Recherche par propriété

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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Observations » avec la valeur « Les différentes techniques de pêche n'ont pas toutes le même impact et la même efficacité. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 97 résultats à partir du n°1.

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Liste de résultats

    • L'épervivier  + (Les différentes techniques de pêche n'ont pas toutes le même impact et la même efficacité.)
    • Tri'n'Win (ludicité)  + ("Les déchets sont un frein à l'appropriati"Les déchets sont un frein à l'appropriation de l'espace public", tel est le constat de départ du groupe. Dès lors, comment inciter les gens à ramasser les déchets ? En valorisant le geste éco-citoyen ! Tri'n'Win est une poubelle connectée permettant de gagner des "wins" en fonction du poids et du type de déchets jeté. La borne comporte une unique entrée et un système (optique ?) effectuera le tri (cela n'a cependant pas encore été solutionné). Un système de compte permet via un QR code d'accumuler des points pour obtenir diverses récompenses, telles que des titres de transport (coucou ZenBus), des réductions chez des commerçants, du temps de stationnement gratuit sur l'espace public etc. Un système invité (avec un QR code unique à récupérer sur le côté de la borne) permet d'obtenir tout de même des récompenses sans s'inscrire. Le système est prévu pour être intégré à la borne de collecte mais il a été envisagé d'avoir un système "extérieur" qui puisse se fixer sur les bornes existantes. Il cible en priorité le littoral des départements 06, 83 et 13 mais il peut être adapté à certaines contraintes de lieux (montagne).
      Mention spéciale créativité : lors du prototypage, le groupe n'avait pas de balance à disposition. Ils ont donc contourné le problème en utilisant des panneaux solaires comme capteurs : moins l'intérieur de la poubelle reçoit de lumière, plus elle est obstruée ! Il est donc facile d'estimer quand il est temps de la vider. Un bel exemple de créativité !
      er quand il est temps de la vider. Un bel exemple de créativité !</div> </div>)
    • Zen bus (ludicité)  + ("Zen bus" souhaite créer un espace zen, dé"Zen bus" souhaite créer un espace zen, détente et bien-être dans la partie arrière des grands bus réguliers du centre-ville marseillais. Cet espace serait accessible sur abonnement (5€/mois) ou gratuitement auprès de certains commerçants partenaires. Il vise prioritairement les publics à mobilité réduite (femmes enceintes, personnes âgées) mais est ouvert à toutes et tous. L'espace serait physiquement délimité avec des sièges confortables, inclinables, chauffants... Les partenaires visés sont des commerçants travaillant dans le secteur du bien-être. Par l'intermédiaire d'une borne interactive (quizz), il serait possible de gagner un titre d'accès unique. Le projet se destine à certaines lignes de bus spécifiques plutôt qu'à être étendu à l'ensemble du réseau.t qu'à être étendu à l'ensemble du réseau.)
    • Tache aveugle  + ( # Lors de la première étape de la manipul # Lors de la première étape de la manipulation, tu as dû constater qu'à mesure que la feuille approche de ton visage le point vert disparaît soudain, puis réapparaît à nouveau lorsque la feuille s'approche un peu plus. # Lors de la deuxième étape, c'est le point rouge qui cette fois-ci disparaît puis réapparaît alors que tu fixes le point vert. # Lors de la troisième étape, la feuille n'est plus horizontale puisque tu l'as orientée différemment, et les deux points ne sont donc plus alignés. Cette fois, tu distingues nettement les deux points et aucun des deux ne disparaît alors que tu approches la feuille de ton visage. # Lors de la quatrième étape, tu as colorié une tache autour de chaque point, d'une couleur différente de celle du point. Lorsque tu approches la feuille en fixant le point rouge, ton œil ne distingue plus qu'une tache rouge à la place du point vert. Même chose pour la tache verte lorsque tu changes d’œil. ur la tache verte lorsque tu changes d’œil. )
    • Fleurs et insectes pollinisateurs  + ('''<u>Étape 3</u>''' <u&g'''Étape 3''' On observe que : *il n’est pas toujours possible de récupérer le nectar de toutes les fleurs avec tous les insectes (les pailles ne touchent parfois pas le fond des pots-fleurs) ; *la gouache ou la craie se dépose sur la bouteille quand l’insecte vient boire le nectar ; *après le passage des différents insectes, les fleurs sont recouvertes d’un mélange de gouache ou de craie. '''Étape 4''' On observe que : *les fleurs ont des formes, des tailles et des couleurs différentes ; *les insectes ont des tailles différentes, et des appareils buccaux (trompes…) qui ne sont pas de la même forme ni de la même longueur ; *le pollen se colle sur les poils de l’insecte. de la même forme ni de la même longueur ; *le pollen se colle sur les poils de l’insecte.)
    • Les besoins des végétaux  + ('''Pot témoin :''' les feuilles sont bien '''Pot témoin :''' les feuilles sont bien vertes et fermes, les fleurs ne sont pas fanées elles sont épanouies, s’il y a des bourgeons on peut les observer éclore petit à petit. '''Expérience 1''' : la feuille entourée de papier et de scotch a perdue sa couleur, de sa fermeté, il est même possible qu’elle tombe et se détache du reste de la plante. Elle est morte. '''Expérience 2 :''' les fleurs sont fanées, les feuilles perdent peu à peu leur couleur verte et deviennent jaune voir même avec le temps marron, elles ne sont plus fermes, deviennent molles.es ne sont plus fermes, deviennent molles.)
    • MAÏZENA : FLUIDE OU SOLIDE ?  + ( * Si on remue vivement le mélange, le mélange maïzena-eau aura tendance à se solidifier. * Si au contraire on enfonce doucement un doigt, ce même mélange aura tendance à se liquéfier. )
    • Concurrents ou associés dans le milieu marin  + (1- Les espèces forment un réseau, elles so1- Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si une espèce du réseau trophique est fragilisée, c’est le réseau entier qui peut être impacté. 2- L’humain joue ici un rôle important, pouvant apparaître comme un prédateur (pêche, collection, …), comme un perturbateur (changement climatique, surconsommation des ressources…) mais aussi comme un protecteur du milieu (mise en place de réserves naturelles marines, protection des espèces…)turelles marines, protection des espèces…))
    • Piéger la faune du sol  + (<big>Grâce aux pièges Barber, on peuGrâce aux pièges Barber, on peut observer : *qu’il existe une grande diversité de petits animaux du sol, dont on ne soupçonnait pas l’existence pour certains ! Pourtant, chacun joue '''un rôle très important''' '''dans le''' '''fonctionnement de nos sols''' !         *que la quantité et la diversité des petits animaux du sol que l’on récolte dans ces pièges barber peuvent fortement varier d’un piège à l’autre, même dans un même jardin, selon l’heure, le lieu (près d’un potager, d’une haie, au milieu de l’herbe...).ès d’un potager, d’une haie, au milieu de l’herbe...).)
    • Il fait tout noir dans l'espace  + (<u>Expérience du verre de lait</uExpérience du verre de lait : Les molécules de lait dévient la lumière et diffusent la couleur bleue dans tout le verre. Expérience du mur noir : La couleur noire absorbe toutes les longueurs d'onde de la lumière blanche. Expérience du ballon à étoiles : L'univers est en expansion permanente. Les étoiles s'éloignent les unes des autres.vers est en expansion permanente. Les étoiles s'éloignent les unes des autres.)
    • Observer la faune d'un bloc de sol  + (<u>Grâce au bloc de sol, on peut obsGrâce au bloc de sol, on peut observer : * qu’il existe une grande diversité de petits animaux du sol, dont on ne soupçonnait pas l’existence pour certains ! Pourtant, chacun joue un rôle très important dans le fonctionnement de nos sols ! * que la quantité et la diversité des petits animaux du sol que l’on récolte dans le sol peuvent varier d’un bloc de sol à l’autre, même dans un même jardin, selon l’heure de récolte et le lieu (près d’un potager, d’une haie, au milieu de l’herbe...).ès d’un potager, d’une haie, au milieu de l’herbe...).)
    • Biodiversité - Diversité des individus  + (<u>On observe que :</u> *nouOn observe que : *nous partageons des points communs avec l’ensemble de nos ami·e·s et des membres de notre famille : une tête, des cheveux, deux oreilles, un nez… *nous avons des ressemblances ou des différences selon nos ami·e·s et les membres de notre famille : couleur des yeux, forme de cheveux, du nez… *même si nous avons des points en commun avec d’autres personnes (même couleur des cheveux, des yeux…), on présente avec ces mêmes personnes aussi des différences sur d’autres critères.personnes aussi des différences sur d’autres critères.)
    • Découvrir une espèce menacée : le panda  + (<u>On observe que </u>: *Le On observe que : *Le panda est un animal en danger ; *Les activités humaines sont à l’origine de toutes les menaces qui mettent en péril la survie de l’espèce ; *l’humain peut aussi mettre en place des mesures de protection efficaces pour sauver les pandas ; *les populations de pandas ré-augmentent doucement depuis quelques années.pandas ré-augmentent doucement depuis quelques années.)
    • Découvrir les habitants du sol  + (<u>On observe que les habitants du sOn observe que les habitants du sol sont très diversifiés : *on trouve des animaux, des végétaux, des micro-organismes tels que les champignons et les bactéries ; *ils présentent des tailles très différentes ''(du microscopique à des animaux de plusieurs décimètres)'' et des couleurs différentes ; *ils ne vivent pas tous au même endroit ''(dans le sol, en surface, larve dans le sol et adulte en surface…)(on en retrouve certains dans d’autres milieux également, comme les araignées par exemple) ;'' *ils ne sont pas tous spécifiques du sol ; *ils ne mangent pas tous la même chose ''(certains mangent des animaux, d’autres des végétaux, morts ou vivants, d’autres des micro-organismes…).'', morts ou vivants, d’autres des micro-organismes…).'')
    • Concurrents ou associés dans le sol  + (<u>On observe que</u> : <On observe que : Étape 3 : 2 - Les débris végétaux sont mangés par les fourmis, qui sont mangées par les araignées, elles-mêmes mangées par les poules ; 3 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, qui sont eux-mêmes broutés par les collemboles, mangés par les carabes, mangés par les hérissons ; 4 - Les débris végétaux sont mangés par les bactéries décomposeurs, mangées par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les carabes, mangés par les poules ; 5 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, mangés par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les fourmis, mangées par les hérissons. Étape 4 : Les organismes vivants se mangent les uns les autres. Reliées entre elles, les 5 chaînes alimentaires forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte.''' Ce premier réseau, dit trophique, est basé sur des relations alimentaires, de prédation.''' Étape 5 : 1 - Les fourmis et les cloportes ''platyarthrus blancs'' ont une relation positive/neutre (+/0) '': on parle de commensalisme.  '' 2 - Les racines des salades et les vers nématodes ''pratylenchus'' ont une relation positive/négative (+/-) '': on parle de parasitisme.'' 3 - Les spores des champignons et les vers de terre ont une relation positive/neutre (+/0) : on parle de ''commensalisme, et même ici de phorésie : interaction neutre / positive liée à la notion de transport.'' 4 - Les racines des arbres et les champignons mycorhizes ont une relation positive/positive indissociable (+/+) : ''on parle de symbiose.'' 5 - Les hérissons et les bactéries de l'intestin ont une relation positive/positive parfois dissociable (+/+) : ''on parle de'' mutualisme. Étape 6 : - Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si un maillon du réseau vient à disparaître, ce sont les espèces voisines, puis au final l’ensemble du réseau qui sera impacté et modifié, amenant parfois à la disparition d'espèces associées (on parle alors de co-extinction). Bien connaître ces réseaux permet de comprendre comment fonctionne la vie sous terre, donc mieux la protéger. - L'humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu.turbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu.)
    • Radio Onde  + (=== 1. Radio Équipée d'un Écran ou d'une I=== 1. Radio Équipée d'un Écran ou d'une Interface Visuelle === * '''Affichage en Temps Réel''' : L’écran de la radio montre les différentes fréquences d’ondes électromagnétiques captées sous forme de graphiques ou de barres. Les utilisateurs peuvent voir immédiatement l’intensité et le type des ondes présentes. * '''Indicateurs Lumineux''' : Des LEDs changent de couleur en fonction de l’intensité des ondes, offrant une visualisation intuitive de la densité électromagnétique dans l'environnement. === 2. Ambiance Sonore Varie Selon l'Environnement === * '''Sons Adaptatifs''' : La radio émet des sons qui varient en fonction des ondes captées. Dans un environnement urbain, les sons sont plus dynamiques, tandis qu’un espace plus calme génère des tonalités plus douces. * '''Expérience Immersive''' : Les utilisateurs entendent des variations sonores qui reflètent la présence d'ondes électromagnétiques, les incitant à prendre conscience de leur environnement technologique. chnologique. <span class="hidden"></span>)
    • Le jeu de Simon  + (C'est tout simple, on commence le jeu en aC'est tout simple, on commence le jeu en appuyant sur le premier bouton, on mémorise bien la suite de couleur et une fois qu' elle est finis on presse les boutons dans le bonne ordre. Si la suite à bien été recopiée toutes les leds vont clignoter une fois dans le cas contraire elles vont clignoter 3 fois, vous avez perdu !s vont clignoter 3 fois, vous avez perdu !)
    • Cyanotype : La photo qui fait bronzette  + (Ca devient bleu!!! Plus précisément, la Ca devient bleu!!! Plus précisément, la feuille reste jaune sous les zones couvertes par un objet, et est devenue bleue sur les zones exposées au soleil. Selon les objets choisis, nous aurons toutefois des nuances. Avec des végétaux par exemple, des UV auront pu traverser les feuilles, et laisseront une empreinte plus claire sur le support. Avec certains objets en verre on pourra même obtenir du relief. Pour un objet opaque, l'empreinte sura plus nette. On observe également, que même les ombres des objets laissent des trâces.les ombres des objets laissent des trâces.)
    • Le jeu du vivier : la gestion d'un bien commun  + (Ce jeu aborde le sujet de l'exploitation dCe jeu aborde le sujet de l'exploitation des biens communs, notamment les conditions qui évitent de se retrouver en situation de surexploitation d'une ressource accessible à tous. Par exemple, si tout le monde pêche 3 poissons à chaque tour, le vivier n'a pas le temps de se régénérer : les poissons se reproduisent moins vite que la vitesse à laquelle on les pêche. Il y a donc une surexploitation de la ressource, qui conduit à sa disparition. Ce jeu présente un dilemme : du point de vue de la collectivité, il est souhaitable que chacun fasse preuve de retenue dans la pêche pour ne pas épuiser le vivier. Mais d'un point de vue individuel, il faut en pêcher le plus possible afin d'assurer un revenu pour faire vivre sa famille. Prendre des décisions en commun est un processus difficile, dont la mise en pratique soulève souvent de nombreuses questions. Dans le monde réel, les participants à des conférences internationales se heurtent aussi à ce genre de problèmes. Les joueurs peuvent expérimenter les processus qui provoquent des changements de comportements : -'''négociations entre particuliers''' : le groupe accepte d'exploiter un bien commun selon des règles négociées qui garantissent l'équité et l'accès à la ressource et sa durabilité (renouvellement). -'''limitation de l'exploitation''' : par '''quota''' (impose une quantité ou un volume maximal par pêcheur), par '''sélectivité''' (mise en place de normes pour les outils d'exploitation de la ressource, par exemple taille ou âge de la capture), ou par licence (seul un nombre strictement défini de pêcheurs peut accéder à l'exploitation); - '''introduction de frais/taxes''' : pour empêcher une surexploitation/surconsommation, on peut rendre l'utilisation du bien plus chère, donc moins attrayante, en prélevant de taxes d'incitation (devoir payer un poisson pour 3 pêchés par exemple).n (devoir payer un poisson pour 3 pêchés par exemple).)
    • L'acidification de l'océan  + (Cette expérience illustre ce qui se passe Cette expérience illustre ce qui se passe en grandeur nature dans les océans, même si heureusement, c'est de façon bien moins prononcée ! Les activités humaines utilisent des énergies fossiles (énergies produites par la combustion du charbon, du pétrole ou du gaz naturel), impliquant le rejet de CO2 dans l'atmosphère, ce qui entraîne une acidification progressive des océans. Avant le début de l'ère industrielle, le pH des océans s'élevait à 8,16. Aujourd'hui, il n'est plus qu'à 8,05. Au rythme actuel d'émission de CO2 dans l'atmosphère et donc d'absorption par les océans, le pH des océans en 2100 devrait descendre aux environs de 7,8 et de 7,3 près des pôles. Même si les océans seront toujours globalement basiques, cela représente un triplement de leur acidité moyenne, ce qui ne s'est pas vu depuis plus de 20 millions d'années ! Et ça a forcément des conséquences sur la biodiversité marine...conséquences sur la biodiversité marine...)
    • Illustrer l'acidification des océans et identifier ce qu'est un bioindicateur  + (Comme nous, l'océan respire. Seulement, quComme nous, l'océan respire. Seulement, quand nous aspirons de l'oxygène (o2) pour expirer du dioxyde de carbone (Co2), l'océan fait l'inverse ! Il transforme ce Co2 en O2 ! Seulement, avec les dégagements de gazs à effet de serre et les autres polluants atmosphériques, la concentration de C02 présente dans l'océan devient progressivement trop forte, ce qui à pour conséquence d'acidifier petit à petit l'eau en augmentant son PH (Potentiel hydrogène). Dans notre expérience, le chou rouge représente l'eau de la mer, qui change de couleur en présence de vinaigre (acide). La réaction entre le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude produisant du CO2, on observe que ce gaz colorie exactement de la même manière (en rose) notre jus de chou rouge. On peut donc également utiliser nos poumons pour colorier notre jus de chou rouge, puisque nous expirons du Co2 ! La craie ou le coquillage à dissoudre dans le vinaigre des bioindicateurs, puisqu'ils réagissent à une altération de leur environnement !t à une altération de leur environnement !)
    • Dessine sur ta fenêtre.  + (D'une fenêtre à l'autre, le profil tracé n'est pas le même. Si les fenêtres donnent de 2 côtés différents, on bénéficie d'un champ de vision plus large.)
    • Canette renversée  + (Dans le premier cas, la canette ne tient pas sur son arête. Avec l'eau, la canette reste en position, même lorsqu'on la fait tourner sur elle même. Son inclinaison par rapport à la table ne change pas.)
    • Attention, ça déborde !  + (En cas de crue ou de forte pluie, le coursEn cas de crue ou de forte pluie, le cours d’eau déborde de son lit mineur pour s’étendre sur une partie ou sur la totalité du lit majeur. Cela peut compliquer les activités se déroulant dans ces espaces. Certaines peuvent se déplacer sans grande difficulté (la navigation, la pêche, la randonnée, l’élevage d’animaux). Mais d’autres activités humaines pourront difficilement être déplacées, et dans ce cas les crues pourront causer des dégâts (cultures, habitations, constructions...).(cultures, habitations, constructions...).)
    • Réseaux de neurones  + (En décomposant une tâche complexe en pleins de tâches simples, on peut arriver à quelques choses de satisfaisant même avec une machine bête.)
    • S'initier aux sciences participatives sur le littoral  + (En fin d'activité, faire le bilan de chaquEn fin d'activité, faire le bilan de chaque groupe : - Combien d’espèces différentes d’algues ont été observées dans chaque quadrat ? Quelles algues brunes sont présentes ? - Combien d’espèces différentes d’animaux ont été observées dans chaque quadrat ? - Y-a t’il des points communs, des différences, ou des observations originales entre les différents quadrats ?originales entre les différents quadrats ?)
    • S'initier aux sciences participatives en ville  + (En fin d'activité, faire le bilan de chaquEn fin d'activité, faire le bilan de chaque groupe : - Combien d’espèces différentes de plantes ont été observées dans chaque portion de rue ? Quelles plantes ou quels types de plantes sont présents ? - Y-a t’il des points communs, des différences, ou des observations originales entre les différentes portions de rue étudiées ?les différentes portions de rue étudiées ?)
    • S'initier aux sciences participatives à la campagne  + (En fin d'activité, faire le bilan de chaquEn fin d'activité, faire le bilan de chaque groupe et comparer les observations : - Combien de groupes ou d’espèces différentes de pollinisateurs ont été observés ? - Combien d’individus au total sont venus dans chaque zone d’observation pendant les 10 minutes ? - Y-a t’il des points communs, des différences, ou des observations originales entre les différentes zones d’observation (quelles plantes présentes, une zone attire-t-elle plus de pollinisateurs que les autres, les espèces observées sont-elles les mêmes etc) ?èces observées sont-elles les mêmes etc) ?)
    • Disque de Secchi  + (En fonction du cours d’eau ou de la saisonEn fonction du cours d’eau ou de la saison, la profondeur de Secchi peut varier. Elle se mesure en mètres ou en centimètres. Si plusieurs mesures sont réalisées le même jour, on peut également récolter un échantillon d’eau à chaque lieu de mesure et comparer visuellement l’eau échantillonnée (on estime alors si l’eau est claire, ou plus ou moins trouble).eau est claire, ou plus ou moins trouble).)
    • Manger la tête en bas  + (Il est possible d'avaler un aliment solide ou liquide, même en ayant la tête en bas ! En mettant la main sur son cou, on sent les mouvements de l'œsophage qui acheminent la nourriture vers l'estomac.)
    • Les potes door  + (Il faut, dans un premier temps, cerner le Il faut, dans un premier temps, cerner le problème. Il est important de prendre en compte toutes les variables, les consignes et les problématiques posées. Il faut que tout les membres de l'équipe soient d'accord avec l'idée proposée. Les différentes solution techniques doivent-être vues et toute l'équipe doit en avoir connaissance sinon on peut tomber sur des désaccords au moment de la construction du prototype. La construction du prototype est importante. Nous avons fais le choix de laisser des espaces volontairement pour mettre en évidence les liaisons et les mécanismes.n évidence les liaisons et les mécanismes.)
    • Aspirateur à bestioles  + (L'aspiration qu'on provoque avec sa boucheL'aspiration qu'on provoque avec sa bouche à travers le tuyau et le bocal est suffisamment puissante pour capturer de petits animaux dans le milieu naturel. Ils atterrissent dans le bocal sans être blessés, on peut alors les observer facilement à l’œil nu ou avec une loupe. Grâce au la chasse à vue, on peut observer : *qu’il existe une grande diversité de petits animaux qui vivent sur le sol, dont on ne soupçonnait parfois pas l’existence ! Pourtant, chacun joue un rôle très important dans le fonctionnement de nos sols ! *que la quantité et la diversité des petits animaux du sol que l’on récolte sur le sol peuvent varier d’un lieu à l’autre, même dans un même jardin, selon l’heure de récolte, la météo et le lieu (près d’un potager, d’une haie, au milieu de l’herbe...).ès d’un potager, d’une haie, au milieu de l’herbe...).)
    • Glace douce, glace salée  + (L'eau du verre d'eau douce est bien gelée et a même débordé un peu. Dans le deuxième verre, l'eau salée n'est pas complètement gelée.)
    • Faire clignoter une LED  + (La LED Clignote ! Et la LED de la carte clignote de la même manière.)
    • Cartographie d'un bassin versant  + (La carte contient beaucoup d'informations.La carte contient beaucoup d'informations. Trop même ! Elle devient illisible lorsque l'on ajoute toutes les couches. Le rôle du géographe est de sélectionner les informations pertinentes pour mettre en avant des relations entre différents éléments tout en gardant de la lisibilité. La représentation des données dans l'espace est beaucoup plus accessible que sous forme de tableau. Ce type de représentation peut aider à la prise de décision dans la gestion du territoire.de décision dans la gestion du territoire.)
    • Faire tenir une voiture dans la main  + (La main et la voiture paraissent de la même taille et la voiture semble tenir dans la main.)
    • L'imperméabilité des sols  + (La pluie est absorbée par l'éponge humide La pluie est absorbée par l'éponge humide et s'écoule tout doucement en sortie de la barquette. Par contre, si l'éponge est gorgée d'eau, l'eau s'écoule dessus. On observe alors toute la pluie arriver à la sortie et ça déborde ! Si on arrose assez longtemps, l’éponge humide sature et n’arrive plus à retenir la pluie. Étonnamment, l'eau ruisselle sur l'éponge toute sèche. Celle-ci finit par s'humidifier et absorber l'eau, puis par saturer comme les deux autres. Enfin, quand on ajoute une couche étanche, quel que soit le sol en dessous, une grande partie de l’eau s’écoule directement jusqu’à l’estuaire. On remarque que l'éponge n'est pas plus mouillée qu'au début : l'eau n'atteint même pas le sol ! début : l'eau n'atteint même pas le sol !)
    • Coefficient de ruissellement  + (La pluie est absorbée par l'éponge humide La pluie est absorbée par l'éponge humide et s'écoule tout doucement en sortie de la barquette. Par contre, si l'éponge est gorgée d'eau, l'eau s'écoule dessus ! On observe alors toute la pluie arriver à la sortie et ça déborde ! Si on arrose assez longtemps, l’éponge humide sature et n’arrive plus à retenir la pluie ! Enfin, quand on ajoute une couche étanche, quel que soit le sol en dessous, une grande partie de l’eau s’écoule directement jusqu’à l’estuaire. On remarque que l'éponge n'est pas plus mouillée qu'au début : l'eau n'atteint même pas le sol ! début : l'eau n'atteint même pas le sol !)
    • POCL L'heure du tri : débarrasse toi !  + (Le POCL prend la forme d’un camion de recyLe POCL prend la forme d’un camion de recyclage en balsa, avec un design qui rappelle les camions de collecte des déchets de la ville. À travers une boîte en plexiglas située à l’arrière du camion, on peut apercevoir les éléments techniques du dispositif, tels que les LED, les câbles et l’ESP32, qui indiquent l'état d'ouverture du centre de recyclage.l'état d'ouverture du centre de recyclage.)
    • Ballon en lévitation  + (Le ballon se stabilise dans le flux d'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air]. On peut même orienter le flux d'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] (le sèche-cheveux), le ballon suivra !)
    • Création d'une voiture à propulsion élastique  + (Le fonctionnement de notre voiture est trèLe fonctionnement de notre voiture est très simple, tout d'abord une ficelle s'enroule autour d'un rapport manuellement en faisant tourner des roues, puis cette ficelle est elle-même attachée à un élastique qui va donc se tendre ainsi dès que nous allons arrêter de faire tourner les roues la tension accumulée sur l'élastique va dérouler la ficelle et donc faire tourner les rouesla ficelle et donc faire tourner les roues)
    • Propagation du son dans l'eau et l'air  + (Le même tapotement n’est pas entendu avec la même puissance. On entend le son plus fort dans le ballon d’eau.)
    • Parapluie japonais  + (Le parapluie japonais permet de capturer dLe parapluie japonais permet de capturer des petites bêtes : après avoir secoué les branches d’un arbre, les occupant.e.s de celle-ci se retrouvent sur le parapluie japonais. Selon le type d’arbres nous trouverons différentes espèces d’insectes et de petites bêtes, on peut y trouver des araignées, des punaises, des coccinelles ... Surtout n'oubliez pas de relâcher les petits bêtes à la fin de l'expérience!
      ts bêtes à la fin de l'expérience! <br/>)
    • L'épervivier  +
    • La fonte des glaces - 3e méthode  + (Les glaçons ont fondu. Dans le verre 1 (avec les pierres), le niveau d'eau a augmenté. Dans le verre 2 qui ne contenait que des glaçons, le niveau d'eau est resté le même.)
    • Mini-serre de fenêtre  + (Les graines (pas toutes) vont germer en quelques jours.)
    • Grande ours - quelle illusion  + (Lorsqu'on regarde à travers le trou de la Lorsqu'on regarde à travers le trou de la feuille de papier, on ne peut distinguer laquelle est la plus proche de nous. On suppose donc qu'elles sont toutes à la même distance de l'observateur, car la feuille nous empêche de voir les bases des pailles. Et donc perturbe nos repères. Cependant la vue de dessus nous prouve que les pailles sont éloignées les unes des autres.ailles sont éloignées les unes des autres.)
    • Grande Ourse : quelle illusion  + (Lorsque l'on observe la maquette du dessusLorsque l'on observe la maquette du dessus ou du côté, on ne reconnait pas de forme familière. Lorsqu'on regarde à travers le trou du tube en carton (ou d'une feuille roulée) avec un seul œil donc, on ne peut plus distinguer quelle est" l'étoile" la plus proche ou la plus éloignée de nous. On suppose donc qu'elles sont toutes à la même distance de l'observateur, car nous avons perdu la notion de trois dimensions, et on perturbe nos repères. Cependant les vues de dessus et de côté nous prouvent bien que les" étoiles" sont réparties dans les 3 dimensions de la maquette (hauteur, largeur, longueur). la maquette (hauteur, largeur, longueur).)
    • Diapason dans l'eau  + (Lorsque le diapason vibre et qu’on plonge l’une de ses deux membranes dans l’eau, on peut percevoir une onde se propager à travers l’eau, voire même, voir l’eau tressauter. Il est même possible d’entendre un léger son lorsque l’onde se propage.)
    • Tout est question de densité  + (Lorsque tous les produits ont été ajoutés Lorsque tous les produits ont été ajoutés doucement à l’aide du pic à brochette, on observe 6 couches différentes. Si tu n’observes pas '''6 couches différentes''' c’est que certains produits se sont mélangés. Le pic à brochette utilisé lors de l’expérience permet de verser doucement les produits afin d’éviter un trop gros mélange qui pourrait permettre à certains produits dont la densité est proche de se mélanger.ns produits dont la densité est proche de se mélanger.)
    • Bon état écologique  + (L’assemblage des différentes définitions permet de comprendre la notion de bon état écologique.)
    • Marche comme l'australopithèque  + (Notre colonne vertébrale a une forme de "SNotre colonne vertébrale a une forme de "S'". Cela permet de nous tenir droit, debout. Elle soutient notre tête et notre cage thoracique. Elle nous permet de faire courber notre dos. Où commence-t-elle et où finit-elle ? Où sont les "creux" et les "bosses" du 'S' ? En observant le squelette du singe, celui-ci a une colonne plutôt en forme de "C" ou d'arc de cercle. Cela rend le singe penché vers l'avant et donc pas droit. On remarque également une différence sur la forme du bassin. Le bassin de l'Homme est plus court en hauteur et plus large que celui du singe. Les fémurs (os longs colorés en jaune sur la 3e image) n'ont pas la même inclinaison à partir de l'articulation du bassin. Aussi, le singe a des bras plus longs que ses jambes, ce qui n'est pas le cas du squelette humain.
      Tu peux le vérifier en mesurant tes bras.
      La longueur des bras du singe rend l'avant de son corps plus lourd et lui rend plus difficile de se tenir debout car il penche en avant. Le singe peut marcher sur 2 jambes pendant quelques instants mais cela lui demande beaucoup d'efforts car son corps n'est pas adapté à une posture verticale prolongée. Sur la 3e image, on peut voir que la forme du bassin et l'inclinaison des fémurs de l'australopithèque sont plus proches du squelette humain que du squelette du singe. La partie inférieure du squelette de l'australopithèque paraît proche de celle de l'humain, mais on remarque qu'en suivant les traces de pas du site archéologique de Laetoli, la démarche n'est pas la même et il n'est pas si aisé de l'imiter (en tout cas, pas sur des kilomètres).
      est pas la même et il n'est pas si aisé de l'imiter (en tout cas, pas sur des kilomètres).)
    • Observation des arbres autour de chez toi  + (Nous avons pu remarquer que les arbres n’ont pas tous la même forme, la même taille, la même écorce et les même feuilles… On parle de diversité des essences. <br/>)
    • Calculer l'âge d'un arbre  + (Nous comprenons que les arbres de chaque eNous comprenons que les arbres de chaque essence pousse de manière différente en fonction des contraintes qui les entourent. Ce qui est remarquable à travers les cernes et leurs couleurs. Donc chaque essence d’arbre peut avoir la même taille, mais pas forcément le même âge et vice-versa.s pas forcément le même âge et vice-versa.)
    • Projet planétarium  + (Nous observons un mécanisme complexe formaNous observons un mécanisme complexe formant un planétarium. Sur cet objet nous observons 3 planètes miniaturisées et alignées : Mercure, Vénus et la Terre (avec son satellite : la Lune) qui gravitent autour de notre étoile, le Soleil . Plus concrètement, il s'agit d'un axe posé sur une structure avec des plateaux ronds de différentes tailles qui tournent autour de cet axe de différentes hauteurs.autour de cet axe de différentes hauteurs.)
    • Dessine moi un arbre  + (Nous pouvons remarquer qu'il y a beaucoup Nous pouvons remarquer qu'il y a beaucoup de possibilités de représenter un arbre, que ce soit en hiver, en été, avec des feuilles, sans feuilles, avec ses racines, un arbre de toutes les formes! Nous avons chacun notre manière de le dessiner, ou de le prendre en photo.de le dessiner, ou de le prendre en photo.)
    • Propagation des ondes dans des milieux différents  + (On a l'impression que le pic est cassé en trois parties différentes : les "cassures" se situent au niveau des changements de milieu :entre l'air et l'huile et entre l'huile et l'eau.)
    • Propagation de la lumière dans différents milieux  + (On a l'impression que le pic est cassé en trois parties différentes : les "cassures" se situent au niveau des changements de milieu : entre l'air et l'huile et entre l'huile et l'eau.)
    • Marteau en règle !  + (On constate que l'angle de chute du sable est compris entre 30° et 40°. Cela est valable pour toutes les formes obtenues.)
    • Photos mystères au microscope USB  + (On constate que les différentes matières sOn constate que les différentes matières sont assez facilement distinguables : le carton et le papier contiennent des fibres visibles, la surface des végétaux a des cellules, le métal présente une surface lisse brillante et rayée… Il est aussi intéressant de noter les erreurs qui sont faites par les enfants : certaines matières, pourtant très éloignées, peuvent parfois se ressembler, car les formes se répètent dans la nature (exemple : surface de coquillage et empreinte digitale).face de coquillage et empreinte digitale).)
    • Décomposition d'une feuille au sol  + (On observe que la feuille est dégradée parOn observe que la feuille est dégradée par étape par différents organismes vivants du sol, de différentes tailles, et qu’ils n’ont pas tous les mêmes fonctions et n’interviennent pas tous au même moment dans la dégradation de la feuille.''' D’où l’importance de leur diversité ! ''' D’où l’importance de leur diversité ! ''')
    • POCL Pokou  + (Quand on appuie sur le bouton, le POCL clignote trois fois. Tous les POCL pokou luisent en même temps de la même manière.)
    • Fabrication d'un composteur  + (Tout au long du compostage de tes déchets,Tout au long du compostage de tes déchets, tu observeras différentes choses à différents moments. Voici la liste de ce que tu verras : *Jus brun qui s'accumule dans la soucoupe *Différents organismes comme des cloportes, des larves etc... *L'apparence de tes déchets qui changera au fil des jours tes déchets qui changera au fil des jours)
    • Classification du vivant marin  + (Toutes les espèces ont un ancêtre commun eToutes les espèces ont un ancêtre commun encore inconnu (LUCA) et l'évolution a fait apparaître différentes branches distinctes. Aujourd'hui, certains caractères communs peuvent permettre de faire des liens de filiation entre les espèces (les pinces chez les crustacés, le cartilage chez la raie et la roussette, etc).tilage chez la raie et la roussette, etc).)
    • Comprendre une interaction et simuler la chaîne alimentaire marine  + (Une interaction désigne l'ensemble des échUne interaction désigne l'ensemble des échanges entre les espèces. Elle peut être positive pour les deux (mutualisme), ou positive pour l'un mais non pour l'autre (prédation). La chaîne alimentaire est remplir d'interactions (prédation), et on observe que toutes les espèces comprises dans cette chaîne sont interdépendants : si il y en a qui disparaissent, d'autres seront directement impactées, et vice versa.ront directement impactées, et vice versa.)
    • Table Kinetik  + (Une table design qui peut se plier et avoiUne table design qui peut se plier et avoir un système kinétique. Une table basse que on pourrait installer partout chez soit ou même une table pour un piquenique. Mais on observe aussi la conception et l'exécution de notre projet a l'école et a l'atelier pour avoir un produit final et la modélisation de notre pièce catia pour l'assemblage de la table.pièce catia pour l'assemblage de la table.)
    • Voiture à propulsion élastique  + (Voiture élastique: En reculant la voiturVoiture élastique: En reculant la voiture, l'élastique s'enroule autour de l'axe, celui est alors tendu. Une fois la voiture lâchée, l'élastique se détend et se déroule de l'axe, ce qui crée une propulsion . Voiture ressort : Même principe pour la voiture avec le ressort. Il s'enroule et se tend avec l'axe qui tourne. Dès qu'on lâche la voiture, il revient à sa position initiale et fait ainsi tourner l'axe.tion initiale et fait ainsi tourner l'axe.)
    • Quelques exemples d'illusions d'optique  + (Étape 1: Les cases A et B semblent de coulÉtape 1: Les cases A et B semblent de couleurs différentes (une plus sombre que l'autre) mais elles sont en fait exactement de la même couleur. Étape 2: Les cercles semblent tourner mais en fait, l'image reste fixe. Étape 3: Cet escalier est infini, c'est ce qu'on appel communément un "objet impossible". Étape 4: Les différents éléments sont soit de la même taille, soit parallèleont soit de la même taille, soit parallèle)
    • Diversite et ressemblance  + ('''<u><big>Etape 1 / différenc'''Etape 1 / différences et ressemblances visibles et invisibles'''

      Nous constatons que :

      * chaque humain se différencie des autres par des critères visibles (taille, couleur de peau, forme du nez, couleur des yeux, forme et couleur des cheveux...) et invisibles (groupe sanguin),
      * vus de l'intérieur, nous sommes quasi toutes et tous pareils : même couleur et quantité de sang, mêmes os et organes placés aux mêmes endroits du corps : nous sommes toutes et tous organisés de la même façon.

      À qui appartient cette partie du corps, cet organe ou cet os ?
      À qui appartient cette partie du corps, cet organe ou cet os ?



      '''Etape 2 / biologiques ou culturelles ?'''

      Nous remarquons que nos différences et nos ressemblances sont de deux ordres, elles peuvent être biologiques ou culturelles :

      * '''exemples de différences biologiques''' : sexe, taille, couleur de peau, couleur des cheveux, des yeux, texture des cheveux, forme des yeux, du menton, de la bouche, du nez, tâches de rousseurs...
      * '''exemples de différences culturelles''' : langues parlées, religions/croyances pratiquées ou non, coutumes familiales, manière de manger, de s’habiller, comportements...
      * '''exemples de ressemblances biologiques''' : sous notre peau, nous sommes toutes et tous constitués de la même façon (os, organes, sang, même organisation et même fonctionnement du corps, du cerveau...) ;
      * '''exemples de ressemblances culturelles, comportementales''' : nous apprenons toutes et tous à manger, à communiquer, à marcher, à s'asseoir, à parler...


      '''Etape 3 / quelle est la nature de nos différences ?'''

      Nous observons que les groupes d’individus ne sont pas les mêmes selon les critères énoncés. Nos différences ne permettent donc pas de fabriquer des groupes homogènes, identiques : dès qu’un critère change, cela change la composition du groupe. Ainsi nous ne pouvons pas réduire un individu à un seul critère (sa couleur de peau, son origine, sa religion...) pour le différencier de nous, car il est bien plus complexe et il a forcément de nombreux autres critères en commun avec nous.

      En proposant aux jeunes de créer une graduation de leurs couleurs de peau, nous cherchons à leur montrer qu’il y a une évolution continue de la couleur de la peau entre les personnes, et que nous ne pouvons pas séparer les personnes en différentes “races” => Nous faisons des catégories (les Blancs, les Noirs, les Jaunes, les non-Blancs...), alors qu’en réalité nous coupons dans des continuums de couleur de peau de façon arbitraire : à partir de quand pouvons nous considérer qu’une personne est “blanche”, “non-blanche”, “noire”... ?

      Il en est de même si nous réalisons l’activité avec la taille. Nous coupons dans des continuums de taille de façon arbitraire : à partir de quand pouvons-nous considérer qu’une personne est grande ou petite ?

      Nos différences sont souvent “continues”, il n’y a pas de frontières : nous changeons de façon continue, nous grandissons de façon continue, nous progressons dans les langues de façon continue...

      => créer des groupes, catégoriser entraîne la réalisation de coupures arbitraires dans ces continuums.

      Nos différences biologiques et culturelles devraient être sans conséquences sur les humains. Mais ce n’est pas le cas : certaines de ces différences, alors qu’elles sont dans un continuum, sont utilisées pour créer et faire des catégories, stigmatiser, rejeter, dominer... '''Pourquoi la diversité humaine est-elle source de préjugés pouvant alimenter la construction du racisme ?'''

      sées pour créer et faire des catégories, stigmatiser, rejeter, dominer... '''Pourquoi la diversité humaine est-elle source de préjugés pouvant alimenter la construction du racisme ?'''<br /><br/>)
    • Filtration de l'eau  + (- Les débris les plus grossiers comme les - Les débris les plus grossiers comme les brindilles et les plus gros cailloux sont bloqués par le filtre à gravier, le filtre à sable et le charbon actif ; - Le filtre à gravier laisse par contre passer la terre, le colorant et les odeurs ; - Le filtre à sable piège aussi en grande partie la terre, on voit que l'eau qui en sort est plus limpide ; - Quant au charbon actif, il ne piège pas la terre mais élimine une partie du colorant et des odeurs, même si c'est un peu plus difficile à distinguer ; - Lorsque l'on superpose les filtres, les graviers en haut, puis le sable, puis le charbon actif, on élimine mieux les différents types de « polluants ». ''N.B : vérifier que certains éléments ne se retrouvent pas bloqués au niveau des bouchons percés. Dans ce cas il faut considérer qu'ils n'ont pas été arrêtés par le matériau filtrant testé, mais simplement que les trous pratiqués dans le bouchons auraient dû être un peu plus gros (sans pour autant laisser passer les matériaux qui constituent le filtre !).'' matériaux qui constituent le filtre !).'')
    • Concurrents ou associés dans le milieu terrestre ? Les réseaux trophiques et réseaux alimentaires  + (- Les organismes vivants se mangent les un- Les organismes vivants se mangent les uns les autres. On remarque que les 5 chaînes alimentaires sont simples, linéaires. Ensemble, elles forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte. - Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si une espèce du réseau trophique est fragilisée, c’est le réseau entier qui peut être impacté. Suite à la destruction de la prairie et des ronces, les premiers maillons du réseau qui sont touchés vont modifier légèrement “la toile”. Puis au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau trophique (on peut alors parler de « de tensions sur la biodiversité »). - L' humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un prédateur (chasse, cueillette), comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu (mise en place de réserves naturelles, protection des espèces…).rves naturelles, protection des espèces…).)
    • Biodiversité - Diversité des espèces et des milieux  + (1- On observe que : *Les espèces, en gén1- On observe que : *Les espèces, en général, diffèrent d’un milieu à l’autre ; *On retrouve dans des milieux différents certaines espèces qui se ressemblent ; *L’humain est présent dans tous les milieux ; *Certains milieux sont plus riches en espèces que d’autres : ils hébergent plus d'espèces. 2 - On remarque que les milieux ont un point commun : '''ils accueillent tous la vie !''' Les milieux de vie décrits présentent cependant de grandes différences : *Certains sont marins, d’autres terrestres *Ils sont liés à des facteurs différents : la température et l’humidité (milieu chaud et humide ; chaud et sec ; froid), les vents, les courants marins, les reliefs, la nature des sols, et les différents organismes vivants qui y vivent. Dans ces milieux, les organismes vivants sont liés les uns aux autres à travers de très nombreuses relations (ils peuvent se manger, se protéger, se reproduire, se battre, s’entraider…). Ces organismes vivants interagissent aussi avec leur milieu (échanges gazeux, transfert de matières, filtration de l’eau...). Il existe des milieux de vie à toutes les échelles : de la goutte de yaourt et du camembert, aux intestins des animaux, au sol, aux villes, aux forêts tropicales ou même à l’ensemble de notre planète (appelée biosphère) !me à l’ensemble de notre planète (appelée biosphère) !)
    • Réparation électronique  + (====Cas fréquents==== ====='''La machine ====Cas fréquents==== ====='''La machine ne s'allume pas / aucun signe de vie'''===== Rappel : un circuit peut être résumé à une boucle, ça permet aux électrons de circuler ( ex : de base pile-inter-ampoule-autre borne pile). Dans le cas des machines électro-mécaniques (sans alimentation), la boucle peut être simplement ouverte à cause d'un composant. Câble sectionné, interrupteur ou connecteur corrodé/avec faux contact/débranché, fusible ou fusible thermique cramé, résistance chauffante cassée, fil de moteur cassé (rare). ====='''Les plombs sautent direct'''===== - De l'eau, du métal, ou autre, met en contact phase ou neutre avec la terre, ou phase avec neutre. On teste alors, machine débranchée, et interrupteurs allumés, en mesurant la résistance entre les 3 contacts de l'entrée de l'alimentation électrique, 2  à 2. Si on trouve dans au moins une des combinaisons, 0.0Ω, il y a un soucis. Si c'est avec la terre, le court-circuit se fait probablement avec une partie de la structure métallique. Sinon le circuit d'alimentation est en court-circuit, mais habituellement un fusible dans la machine doit sauter à la place du disjoncteur... Inutile de le remplacer tant qu'on a pas remplacé tous les composants morts en court-circuit ! ... - La machine (+les autres sur le même circuit) consomme(nt) plus que ce que le fusible au disjoncteur ou le contrat électrique ne le permet (Watts). ====='''L'eau ne coule plus'''===== Calcaire potentiellement dans tout le circuit d'eau => Faire fonctionner avec 50%vinaigre blanc + 50% eau, remettre le liquide quelques fois. Éventuellement faire tremper une pièce particulièrement bouchée dans du vinaigre blanc pur. ====='''La machine "tournante" ne tourne plus / "chauffante" ne chauffe plus'''===== L'hélice qu'entraine le moteur est peut-être collée => nettoyer à fond Si la résistance d'un moteur / de l'élément chauffant est infinie : *Un fusible thermique à pu sauter => le trouver, regarder la température *Le fil du moteur / de la résistance chauffante est peut-être cassé => remplacer la pièce avec une remplaçante identique
      ===== '''Batterie morte''' ( tension < ~80% de la tension nominale) ===== par exemple pour une cellule Li-Ion classique, 3.7V, elle commence a mourir à 3.2V. Ça varie en fpnction des types de batteries ( chimies ).
      => Trouver une remplaçante : Chercher "Marque" + model :"???" ( les trucs entre " ") En vérifiant les Volts et les mAh tu peux éviter de tomber sur des fakes. Genre y'aura pas plus que 1.5x les mAh que dans l'originale, et les V doivent être les mêmes. Faut quand même bien check qu'elle a la même gueule pour qu'elle puisse rentrer à sa place. /!\ Et si elle a des fils que tout soit identique, y compris le connecteur ( dans le doute on prendra une bayterie originale plutôt que de tout se faire péter à la figure).
      a une bayterie originale plutôt que de tout se faire péter à la figure).)
    • Un premier pas vers les sciences participatives avec Taxinome  + (===Quelques pistes de discussion si l'on s===Quelques pistes de discussion si l'on suit intégralement le protocole en groupe : === *'''Richesse spécifique''' : combien d’espèces ou de groupes différents ont été observés ? *'''Abondance''' : combien d’individus au total sont venus dans chaque zone d’observation (sur une même durée) ? *'''Comparaison entre zones''' : **Les mêmes espèces ont-elles été vues partout ? **Certaines zones attirent-elles plus de pollinisateurs que d’autres ? **Les plantes présentes semblent-elles influencer la fréquentation (fleurs riches en nectar, couleurs, diversité florale…) ? *'''Observations originales''' : y a-t-il eu des comportements particuliers, des espèces rares ou inattendues, des différences de taille/couleur dans un même groupe ? ===Ce que cela montre d’un point de vue scientifique : === *Les données brutes (observations de chaque groupe) prennent du sens '''lorsqu’elles sont comparées et mises en commun'''. *La biodiversité peut varier fortement selon '''l’habitat, les ressources disponibles, l’heure, la météo'''. *Observer et noter de façon rigoureuse permet de '''poser des hypothèses''' (ex. “les zones avec plus de fleurs colorées attirent davantage de pollinisateurs”).es attirent davantage de pollinisateurs”).)
    • Fiches défis Enquête santé  + (A la fin de la partie expérience, chaque gA la fin de la partie expérience, chaque groupe possède une part des informations (effet des canicules sur la santé, impact de l'acidification des océans sur les organismes calcaires et le stockage de CO2, risque allergiques lié à la pollution et à certains pollens, lien entre la protection des sols et les risques liés à l'eau, lien entre alimentation et santé environnementale). La présentation des expériences et la discussion en groupe entier permet de partager les connaissances acquises, puis de pouvoir débattre autour des solutions d'adaptation au changement climatique qui permettent de préserver notre santé.e qui permettent de préserver notre santé.)
    • Lumière, couleurs et chaleur  + (Après plusieurs minutes d’exposition aux rAprès plusieurs minutes d’exposition aux rayons lumineux, les différentes bandes de papier et d’aluminium n’ont pas la même température. Le papier est devenu plus chaud que l'aluminium, et les bandes coloriées en noir sont plus chaudes que celles de couleur claire. Les parties des bandes de papier qui étaient placées à l'ombre sont restées nettement plus froides que celles situées à la lumière. Les parties des bandes d'aluminium qui étaient dans l'ombre sont aussi chaudes que celles qui ont été placées à la lumière. D'autres matériaux, comme l'ardoise ou la pierre, sont devenus très chauds, y compris les parties situées à l'ombre., y compris les parties situées à l'ombre.)
    • Tous semblables mais tous differents !  + (Bien que présentant une morphologie communBien que présentant une morphologie commune (une tête, deux jambes, deux bras, deux oreilles, un nez...), les participants peuvent se différencier sur une multitude de caractères physiques comme la couleur des cheveux, des yeux, la présence de fossettes, la forme du nez, la taille... Et même au sein d'un même caractère, cheveux blonds par exemple, on constate que les individus aux cheveux blonds diffèrent fortement les uns des autres par une grande diversité d'autres caractères (taille, lobe des oreilles, couleur des yeux...)., lobe des oreilles, couleur des yeux...).)
    • Cours d'eau naturel et cours d'eau reprofilé  + (Ce n'est pas toujours évident d'anticiper Ce n'est pas toujours évident d'anticiper l'impact qu'auront nos aménagements sur le cours d'eau. En pensant résoudre un problème, on finit souvent par en créer un autre. Contrôler une rivière peut-être compliqué, voir contre-productif. On remarque qu'il est difficile de faire des choix. On ne peut pas laisser la rivière occuper tout l'espace avec ses méandres, mais on ne peut pas non plus tout canaliser. Il n'y a pas de bonne réponse en terme d'aménagement. Il faut à chaque fois essayer de concilier les usages et les besoins de la rivière. Certains aménagements peuvent avoir un gros impact sur le fonctionnement de notre cours d'eau. Un barrage, par exemple, implique d'inonder une partie du tronçon en amont et cause de l'érosion sur les tronçons en aval. Cependant, il permet aussi de prévenir les crues en aval et d'éviter que le cours d'eau ne se retrouve à sec lors des périodes les plus sèches.e à sec lors des périodes les plus sèches.)
    • Défi : l'eau monte !  + (Dans les différentes bassines, selon les aDans les différentes bassines, selon les aménagements et modifications réalisées et selon la hauteur d'eau, le sable peut être mouillé, voire emporté, ou au contraire rester sec. La "plage" peut en partie s'écrouler ou reculer. Les constructions (rouleaux de papier toilettes) peuvent progressivement présenter des infiltrations : l'eau pénètre dans les rouleaux de papier toilettes par le bas, l'eau mouille le papier). Les rouleaux de papier toilettes peuvent aussi pencher puis se renverser sous l'effet de la montée du niveau d'eau. Certaines réalisations peuvent empêcher les rouleaux de papier toilettes d'être renversés ou inondés, d'autres permettent de maintenir le sable en place malgré la montée du niveau de l'eau. Combien et quelles quantités de matériaux ont nécessité ces aménagements pour être efficaces ?ité ces aménagements pour être efficaces ?)
    • Pacte de l'eau  + (En changeant de pratiques agricoles ( sens des sillons, mise en place de haies bocagères, choix des espèces cultivées...), nous nous rendons compte qu'il est possible de réduire l'impact de l'agriculture sur la qualité des cours d'eau.)
    • EAU'pération adaptation  + (En général, le jeu est relativement difficEn général, le jeu est relativement difficile dans les premiers tours. En effet, les aléas climatiques sont subis, sans qu’il soit possible de s’adapter à court terme (les vulnérabilités ne commencent à descendre qu’à la fin du premier tour dans le meilleur des cas). Nous héritons du monde de nos prédécesseurs, de leurs choix et de leurs politiques d’adaptation. Cependant, il est nécessaire de commencer à s’adapter au changement climatique maintenant, car les effets de nos actions se feront sentir avec du délai (dû aux temps de mise en place des solutions d’adaptation). Naturellement, les solutions les plus intéressantes mises en place sont celles qui font baisser la vulnérabilité de plusieurs enjeux. Il est en effet important de prendre en compte le rapport efficacité / coût / délai dans nos choix d’adaptation. Certaines solutions prises à un certain moment ont pu être regrettées par la suite. On parle alors de mal-adaptation. Le concept de mal-adaptation est utilisé pour désigner un changement opéré dans les systèmes naturels ou humains face au changement climatique et qui conduit (de manière non intentionnelle) à augmenter la vulnérabilité au lieu de la réduire. Une situation de mal-adaptation correspond à l’une des situations suivantes : - Utilisation inefficace de ressources comparée à d’autres options d’utilisation (par exemple, le recours massif à la climatisation au lieu de l’investissement dans l’isolation). - Transfert incontrôlé de vulnérabilité d’un système à un autre, mais également d’une période à une autre. - Réduction de la marge d’adaptation future (mesures qui limitent la flexibilité éventuelle comme la plantation d’essences d’arbres à rotation longue). - Erreur de calibrage : sous-adaptation ou adaptation sous-optimale (par exemple, une digue de protection n’a pas été suffisamment rehaussée). ''Source [https://www.ecologie.gouv.fr/adaptation-france-au-changement-climatique#:~:text=de%20plan%20d%E2%80%99actions.-,La%20mal%2Dadaptation,-On%20utilise%20%C3%A9galement Ministère français de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires]'' Pendant le jeu, la principale contrainte est le fait de devoir choisir entre 8 solutions. Cette contrainte permet de mettre en lumière que pour bien s’adapter, il est nécessaire d’étudier un maximum de solutions afin de définir celles qui seront les plus adéquates. Ceci en analysant finement leurs avantages, inconvénients et coûts.sant finement leurs avantages, inconvénients et coûts.)
    • Transport et érosion : la dynamique des cours d'eau  + (L'eau s'écoule dans notre rivière en pâte L'eau s'écoule dans notre rivière en pâte à sel jusqu'en bas et elle emporte avec elle une partie des sédiments. Certains se laissent plus facilement transporter que d'autres. Selon la forme du lit, l'eau s'écoule plus ou moins vite à certains endroits. Les sédiments vont être emportés jusqu'en bas ou retomber là où l'eau ralentit. Lorsque qu'on enlève le bouchon de la bouteille pour simuler une pluie très forte et qu'on verse l'eau, le niveau de la rivière monte : c'est la crue. Encore plus de sédiments sont emportés et encore plus loin. Il se peut même que la rivière déborde de son lit ! Avec la modifications des régimes pluviométriques liés au réchauffement climatique, ces événements vont se produire de plus en plus souvent. vont se produire de plus en plus souvent.)
    • Le Labyrinthe Bocager  + (La continuité des haies bocagères dans lesLa continuité des haies bocagères dans les campagnes va permettre aux animaux qui vivent dans les bois de trouver leur nourriture. La faune a besoin que ses chemins (haies bocagères) soient interconnectés pour pouvoir se déplacer et aller se nourrir. Sans cela les animaux souffrent, meurent de faim, ou, dans les cas "moins graves", cessent de se reproduire. La continuité des haies bocagère est un élément déterminant pour le soutien à la faune sauvage. C'est vrai dans les campagnes, c'est également vrai dans les villes. Le morcellement des territoires des animaux sauvages est un élément majeur dans leur disparition. Or dans les écosystèmes toutes les espèces sont liées entre elles. En fragiliser certaines entraîne des disparitions massives.taines entraîne des disparitions massives.)
    • Liquide qui change de couleur  + (Le jus de chou rouge, violet au départ, chLe jus de chou rouge, violet au départ, change de couleur selon le produit avec lequel on le mélange. On obtient des couleurs différentes, selon le produit testé. Avec le jus de citron et le vinaigre, le mélange devient rose, avec le bicarbonate il devient bleu, avec la lessive, il devient vert ou vert-jaune, tandis qu’avec l’eau du robinet, il reste violet même s’il s’éclaircit légèrement. Si l’on mélange de l’eau de mer fraîche avec le jus de chou rouge, le mélange obtenu est bleuté à bleu. Si tu as essayé de souffler dedans avec une paille, tu peux voir que le gaz qui sort de tes poumons (CO2) est un peu acide aussi !

      gt;2</sub>) est un peu acide aussi !<br/> <br/>)
    • Équilibre d'un poisson  + (Le poisson qui a du poids au niveau du ventre reprend toujours sa position de départ tandis que l'autre poisson reste dans les différentes positions que tu lui proposes.)
    • Débattre sur l'adaptation au changement climatique  + (Les questions climatiques sont des questioLes questions climatiques sont des questions socialement vives, ouvertes et complexes. Débattre sur ces questions permet de mettre en avant le problème sans apporter de solutions toutes faites. '''Débat mouvant :''' Avec l'aide du groupe, les participants doivent affirmer leur positionnement. Ils ont également la possibilité d'être d'accord avec d'autres arguments tout en restant sur leur position. '''Concours de mauvaise foi :''' Dans cet exercice, les participants n’expriment pas leur opinion personnelle. En se forçant à chercher des arguments différents ou en décryptant des arguments entendus dans les médias ou dans leur sphère familiale, elle affinent leurs capacités de raisonnement et d’esprit critique. '''Cercle de Samoan :''' Ce format de débat permet à l'ensemble du groupe de prendre le temps d'écouter ce que les personnes ont a dire.
      r ce que les personnes ont a dire. <br/>)
    • Défi : lutter contre la sécheresse  + (Les résultats sont variables suivant les techniques utilisées.)
    • Défi : rafraîchir la ville  + (Les résultats sont variables suivant les techniques utilisées.)
    • Diagnostic Eau  + (Les usages réels de l'eau potable dans un bâtiment en fonction du comportement et des besoins de ses occupants et occupantes ainsi que des caractéristiques techniques des installations.)
    • Le château d'eau  + (Lorsque l'on ouvre la deuxième bouteille lLorsque l'on ouvre la deuxième bouteille l'eau coule dans celle-ci depuis la première jusqu'à obtenir le même niveau d'eau dans les deux bouteilles. Pour aller plus loin, lève une des deux bouteilles. L'eau coule à nouveau dans l'autre bouteille jusqu'à ce que les deux niveaux d'eau soient à la même hauteur (altitude) par rapport au sol.ême hauteur (altitude) par rapport au sol.)
    • Objet-langage du changement climatique  + (Nous ne vivons pas tous.tes le changement climatique de la même manière. Pour un même objet il est également possible d’y attribuer plusieurs sens.)
    • Memory pollen  + (Nous pourrions penser que toutes les espècNous pourrions penser que toutes les espèces sont bonnes à être dans nos villes. D'autant plus que l'une des actions d'adaptation au changement climatique est d'augmenter le couvert végétal dans les milieux urbains. Mais en fonction des espèces choisies, cela peut avoir un impact négatif sur la santé des riverains.
      négatif sur la santé des riverains. <br/>)
    • Fiche d'utilisation de la maquette du bassin versant  + (On observe que : *Phase 1 : Le bassin verOn observe que : *Phase 1 : Le bassin versant est constitué d'une source, d'un exécutoire, d'un cours d'eau principal et d'affluent. L'eau s'écoule dans les cours d'eau et chemine jusqu'à l’exutoire pour se rejeter dans l'océan. Lorsqu'il pleut, une partie de l'eau ruisselle sur les sols. *Phase 2 : La zone humide permet l'infiltration de l'eau : l'éponge se gorge d’eau et s’écoule dans la poche d’eau souterraine. On observe que cette eau ne ruisselle pas. *Phase 3 et 4 : Selon le module amovible placé sur la maquette, l’eau est retenue ou pas. Certains modules sont perméables et laissent s’infiltrer l’eau tandis que d’autres sont imperméables et favorisent le ruissellement. Certains aménagements sont naturels (ex : mare), d'autres artificiels (ex : bassin de rétention). *Phase 5 : L'activité humaine, notamment l'agriculture, a un rôle à jouer dans la gestion des inondations. Si les sillons des champs sont orientés perpendiculairement à la pente, ils retiennent plus d'eau, ce qui limite le ruissellement et permet d'arroser moins abondamment et moins régulièrement, et ainsi faire des économies en eau. Lorsque l'eau ruisselle, les polluants (pesticides par exemple), peuvent se déverser dans les cours d'eau et avoir un fort impact sur la biodiversité. avoir un fort impact sur la biodiversité.)
    • Un coup de pouce pour la biodiversité  + (Pour chaque type d'habitat, naturel ou urbPour chaque type d'habitat, naturel ou urbain, il existe un panel de mesures envisageables pour favoriser le retour et la protection de la biodiversité. Leur mise en place n'a pas forcément le même coût financier et humain ou la même efficacité, elle peut faire l'objet d'un débat entre élus et citoyens pour les mesures collectives, mais certaines mesures peuvent aussi être mises en place très simplement par chaque citoyen qui le souhaite.lement par chaque citoyen qui le souhaite.)
    • L'empreinte ecologique des aliments  + (Pour évaluer l'empreinte écologique de l'aPour évaluer l'empreinte écologique de l'alimentation, nous avons retenu 4 catégories : '''Les matières premières:''' Les ingrédients et les matières utilisées pour la fabrication du produit sont-ils nombreux? Faut-il beaucoup de surface pour les produire ou les extraire? L'emballage nécessite-t-il beaucoup de matière première? '''La transformation:''' D'après vous, est ce que la préparation du produit a nécessité beaucoup d'énergie? Laquelle? Combien de transformations y a-t-il eu pour arriver au produit final? '''Le transport:''' Le produit vient-il de loin? D'où vient ses ingrédients? Où a-t-il été transformé? Et a-t-il parcouru beaucoup de kilomètres pour être distribué dans les magasins? '''Le retraitement:''' Le déchet ou l'emballage est-il volumineux? Comment l'élimine-t-on? Faut-il beaucoup d'énergie pour le transformer ou le faire disparaître? Sa matière peut-elle être réutilisable à l'infini? Pour chaque catégorie, nous avons attribué, de manière symbolique, un nombre de jetons, représentant l'impact du produit. Le calcul de l'empreinte s'obtient en additionnant les différents jetons. Nous remarquons que l'empreinte est très différente d'un produit à un autre.t très différente d'un produit à un autre.)
    • Friction' Test  + (Durant la première phase du mouvement, on Durant la première phase du mouvement, on observe une bille subissant un accélération due à la force de rappel du ressort. En effet, suite à sa compression , le ressort va vouloir revenir vers sa position d'équilibre et donc s'étirer. De l'instant à partir duquel le levier est lâché à l'utilisateur jusqu'a l'instant pour lequel le ressort va passer par sa position d'équilibre, la plate-forme va être accélérée et ainsi de meme pour la bille. A partir de l'instant ou le ressort va passer par la position d'équilibre , la plateforme attachée au ressort va décellerer à cause de la force de rappel. Alors, la bille qui n'est pas directement attachée au ressort va décoller de la plateforme grace la vitesse accumulée lors de l'accélération. La bille entre alors dans seconde phase de mouvement: une chute libre avec vitesse initiale verticale.La bille va lors être soumis uniquement à son poids et à une force de frottement fluide. La bille va alors monter jusqu'à sa flèche puis chuter jusqu'au sol.usqu'à sa flèche puis chuter jusqu'au sol.)
    • Les Plans Chat Pains  + (L'objet est fonctionnel, il se déplie en planche à découper, se replie en étagère facilement et peut servir de rangements pour des objets de différentes tailles.)