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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Observations » avec la valeur « Les enfants apprécient de comprendre petit à petit le fonctionnement et de rendre le jeu de plus en plus difficile. Le jeu est modulable et adaptable à chaque enfant. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

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Liste de résultats

    • Jeu du robot  + (Les enfants apprécient de comprendre petit à petit le fonctionnement et de rendre le jeu de plus en plus difficile. Le jeu est modulable et adaptable à chaque enfant.)
    • Tache aveugle  + ( # Lors de la première étape de la manipul # Lors de la première étape de la manipulation, tu as dû constater qu'à mesure que la feuille approche de ton visage le point vert disparaît soudain, puis réapparaît à nouveau lorsque la feuille s'approche un peu plus. # Lors de la deuxième étape, c'est le point rouge qui cette fois-ci disparaît puis réapparaît alors que tu fixes le point vert. # Lors de la troisième étape, la feuille n'est plus horizontale puisque tu l'as orientée différemment, et les deux points ne sont donc plus alignés. Cette fois, tu distingues nettement les deux points et aucun des deux ne disparaît alors que tu approches la feuille de ton visage. # Lors de la quatrième étape, tu as colorié une tache autour de chaque point, d'une couleur différente de celle du point. Lorsque tu approches la feuille en fixant le point rouge, ton œil ne distingue plus qu'une tache rouge à la place du point vert. Même chose pour la tache verte lorsque tu changes d’œil. ur la tache verte lorsque tu changes d’œil. )
    • Les besoins des végétaux  + ('''Pot témoin :''' les feuilles sont bien '''Pot témoin :''' les feuilles sont bien vertes et fermes, les fleurs ne sont pas fanées elles sont épanouies, s’il y a des bourgeons on peut les observer éclore petit à petit. '''Expérience 1''' : la feuille entourée de papier et de scotch a perdue sa couleur, de sa fermeté, il est même possible qu’elle tombe et se détache du reste de la plante. Elle est morte. '''Expérience 2 :''' les fleurs sont fanées, les feuilles perdent peu à peu leur couleur verte et deviennent jaune voir même avec le temps marron, elles ne sont plus fermes, deviennent molles.es ne sont plus fermes, deviennent molles.)
    • Panneau photovoltaïque et choc électrique  + ('''Étape 1 :''' Lorsque le panneau photovo'''Étape 1 :''' Lorsque le panneau photovoltaïque est près d'une source lumineuse, l'hélice se met à tourner. Un courant électrique est donc produit. '''Étape 2 :''' Lorsque le second petit jeton vient heurter la file de jetons, le petit jeton situé à l'extrémité se déplace et se sépare de la file.rémité se déplace et se sépare de la file.)
    • Piéger la faune du sol  + (<big>Grâce aux pièges Barber, on peuGrâce aux pièges Barber, on peut observer : *qu’il existe une grande diversité de petits animaux du sol, dont on ne soupçonnait pas l’existence pour certains ! Pourtant, chacun joue '''un rôle très important''' '''dans le''' '''fonctionnement de nos sols''' !         *que la quantité et la diversité des petits animaux du sol que l’on récolte dans ces pièges barber peuvent fortement varier d’un piège à l’autre, même dans un même jardin, selon l’heure, le lieu (près d’un potager, d’une haie, au milieu de l’herbe...).ès d’un potager, d’une haie, au milieu de l’herbe...).)
    • Observer la faune d'un bloc de sol  + (<u>Grâce au bloc de sol, on peut obsGrâce au bloc de sol, on peut observer : * qu’il existe une grande diversité de petits animaux du sol, dont on ne soupçonnait pas l’existence pour certains ! Pourtant, chacun joue un rôle très important dans le fonctionnement de nos sols ! * que la quantité et la diversité des petits animaux du sol que l’on récolte dans le sol peuvent varier d’un bloc de sol à l’autre, même dans un même jardin, selon l’heure de récolte et le lieu (près d’un potager, d’une haie, au milieu de l’herbe...).ès d’un potager, d’une haie, au milieu de l’herbe...).)
    • Concurrents ou associés dans le sol  + (<u>On observe que</u> : <On observe que : Étape 3 : 2 - Les débris végétaux sont mangés par les fourmis, qui sont mangées par les araignées, elles-mêmes mangées par les poules ; 3 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, qui sont eux-mêmes broutés par les collemboles, mangés par les carabes, mangés par les hérissons ; 4 - Les débris végétaux sont mangés par les bactéries décomposeurs, mangées par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les carabes, mangés par les poules ; 5 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, mangés par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les fourmis, mangées par les hérissons. Étape 4 : Les organismes vivants se mangent les uns les autres. Reliées entre elles, les 5 chaînes alimentaires forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte.''' Ce premier réseau, dit trophique, est basé sur des relations alimentaires, de prédation.''' Étape 5 : 1 - Les fourmis et les cloportes ''platyarthrus blancs'' ont une relation positive/neutre (+/0) '': on parle de commensalisme.  '' 2 - Les racines des salades et les vers nématodes ''pratylenchus'' ont une relation positive/négative (+/-) '': on parle de parasitisme.'' 3 - Les spores des champignons et les vers de terre ont une relation positive/neutre (+/0) : on parle de ''commensalisme, et même ici de phorésie : interaction neutre / positive liée à la notion de transport.'' 4 - Les racines des arbres et les champignons mycorhizes ont une relation positive/positive indissociable (+/+) : ''on parle de symbiose.'' 5 - Les hérissons et les bactéries de l'intestin ont une relation positive/positive parfois dissociable (+/+) : ''on parle de'' mutualisme. Étape 6 : - Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si un maillon du réseau vient à disparaître, ce sont les espèces voisines, puis au final l’ensemble du réseau qui sera impacté et modifié, amenant parfois à la disparition d'espèces associées (on parle alors de co-extinction). Bien connaître ces réseaux permet de comprendre comment fonctionne la vie sous terre, donc mieux la protéger. - L'humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu.turbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu.)
    • BOXSON  + (A chaque fois que l'on appuie sur le bouton la boite émet un son différent, dans la limite du nombre de sons enregistrés sur la carte mémoire L'ordre de lecture des sons est aléatoire.)
    • Chasse LED avec arduino  + (Appuyer, sans se tromper, sur le bouton asAppuyer, sans se tromper, sur le bouton associé à chaque Del. Dès qu'une erreur est commise, le jeu s'arrête et le score s'affiche. Chaque Del correspond à un palier. Celle de gauche signifie que vous êtes un champion de la ligue Pokémon, celle du milieu gauche un champion de l’arène de Cramois'ile, celle du milieu droit un champion d'Azuria, et celle de droite que vous quittez Bourg-palette. de droite que vous quittez Bourg-palette.)
    • Capteur de particules  + (Apres quelques minutes de fonctionnement, Apres quelques minutes de fonctionnement, on peut observer le poids en microgrammes de particules fines 1.0μm présentes dans un mètre cube d'air. Il est possible d'approcher un allumette éteinte près du ventilateur et observer la variation de particules, on peux aussi approcher le capteur près d'un pot d'échappement, dans une rue ...s d'un pot d'échappement, dans une rue ...)
    • Le jeu du vivier : la gestion d'un bien commun  + (Ce jeu aborde le sujet de l'exploitation dCe jeu aborde le sujet de l'exploitation des biens communs, notamment les conditions qui évitent de se retrouver en situation de surexploitation d'une ressource accessible à tous. Par exemple, si tout le monde pêche 3 poissons à chaque tour, le vivier n'a pas le temps de se régénérer : les poissons se reproduisent moins vite que la vitesse à laquelle on les pêche. Il y a donc une surexploitation de la ressource, qui conduit à sa disparition. Ce jeu présente un dilemme : du point de vue de la collectivité, il est souhaitable que chacun fasse preuve de retenue dans la pêche pour ne pas épuiser le vivier. Mais d'un point de vue individuel, il faut en pêcher le plus possible afin d'assurer un revenu pour faire vivre sa famille. Prendre des décisions en commun est un processus difficile, dont la mise en pratique soulève souvent de nombreuses questions. Dans le monde réel, les participants à des conférences internationales se heurtent aussi à ce genre de problèmes. Les joueurs peuvent expérimenter les processus qui provoquent des changements de comportements : -'''négociations entre particuliers''' : le groupe accepte d'exploiter un bien commun selon des règles négociées qui garantissent l'équité et l'accès à la ressource et sa durabilité (renouvellement). -'''limitation de l'exploitation''' : par '''quota''' (impose une quantité ou un volume maximal par pêcheur), par '''sélectivité''' (mise en place de normes pour les outils d'exploitation de la ressource, par exemple taille ou âge de la capture), ou par licence (seul un nombre strictement défini de pêcheurs peut accéder à l'exploitation); - '''introduction de frais/taxes''' : pour empêcher une surexploitation/surconsommation, on peut rendre l'utilisation du bien plus chère, donc moins attrayante, en prélevant de taxes d'incitation (devoir payer un poisson pour 3 pêchés par exemple).n (devoir payer un poisson pour 3 pêchés par exemple).)
    • Fouille archéologique (comme un vrai paléontologue ! )  + (Cette animation amuse beaucoup les enfants, attention à les faire nettoyer les tables, qu'ils ne perdent pas de pièces ou qu'ils ne les échangent pas)
    • Illustrer l'acidification des océans et identifier ce qu'est un bioindicateur  + (Comme nous, l'océan respire. Seulement, quComme nous, l'océan respire. Seulement, quand nous aspirons de l'oxygène (o2) pour expirer du dioxyde de carbone (Co2), l'océan fait l'inverse ! Il transforme ce Co2 en O2 ! Seulement, avec les dégagements de gazs à effet de serre et les autres polluants atmosphériques, la concentration de C02 présente dans l'océan devient progressivement trop forte, ce qui à pour conséquence d'acidifier petit à petit l'eau en augmentant son PH (Potentiel hydrogène). Dans notre expérience, le chou rouge représente l'eau de la mer, qui change de couleur en présence de vinaigre (acide). La réaction entre le vinaigre blanc et le bicarbonate de soude produisant du CO2, on observe que ce gaz colorie exactement de la même manière (en rose) notre jus de chou rouge. On peut donc également utiliser nos poumons pour colorier notre jus de chou rouge, puisque nous expirons du Co2 ! La craie ou le coquillage à dissoudre dans le vinaigre des bioindicateurs, puisqu'ils réagissent à une altération de leur environnement !t à une altération de leur environnement !)
    • Qu'est-ce que les Biocides  + (Des biocides, il en existe plein [1] ! PeuDes biocides, il en existe plein [1] ! Peut-être qu'il y en a d'autres que vous connaissez. On remarque plusieurs points communs entre tous ces produits : *Ils ont, pour la plupart, été mis au point durant la première moitié du 20e siècle avant que beaucoup ne soient interdits au début du 21e siècle ; *Ils ont le plus souvent un spectre large, ce qui les rend efficaces contre de nombreuses espèces, mais sans forcément distinguer les espèces indésirables de celles qui sont utiles ; *La plupart sont persistants, sous une forme ou une autre, c'est-à-dire qu'ils restent dans l'environnement et continuent à faire effet ; *Ce sont souvent des molécules qui interagissent avec le métabolisme, le fonctionnement du corps.e métabolisme, le fonctionnement du corps.)
    • Tornade bocal  + (En faisant tourner l'eau dans le bocal, tuEn faisant tourner l'eau dans le bocal, tu devrais voir un tourbillon se former. Ce tourbillon ressemble à un petit vortex et te montre comment l'eau se déplace en spirale. Tu pourras remarquer que l'eau se concentre vers le centre tout en s'élevant légèrement, ce qui est similaire à ce qui se passe dans une tornade. Ensuite, grâce au colorant tu pourras mieux visualiser le mouvement de l'eau. Le colorant va tracer le chemin de l'eau et te permettre de voir les courants et les tourbillons plus clairement. Enfin, cette expérience te permettra de comprendre comment les tornades se forment dans l'atmosphère. Bien que ce que tu observes soit à une échelle beaucoup plus petite, les principes de la dynamique des fluides restent les mêmes. C'est une manière fascinante de voir la science en action ! fascinante de voir la science en action !)
    • S'initier aux sciences participatives à la campagne  + (En fin d'activité, faire le bilan de chaquEn fin d'activité, faire le bilan de chaque groupe et comparer les observations : - Combien de groupes ou d’espèces différentes de pollinisateurs ont été observés ? - Combien d’individus au total sont venus dans chaque zone d’observation pendant les 10 minutes ? - Y-a t’il des points communs, des différences, ou des observations originales entre les différentes zones d’observation (quelles plantes présentes, une zone attire-t-elle plus de pollinisateurs que les autres, les espèces observées sont-elles les mêmes etc) ?èces observées sont-elles les mêmes etc) ?)
    • S'initier aux sciences participatives en ville  + (En fin d'activité, faire le bilan de chaquEn fin d'activité, faire le bilan de chaque groupe : - Combien d’espèces différentes de plantes ont été observées dans chaque portion de rue ? Quelles plantes ou quels types de plantes sont présents ? - Y-a t’il des points communs, des différences, ou des observations originales entre les différentes portions de rue étudiées ?les différentes portions de rue étudiées ?)
    • S'initier aux sciences participatives sur le littoral  + (En fin d'activité, faire le bilan de chaquEn fin d'activité, faire le bilan de chaque groupe : - Combien d’espèces différentes d’algues ont été observées dans chaque quadrat ? Quelles algues brunes sont présentes ? - Combien d’espèces différentes d’animaux ont été observées dans chaque quadrat ? - Y-a t’il des points communs, des différences, ou des observations originales entre les différents quadrats ?originales entre les différents quadrats ?)
    • Disque de Secchi  + (En fonction du cours d’eau ou de la saisonEn fonction du cours d’eau ou de la saison, la profondeur de Secchi peut varier. Elle se mesure en mètres ou en centimètres. Si plusieurs mesures sont réalisées le même jour, on peut également récolter un échantillon d’eau à chaque lieu de mesure et comparer visuellement l’eau échantillonnée (on estime alors si l’eau est claire, ou plus ou moins trouble).eau est claire, ou plus ou moins trouble).)
    • Photolangage - Pour vous, c'est quoi l'agriculture  + (Il existe différents types d’agriculture, Il existe différents types d’agriculture, en voici quelques exemples : hydroponie, serricultre, permaculture, monoculture, polyculture... Chaque agriculture répond à des objectifs et des enjeux différents, chacune d’entre elles est plus ou moins respectueuse de l’environnement. ou moins respectueuse de l’environnement.)
    • Magie informatique  + (L'animateur arrive à trouver la pièce à chaque fois.)
    • Le sténopé  + (L'image observée sur le calque est inverséL'image observée sur le calque est inversée. Il n'est pas possible de la rendre droite. La taille du trou fait varier la grandeur de l'image mais aussi sa netteté : plus le trou est grand, plus l'image est grande et floue. A l'inverse, plus le trou est petit, plus l'image est petite et nette.t petit, plus l'image est petite et nette.)
    • Frise chronologique de la vie des dinosaures  + (La frise est déployée sur la table, l'écriture est dans le sens des enfants, l'animateur voit le texte à l'envers.)
    • Boites de contrôle Petit Bot  + (Le Petit Bot réalise successivement les actions illustrées sur les boites imbriquées au déclenchement du buzzer.)
    • Création d'une voiture à propulsion élastique  + (Le fonctionnement de notre voiture est trèLe fonctionnement de notre voiture est très simple, tout d'abord une ficelle s'enroule autour d'un rapport manuellement en faisant tourner des roues, puis cette ficelle est elle-même attachée à un élastique qui va donc se tendre ainsi dès que nous allons arrêter de faire tourner les roues la tension accumulée sur l'élastique va dérouler la ficelle et donc faire tourner les rouesla ficelle et donc faire tourner les roues)
    • Jeu du robot  +
    • Memory Dinosaures  + (Les enfants attrapent, jouent avec les cartes avant que les animateurs donnent les consignes et les règles. Ils n'écoutent donc pas)
    • Quiz sur les dinosaures  + (Les enfants ne lèvent pas forcément la main et réponds sans attendre son tour. Privilégiez ceux qui respectent les consignes)
    • Jeu des 18 familles de dinosaures  + (Les enfants respectent les règles données mais ont tendance à tricher)
    • Manège à farine  + (Les grains de farine petit à petit se mettent en mouvement. Ils se déplacent entre le centre du saladier et le rebord.)
    • Hélipapier  + (Les pales de cet hélicoptère tournent très rapidement, tout en laissant descendre petit à petit la maquette vers le sol.)
    • Bon état écologique  + (L’assemblage des différentes définitions permet de comprendre la notion de bon état écologique.)
    • Projet Catapulte  + (Notre catapulte nous permet de projeter de petits objets légers à la force de notre index et d'un élastique sous tension. Il suffit de placer, imaginons, un petit caillou dans la cuillère et de tirer dessus, et là le caillou est projeté dans l'air !!)
    • Marche comme l'australopithèque  + (Notre colonne vertébrale a une forme de "SNotre colonne vertébrale a une forme de "S'". Cela permet de nous tenir droit, debout. Elle soutient notre tête et notre cage thoracique. Elle nous permet de faire courber notre dos. Où commence-t-elle et où finit-elle ? Où sont les "creux" et les "bosses" du 'S' ? En observant le squelette du singe, celui-ci a une colonne plutôt en forme de "C" ou d'arc de cercle. Cela rend le singe penché vers l'avant et donc pas droit. On remarque également une différence sur la forme du bassin. Le bassin de l'Homme est plus court en hauteur et plus large que celui du singe. Les fémurs (os longs colorés en jaune sur la 3e image) n'ont pas la même inclinaison à partir de l'articulation du bassin. Aussi, le singe a des bras plus longs que ses jambes, ce qui n'est pas le cas du squelette humain.
      Tu peux le vérifier en mesurant tes bras.
      La longueur des bras du singe rend l'avant de son corps plus lourd et lui rend plus difficile de se tenir debout car il penche en avant. Le singe peut marcher sur 2 jambes pendant quelques instants mais cela lui demande beaucoup d'efforts car son corps n'est pas adapté à une posture verticale prolongée. Sur la 3e image, on peut voir que la forme du bassin et l'inclinaison des fémurs de l'australopithèque sont plus proches du squelette humain que du squelette du singe. La partie inférieure du squelette de l'australopithèque paraît proche de celle de l'humain, mais on remarque qu'en suivant les traces de pas du site archéologique de Laetoli, la démarche n'est pas la même et il n'est pas si aisé de l'imiter (en tout cas, pas sur des kilomètres).
      est pas la même et il n'est pas si aisé de l'imiter (en tout cas, pas sur des kilomètres).)
    • Pocl  + (Notre pocl, se présente sous la forme d'unNotre pocl, se présente sous la forme d'un cube de dix centimètre de coté. Sur la face de devant il y a un petit écran qui permet d'afficher les messages explicatifs de la perturbation, sur une deuxième face il y'a une carte du réseau de tram TBM et sur une autre face une liste des quatre lignes de tram avec un bouton pour chaque ligne. Le cube peut être posé sur un petit socle ou être emmenée partout où on va.it socle ou être emmenée partout où on va.)
    • Calculer l'âge d'un arbre  + (Nous comprenons que les arbres de chaque eNous comprenons que les arbres de chaque essence pousse de manière différente en fonction des contraintes qui les entourent. Ce qui est remarquable à travers les cernes et leurs couleurs. Donc chaque essence d’arbre peut avoir la même taille, mais pas forcément le même âge et vice-versa.s pas forcément le même âge et vice-versa.)
    • Photos mystères au microscope USB  + (On constate que les différentes matières sOn constate que les différentes matières sont assez facilement distinguables : le carton et le papier contiennent des fibres visibles, la surface des végétaux a des cellules, le métal présente une surface lisse brillante et rayée… Il est aussi intéressant de noter les erreurs qui sont faites par les enfants : certaines matières, pourtant très éloignées, peuvent parfois se ressembler, car les formes se répètent dans la nature (exemple : surface de coquillage et empreinte digitale).face de coquillage et empreinte digitale).)
    • Fabriquer son beurre  + (Pendant cette expérience tu peux étudier lPendant cette expérience tu peux étudier les différents états que prend la crème avant de devenir du beurre. A chaque fois, tu dois regarder sa couleur et sa texture , et tu peux également goûter. Voici ce que tu vas observer :
      *La crème *La crème fouetté *Le babeurre : le liquide que tu as récupéré dans le plat *Le beurre
      uide que tu as récupéré dans le plat *Le beurre)
    • Expansion de l'univers  + (Plus on gonfle le ballon, plus les étoiles s'éloignent les unes des autres. Dire que l'univers est en expansion, c'est dire que les distances entre chaque objet grandissent.)
    • Pulmon' Air  + (Pour ce POCL Nous utilisons un petit balloPour ce POCL Nous utilisons un petit ballon de baudruche qui se gonfle en fonction du niveau de pollution de l’air, directement corrélé aux flux de transport automobile. symboliser par des LED rouge. Plus le trafic est dense, plus les LED s’allument. Ainsi, plus il y a de voitures sur la route, plus la qualité de l’air se dégrade, et moins le ballon se gonfle, symbolisant les effets de la pollution sur notre respiration.ets de la pollution sur notre respiration.)
    • L'effet Barnum  + (Pour mettre en évidence l' effet barnum, oPour mettre en évidence l' effet barnum, on demande à chaque participant.e de noter sur 5 la justesse du texte à propos de sa propre personnalité. C'est un bon indicateur pour savoir si votre expérience a marché. On révèle alors qu'en réalité, tous les textes sont les mêmes; on peut alors éventuellement observer une certaine incrédulité de la part des participant.es.incrédulité de la part des participant.es.)
    • Courant passera-t-il  + (Selon chaque étape on voit : * Étape 1 : lSelon chaque étape on voit : * Étape 1 : l'ampoule ne s'allume pas avec le sel seul. * Étape 2 : l’ampoule ne s’allume pas avec de l’eau seule. * Étape 3 : l’ampoule s’allume, mais l’intensité de la lumière varie en fonction de la quantité de sel présente dans l’eau.de la quantité de sel présente dans l’eau.)
    • Kiwizz  + (Super adapté pour un public enfant, nécéssite un approfondissement pour un public plus agées.)
    • Projet Bateau élastique  + (on peut observer un petit bateau a propulsion élastique fait à partir de barquette de bois agrafer les unes avec les autre.)
    • Créer le jeu Snake sur Scratch  + (Ça y est. Vous avez réussi à faire un petit jeu tout simple, il ne tient qu'à vous de vous amuser seul ou avec d'autres.)
    • 1 œil + 1 œil = 1 image!  + (Étape 1 : Chaque œil ne voit qu'une partieÉtape 1 : Chaque œil ne voit qu'une partie du paysage. On observe qu'une partie du champ de vision est commune aux deux yeux. Étape 2 : On peut observer un décalage des images. Étape 3 : On voit un trou dans la main. Étape 4 : Raté ! Très souvent on tape à côté de la croix.! Très souvent on tape à côté de la croix.)
    • Diversite et ressemblance  + ('''<u><big>Etape 1 / différenc'''Etape 1 / différences et ressemblances visibles et invisibles'''

      Nous constatons que :

      * chaque humain se différencie des autres par des critères visibles (taille, couleur de peau, forme du nez, couleur des yeux, forme et couleur des cheveux...) et invisibles (groupe sanguin),
      * vus de l'intérieur, nous sommes quasi toutes et tous pareils : même couleur et quantité de sang, mêmes os et organes placés aux mêmes endroits du corps : nous sommes toutes et tous organisés de la même façon.

      À qui appartient cette partie du corps, cet organe ou cet os ?
      À qui appartient cette partie du corps, cet organe ou cet os ?



      '''Etape 2 / biologiques ou culturelles ?'''

      Nous remarquons que nos différences et nos ressemblances sont de deux ordres, elles peuvent être biologiques ou culturelles :

      * '''exemples de différences biologiques''' : sexe, taille, couleur de peau, couleur des cheveux, des yeux, texture des cheveux, forme des yeux, du menton, de la bouche, du nez, tâches de rousseurs...
      * '''exemples de différences culturelles''' : langues parlées, religions/croyances pratiquées ou non, coutumes familiales, manière de manger, de s’habiller, comportements...
      * '''exemples de ressemblances biologiques''' : sous notre peau, nous sommes toutes et tous constitués de la même façon (os, organes, sang, même organisation et même fonctionnement du corps, du cerveau...) ;
      * '''exemples de ressemblances culturelles, comportementales''' : nous apprenons toutes et tous à manger, à communiquer, à marcher, à s'asseoir, à parler...


      '''Etape 3 / quelle est la nature de nos différences ?'''

      Nous observons que les groupes d’individus ne sont pas les mêmes selon les critères énoncés. Nos différences ne permettent donc pas de fabriquer des groupes homogènes, identiques : dès qu’un critère change, cela change la composition du groupe. Ainsi nous ne pouvons pas réduire un individu à un seul critère (sa couleur de peau, son origine, sa religion...) pour le différencier de nous, car il est bien plus complexe et il a forcément de nombreux autres critères en commun avec nous.

      En proposant aux jeunes de créer une graduation de leurs couleurs de peau, nous cherchons à leur montrer qu’il y a une évolution continue de la couleur de la peau entre les personnes, et que nous ne pouvons pas séparer les personnes en différentes “races” => Nous faisons des catégories (les Blancs, les Noirs, les Jaunes, les non-Blancs...), alors qu’en réalité nous coupons dans des continuums de couleur de peau de façon arbitraire : à partir de quand pouvons nous considérer qu’une personne est “blanche”, “non-blanche”, “noire”... ?

      Il en est de même si nous réalisons l’activité avec la taille. Nous coupons dans des continuums de taille de façon arbitraire : à partir de quand pouvons-nous considérer qu’une personne est grande ou petite ?

      Nos différences sont souvent “continues”, il n’y a pas de frontières : nous changeons de façon continue, nous grandissons de façon continue, nous progressons dans les langues de façon continue...

      => créer des groupes, catégoriser entraîne la réalisation de coupures arbitraires dans ces continuums.

      Nos différences biologiques et culturelles devraient être sans conséquences sur les humains. Mais ce n’est pas le cas : certaines de ces différences, alors qu’elles sont dans un continuum, sont utilisées pour créer et faire des catégories, stigmatiser, rejeter, dominer... '''Pourquoi la diversité humaine est-elle source de préjugés pouvant alimenter la construction du racisme ?'''

      sées pour créer et faire des catégories, stigmatiser, rejeter, dominer... '''Pourquoi la diversité humaine est-elle source de préjugés pouvant alimenter la construction du racisme ?'''<br /><br/>)
    • Filtration de l'eau  + (- Les débris les plus grossiers comme les - Les débris les plus grossiers comme les brindilles et les plus gros cailloux sont bloqués par le filtre à gravier, le filtre à sable et le charbon actif ; - Le filtre à gravier laisse par contre passer la terre, le colorant et les odeurs ; - Le filtre à sable piège aussi en grande partie la terre, on voit que l'eau qui en sort est plus limpide ; - Quant au charbon actif, il ne piège pas la terre mais élimine une partie du colorant et des odeurs, même si c'est un peu plus difficile à distinguer ; - Lorsque l'on superpose les filtres, les graviers en haut, puis le sable, puis le charbon actif, on élimine mieux les différents types de « polluants ». ''N.B : vérifier que certains éléments ne se retrouvent pas bloqués au niveau des bouchons percés. Dans ce cas il faut considérer qu'ils n'ont pas été arrêtés par le matériau filtrant testé, mais simplement que les trous pratiqués dans le bouchons auraient dû être un peu plus gros (sans pour autant laisser passer les matériaux qui constituent le filtre !).'' matériaux qui constituent le filtre !).'')
    • Un premier pas vers les sciences participatives avec Taxinome  + (===Quelques pistes de discussion si l'on s===Quelques pistes de discussion si l'on suit intégralement le protocole en groupe : === *'''Richesse spécifique''' : combien d’espèces ou de groupes différents ont été observés ? *'''Abondance''' : combien d’individus au total sont venus dans chaque zone d’observation (sur une même durée) ? *'''Comparaison entre zones''' : **Les mêmes espèces ont-elles été vues partout ? **Certaines zones attirent-elles plus de pollinisateurs que d’autres ? **Les plantes présentes semblent-elles influencer la fréquentation (fleurs riches en nectar, couleurs, diversité florale…) ? *'''Observations originales''' : y a-t-il eu des comportements particuliers, des espèces rares ou inattendues, des différences de taille/couleur dans un même groupe ? ===Ce que cela montre d’un point de vue scientifique : === *Les données brutes (observations de chaque groupe) prennent du sens '''lorsqu’elles sont comparées et mises en commun'''. *La biodiversité peut varier fortement selon '''l’habitat, les ressources disponibles, l’heure, la météo'''. *Observer et noter de façon rigoureuse permet de '''poser des hypothèses''' (ex. “les zones avec plus de fleurs colorées attirent davantage de pollinisateurs”).es attirent davantage de pollinisateurs”).)
    • Fiches défis Enquête santé  + (A la fin de la partie expérience, chaque gA la fin de la partie expérience, chaque groupe possède une part des informations (effet des canicules sur la santé, impact de l'acidification des océans sur les organismes calcaires et le stockage de CO2, risque allergiques lié à la pollution et à certains pollens, lien entre la protection des sols et les risques liés à l'eau, lien entre alimentation et santé environnementale). La présentation des expériences et la discussion en groupe entier permet de partager les connaissances acquises, puis de pouvoir débattre autour des solutions d'adaptation au changement climatique qui permettent de préserver notre santé.e qui permettent de préserver notre santé.)
    • Jeu des phalènes  + (Avant le début de la partie, on observe déAvant le début de la partie, on observe déjà que les phalènes d'une couleur opposée au panneau sur lequel ils sont posés sont plus faciles à voir que les autres. Dans des conditions normales de jeu, les enfants prendront naturellement les phalènes qu'ils arrivent le mieux à voir. Le jeu devant être joué dans la précipitation, les enfants sélectionnent donc les phalènes qu'il peuvent attraper le plus rapidement.qu'il peuvent attraper le plus rapidement.)
    • Équilibriste  + (Avec les deux tiges de chaque côté, le bouchon tient en équilibre. Le cure-dent et le bouchon oscillent vers une position d'équilibre. Cette position d'équilibre est dépendante de la géométrie des pics à brochette.)
    • Cours d'eau naturel et cours d'eau reprofilé  + (Ce n'est pas toujours évident d'anticiper Ce n'est pas toujours évident d'anticiper l'impact qu'auront nos aménagements sur le cours d'eau. En pensant résoudre un problème, on finit souvent par en créer un autre. Contrôler une rivière peut-être compliqué, voir contre-productif. On remarque qu'il est difficile de faire des choix. On ne peut pas laisser la rivière occuper tout l'espace avec ses méandres, mais on ne peut pas non plus tout canaliser. Il n'y a pas de bonne réponse en terme d'aménagement. Il faut à chaque fois essayer de concilier les usages et les besoins de la rivière. Certains aménagements peuvent avoir un gros impact sur le fonctionnement de notre cours d'eau. Un barrage, par exemple, implique d'inonder une partie du tronçon en amont et cause de l'érosion sur les tronçons en aval. Cependant, il permet aussi de prévenir les crues en aval et d'éviter que le cours d'eau ne se retrouve à sec lors des périodes les plus sèches.e à sec lors des périodes les plus sèches.)
    • EAU'pération adaptation  + (En général, le jeu est relativement difficEn général, le jeu est relativement difficile dans les premiers tours. En effet, les aléas climatiques sont subis, sans qu’il soit possible de s’adapter à court terme (les vulnérabilités ne commencent à descendre qu’à la fin du premier tour dans le meilleur des cas). Nous héritons du monde de nos prédécesseurs, de leurs choix et de leurs politiques d’adaptation. Cependant, il est nécessaire de commencer à s’adapter au changement climatique maintenant, car les effets de nos actions se feront sentir avec du délai (dû aux temps de mise en place des solutions d’adaptation). Naturellement, les solutions les plus intéressantes mises en place sont celles qui font baisser la vulnérabilité de plusieurs enjeux. Il est en effet important de prendre en compte le rapport efficacité / coût / délai dans nos choix d’adaptation. Certaines solutions prises à un certain moment ont pu être regrettées par la suite. On parle alors de mal-adaptation. Le concept de mal-adaptation est utilisé pour désigner un changement opéré dans les systèmes naturels ou humains face au changement climatique et qui conduit (de manière non intentionnelle) à augmenter la vulnérabilité au lieu de la réduire. Une situation de mal-adaptation correspond à l’une des situations suivantes : - Utilisation inefficace de ressources comparée à d’autres options d’utilisation (par exemple, le recours massif à la climatisation au lieu de l’investissement dans l’isolation). - Transfert incontrôlé de vulnérabilité d’un système à un autre, mais également d’une période à une autre. - Réduction de la marge d’adaptation future (mesures qui limitent la flexibilité éventuelle comme la plantation d’essences d’arbres à rotation longue). - Erreur de calibrage : sous-adaptation ou adaptation sous-optimale (par exemple, une digue de protection n’a pas été suffisamment rehaussée). ''Source [https://www.ecologie.gouv.fr/adaptation-france-au-changement-climatique#:~:text=de%20plan%20d%E2%80%99actions.-,La%20mal%2Dadaptation,-On%20utilise%20%C3%A9galement Ministère français de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires]'' Pendant le jeu, la principale contrainte est le fait de devoir choisir entre 8 solutions. Cette contrainte permet de mettre en lumière que pour bien s’adapter, il est nécessaire d’étudier un maximum de solutions afin de définir celles qui seront les plus adéquates. Ceci en analysant finement leurs avantages, inconvénients et coûts.sant finement leurs avantages, inconvénients et coûts.)
    • Tester l'effet de serre avec des glaçons  + (Le premier glaçon fondu devrait être celuiLe premier glaçon fondu devrait être celui situé sous le bocal en verre, le second celui sous rien et le dernier sous le coton. La température du thermomètre situé sous le saladier peut être moins élevée au début de l'expérience (selon la température de la pièce) puis la température sera plus élevé en fin d'expérience. Pour cette raison, il peut arriver que le glaçon non recouvert soit le premier à fondre. Ne pas hésiter à attendre que les glaçons aient fondu puis à replacer un glaçon dans chaque gobelet pour montrer qu'après un certain temps le saladier concentre la chaleur et accélère la fonte.concentre la chaleur et accélère la fonte.)
    • Lampe a lave, sans lampe  + (Les gouttes de vinaigre coloré descendent Les gouttes de vinaigre coloré descendent doucement dans l'huile pour atteindre le fond. Elles rejoignent le bicarbonate au fond du pot. Il y a formation de minuscules bulles à la surface du vinaigre coloré. Puis la goutte de vinaigre remonte dans l'huile pour rejoindre la surface. Ce cycle se reproduit plusieurs fois pour chaque goutte.produit plusieurs fois pour chaque goutte.)
    • Un coup de pouce pour la biodiversité  + (Pour chaque type d'habitat, naturel ou urbPour chaque type d'habitat, naturel ou urbain, il existe un panel de mesures envisageables pour favoriser le retour et la protection de la biodiversité. Leur mise en place n'a pas forcément le même coût financier et humain ou la même efficacité, elle peut faire l'objet d'un débat entre élus et citoyens pour les mesures collectives, mais certaines mesures peuvent aussi être mises en place très simplement par chaque citoyen qui le souhaite.lement par chaque citoyen qui le souhaite.)
    • L'empreinte ecologique des aliments  + (Pour évaluer l'empreinte écologique de l'aPour évaluer l'empreinte écologique de l'alimentation, nous avons retenu 4 catégories : '''Les matières premières:''' Les ingrédients et les matières utilisées pour la fabrication du produit sont-ils nombreux? Faut-il beaucoup de surface pour les produire ou les extraire? L'emballage nécessite-t-il beaucoup de matière première? '''La transformation:''' D'après vous, est ce que la préparation du produit a nécessité beaucoup d'énergie? Laquelle? Combien de transformations y a-t-il eu pour arriver au produit final? '''Le transport:''' Le produit vient-il de loin? D'où vient ses ingrédients? Où a-t-il été transformé? Et a-t-il parcouru beaucoup de kilomètres pour être distribué dans les magasins? '''Le retraitement:''' Le déchet ou l'emballage est-il volumineux? Comment l'élimine-t-on? Faut-il beaucoup d'énergie pour le transformer ou le faire disparaître? Sa matière peut-elle être réutilisable à l'infini? Pour chaque catégorie, nous avons attribué, de manière symbolique, un nombre de jetons, représentant l'impact du produit. Le calcul de l'empreinte s'obtient en additionnant les différents jetons. Nous remarquons que l'empreinte est très différente d'un produit à un autre.t très différente d'un produit à un autre.)