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    • Ballon en lévitation  + ( * '''L'effet Venturi sur une aile d'avion * '''L'effet Venturi sur une aile d'avion''' : On remarque que le dessus d'une aile d'avion est bombé alors que le dessous est plat. Donc l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] qui passe au-dessus va plus vite que l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] qui passe en-dessous. Ceci crée une dépression sur le dessus et une surpression en dessous : ainsi l'avion est aspiré vers le haut. On parle de '''portance'''. * '''L'effet Venturi dans une formule 1''' : l'effet Venturi sert à coller la voiture au sol (on parle d'effet de sol), tout en évitant de présenter une trop grande résistance à la pénétration dans l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] de la voiture. * '''Les pales d'une éolienne''' sont entourées d'un anneau correspondant en fait à un Venturi, ce qui permet de canaliser et d'amplifier la force du vent. Ainsi on peut obtenir un courant constant. Ceci permet d'augmenter la production énergétique. * '''L'effet Venturi en montagne''' : L'effet Venturi existe aussi naturellement dans les vallées et au sommet des montagnes. En effet, lorsque l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] rencontre une vallée, il accélère pour conserver le même débit. De même, l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] a tendance à s'écraser au sommet d'une montagne et donc à accélérer. Certaines cheminées mettent à profit l'effet Venturi, ce qui permet d'augmenter leur tirage. Dans un autre domaine, la plupart des pistolets à peinture qui servent à projeter la peinture en fines gouttelettes fonctionnent eux aussi sur le principe du Venturi. nnent eux aussi sur le principe du Venturi. )
    • Téléphone sans électricité  + ( *Comment fonctionne le téléphone électriq *Comment fonctionne le téléphone électrique ? La voix du 1er interlocuteur fait vibrer dans le téléphone la membrane du microphone. Cette onde est ensuite convertie en signal électrique puis va être transmise (par un réseau ou des câbles) jusqu'au téléphone du 2nd interlocuteur. Ce second téléphone va convertir le signal électrique en onde sonore et nous permettre donc d'entendre le message.   *Si on colle son oreille sur le sol et que quelqu'un court à côté, on peut l'entendre. C'est une technique utilisée pour entendre un troupeau de chevaux au galop à une grande distance avant même de pouvoir les voir. *Notre propre corps vibre avec le son. Lorsque tu entends une musique avec des basses fortes, tu peux sentir ton corps être traversé par elles. *Nous pouvons voir les vibrations du son sur les membranes d'un haut-parleur. ons voir les vibrations du son sur les membranes d'un haut-parleur. )
    • Planète bleue  + (- Tu sais maintenant que les océans occupe- Tu sais maintenant que les océans occupent une grande majorité de la surface de notre planète. Tu t'en doutes, ils abritent une faune (les animaux) et une flore (les végétaux) très importante et particulière. Ce monde marin est encore méconnu et reste à découvrir. Toi aussi, tu peux partir à sa découverte en te renseignant et en explorant les océans, les mers et le littoral! - Tu sais maintenant repérer sur un globe ou une carte du monde un océan, un continent, un pays, sur une carte. Cela peut être utile pour se repérer quand on part en voyage dans des lieux que l'on ne connait pas ! Désormais, si tu veux aller de la France au Canada, tu sauras qu'il y a l'océan atlantique à traverser, et qu'il te faudra donc prendre l'avion ou le bateau et que le voyage va être long en bateau ou en avion ! - Tu peux utiliser le système de gâteau et de parts, qu'on appelle aussi camembert) dans ta vie de tout les jours. Par exemple tu te demande quelle est la couleur d'yeux majoritaire dans ta famille: dessines un gâteau avec une part pour chaque personne de ta famille puis colorie en bleu les parts des membres de ta famille qui ont les yeux bleus, en vert les parts de ceux qui ont les yeux verts et en marrons les parts ceux qui ont les yeux marrons. Tu te rendra compte rapidement de la couleur d'yeux qui l'emporte dans ta famille!leur d'yeux qui l'emporte dans ta famille!)
    • Objet qui réapparaît  + (Avez vous déjà essayé de toucher avec un bAvez vous déjà essayé de toucher avec un bâton un poisson dans une rivière ? Difficile de l'atteindre... Le poisson n'est pas là où on le pense. Ce phénomène est aussi visible à la piscine, parfois les personnes dans l'eau semblent avoir un corps déformé. Les poissons volants se nourrissent d'insectes volants, au-dessus de la surface de l'eau. Ils doivent donc bien viser pour happer leur proie avant de s'élancer hors de l'eau. En effet, puisqu'ils sont sous l'eau, les poissons ne voient pas les insectes dans leur réelle position, mais dans une direction déviée. position, mais dans une direction déviée.)
    • Exprimez votre créativité grâce au stop motion  + (Cette technique a été utilisée pour créer Cette technique a été utilisée pour créer un grand nombre de film d'animation, amateurs ou professionnels. Quelques exemples: - les films d'animation "Wallace et Gromit" et "Shaun le mouton" - L'étrange Noël de monsieur Jack - Fantastic Mr. Fox - le clip "envole môa" https://www.youtube.com/watch?v=sDtRQwv9I3g
      www.youtube.com/watch?v=sDtRQwv9I3g <br/>)
    • Chromatographie et capillarité  + (C’est grâce au phénomène de la capillaritéC’est grâce au phénomène de la capillarité que les plantes peuvent s’hydrater, l’eau aide la sève a monter le long du tronc et des branches. On peut aussi voir le phénomène de capillarité lorsqu'on trempe le sucre dans son café par exemple. La chromatographie est une technique utilisée pour séparer certains composants (et pas seulement des colorants !) d'un liquide ou d'un gaz en le faisant migrer sur un support solide à l'aide d'un produit appelé éluant (eau, éthanol...). On retrouve la chromatographie lorsqu'on trempe une feuille ou du sopalin avec des couleurs dans de l'eau
      in avec des couleurs dans de l'eau <br/>)
    • Timbales  + (Dans l'orchestre, les timbales fonctionnenDans l'orchestre, les timbales fonctionnent selon ce principe. Les pédales dont elles sont munies permettent de tendre plus ou moins leur peau afin qu'elles produisent des sons plus aigus ou plus graves. (si il n'y a pas de pédale, tu peux régler la tension avec un système qui se vise).r la tension avec un système qui se vise).)
    • Mon avion suspendu à l'effet Venturi  + (Dans les zones [https://fr.wikipedia.org/wDans les zones [https://fr.wikipedia.org/wiki/Montagne montagneuses], l'effet Venturi est fréquemment présent. Quand l'air à proximité de la surface du terrain (en circulation globalement horizontale comme le vent) rencontre une montagne (ou tout terrain surélevé), il est obligé, pour franchir cet obstacle, de passer par-dessus (sauf s'il peut passer sur les côtés). Avec le poids des couches d'air supérieures, non perturbées dans leur déplacement par l'obstacle, et le caractère local de cet obstacle, l'air se retrouve dès lors accéléré de manière à conserver le même [https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9bit_(physique) débit]* qu'avant (*quantité d'air passant par un point en 1 seconde). C'est pour cette raison que le vent au sommet des montagnes est toujours plus important que celui aussi présent en bas. important que celui aussi présent en bas.)
    • Continent plastique  + (Du fait de la rotation de la Terre, les coDu fait de la rotation de la Terre, les courants marins créent des tourbillons dans les océans, que l’on appelle aussi vortex ou gyres océaniques. Ces courants vont avoir tendance à regrouper, rassembler les déchets plastiques flottants, sur de très grandes surfaces au milieu des océans. Il existe plusieurs zones différentes d'accumulation des déchets dans nos océans. La plus grande se situe dans l'Océan Pacifique Nord, et recouvre 3 millions de km2, soit la taille de 6 fois la France ! On les appelle "continents plastiques" ou "7éme continent" en raison de leurs grandes tailles. Ces continents plastiques sont constitués de millions de déchets, parfois grands : les macroplastiques, dont la taille est supérieur à 5mm, mais aussi les microplastiques dont la taille est inférieur à 5mm. Ils s'accumulent sur une hauteur de 30m sous la surface. Ces plastiques ne vont pas disparaître, mais se fragmenter en particules de plus en plus fines, et ainsi se confondre avec la nourriture des oiseaux et des animaux marins. En les ingérant les animaux n'arrivent pas à digérer ces plastiques et finissent par en mourir. Ainsi, quand à notre tour nous consommons des poissons, des crustacés et des fruits de mer, nous consommons aussi des microparticules de plastique. Nous consommons du plastique tous les jours, car il est très pratique et peu coûteux, mais nous rejetons aussi un grand nombre de déchets dans l’environnement, dont la durée de vie est de plusieurs centaines d’années en ce qui concerne les plastiques. 80% des déchets présents dans la mer proviennent de la terre. La pluie, le vent, et les cours d’eau vont acheminer ces déchets sauvages jusqu’à la mer où ils vont s’accumuler au niveau des vortex des océans de manière durable. Si nous souhaitons réduire cette pollution, il est nécessaire de réduire notre utilisation du plastique afin de limiter les rejets dans l’environnement. Des alternatives existent pour réduire nos achats de matières plastiques, les réutiliser et les recycler afin de limiter les rejets dans la nature.afin de limiter les rejets dans la nature.)
    • Couleur du métal chauffé  + (Grâce à cela, on comprend pourquoi notre sGrâce à cela, on comprend pourquoi notre soleil est jaune. On peut par le suite essayer de comprendre pourquoi il y a deux couleurs dans une flamme. On observe également le même phénomène lorsqu'on met un allume-feu dans un barbecue : en fonction de la température, la flamme à une couleur différente.ature, la flamme à une couleur différente.)
    • Son en 3D  + (Il existe des dispositifs qui permettent dIl existe des dispositifs qui permettent d'enregistrer le son binaural (en 3D). Il s'agit de deux micros placés à la même distance l’un de l’autre que les oreilles humaines. Ce type d'enregistrement donne l'impression que le son provient de plusieurs endroits différents, comme dans un environnement réel. Ce système peut être reproduit simplement en utilisant deux micros monophoniques omnidirectionnels fixés de chaque côté d'une boule de polystyrène par exemple. Certains logiciels permettent de réaliser des enregistrements de sons binauraux. La technique d'enregistrement binaural est de plus en plus utilisée, notamment par les radios qui veulent proposer aux auditeurs une perception des sons plus proche de la réalité. Certains sons binauraux sont aussi diffusés comme exercices de relaxation.si diffusés comme exercices de relaxation.)
    • Liquide qui change de couleur  + (Il existe plusieurs méthodes de mesure du Il existe plusieurs méthodes de mesure du pH, plus ou moins précises : on peut utiliser des indicateurs colorimétriques naturels ou de synthèse, du papier pH, qui est un papier imprégné d’un indicateur colorimétrique (mais dont la mesure est assez peu précise), ou avoir recours à un pH-mètre pour une mesure très précise. Le pH est une notion très importante en chimie, mais aussi pour l’environnement, dans l’alimentation, la médecine… - Le pH d’un milieu aquatique détermine les organismes qui peuvent y vivre. Des variations importantes de pH peuvent modifier la croissance ou le comportement de certaines espèces, ou même menacer leur survie. Si l’on possède un aquarium, il est indispensable de vérifier régulièrement le pH de l’eau pour garantir le bien être des plantes et des animaux qui y vivent. - Certaines plantes poussent mieux sur des sols acides, comme les orchidées ou les peupliers. D'autres préfèrent les sols neutres, comme la camomille. Le chou rouge et quelques autres plantes indiquent sur quel type de sol elles grandissent: leur couleur varie en fonction du pH du sol. On les appelle plantes indicatrices. Sur les sols acides, le chou est plutôt rouge, sur les sols basiques plutôt bleu. - Dans la consommation humaine, on retrouve beaucoup d’aliments acides : fruits et jus de fruits (agrumes surtout), tomates, vinaigre, sodas… Ces aliments peuvent avoir des effets négatifs s’ils sont consommés en excès ou si l’on souffre de certains problèmes de santé (ulcère à l’estomac, remontées gastriques…). En cuisine, on peut diminuer l’acidité d’une préparation en y ajoutant des produits alimentaires basiques, comme le bicarbonate de sodium. - Tu as peut-être aussi déjà entendu dans les publicités l'expression «pH neutre pour la peau». En effet, notre peau est légèrement acide (elle a un pH un peu inférieur à 6) c'est pourquoi la survie des bactéries et des champignons sur notre peau est difficile. Un nettoyage exagéré avec du savon peut augmenter le pH de la peau et la rendre plus sensible. C'est pourquoi il existe, particulièrement pour les peaux sensibles, des savons qui ont le même pH que la peau - leur pH est neutre pour la peau.la peau - leur pH est neutre pour la peau.)
    • Faire flotter de la pâte à modeler  + (La poussée d'Archimède est facilement obseLa poussée d'Archimède est facilement observable dans notre quotidien. Nous pouvons observer grâce à elle que : *les bateaux ne coulent pas *Le canard qui flotte dans le bain *les plongeurs peuvent se maintenir entre deux eaux pour observer la faune et flore marine *nous flottons dans l'eau (bien que le sel de l'océan participe aussi à la flottaison, voir expériences ci-dessous) La poussée d'Archimède ne s'applique pas que dans l'eau, l'air aussi exerce cette force, mais comme il est beaucoup plus léger que l'eau, il faut des volumes beaucoup plus grands pour avoir la même force. C'est comme cela que les montgolfières remplit d'air chaud et les zeppelins remplit d’hélium (plus léger que l'air), peuvent monter, en flottant dans l'air.), peuvent monter, en flottant dans l'air.)
    • Stylo élastique  + (La propriété de persistance rétinienne de La propriété de persistance rétinienne de l’œil est utilisée au cinéma ou à la télévision pour donner l'illusion d'un mouvement continu à partir d'une série d'images qui défilent rapidement. Son application a notamment permis de développer la technique du dessin animé : une séquence d'images, défilant à 24 images par seconde, est trop rapide pour que l’œil puisse discerner la différence entre deux images successives. Le cerveau interprète cette succession comme un mouvement fluide. Plus anciennement, le [[thaumatrope]], redécouvert au XIXe siècle et dont l'invention est peut-être aussi ancienne que la Préhistoire, est un objet ludique qui exploite lui aussi la persistance rétinienne. De nombreux jouets optiques similaires ont été inventés au XIXe siècle : zootrope, praxinoscope, etc., préfigurant le cinéma.praxinoscope, etc., préfigurant le cinéma.)
    • La biodégradation  + (Le compostage est basé sur le même principe. À l’automne les feuilles tombent des arbres et se dégradent sur le sols, si celles-ci ne sont pas ramassées. Au printemps, on ne les voit plus.)
    • Mini station météo (qualité de l'air)  + (Le dispositif peut servir, dans une pièce à vivre, à s'informer de la qualité de l'air. Il serait aussi envisageable de communiquer des relevés de données à distance grâce à la liaison wi-fi de la carte.)
    • Concurrents ou associés dans le milieu marin  + (Le réseau trophique est indispensable à toLe réseau trophique est indispensable à toute vie, dans les océans et sur Terre. Bien le connaître permet de comprendre comment fonctionne la vie sur Terre. C'est à partir de ce réseau que s'établissent les interactions entre les espèces animales, végétales et leur environnement, mais pas seulement. Il existe de nombreux types d'interactions dans le monde vivant - autres que la prédation - bénéfiques ou non pour les espèces concernées. C'est le cas du mutualisme (bénéfices réciproques entre deux espèces), de la symbiose (bénéfices réciproques et liens vitaux entre deux espèces), du commensalisme (bénéfices non réciproques, mais non nuisibles) et du parasitisme (bénéfices non réciproques et nuisibles). La fragilisation des organismes marins à squelette calcaire pourrait modifier les écosystèmes marins et la disponibilité en ressource de poissons et de coquillages. Or aujourd'hui, plus d'un milliard de personnes à travers le monde trouvent leur première source de protéines dans les espèces marines dont ils se nourrissent, tout comme différentes espèces terrestres (oiseaux...). De plus, de nombreux emplois et économies locales sont liés à la pêche et aux coquillages. L'acidification des océans pourrait donc toucher bien plus que les organismes marins. Sans parler du rôle fondamental du plancton comme principal fournisseur d'oxygène pour la planète et les êtres humains, mais aussi comme puits à carbone indispensable pour atténuer nos émissions de gaz à effet de serre dans l'atmosphère !e gaz à effet de serre dans l'atmosphère !)
    • Propagation du son dans l'eau et l'air  + (Le son se propage donc plus facilement et Le son se propage donc plus facilement et plus rapidement dans l’eau. C’est pour cela que, quand on est dans son bain et qu'on met la tête sous l'eau, les sons de la maison sont amplifiés. C'est aussi pour ça que les cétacés peuvent communiquer sur plusieurs centaines de kilomètres (jusqu’à 800 km). centaines de kilomètres (jusqu’à 800 km).)
    • Paille à son  + (Les humains ont aussi leur propre instrumeLes humains ont aussi leur propre instrument : la voix. En sortant des poumons, l'air circule par la tranchée puis le larynx, où il rencontre les cordes vocales. Le larynx étant plus étroit que la trachée, l'air accélère créant un changement de pression: les cordes vocales se rapprochent, puis se ré-ouvrent. La répétition de ce phénomène d'ouverture et de fermeture permet la vibration des cordes vocales. Cette vibration est à l’origine du son : si tu mets ta main sur ta gorge en faisant « haaaaaaa » tu peux sentir les vibrations de tes cordes vocales. La fréquence du son dépend de la contraction du larynx qui modifie les plis vocaux.ion du larynx qui modifie les plis vocaux.)
    • Cuillère cloche  + (Lorsque l'on porte des écouteurs filaires,Lorsque l'on porte des écouteurs filaires, quand le fil frotte contre nos vêtements, on entend le frottement dans les écouteurs. Lorsque tu écoutes une musique avec beaucoup de basses, tu peux les sentir traverser ton corps. Dans l'espace, il ne peut pas y avoir de son car l'onde sonore ne peut pas se propager dans le vide. Elle a impérativement besoin d'un milieu dans lequel se déplacer.esoin d'un milieu dans lequel se déplacer.)
    • Sel qui danse  + (Lorsque l'on écoute de la musique un peu fLorsque l'on écoute de la musique un peu fort avec de belles basses, on peut sentir les organes de notre ventre/poitrine vibrer comme la musique ! Les instruments de musique eux aussi produisent des vibrations, c'est comme ça que l'on créé des notes de musique.mme ça que l'on créé des notes de musique.)
    • Cristaux de sel  + (Mais au fait, comment est fabriqué notre sMais au fait, comment est fabriqué notre sel de table et notre gros sel ? À la loupe, tu peux observer la structure du sel. Le sel est fabriqué notamment dans les marais salants où on utilise le principe de cristallisation afin de récupérer le sel contenu dans l'eau de mer par évaporation. Au delà du sel, les cristaux sont présents dans notre vie de tout les jours : eau sous forme solide (neige, glace), bijoux (pierres précieuses), matériel d'entretien (cristaux de soude), alimentation (sucre), certains polymères (plastique), métal, etc.
      olymères (plastique), métal, etc. <br/>)
    • Dessine-moi un sapin  + (Notre manière de représenter rapidement leNotre manière de représenter rapidement le mot "sapin" est liée à la fois au processus de catégorisation, à l’environnement culturel dans lequel nous vivons, mais aussi à la situation dans laquelle nous nous trouvons : si sur une piste de ski nous entendons le mot « sapin », nous l’associerons sûrement plus à un danger qu’à Noël !rons sûrement plus à un danger qu’à Noël !)
    • Circuit parallèle et en série  + (On trouve des applications de montages en On trouve des applications de montages en série ou en parallèle dans de nombreux domaines. Par exemple, brancher deux interrupteurs en série crée un système de va-et-vient. Interdit aujourd'hui, le système d'interrupteurs en va-et-vient fut très utilisé dans la construction. Autre exemple : dans les éclairages, on branche les lumières en parallèle afin de ne pas diviser la tension de la source entre toutes les lampes, pour obtenir un éclairage aussi puissant pour chaque lampe.
      e aussi puissant pour chaque lampe. <br/>)
    • Découvrir les habitants du sol  + (Pour observer par toi-même quelques-uns dePour observer par toi-même quelques-uns de ces habitants du sol, découvre le programme de sciences participatives Jardibiodiv : http://ephytia.inra.fr/fr/C/25121/jardibiodiv-Procedure-d-observation-du-Jardinier-Amateur Tu pourras ainsi, grâce à des protocoles d’observation faciles à réaliser, attraper et identifier les petites bêtes qui se cachent dans ton jardin, ou dans le parc à côté de chez toi !rdin, ou dans le parc à côté de chez toi !)
    • Riz multicolore  + (Pour surprendre tes amis et ta famille, tu peux servir ce riz de couleur inhabituelle. Une façon de se préparer de nouvelles saveurs !)
    • Manège à farine  + (Quand on fait bouillir du lait chocolaté, Quand on fait bouillir du lait chocolaté, il se forme une mince "croute" plus foncée à la surface du lait quand il se refroidit. Quand on chauffe à nouveau, cette croute se "déchire" en fonction des mouvements de convection qui se produisent en dessous. C'est exactement le même phénomène, à toute petite échelle, que celui de la tectonique des plaques ou du manège à farine. Quand on place un objet très léger au dessus d'une source chaude en hiver, cet objet se met à bouger. Ce mouvement est dû à la montée du courant d'air chaud.est dû à la montée du courant d'air chaud.)
    • Force cachée du papier  +
    • Sang monte à la tête  + (Tu peux observer l'écoulement de l'eau danTu peux observer l'écoulement de l'eau dans ton quotidien, elle est toujours attirée vers le sol. Parfois tu peux observer des phénomènes qui vont à l'encontre de la gravité quand tu fais la vaisselle, dans ton bain ou dehors avec les jeux d'eau. Quand on arrose le jardin, l'eau fini toujours par retomber vers le sol mais la pression dans le tuyau peut la faire remonter. En impesanteur dans leur vaisseau spatial, les spationautes flottent, ils n'ont plus de repères indiquant le haut ou le bas. Ils subissent une transformation du visage et des jambes au début de leur séjour. Le cœur continue à propulser le sang vers la tête, et à le laisser aller vers les pieds. Comme il n'y a plus ni haut ni bas, le sang se répartit alors différemment dans le corps. C'est pourquoi ces voyageurs se retrouvent avec un visage bouffi et tout rouge, et des jambes toutes blanches. Heureusement, le corps s'habitue à ses nouvelles conditions de vie, et au bout de quelques jours le sang se répartit également dans toutes les parties du corps.galement dans toutes les parties du corps.)
    • Eruption volcanique  + (Tu peux observer le même phénomène quand tu ouvre une bouteille de boisson gazeuse qui a été secouée !)
    • Propagation des ondes dans des milieux différents  + (Un poisson que l'on voit dans la mer semblUn poisson que l'on voit dans la mer semble toujours plus gros que la réalité. Dans un aquarium, si on regarde depuis le dessus et depuis le coté, on a l'impression que les poissons ne sont pas au même endroit, alors qu'ils n'ont pas bougé! Pour les ondes sonores, un phénomène équivalent se produit : selon le milieu traversé, les ondes ne se déplacent en lignes droites : par exemple dans la mer, selon la salinité (teneur en sel) et la température de l'eau, les ondes sont déviées : les sonars doivent prendre en compte ce phénomène pour pouvoir détecter le fond et les objets qui les entourent au bon endroit.s objets qui les entourent au bon endroit.)
    • Propagation de la lumière dans différents milieux  + (Un poisson que l'on voit dans la mer semblUn poisson que l'on voit dans la mer semble toujours plus gros que la réalité. Dans un aquarium, si on regarde depuis le dessus et depuis le côté, on a l'impression que les poissons ne sont pas au même endroit, alors qu'ils n'ont pas bougé! Pour les ondes sonores, un phénomène équivalent se produit : selon le milieu traversé, les ondes ne se déplacent en lignes droites : par exemple dans la mer, selon la salinité (teneur en sel) et la température de l'eau, les ondes sont déviées : les sonars doivent prendre en compte ce phénomène pour pouvoir détecter le fond et les objets qui les entourent au bon endroit. D'une autre manière, lorsque le goudron est chaud en été, l'air proche du sol étant très chaud, on voit que le paysage est quelque peu flouté. C'est aussi dû à des déviations de la lumière, le milieu étant changeant. de la lumière, le milieu étant changeant.)
    • Evolution du trait de côte  + (<div class="annotatedImageDiv" typeof="
      Côte d'Ibiza (Espagne) vue de la mer.


      L'artificialisation du littoral a un impact très négatif sur l'environnement, elle entraine la destruction directe ou progressive d'une multitude de milieux naturels littoraux, souvent très fragiles, comme des vasières, des champs d'algues, des herbiers de phanérogames (des plantes marines ressemblant à de longues herbes), des bancs de maerl (une algue calcaire bretonne), ou des récifs de corail en zone tropicale. Ces écosystèmes, qui servent d'habitat à un grand nombre d'organismes marins, sont souvent totalement détruits par l'urbanisation du littoral, en étant recouverts par le béton, décimés par la pollution ou par l'envasement dus aux activités humaines, et ne peuvent pas se reconstituer si les conditions ne s'y prêtent pas.


      A la fin du XXe siècle et au début du XXIe siècle, des lois et des mesures de protection ont été mise en place pour protéger une partie du littoral français. Certaines zones sont désormais interdites à la construction. Dans les zones où l'urbanisation se poursuit, les milieux naturels d'origine sont parfois "déplacés", c'est à dire recréés dans d'autres zones, pour diminuer l'impact des constructions littorales sur l'environnement. On parle de "mesures compensatoires". Elles peuvent consister à replanter un herbier ou un récif corallien, installer des récifs artificiels... Mais l'efficacité de telles mesures est très discutable, car les sites choisis n'offrent pas toujours les conditions de vie adaptées pour une recolonisation par les organismes marins, et les espèces fragiles qui sont à la base de l'écosystème, comme les coraux, les algues calcaires (maerl) ou les phanérogames ont souvent une croissance très lente. Les scientifiques estiment ainsi qu'il faut plus d'un siècle pour reconstituer un herbier de zostères, et ce même lorsque les conditions environnementales sont favorables.


      La construction de nouveaux ports de commerce et ports de plaisance entraine en général, même si ceux-ci sont bien gérés, des pollutions ponctuelles ou régulières par les hydrocarbures contenus dans les carburants des navires, par les peintures utilisées pour protéger les coques des bateaux, ou par leurs eaux usées (quand celles-ci ne sont pas correctement collectées et traitées dans les ports).

      L'urbanisation provoque la disparition progressive des milieux naturels côtiers, comme les marais, les zones humides, les prés et les dunes. Ces milieux naturels contribuent à filtrer et dépolluer les eaux qui ruissellent jusqu'aux rivières et à la mer. Leur diminution rend les bords de mer plus vulnérables aux pollutions d'origine agricole ou urbaine.


      La montée du niveau des océans, causée par le réchauffement climatique global, modifie elle aussi le trait de côte en aggravant le phénomène naturel d'érosion. Lors des tempêtes et des grandes marées, les vagues et les vents provoquent régulièrement l'effondrement de dunes et de pans de falaises, et occasionnent des dégâts sur les constructions côtières. Les zones les plus touchées sont les régions de faible altitude et les littoraux où des zones de constructions ont été bâties sur la mer, qui regagne aujourd'hui du terrain.

      Vagues frappant les piliers d'un ponton.


      La gestion intégrée des zones côtières (GIZC) consiste à développer les activités économiques, touristiques et agricoles des régions littorales en s'efforçant de préserver l'environnement et les ressources marines, c'est une démarche récente, qui s'inscrit dans le développement durable. Pour fonctionner, ce type de gestion nécessite un dialogue permanent entre les habitants, les élus, les professionnels (pêcheurs, industriels, agriculteurs), les touristes, et que chacun tienne compte des intérêts communs et individuels pour exercer son activité ou ses loisirs sans géner les autres activités ni déséquilibrer les milieux naturels. Cette démarche donne lieu à des initiatives et des actions communes. Différents usagers du littoral (marins, pêcheurs professionnels, animateurs nature...) peuvent par exemple participer ensemble à des animations et à la création de dépliants pour sensibiliser les touristes et les habitants à la pratique de la pêche à pied responsable. Des élus, des industriels et des plaisanciers peuvent travailler ensemble à l'installation d'équipements pour la collecte et le recyclage des déchets dans un port. Des agriculteurs, des aquaculteurs, des plongeurs amateurs et des pêcheurs peuvent adapter ensemble leurs pratiques pour améliorer la qualité des eaux et préserver un site sous-marin remarquable et fragile, comme un herbier de phanérogames...
      n herbier de phanérogames...)
    • Les pollutions invisibles  + (<nowiki>Chacun d'entre nous possède Chacun d'entre nous possède une multitude de produits pour des utilisations différentes. Avant de les utiliser ou de les mélanger, il est important de connaître leur composition et les réactions qu'ils peuvent créer.

      Le vinaigre est un bon exemple, on peut l’utiliser de nombreuses manières : pour le ménage, en cuisine... Il peut servir à enlever des taches, mais doit être utilisé avec précautions, car il fait blanchir certaines surfaces comme le granit.


      Un grand nombre d’éléments invisibles peuvent être présents dans nos cours d'eau, et certains sont très polluants. Pourtant, la plupart du temps, on pourrait croire que l'eau est « propre » lorsqu’on l’observe à l’oeil nu. Cependant, si l’on examine l’eau au microscope, ou qu'on réalise des analyses, on peut souvent s’apercevoir que l'eau n'est pas aussi propre qu’elle n'en a l’air.

      La pollution de l'eau est présente sur toute la surface de la Terre et touche l’eau sous toutes ses formes (cours d'eau, océans, pluie, neige, glaces polaires...).


      Une activité ou un produit de l’activité humaine qui libère des produits dangereux pour l’environnement ou la santé est appelé une source de pollution.


      '''Les principales sources de pollution de l’eau'''


      '''La pollution domestique'''

      Elle provient des habitations et des bâtiments collectifs (écoles, commerces, hôpitaux...).

      En moyenne sur la planète, un habitant consomme 137 litres d'eau par jour*, dont la quasi-totalité est rejetée. Ce sont des eaux usées issues de la cuisine, de la salle de bain mais également des toilettes. Elles contiennent de nombreux polluants : des graisses, savons, détergents, matières en suspension, matières organiques ou minérales dissoutes, et plusieurs milliards de bactéries.

      * ''selon l'UNICEF en 2022''


      Les déchets ménagers font aussi partie de la pollution domestique. Un français jette environ 1 kilo de déchets par jour** (plastiques, métaux, piles, ampoules...). Leur rejet dans la nature pollue les rivières et les nappes souterraines. Par exemple, une bouteille plastique peut mettre jusqu'à 1000 ans à se dégrader, et pollue la nature pendant toute sa durée de vie.

      ** ''selon l'ADEME en 2022''


      '''La pollution agricole'''

      Elle représente la première source de pollution des ressources en eau. Les pollutions agricoles regroupent les pollutions liées à la culture, mais également à l'élevage. Les principales sources de pollution sont les engrais, les lisiers et les purins d'élevage ainsi que les produits phytosanitaires.

      Les engrais utilisés par l'agriculture contiennent de l'azote, et ses dérivés les nitrites et les nitrates. À l'échelle nationale, l'agriculture représente 33 à 66 % de la pollution en azote de l'eau.


      '''La pollution industrielle'''

      Les pollutions liées aux industries et les polluants qu’elles génèrent varient beaucoup en fonction du type d’activités. Les principales industries produisant des polluants sont les usines agroalimentaires (matières organiques, graisses), les usines de fabrication de papier, la chimie et l'industrie du cuir (divers produits chimiques), la métallurgie et les traitements des surfaces (métaux), le transport (hydrocarbures), les centrales nucléaires (déchets radioactifs et eaux chaudes utilisées dans les circuits de refroidissement).


      '''Les principaux types de polluants'''


      '''Les matières organiques''' ont durant très longtemps constitué les principaux polluants des milieux aquatiques. Elles proviennent des déchets domestiques (ordures ménagères, excréments), agricoles (lisiers) ou industriels (papeterie, tanneries, abattoirs, laiteries, …). Leur présence peut, en forte concentration, engendrer une asphyxie de la faune aquatique (manque d'oxygène), qui menace particulièrement les poissons.


      Les '''hydrocarbures''' sont présents dans les rejets des usines, garages et stations-services, et dans l’eau qui ruisselle sur les routes. En trop grande quantité, ils peuvent s’avérer très toxiques pour la faune et la flore aquatiques. Les pollutions aux hydrocarbures ne sont malheureusement pas rares. Plusieurs fois par an, le milieu marin subit des marées noires dues aux accidents ou aux rejets (parfois volontaires) d’hydrocarbures par des navires pétroliers.


      La '''pollution métallique''' est un problème très préoccupant, en raison de sa toxicité et de son accumulation dans la chaîne alimentaire : un humain qui consomme un poisson contaminé accumule non seulement les métaux contenus dans ce poisson mais également ceux contenus dans les proies que celui-ci avait mangées auparavant. Les métaux qui peuvent polluer l’eau, tels que l’aluminium, l’arsenic, le chrome, le cuivre, et les métaux lourds (mercure, plomb...), sont très dangereux pour la santé humaine. Ils proviennent des rejets d'usines, de l'épandage sur les sols agricoles, des boues de stations d'épuration, des eaux de ruissellement, et ne sont pas biodégradables.


      La '''pollution chimique''' provient de l'insuffisance des stations d'épurations, de l'absence des réseaux d'assainissement, du lessivage des sols, des ruissellement de la pluie sur la route et les toits des industries. Depuis le début des années 1950, de nombreuses régions industrielles subissent des pluies acides dues à la pollution de l'air par des gaz et des particules. Ces pluies endommagent fortement les forêts, les sols, les lacs et les rivières.


      La '''pollution thermique''' est de plus en plus présente. Elle est causée par les eaux de refroidissement de certaines industries. L'eau est pompée dans les cours d'eau ou dans le milieu marin, puis rejetée avec une température plus élevée de 4 à 5°C. Cela déséquilibre le milieu naturel et la vie des espèces aquatiques (reproduction perturbée, prolifération d'espèces nuisibles...).


      La '''pollution radioactive''' est rare, mais des accidents nucléaires comme celui survenu dans la centrale de Tchernobyl en 1986 peuvent avoir des conséquences désastreuses sur la santé humaine et l’environnement.


      '''Évaluer la qualité d’une eau'''


      On note la qualité d'une eau à l'aide de tableaux de critères dont la qualité est représentée par 5 couleurs :

      - Le bleu indique que l’eau est de très bonne qualité ;

      - Le vert indique que l’eau est de bonne qualité ;

      - Le jaune indique que l’eau est de qualité moyenne ;

      - Le rose indique que l’eau est de mauvaise qualité ;

      - Le rouge indique que l’eau est de très mauvaise qualité.


      Les études de la qualité des eaux se composent de trois parties : l'échantillonnage (c’est le prélèvement de l'eau), l'analyse et l'interprétation des résultats.

      Pour déterminer la pollution chimique et physique, on utilise la méthode du SEQ'eau, basée sur les paramètres chimiques (concentration en nitrites, nitrates, ammonium et phosphates), et physiques (température, pH, conductivité, salinité, taux d’oxygène...). On compare les résultats à un tableau de référence, où la qualité est représentée par une couleur.

      Pour évaluer la qualité globale d'une eau, on considère le paramètre dont la qualité la plus mauvaise. En général, il s’agit de la concentration en nitrates.


      Il existe également des méthodes d'analyses biologiques pour mesurer la pollution de l'eau. L'IBGN (Indice Biologique Global Normalisé) se base sur la diversité et les espèces de macro-invertébrés présents dans l'eau. L'IPR (Indice Poisson Rivière), l'Indice Biologique Diatomées, l'Indice macrophytes sont également des méthodes d'analyses biologiques de l'eau qui se basent sur la présence d’organismes vivants appelés « bioindicateurs ».


      Les méthodes microbiologiques permettent de déterminer la concentration en microorganismes qui peuvent causer des maladies : virus, bactéries, ou champignons, nombreux dans les eaux de notre planète. Les bactéries susceptibles de provoquer des maladies, comme'' Pseudomonas'', ''Escherichia coli'' ou ''Legionella'' figurent parmi les micro-organismes les plus recherchés.
      e Diatomées, l'Indice macrophytes sont également des méthodes d'analyses biologiques de l'eau qui se basent sur la présence d’organismes vivants appelés « bioindicateurs ».<br /><br /><br />Les méthodes microbiologiques permettent de déterminer la concentration en microorganismes qui peuvent causer des maladies : virus, bactéries, ou champignons, nombreux dans les eaux de notre planète. Les bactéries susceptibles de provoquer des maladies, comme'' Pseudomonas'', ''Escherichia coli'' ou ''Legionella'' figurent parmi les micro-organismes les plus recherchés.<br/></nowiki>)
    • L'imperméabilité des sols  + (<nowiki>Le coefficient de ruissellemLe coefficient de ruissellement varie beaucoup selon l’usage et la végétation d’un sol. On estime que 5 % de l’eau qui tombe sur une forêt ruisselle, contre 25 % sur un champ cultivé [https://www.giser.be/wp-content/uploads/2019/05/Guide-technique-Eaux-pluviales.pdf [1]].

      Et dans les villes alors ? Les toits des habitations n’absorbent pas l’eau, bien au contraire, leur coefficient de ruissellement est de 100% ! Globalement, le coefficient de ruissellement en ville dépasse 90 %. Lorsque nous construisons nos habitations ou nos routes, nous créons des surfaces imperméables (étanches) pour l’eau. Lors de fortes précipitations, celle-ci est alors contrainte de ruisseler. Les petites surfaces qui ne sont pas recouvertes ne suffisent généralement pas à absorber toute l’eau qui tombe sur toute la zone. L’eau continue de ruisseler et s’accumule, c’est l’inondation.

      On estime qu’en 2010, presque 9 % de la surface de la France était artificialisée (c’est à dire utilisée par l’homme, d’une manière ou d’une autre), dont 5 % totalement imperméables (habitations, routes, etc.) [https://www.gissol.fr/rapports/Rapport_HD.pdf [2]] !

      L’artificialisation des sols continue en France ! Dans la majorité des cas (90 % entre 2000 et 2006, [https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/sites/default/files/2018-10/Le_point_sur___Sols_V7.pdf [3]]), ce sont d’anciens sols agricoles qui sont artificialisés. Ceux-ci ne sont alors plus capables d’absorber et de filtrer l’eau.

      Aujourd’hui, lorsque que l’on souhaite créer de nouvelles zones d’habitations, il est obligatoire de prendre en compte le ruissellement. Une solution souvent utilisée est de créer un « bassin de rétention », pouvant accueillir toute l’eau qui ruisselle et éviter les inondations. Celui-ci possède un coefficient de ruissellement très faible, voire nul, d’abord parce qu’il est en forme de cuvette (l’eau ne peut pas s’en échapper), mais aussi parce que son sol est très perméable, comme du sable.
      t très perméable, comme du sable.</nowiki>)
    • La plante qui respire  + (==== La photosynthèse, indispensable à la ==== La photosynthèse, indispensable à la vie sur terre!! ==== La photosynthèse est essentielle à l'échelle de la plante, puisqu'elle lui permet de vivre. Elle est également indispensable pour nous : '''la photosynthèse permet en effet la vie sur Terre''', ni plus, ni moins ! C'est '''grâce à l'activité photosynthétique que l'atmosphère de la terre s'est peu à peu enrichie en oxygène''', et elle est aussi le '''seul moyen de créer de la matière organique à partir d'éléments minéraux'''. Sans elle, pas de matière organique (donc pas de végétaux, pas d'animaux, pas de champignons... en un mot : pas de vie !). Sans photosynthèse, la Terre ne serait qu'un tas de cailloux, une planète morte... Et pour terminer, tordons le cou à une idée reçue : non, les forêts ne sont pas le principal "poumon vert" de la planète. '''Les algues et le phytoplancton produisent globalement plus d'O2 que les arbres'''. Ce sont ainsi les mers et les océans qui sont le siège de l'activité photosynthétique la plus importante, induisant la plus forte émission d'oxygène, devant les forêts.rte émission d'oxygène, devant les forêts.)
    • La fonte des glaces - 3e méthode  + (Avec l'expérience, on a vu que la fonte deAvec l'expérience, on a vu que la fonte des glaciers entraîne aussi l'augmentation du niveau des mers. Cela est un problème encore pour la biodiversité terrestre car les côtes sont de plus en plus prises par les mers mais c'est également un problème pour les êtres humains : il y a de moins en moins de territoire. Les glaciers sont aussi d'importantes réserves d'eau douce (solide) qui est importante pour que nous ayons de l'eau potable. Leur fonte réduit ces ressources et nous allons avoir de plus en plus de difficultés à nous procurer de l'eau propre...icultés à nous procurer de l'eau propre...)
    • Jeu des phalènes  + (Ce jeu s'inspire du cas réel des phalènes Ce jeu s'inspire du cas réel des phalènes du bouleau, tel qu'il a pu être étudié au XIXe siècle. On connaissait jusqu'alors cette espèce de papillon majoritairement sous sa forme claire et parsemée de taches sombres, qui lui permettait de se camoufler facilement en se posant sur l'écorce des bouleaux. Parmi les populations de phalènes du bouleau, on trouvait aussi une minorité d'individus porteurs d'une mutation génétique, qui présentaient une couleur sombre. Plus faciles à repérer sur l'écorce des bouleaux, ces phalènes sombres étaient plus souvent victimes des oiseaux prédateurs. Avec l'arrivée de l'ère industrielle, au XIXe siècle, les importantes émissions de suie et de fumées d'usines dans les alentours des grandes villes ont noirci l'écorce des bouleaux. Les phalènes clairs sont alors devenus beaucoup plus visibles des prédateurs et ont été massivement dévorés. Les phalènes sombres, mieux camouflés sur les bouleaux, sont alors rapidement devenus majoritaires chez l'espèce. Même si ce cas fait suite à une modification de l'environnement due aux activités humaines, elle illustre les mécanismes de sélection naturelle et d'adaptation des espèces, qui sont similaires face à des changements naturels, rapides ou lents, des contraintes que le milieu exerce sur les êtres vivants qui y vivent.exerce sur les êtres vivants qui y vivent.)
    • Défi : l'eau monte !  + (De nombreuses régions subissent à la fois De nombreuses régions subissent à la fois les effets de la montée du niveau des mers et des océans et d'inondations fréquentes, dues à de fortes pluies et aux crues des rivières. Il arrive que ces phénomènes s'additionnent, par exemple lors des fortes marées et des tempêtes.


      Comme dans ce défi, il existe des stratégies nombreuses pour faire face à la montée du niveau des mers et à l'augmentation des épisodes d'inondation, de submersion et d'érosion des zones côtières. Chaque stratégie possède des avantages et des inconvénients, qui ne seront pas forcément exactement les mêmes que ceux observés dans cette expérience.


      Les enrochements permettent de protéger en partie les côtes de la violence des vagues lors des tempêtes. Ils sont surtout mis en place au niveau des plages de sable, mais leur efficacité reste limitée, leur coût économique et leur impact écologique ne sont pas négligeables.


      L'installation de digues et de barrages permer de créer une barrière étanche contre la mer. Il existe aujourd'hui des barrages mobiles, qui se dressent ou s'abaissent en fonction des conditions environnementales et météorologiques. Un dispositif de barrage escamotable, appelé MOSE (ou "Moïse") a ainsi été installé pour protéger la lagune de Venise lors des plus grandes marées. Il complète d'autres mesures de lutte contre la montée des eaux, notamment la surélévation des rives et la consolidation des berges de la lagune.

      Mais la construction et l'entretien de digues et de barrages s'avère très coûteux, et leurs conséquences environnementales sont très importantes, puisque ces aménagements modifient profondément les courants, les écosystèmes littoraux et la biodiversité qu'ils abritent.

      Certaines étendues de terre , protégées par des digues fixes et permanentes, ont été gagnées sur des surfaces autrefois occupées par la mer, on les désigne sous le nom de polders. En France on trouve des polders en Picardie et dans l'estuaire de la Gironde, mais l'exemple le plus connu est celui des Pays-Bas, où ils constituent près d'un quart de la surface du pays.



      Les constructions surélevées ou sur pilotis existent depuis des siècles, en particulier sur les lacs ou dans les régions côtières. Elles permettent d'augmenter les surfaces habitables en installant des constructions dans des zones jusqu'alors inhabitées. Ce type d'installations nécessite cependant des équipements parfois coûteux pour limiter leur impact environnemental tout en répondant aux besoins des habitants collecte des eaux usées et des déchets, installation de l'électricité, déplacements...).
      Village sur pilotis au Cambodge



      La construction de maisons flottantes se développe à travers le monde, en particulier dans des zones où les terres présentent de faibles altitudes et sont donc souvent déjà affectées par la montée du niveau des mers (bord de fleuves, Floride, Pays-Bas...). Ce type de logement nécessite lui aussi d'adapter ses équipements et son mode de vie pour ne pas entrainer dimpacts négatifs sur l'environnement.

      Maison flottante sur le fleuve Neva (Russie)



      Face à la montée des eaux dans les zones côtières, une autre stratégie consiste à ne plus construire sur le front de mer, voire à reculer les constructions existantes pour les relocaliser dans les terres ou à des altitudes plus élevées. Cela implique parfois de déplacer d'importantes populations et de les reloger dans de nouvelles zones, plus sûres.

      Plus près de nous, la ville de Quimperlé (Finistère), qui subit régulièrement des épisodes d'inondations causées par les crues, a mis en place plusieurs stratégies complémentaires. En amont de la rivière, la création et l'entretien de talus bocagers et de zones humides (marais) freine le ruissellement des eaux de pluie, en partie capturées par les sols et la végétation. Le cours d'eau est également réaménagé pour ajouter des méandres et créer des zones de débordement en campagne, afin de ralentir l'écoulement. Enfin, dans la ville, l'installation de barrières anti-inondations le long des berges de la rivière protège les habitations et les commerces en cas de crue.

      Ces mesures présentent des aspects positifs pour l'environnement, en recréant ou en protégeant des zones naturelles favorables à la biodiversité (talus, méandres de rivière, zones humides).
      barrière anti-inondation, ville Quimperlé

      Il est important aussi de préciser que les enjeux de la montée des eaux ne se limitent pas aux contructions, sur lesquelles se concentre ce défi. En s'infiltrant dans les sols, l'eau salée peut rendre des terres impossibles à cultiver et rendre l'eau douce impropre à la consommation pour les humains et les animaux d'élevage.
      ation pour les humains et les animaux d'élevage.)
    • Un coup de pouce pour la biodiversité  + (De plus en plus de communes, d'intercommunDe plus en plus de communes, d'intercommunalités et de collectifs citoyens se mobilisent pour favoriser la protection de la biodiversité dans notre environnement au quotidien. Certaines mesures sont très peu coûteuses, d'autres permettent de faire des économies tout en donnant un "coup de pouce à la biodiversité (ne plus tondre les pelouses aussi souvent, composter les déchets organiques des cantines au lieu de les jeter à la poubelle, ne plus ramasser la laisse de mer sur les plages). Chacun peut agir à son échelle, et souvent avec des moyens très raisonnables : même sur un petit balcon, il est possible d'attirer des pollinisateurs en plantant des herbes aromatiques, de permettre à des oiseaux de se nourrir ou de nicher en fabriquant de petits dispositifs avec du matériel de récupération... L'éducation, la sensibilisation des publics sont aussi des moteurs très efficaces pour inciter un plus grand nombre de citoyens et de pouvoirs publics à agir en faveur de la biodiversité.blics à agir en faveur de la biodiversité.)
    • Empreinte végétale  + (Décorer des tissus que vous pourriez étendre chez vous comme décoration ! Avec les noms des feuilles en plus, vous pouvez fabriquer un herbier mural.)
    • Disque de Secchi  + (En automne et en hiver, les pluies sont frEn automne et en hiver, les pluies sont fréquentes et entrainent beaucoup de terre et de sable dans les cours d’eau, qui peuvent alors devenir très troubles. Ceci peut parfois s’observer aussi en bord de mer, à l’embouchure des rivières et des ruisseaux, surtout dans les zones côtières où les terrains sont en pente et dans les régions tropicales, où il existe une saison des pluies très intense.existe une saison des pluies très intense.)
    • Imagine... ton bord de mer  + (Gérer un territoire demande de prendre en Gérer un territoire demande de prendre en compte de nombreux éléments, en commençant par les besoins essentiels de la population, mais aussi de prendre chaque décision en prévoyant ses conséquences positives ou négatives. L'installation d'une construction occupe de l'espace, et peut parfois diminuer la beauté du paysage, ou générer des déchets, voire des pollutions, elle peut aussi apporter de nouveaux services aux habitants (nourriture, travail, production d'énergie...). L'aménagement et l'urbanisme s'appuient sur l'avis de professionnels experts, comme le.la responsable des déchets, des eaux... mais doivent aussi impliquer les citoyens, qui peuvent eux aussi agir sur leur territoire. La gestion d'une ville et l'adaptation du littoral au changement climatique représentent un travail complexe. Cela demande de recueillir l'avis d'experts, d'établir des diagnostics, de prévoir quels seront les besoins de la population et l'évolution du climat dans le futur. Pour agir efficacement, les décideurs doivent étudier les solutions techniques possibles, mais aussi sensibiliser et impliquer les citoyens dans la prise de décisions et les actions à mettre en oeuvre. Une ville n'est pas figée dans le temps, loin de là ! Il est parfois nécessaire de déconstruire des bâtiments anciens habitats plus petits, plus agréables et moins gourmands en énergies, , de détruite des routes ou des parkings construits sur le bord de mer pour esruarer des habitats naturels (marais maritimes, dunes...), de végétaliser et protéger les dunes littorales pour limiter les phénomènes d'érosion et de montée des eaux... Les nouvelles connaissances et techniques permettent aujourd'hui de répondre aux besoins des habitants des bords de mer tout en adaptant les constructions, les transports, la production d'énergie et de nourriture pour respecter l'environnement et faire face au conditions climatiques actuelles et futures.nditions climatiques actuelles et futures.)
    • Adaptation  + (Il se passe la même chose pour les êtres vIl se passe la même chose pour les êtres vivants. Par exemple, les oreilles du renard polaire sont petites et rondes, pour perdre le moins possible de chaleur, et donc moins se refroidir. En revanche, le renard des sables, le fennec, a de longues et larges oreilles pour perdre le plus de chaleur possible. De même, les derniers arbres qu’on trouve en s’avançant vers le pôle sont des arbres à aiguilles (des conifères). Ces petites feuilles résistent mieux au froid que les grandes. résistent mieux au froid que les grandes.)
    • La dilatation des océans  + (L'effet de serre créé par la présence de lL'effet de serre créé par la présence de l'atmosphère participe naturellement à réchauffer la Terre. Cependant, la production de gaz à effet de serre en grande quantité dans l'atmosphère, à cause de l'activité industrielle et des transports (qui brûlent du charbon, du pétrole ou du gaz), dérégle et augmente l'effet de serre naturel, ce qui provoque un phénomène global de réchauffement climatique. En se réchauffant, l'eau des mers et des océans se dilate (elle prend plus de place), les glaciers fondent en ajoutant de l'eau aux mers et océans. Ces deux phénomènes (dilatation et fonte des glaciers) fait monter le niveau des mers et des océans sur la planète. Ainsi, nombre de zones littorales sont menacées par l'augmentation du niveau de la mer d'ici les prochaines années, impliquant le recul des zones habitables dans les terres.ecul des zones habitables dans les terres.)
    • Billes sauteuses  + (L'électricité statique est présente dans lL'électricité statique est présente dans la vie de tous les jours, par exemple lorsque l'on touche une portière de voiture, ou que l'on retire un pull en laine l'hiver... Il arrive de temps en temps que l'on reçoive une petite décharge assez désagréable. C'est le même phénomène qui est aussi à l’origine des éclairs lors des orages ! L'électricité statique est également impliquée en partie, comme on vient de le voir, dans la pollinisation. Mais les charges électriques sur le corps des abeilles et bourdons pourraient également les desservir : si l’insecte vole trop près d’une toile d’araignée, les fils de la toile pourraient se déformer et le piéger !oile pourraient se déformer et le piéger !)
    • Eau électrostatique  + (L'électricité statique s'observe souvent dL'électricité statique s'observe souvent dans notre vie quotidienne, par exemple lorsque l'on reçoit une petite décharge en enlevant un pull en laine, ou en touchant une voiture. Les applications de l'électricité statique sont nombreuses, mais souvent peu connues : on l'utilise notamment dans les photocopieuses ou pour pulvériser de la peinture de façon plus uniforme en milieu industriel. Elle peut aussi représenter un risque d'incendie ou d'explosion lors des transferts de produits inflammables comme les produits pétroliers. L'une des techniques employées pour neutraliser les charges électrostatiques est de pulvériser des gouttelettes d'eau. == [[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Eau_%C3%A9lectrostatique&action=edit§ion=14 modifier]] '''Catégories''' ==ikidebrouillard.org/index.php?title=Eau_%C3%A9lectrostatique&action=edit&section=14 modifier]] '''Catégories''' ==)
    • La fonte des glaces - 2e méthode  + (La banquise est une étendue de mer gelée, La banquise est une étendue de mer gelée, elle se forme lorsque la surface de la mer gèle durant l'hiver polaire. Lorsque le temps se réchauffe, la banquise fond (en partie), mais cette fonte ne produit pas de hausse du niveau de l'eau car, comme dans le premier pot de l'expérience, la banquise est déjà dans l'eau. C’est le même phénomène que l’on peut observer lorsqu’on met des glaçons dans un verre que l’on rempli ensuite à ras bord. Le verre ne déborde pas, même quand tous les glaçons ont fondu. L’eau douce qui s'accumule sur les continents quand il neige finit par geler en formant des glaciers. Les icebergs sont des morceaux de glaciers qui se sont détachés sous l'effet du vent ou du réchauffement, et sont tombés dans la mer. Au moment où ils tombent, ils ajoutent un volume d'eau gelée dans la mer et font donc monter son niveau. C'est la fonte des glaciers, situés hors de l’eau, principalement au pôle sud (Antarctique), qui provoque une augmentation du niveau de la mer. Car comme dans le second pot de l'expérience, c'est la fonte de la glace qui n’était pas déjà présente dans la mer qui rajoute de l'eau à la mer. Ce phénomène entraîne une montée du niveau de la mer, provoquée à la fois par l'arrivée d’eau liquide issue de la fonte des glaciers et par la chute d'icebergs dans la mer. La montée du niveau des océans observée actuellement est due en partie à la fonte des glaces mais aussi à la dilatation de l'eau. En effet lorsque l’eau se réchauffe (sous l’effet du réchauffement climatique notamment) elle occupe un volume plus important. Le GIEC (Groupe Intergouvernemental d'Experts sur le Climat) estime que le niveau des océans a augmenté en moyenne de 19 centimètres entre 1901 et 2010, et qu'il pourrait encore s'élever de 26 à 82 cm supplémentaires entre les années 2000 et 2100.lémentaires entre les années 2000 et 2100.)
    • Découvrir la conductivité avec le Makey-Makey  + (La conductivité, soit la capacité des matéLa conductivité, soit la capacité des matériaux à laisser le courant circulé est centrale dans le fonctionnement du makey makey. Les éléctrons ne pourront pas se déplacer aussi bien dans le bois que dans l'eau. Le cuivre est ainsi un des meilleurs conducteurs métaliques.i un des meilleurs conducteurs métaliques.)
    • Eponge contre inondation  + (La destruction des zones humides, drainéesLa destruction des zones humides, drainées au profit des terres agricoles ou des zones habitables, entraîne une forte perte de biodiversité. Mais en plus de cela, ces transformations nous privent de l’épuration et des protections naturelles contre les inondations (filtration de l'eau, zone d’expansion des crues) que permettent ces écosystèmes. Nous sommes alors amenés à construire des ouvrages bien plus coûteux (barrages, réservoirs de rétention d’eau...) pour remplir le même rôle ! De plus, recouvrir de bitume les sols proches des cours d’eau les rend imperméables, accentuant le ruissellement de l’eau et la puissance des inondations. Les zones humides existent également sur les littoraux. Certaines d'entre elles, les mangroves, sont des groupements de végétaux (palétuviers) de régions tropicales situées dans la zone de balancements des marées et souvent à l’embouchure de fleuves. Elles protègent les zones côtières contre les tempêtes : elles servent de brise-vent et de zones tampons contre les inondations, protégeant ainsi les terres situées le long du littoral. Les mangroves abritent également une grande quantité d'espèces comestibles, pouvant jouer un rôle dans la lutte contre la famine ou la malnutrition. Elles sont aussi des zones de reproduction et de croissance pour les jeunes de nombreuses espèces vivant au large. Cependant, l'urbanisation de plus en plus forte du littoral met en péril ces écosystèmes pourtant indispensables pour protéger les littoraux et la biodiversité de ces zones et des zones adjacentes.sité de ces zones et des zones adjacentes.)
    • Imagine... ta ville  + (La gestion d'une ville et l'adaptation du La gestion d'une ville et l'adaptation du milieu urbain au changement climatique représentent un travail complexe. Cela demande de recueillir l'avis d'experts, d'établir des diagnostics, de prévoir quels seront les besoins de la population et l'évolution du climat dans le futur. Pour agir efficacement, les décideurs doivent étudier les solutions techniques possibles, mais aussi sensibiliser et impliquer les citoyens dans la prise de décisions et les actions à mettre en oeuvre. Une ville n'est pas figée dans le temps, loin de là ! Il est parfois nécessaire de déconstruire des bâtiments anciens, des routes ou des parkings pour créer des habitats plus petits, plus agréables et moins gourmands en énergies, installer des espaces verts et des points d'eau pour éviter les trop fortes chaleurs et diminuer la pollution. Les nouvelles connaissances et techniques permettent aujourd'hui de répondre aux besoins des citadins tout en adaptant les constructions, les transports, la production d'énergie et de nourriture pour respecter l'environnement et faire face au conditions climatiques actuelles et futures.nditions climatiques actuelles et futures.)
    • Imagine... ta campagne  + (La gestion d'une ville et l'adaptation du La gestion d'une ville et l'adaptation du milieu rural au changement climatique représentent un travail complexe. Cela demande de recueillir l'avis d'experts, d'établir des diagnostics, de prévoir quels seront les besoins de la population, l'avolution des activités économiques (notamment l'agriculture) et l'évolution du climat dans le futur. Pour agir efficacement, les décideurs doivent étudier les solutions techniques possibles, mais aussi sensibiliser et impliquer les citoyens dans la prise de décisions et les actions à mettre en oeuvre. Une ville de campagne n'est pas figée dans le temps, loin de là ! Il est parfois nécessaire de déconstruire des bâtiments anciens pour créer des habitats plus modernes, plus agréables et moins gourmands en énergies, développer les transports pour faciliter la mobilité et l'emploi des habitants sans augmenter la pollution, permettre une production agricole de proximité sans dégrader l'environnement. Les nouvelles connaissances et techniques permettent aujourd'hui de répondre aux besoins des citadins tout en adaptant les constructions, les transports, la production d'énergie et de nourriture pour respecter l'environnement et faire face au conditions climatiques actuelles et futures.nditions climatiques actuelles et futures.)
    • Cours d'eau naturel et cours d'eau reprofilé  + (La plupart des villes sont construites à pLa plupart des villes sont construites à proximité d'une rivière ou d'un fleuve [4]. Historiquement, c'est la première source d'alimentation en eau potable. Les cours d'eau en ville sont très souvent canalisés pour limiter les risques d'inondation [5]. Dans la réalité, il existe une très grande diversité de rivières et de tronçons. Il est d'ailleurs difficile de différencier les portions de manière aussi catégorique. Par exemple, un tronçon droit ne sera jamais parfaitement rectiligne, sans pour autant former de longs méandres sinueux. Un méandre au contraire, est une succession de tronçons droits et de virages. Il peut être tentant de placer les éléments problématiques tout en amont ou tout en aval de notre rivière. Cela revient à déplacer le problème ailleurs que sur notre commune ! Des aménagements sur une portion de rivière pour répondre à une problématique peuvent en créer d'autres en aval. Par exemple, un canal pour limiter l'érosion en ville peut accélérer l'écoulement de l'eau et créer des inondations sur le lotissement qu'elle traverse, plusieurs kilomètres en aval. C'est pour cette raison qu'aujourd'hui les communes se regroupent (en syndicat mixte par exemple) pour avoir une gestion du cours d'eau cohérente tout le long du tracé [5,6].eau cohérente tout le long du tracé [5,6].)
    • Coefficient de ruissellement  + (Le coefficient de ruissellement varie beauLe coefficient de ruissellement varie beaucoup selon l’usage et la végétation d’un sol. On estime que 5% de l’eau qui tombe sur une forêt ruisselle, contre 25% sur un champ cultivé [3]. Et dans nos villes alors ? Les toits de nos habitations n’absorbent pas l’eau, bien au contraire, leur coefficient de ruissellement est de 100% ! Globalement, le coefficient de ruissellement en ville dépasse 90%. Lorsque nous construisons nos habitations ou nos routes, nous créons des surfaces imperméables (étanches) pour l’eau. Lors de fortes précipitations, celle-ci est alors contrainte de ruisseler. Les petites surfaces qui ne sont pas recouvertes ne suffisent généralement pas à absorber toute l’eau qui tombe sur toute la zone. L’eau continue de ruisseler et s’accumule, c’est l’inondation ! On estime qu’en 2010, presque 9% de la surface de la France était artificialisée (c’est à dire utilisée par l’homme, d’une manière ou d’une autre), dont 5% totalement imperméables (habitations, routes, etc.) [2] ! L’artificialisation des sols continue en France ! Dans la majorité des cas (90% entre 2000 et 2006, [1]), ce sont d’anciens sols agricoles qui sont artificialisés. Ceux-ci ne sont alors plus capables d’absorber et de filtrer l’eau. Aujourd’hui, lorsque que l’on souhaite créer de nouvelles zones d’habitations, on est obligé de prendre en compte le ruissellement. Une solution souvent utilisée est de créer un “bassin de rétention”, qui va pouvoir accueillir toute l’eau qui ruisselle et éviter les inondations. Celui-ci a un coefficient de ruissellement très faible, voire nul, d’abord parce qu’il est en forme de cuvette (l’eau ne peut pas s’en échapper), mais aussi parce que son sol est très perméable, comme du sable.on sol est très perméable, comme du sable.)
    • Acidification des océans  + (Le phénomène d'acidification des océans esLe phénomène d'acidification des océans est étudié par de nombreux scientifiques depuis plusieurs années. C'est une autre conséquence, dramatique pour l'environnement, de l'excès de CO2 dans l'atmosphère, qui est aussi en partie responsable du réchauffement climatique (avec d'autres gaz à effet de serre). Un échange permanent existe entre l'atmosphère et les océans (mais aussi les lacs et les rivières), qui absorbent une partie du CO2 atmosphérique. L’augmentation de la concentration de CO2 dans l'atmosphère due à la pollution rompt un équilibre et augmente la quantité de CO2 qui se dissout dans l'eau. L’absorption par l’eau de ce CO2 en excès a deux conséquences majeures sur les mers et les océans : -      leur pH diminue (c’est l’acidification proprement dite, même si le pH de l’eau reste, et restera toujours, supérieur à 7), -      leur concentration en carbonates (CO32-) diminue également. Les organismes calcifiants, c'est-à-dire ceux qui sont protégés par une coquille, une carapace ou un squelette en calcaire (aussi appelé carbonate de calcium), comme par exemple les coquillages, les crustacés, mais aussi certaines algues, sont les plus menacés par l’acidification. Ces organismes utilisent les ions carbonate et du calcium pour former leurs protections de calcaire : c'est la calcification (Ca2+ + CO32- -> CaCO3). Lorsque les organismes calcifiants se trouvent dans un milieu appauvri en ions carbonate (à cause de l'augmentation de la quantité de CO2), leurs coquilles deviennent plus fragiles, ils mettent plus de temps à les construire, et les larves souffrent plus souvent de malformations. Les organismes non calcifiants peuvent aussi être perturbés par la diminution du pH, qui peut affecter leur comportement, leur croissance ou encore leur reproduction. L'acidification des océans a entraîné une diminution du pH de l'eau de mer, qui est en moyenne 30 % plus acide (ou plutôt devrait-on dire « moins basique ») aujourd'hui que dans les années 1800. On observe déjà un impact sur les organismes calcifiants : disposant de moins d'ions carbonates, certains ont plus de difficultés à fabriquer leurs structures calcaires. On a par exemple constaté un ralentissement de la croissance des huîtres ou des moules, ce qui affecte aussi les élevages. Dans certaines régions du globe, l'eau de mer est même devenue corrosive pour de petits organismes calcifiés du plancton, comme les ptéropodes, qui représentent la base des chaînes alimentaires, et qui se raréfient. Ce phénomène d'acidification des océans se poursuit et s'accélère : les chercheurs estiment que d'ici l’année 2100, le pH de l'eau de mer devrait encore diminuer et atteindre un pH de 7,7 à 7,6. Cela équivaut à multiplier par trois l'acidité actuelle (car l’échelle du pH est logarithmique). Pour enrayer ou du moins ralentir le phénomène, le plus efficace serait de s'attaquer directement à sa cause, en limitant la production de CO2 généré par les activités humaines, ce qui permettrait également de freiner le réchauffement climatique. Or le CO2 produit par l'homme est issu majoritairement de la combustion de sources d'énergie fossiles : pétrole, charbon et gaz. Le recours à des sources d'énergies ne produisant pas de CO2 semble donc incontournable.
      l'homme est issu majoritairement de la combustion de sources d'énergie fossiles : pétrole, charbon et gaz. Le recours à des sources d'énergies ne produisant pas de CO<sub>2</sub> semble donc incontournable. <br/>)
    • Fleur de papier capillaire  + (Le phénomène de capillarité est visible auLe phénomène de capillarité est visible au quotidien, quand un buvard aspire de l'encre, quand l'encre imprègne le papier lorsqu'on écrit, quand on essuie un liquide avec une éponge. Si l'on trempe un morceau de sucre dans un liquide le morceau de sucre se colore à mesure que le café s'infiltre dedans. La capillarité entre en jeu (même si cela est très minoritaire) dans la montée de l'eau et de la sève dans les plantes. (Voir ici pour plus de détails [https://www.science-et-vie.com/article-magazine/quest-ce-qui-fait-monter-la-seve-dans-les-plantes])qui-fait-monter-la-seve-dans-les-plantes]))
    • Bateau à propulsion à eau  + (Le principe d'action-réaction est à l'origLe principe d'action-réaction est à l'origine de nombreux mouvements que l'on observe au quotidien. Il sert à la propulsion de véhicules, comme les bateaux à rames : les rameurs exercent une force sur l'eau vers l'arrière, tandis que l'eau exerce en retour une force sur le bateau, en le propulsant vers l'avant. Ce principe s'applique aussi aux avions « à réaction ». L'exemple le plus spectaculaire est la propulsion des fusées, car elle s'exerce dans l'espace, donc dans le vide. Une fusée produit une force vers l'arrière en expulsant des gaz, qui génèrent en retour une poussée de la fusée vers l'avant. La fusée ne s'appuie donc ni sur de l'air ni sur de l'eau, mais directement sur les gaz qu'elle éjecte.is directement sur les gaz qu'elle éjecte.)
    • Qu'est-ce que les Biocides  + (Les biocides sont utiles au quotidien et pLes biocides sont utiles au quotidien et participent à l'hygiène de nos lieux de vie. Heureusement, de plus en plus de biocides d'origine naturelle sont développés aujourd'hui [4]. Ceux-ci sont plus rapidement dégradés dans l'environnement, leur impact est donc moindre. On préfère également utiliser des méthodes alternatives pour lutter contre les espèces nuisibles [5]. Ces moyens de lutte physique ou biologique (plutôt que chimique) ont l'avantage de ne pas faire de dégâts sur l'environnement, mais sont parfois moins efficaces ou plus coûteux. Parmi ces méthodes alternatives, on retrouve : *Le lâcher de prédateurs, comme les coccinelles pour lutter contre les pucerons ; *Les pièges, qui attirent les insectes indésirables et permettent de n'éliminer qu'eux ; *La lutte manuelle, comme le désherbage à la main; *Les moyens physiques, les hautes températures notamment, qui permettent de tuer les bactéries dans l'alimentation sans ajouter de biocide.ns l'alimentation sans ajouter de biocide.)
    • Thaumatrope  + (Les dessins animés traditionnels mais aussLes dessins animés traditionnels mais aussi le cinéma en général se servent du même mécanisme ! A la manière d'un flipbook, des images légèrement différentes défilent suffisamment vite pour créer une illusion du mouvement et tromper le cerveau. Un peu d'histoire : Le thaumatrope a été inventé en Europe entre 1825 et 1830 par [https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=John_Ayrton_Paris&action=edit&redlink=1 John Ayrton Paris]. Au XIXeme siècle, plusieurs chercheurs essayaient de trouver une manière de donner du mouvement à une image fixe. Le thaumatrope est la première invention qui a permis de donner du mouvement. C'est ce que l'on appel le précinéma [https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9cin%C3%A9ma Histoire du précinéma sur wikipédia]A9cin%C3%A9ma Histoire du précinéma sur wikipédia])
    • Apollo thé  + (Les flammes des briquets, des allumettes oLes flammes des briquets, des allumettes ou de la gazinière vont vers le haut. C’est aussi le principe des montgolfières. Normalement, les montgolfières (l’ensemble ballon et nacelle) sont plus lourdes que l’air, elles restent « clouées » au sol. Pour les faire décoller, on fait chauffer l’air à l’intérieur d’un ballon grâce à un brûleur. Quand on atteint une température assez haute, l’air chaud emprisonné dans le ballon compense le poids de la montgolfière et peut alors emporter le ballon avec la nacelle, la faisant décoller. Notons, qu’il faut plusieurs dizaines de minutes pour que l’air à l’intérieur du ballon soit assez chaud pour permettre à la montgolfière de décoller.r permettre à la montgolfière de décoller.)
    • BOXSON  + (Les objets programmables sont bien présents dans nos quotidiens aujourd'hui. Ce dispositif fait aussi penser aux jeux pour enfants qui diffusent des sons et des musiques. <br/>)
    • S'initier aux sciences participatives à la campagne  + (Les organismes vivants sont souvent difficLes organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Les informations collectées grâce à ces programmes aident à comprendre comment les animaux ou les plantes vivent, si certaines espèces ont tendance à devenir moins abondantes (exemple des abeilles et autres pollinisateurs en déclin), et de comprendre pourquoi (pollution, réchauffement, activités humaines qui perturbent parfois les espèces), ou si au contraire la biodiversité revient dans un endroit qui a été aménagé pour la faire revenir. Cette activité est inspirée du programme de sciences participatives Spipoll, développé par le Museum National d’Histoire Naturelle. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives.à un programme de sciences participatives.)
    • S'initier aux sciences participatives sur le littoral  + (Les organismes vivants sont souvent difficLes organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Grâce à ces études, les scientifiques ont pu déterminer par exemple que la pêche à pied avait entraîné une forte diminution des populations de bigorneaux sur les côtes bretonnes. Certaines espèces d’algues brunes sont également de moins en moins présentes sur nos littoraux, comme les laminaires, dont plusieurs espèces sont probablement perturbées par les effets du réchauffement climatique. Cette activité est inspirée du programme de sciences participatives Biolit, développé par l’association Planète Mer. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives.à un programme de sciences participatives.)
    • S'initier aux sciences participatives en ville  + (Les organismes vivants sont souvent difficLes organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Un programme comme "Sauvages de ma rue" apporte beaucoup aux personnes qui étudient les espèces végétales, il permet de : *Collecter des données et sensibiliser le public pour une meilleure connaissance des espèces et de leurs habitats, et pour favoriser leur préservation *Collecter des données dans le cadre d’une recherche scientifique s’appuyant sur un protocole scientifique établi Grâce à ces études, les scientifiques peuvent par exemple comparer les observations réalisées sur les plantes sauvages poussant sur les trottoirs par rapport aux observations collectées sur les mêmes espèces en milieu naturel, mesurer les effets de l'activité humaine sur la flore, estimer les changements liés au réchauffement climatique sur les végétaux au fil des années... Cette activité est adaptée du programme de sciences participatives "Sauvages de ma rue", développé par l’association Tela Botanica et le Museum National d'Histoire Naturelle. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives en suivant son protocole original.patives en suivant son protocole original.)
    • Les P'tit poissons  + (Les poissons utilisent un muscle qui comprime une poche pour monter ou descendre dans l'eau, c'est la vessie natatoire https://fr.wikipedia.org/wiki/Anatomie_des_poissons#Syst%C3%A8me_de_flottaison)
    • Transport et érosion : la dynamique des cours d'eau  + (Les rivières ont toujours changé de forme Les rivières ont toujours changé de forme avec le temps, mais au fur et à mesure que l’Homme s’est installé autour, il a cherché à les contrôler. Certains tronçons ont été redressés pour faciliter la navigation des bateaux, mais cela augmente la vitesse du courant et donc l’érosion. À d’autres endroits, on a construit des obstacles à l’écoulement des eaux ou des sédiments. En France, on a recensé plus de 75 000 ouvrages destinés à retenir l’eau (type barrage), dont 296 avec une hauteur supérieure à 20 mètres ! Les travaux réalisés sur une rivière peuvent avoir des impacts très importants sur l’écosystème et ses alentours. Les sédiments et leur transport ont un rôle extrêmement important dans la vie des rivières. Au fur et à mesure des crues et de l’érosion, ils se distribuent en fonction de la taille et s’accumulent à différents endroits de la rivière. Ils servent alors d’habitats à de nombreuses espèces, animales ou végétales. De plus, quand on parle d’une rivière, nous pensons souvent à son lit mineur. Or, le lit majeur (la zone inondée lors des crues) fait aussi partie de la rivière. Aujourd’hui, ce fait est souvent oublié lorsque des habitations sont construites dans ce que l’on nomme des « zones inondables ».e que l’on nomme des « zones inondables ».)
    • Une brochette de ballon  + (Lorsqu’un collant si file, on voit apparaiLorsqu’un collant si file, on voit apparaitre immédiatement un trou beaucoup plus grand que la maille. Si l'on veut ajouter un bulle dans une autre bulle de savon, il faut que l'outil qui nous sert à entrer dans la bulle entre délicatement en apportant de la matière qui va se répartir immédiatement sur toute la surface. C'est une opération périlleuse, attention à l'éclatement de la bulle !se, attention à l'éclatement de la bulle !)
    • ADN d'un oignon ou d'une banane  + (L’ADN (acide désoxyribonucléique) est consL’ADN (acide désoxyribonucléique) est constitué de petites séquences appelées gènes. Les recherches concernant les mécanismes, les maladies ou les manipulations impliquant l’ADN constituent une discipline scientifique : la génétique. L'ADN a trois fonctions : * Stocker l'information génétique qui permet de décrire le fonctionnement, le développement et le futur de la cellule qui le contient. * Transmettre l'information génétique, ce qui explique l'hérédité. * Permettre l'évolution. Comme l'ADN caractérise notre physique, lorsque notre ADN est modifié, notre physique se modifie également d’une génération à une autre. Aujourd'hui on entend beaucoup parler de l'ADN, par exemple dans les enquêtes criminelles ou en ce qui concerne le clonage. C'est aussi lui qui permet la création des OGM (organismes génétiquement modifiés). En l'analysant, il est également possible de découvrir des choses sur un organisme vivant, comme de connaitre son sexe, ou encore de mettre en évidence des maladies génétiques.ettre en évidence des maladies génétiques.)
    • Concurrents ou associés dans le sol  + (Nous venons de voir que pour protéger des Nous venons de voir que pour protéger des espèces, il faut apprendre à bien les connaître. Pour découvrir par toi-même quelques-uns de ces habitants du sol, découvre le programme de sciences participatives Jardibiodiv :http://ephytia.inra.fr/fr/C/25121/jardibiodiv-Procedure-d-observation-du-Jardinier-Amateur Tu pourras ainsi, grâce à des protocoles d’observation faciles à réaliser (présentés également dans le wikidebrouillard : [[piéger la faune du sol]] ; bloc de sol (prochainement) ; [[Aspirateur à bestioles|aspirateur à insectes]] ...), attraper et identifier les petites bêtes qui se cachent dans ton jardin, ou dans le parc à côté de chez toi ! dans ton jardin, ou dans le parc à côté de chez toi !)
    • L'éolienne  + (On commence à trouver des dynamos partout On commence à trouver des dynamos partout : dans les éoliennes mais aussi dans les radios à manivelle, les lampes de poche, etc... Les éoliennes sont fabriquées de la même façon. Elles possèdent, une grande hélice, un générateur et produisent de l'électricité de la même manière. A l'intérieur de l'éolienne nous avons, un '''rotor''' (qui est un aimant) et un '''stator''' (une bobine de cuivre). Le rotor tourne auprès du stator, ce qui entraîne une réaction électrique. En effet, dans notre stator (le cuivre), il a y a ce qu'on appelle, des '''électrons''' (invisibles à l'oeil nu). Ces électrons sont libérés par l'aimant qui tourne. Lorsque les électrons se libèrent, cela crée : '''de l'électricité'''.èrent, cela crée : '''de l'électricité'''.)
    • Proximity avec la TouchBoard  + (On pourrait remplacer certains interrupteuOn pourrait remplacer certains interrupteurs ou boutons publics afin d’éviter d’y toucher notamment dans le cadre de limitation de la propagation d’une épidémie. On peut aussi l’utiliser comme détecteur de passage lorsque l’on prend un livre sur une étagère par exemple.rend un livre sur une étagère par exemple.)
    • Allumettes qui bougent toutes seules  + (On retrouve ce phénomène d'eau qui remonteOn retrouve ce phénomène d'eau qui remonte dans les fibres par capillarité avec les meubles en bois qui gondolent et les portes en bois qui sont difficiles à ouvrir car elles gonflent dans les endroits humides. C'est aussi le même principe qui fait que le papier essuie-tout se gorge d'eau au contact d'un liquide., ou si l'on trempe un morceau de sucre dans un liquide. Nous pouvons retrouver également ce phénomène de capillarité dans la façon dont les plantes se nourrissent. La sève dans les végétaux se déplace par capillarité par exemple.ux se déplace par capillarité par exemple.)
    • Filtration de l'eau  + (On utilise la filtration notamment dans leOn utilise la filtration notamment dans les usines de production d'eau potable. Le passage de l'eau à travers des grilles puis à travers des filtres à sable aux grains de diamètre de plus en plus petit est une des étapes utilisées pour purifier l'eau et la rendre potable. Mais avant, on utilise des produits appelés coagulants et floculants pour agglomérer les particules contenues dans l'eau en « flocons » et les retenir plus facilement. La filtration n'élimine pas tous les polluants et les bactéries. On effectue donc ensuite une filtration sur membrane aux pores extrêmement petits (nanofiltration) pour éliminer les polluants organiques, par exemple ceux issus des engrais animaux. On procède aussi à une désinfection de l'eau par injection d'ozone ou passage sous des rayons UV, et en utilisant du chlore, pour éliminer les bactéries, qui passent à travers les filtres car elles sont microscopiques. Ce traitement coûte cher, mais il permet d'avoir de l'eau potable directement au robinet chez nous, ce qui n'est pas le cas dans tous les pays. C'est pour cela, et aussi parce que nous la salissons et qu'il faudra la nettoyer après nos utilisations à la maison, que nous payons l'eau du robinet en fonction de la quantité que nous utilisons. La filtration constitue aussi une large part du traitement des eaux usées, dans les stations d'épuration. Les filtres à sable sont également très utilisés dans les piscines, les fermes aquacoles à terre ou l'industrie des boissons, où l'on trouve également des filtres contenant des granulés de terre de diatomée calcinée, matière aux pores très petits, qui constitue donc un excellent matériau de filtration mécanique. La filtration au charbon actif est très fréquente dans les fontaines à eau ou les carafes filtrantes, elle permet d'éliminer en grande partie les odeurs ou les goûts désagréables causés par certaines molécules parfois présentes dans l'eau (chlore, chloramines, ammoniac...), mais aussi certains composés chimiques toxiques, comme des métaux lourds, des pesticides ou des phénols. On utilise aussi le charbon actif pour filtrer l'air, comme dans les hottes installées dans les cuisines ou les litières pour chats. Dans la nature, les sols et les zones humides agissent comme des filtres naturels sur les eaux de ruissellement, à la fois par filtration mécanique, chimique et biologique : - Ils retiennent les débris à travers les grains qui les constituent (filtration mécanique) ; - Ils capturent un grand nombre de polluants dissous dans l'eau comme des pesticides, des engrais (nitrates, phosphates...), que certains types de sols tels que l'argile fixent très bien (adsorption : filtration chimique) ; - Les plantes et les bactéries qui se développent sur et dans les sols absorbent et transforment une partie de la matière organique et des polluants transportés par l'eau, comme les nitrates, les phosphates, les métaux lourds (filtration biologique). La capacité des sols à filtrer et stocker l'eau est très différente selon la composition des sols, c'est à dire les proportions des différents matériaux qui les composent (argile, calcaire, sables...), leur granulométrie (taille des grains) et leur épaisseur.rie (taille des grains) et leur épaisseur.)
    • Nuage en Bouteille  + (Quand une masse d'air monte en altitude, eQuand une masse d'air monte en altitude, elle rencontre une pression atmosphérique de plus en plus réduite car il y a de moins en moins d'air au-dessus d'elle. Elle se détend, se « décompresse », et se refroidit par la même occasion. Si cette masse d'air était humide au début de son ascension, en se refroidissant elle va rejeter une partie de sa vapeur d'eau qui va se rassembler en... nuage ! C'est ainsi que se forment la plupart des nuages de pluie. Lorsque la vapeur d'eau se mélange avec des particules, comme celles de la fumée de l'allumette, cela crée un plus gros nuage avec des particules en suspension. Ces particules, en grandes quantités dans l'atmosphère peuvent être nocives pour notre santé et notamment causer des problèmes respiratoires (crises d'asthme, pneumopathies, ...). Imaginez un nuage rempli de pollution au dessus de nos têtes... ''Avez-vous déjà vu ce type de nuages au dessus des grandes villes, notamment aux périodes de l'année où il fait chaud ?'' Cette pollution atmosphérique est aussi responsable de la création des '''pluies acides''' pouvant endommager notre environnement.'' pouvant endommager notre environnement.)
    • La diversité spécifique, l'assurance de la fonctionnalité  + (Selon le service public Eau-France : – 79Selon le service public Eau-France : – 79 % des habitats d’eaux courantes (rivières) présentent un état de conservation globalement défavorable sur la période 2007-2012 ; – 60 % des habitats d’eaux courantes (rivières) présentent une tendance au déclin entre 2007 et 2012 ; – 95 % des habitats d’eaux dormantes (lacs, mares) présentent un état de conservation globalement défavorable sur la période 2007-2012 ; – 58 % des habitats d’eaux dormantes (lacs, mares) présentent une tendance au déclin entre 2007 et 2012 ; Même si ces chiffres ne traduisent pas directement la qualité fonctionnelle des écosystèmes, il est évident que les habitats aquatiques ont à faire face, en plus de leur raréfaction, à de nombreuses perturbations. Or, ces habitats assurent de nombreuses fonctions, comme le recyclage des nutriments issus du milieu terrestre ou la purification de l’eau. Ces perturbations remettent donc en cause au moins en partie les fonctions des écosystèmes aquatiques selon les mécanismes que nous avons vus lors de cette expérience. Par conséquent, il est important de préserver la biodiversité. Au-delà de diversité spécifique, c’est aussi la diversité fonctionnelle qui est en jeu.la diversité fonctionnelle qui est en jeu.)
    • Attention à la glace  + (Sensibilisation à la nature, aux mathématiques. Possibilité d'ouvrir le dialogue et d'essayer l'expérience avec d'autres objets <br/>)
    • Volcan sous-marin  + (Sur Terre il y a de l'air chaud et de l'aiSur Terre il y a de l'air chaud et de l'air froid, de l'eau chaude et de l'eau froide, ce sont ces différences de température qui sont à l'origine des vents et des courants marins. Depuis la nuits des temps, les volcans façonnent et détruisent de nouveaux paysages. Bien que potentiellenement dangereux, ils sont néanmmoins de bonnes ressources pour les humains notamment pour la production de chaleur et pour la fertilité des sols. Les volcans sont tout aussi fascinants que dangereux, ils sont la source de nombreux mythes et nous en apprennent beaucoup sur le fonctionnement de la Terre. Sans le volcanisme sous-marin, les îles comme Hawaï, La Réunion, les Galapagos ou l'Islande n'existeraient pas et leur géographie continue d'évoluer dû à l'activité volcanique. De même, l'activités des dorsales océaniques sont responsables de l'expansion des océans, par exemple la dorsale en atlantique éloignent les continents européen et américain l'un de l'autre et agrandit l'océan atlantique.de l'autre et agrandit l'océan atlantique.)
    • Fleurs et insectes pollinisateurs  + (Tu peux aider les chercheurs du Muséum natTu peux aider les chercheurs du Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN) à mieux connaître les pollinisateurs, '''en participant [https://www.spipoll.org/ au projet Spipoll]'''. Il s’agit d’un projet de science participative du programme Vigie-Nature, qui a pour but d’étudier les interactions qui existent entre les plantes et les insectes. Pour participer, le protocole est simple : il suffit de te munir d'un appareil photo ! A toi de jouer ! Tu peux toi aussi freiner à ton niveau la disparition des insectes pollinisateurs, à travers ta consommation et ton mode de vie : *protéger les habitats naturels des pollinisateurs : laisser des espaces fleuris et réduire les tontes dans les parcs et jardins, fabriquer des hôtels à insectes... *réduire directement et/ou indirectement l’utilisation des pesticides : **en privilégiant les alternatives favorables à la biodiversité pour protéger tes plantes (marc de café, savon noir…) **en consommant des produits respectueux de la planète, issus de l’agriculture biologique ou proposant des labels éco-responsables…e biologique ou proposant des labels éco-responsables…)
    • Découvrir une espèce menacée : le panda  + (Tu peux toi aussi agir de ton côté pour aiTu peux toi aussi agir de ton côté pour aider les pandas, et plus largement de la biodiversité, en cherchant à réduire l’impact que tu as au quotidien sur les changements climatiques, qui menacent les pandas, mais bien d’autres espèces sur Terre ! Pour cela, de nombreuses actions sont possibles ! Éteindre les lumières et les appareils en veille (ça consomme beaucoup d'énergie), privilégier les trajets courts en vélo, à pied ou en transport en commun plutôt qu’en voiture (ça pollue nettement moins), manger des aliments de saison et qui poussent près de chez toi (là aussi, ça réduira fortement la pollution et l'énergie nécessaire pour les faire voyager, pousser sous serre…)ur les faire voyager, pousser sous serre…))