sur les hauteurs de la maquette, on peut observer le chemin pris par l'eau en fonction des reliefs. Quand toute l'eau qui tombe sur une zone se retrouve au même point à l'arrivée (la même embouchure de rivière), cette zone est appelée un bassin versant. Sur les hauteurs, l'eau s'écoule de part et d'autre de lignes qui correspondent aux limites de différents bassins versants. Ces lignes sont appelées lignes de crête ou lignes de partage des eaux. On observera que l'eau qui ruisselle sur le bassin versant rejoint des ruisseaux, des rivières puis s'écoule finalement en mer, où le cycle naturel de l'eau se poursuivra avec l'évaporation, qui forme les nuages et dont les pluies ramèneront l'eau sur les terres. Un aspect du cycle naturel de l'eau reste difficilement visible sur ce type de maquette, il s'agit de l'infiltration d'une partie des eaux de pluie dans les sols (puisque le polystyrène une fois peint ou verni est imperméable). Mais l'ajout de quelques éléments sur la maquette (éponges, sable) permet d'aborder ce point.
    , sable) permet d'aborder ce point. <br/>)
  • Cours d'eau naturel et cours d'eau reprofilé  + (Une rivière est un milieu vivant et évolutUne rivière est un milieu vivant et évolutif. Même si elle est laissée sans aménagement, son tracé évoluera au gré des crues [1]. En effet, lorsque le cours d'eau prend de la vitesse (parce que la quantité d'eau augmente ou qu'elle s'écoule tout droit sans obstacles), il va venir grignoter ses berges. C'est ce phénomène tout à fait naturel qu'on appelle érosion. Au contraire, si un cours d'eau qui a pris de la vitesse doit ralentir brusquement, par exemple s'il arrive sur des méandres où l'eau s'écoule lentement, alors il va déborder. C'est ce qu'on appelle l'inondation. Ici, les tuiles ''Biodiversité'' représentent les poissons migrateurs qui remontent les rivières pour se reproduire. C'est le cas des saumons, par exemple. Ceux-ci vivent leur vie en mer et remontent depuis l'embouchure jusqu'aux petits ruisseaux qui ont formé le fleuve pour se reproduire. Cependant de nombreux ouvrages comme des seuils ou des barrages hydro-électriques peuvent les empêcher de remonter jusqu'aux zones où l'eau est la plus pure pour y établir leur descendance [2]. pure pour y établir leur descendance [2].)