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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Applications » avec la valeur « Les programmes informatiques intègrent des algorithmes, qui permettent d'augmenter la vitesse de calcul. ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

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Liste de résultats

    • Tour d'Hanoï  + (Les programmes informatiques intègrent des algorithmes, qui permettent d'augmenter la vitesse de calcul.)
    • Ballon en lévitation  + ( * '''L'effet Venturi sur une aile d'avion * '''L'effet Venturi sur une aile d'avion''' : On remarque que le dessus d'une aile d'avion est bombé alors que le dessous est plat. Donc l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] qui passe au-dessus va plus vite que l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] qui passe en-dessous. Ceci crée une dépression sur le dessus et une surpression en dessous : ainsi l'avion est aspiré vers le haut. On parle de '''portance'''. * '''L'effet Venturi dans une formule 1''' : l'effet Venturi sert à coller la voiture au sol (on parle d'effet de sol), tout en évitant de présenter une trop grande résistance à la pénétration dans l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] de la voiture. * '''Les pales d'une éolienne''' sont entourées d'un anneau correspondant en fait à un Venturi, ce qui permet de canaliser et d'amplifier la force du vent. Ainsi on peut obtenir un courant constant. Ceci permet d'augmenter la production énergétique. * '''L'effet Venturi en montagne''' : L'effet Venturi existe aussi naturellement dans les vallées et au sommet des montagnes. En effet, lorsque l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] rencontre une vallée, il accélère pour conserver le même débit. De même, l'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Air air] a tendance à s'écraser au sommet d'une montagne et donc à accélérer. Certaines cheminées mettent à profit l'effet Venturi, ce qui permet d'augmenter leur tirage. Dans un autre domaine, la plupart des pistolets à peinture qui servent à projeter la peinture en fines gouttelettes fonctionnent eux aussi sur le principe du Venturi. nnent eux aussi sur le principe du Venturi. )
    • Vitesse des planètes  + (Cette expérience met en évidence que les planètes de notre système solaire ne tournent pas toutes à la même vitesse suivant la distance qui les sépare du soleil. Ce phénomène a été décrit par Johannes Kepler dans sa troisième loi.)
    • Timbales  + (Dans l'orchestre, les timbales fonctionnenDans l'orchestre, les timbales fonctionnent selon ce principe. Les pédales dont elles sont munies permettent de tendre plus ou moins leur peau afin qu'elles produisent des sons plus aigus ou plus graves. (si il n'y a pas de pédale, tu peux régler la tension avec un système qui se vise).r la tension avec un système qui se vise).)
    • Son en 3D  + (Il existe des dispositifs qui permettent dIl existe des dispositifs qui permettent d'enregistrer le son binaural (en 3D). Il s'agit de deux micros placés à la même distance l’un de l’autre que les oreilles humaines. Ce type d'enregistrement donne l'impression que le son provient de plusieurs endroits différents, comme dans un environnement réel. Ce système peut être reproduit simplement en utilisant deux micros monophoniques omnidirectionnels fixés de chaque côté d'une boule de polystyrène par exemple. Certains logiciels permettent de réaliser des enregistrements de sons binauraux. La technique d'enregistrement binaural est de plus en plus utilisée, notamment par les radios qui veulent proposer aux auditeurs une perception des sons plus proche de la réalité. Certains sons binauraux sont aussi diffusés comme exercices de relaxation.si diffusés comme exercices de relaxation.)
    • Liquide qui change de couleur  + (Il existe plusieurs méthodes de mesure du Il existe plusieurs méthodes de mesure du pH, plus ou moins précises : on peut utiliser des indicateurs colorimétriques naturels ou de synthèse, du papier pH, qui est un papier imprégné d’un indicateur colorimétrique (mais dont la mesure est assez peu précise), ou avoir recours à un pH-mètre pour une mesure très précise. Le pH est une notion très importante en chimie, mais aussi pour l’environnement, dans l’alimentation, la médecine… - Le pH d’un milieu aquatique détermine les organismes qui peuvent y vivre. Des variations importantes de pH peuvent modifier la croissance ou le comportement de certaines espèces, ou même menacer leur survie. Si l’on possède un aquarium, il est indispensable de vérifier régulièrement le pH de l’eau pour garantir le bien être des plantes et des animaux qui y vivent. - Certaines plantes poussent mieux sur des sols acides, comme les orchidées ou les peupliers. D'autres préfèrent les sols neutres, comme la camomille. Le chou rouge et quelques autres plantes indiquent sur quel type de sol elles grandissent: leur couleur varie en fonction du pH du sol. On les appelle plantes indicatrices. Sur les sols acides, le chou est plutôt rouge, sur les sols basiques plutôt bleu. - Dans la consommation humaine, on retrouve beaucoup d’aliments acides : fruits et jus de fruits (agrumes surtout), tomates, vinaigre, sodas… Ces aliments peuvent avoir des effets négatifs s’ils sont consommés en excès ou si l’on souffre de certains problèmes de santé (ulcère à l’estomac, remontées gastriques…). En cuisine, on peut diminuer l’acidité d’une préparation en y ajoutant des produits alimentaires basiques, comme le bicarbonate de sodium. - Tu as peut-être aussi déjà entendu dans les publicités l'expression «pH neutre pour la peau». En effet, notre peau est légèrement acide (elle a un pH un peu inférieur à 6) c'est pourquoi la survie des bactéries et des champignons sur notre peau est difficile. Un nettoyage exagéré avec du savon peut augmenter le pH de la peau et la rendre plus sensible. C'est pourquoi il existe, particulièrement pour les peaux sensibles, des savons qui ont le même pH que la peau - leur pH est neutre pour la peau.la peau - leur pH est neutre pour la peau.)
    • Le jeu de Nim  + (On retrouve les algorithmes partout, pas qOn retrouve les algorithmes partout, pas que sur votre ordinateur. Par exemple, une recette de cuisine, est une suite d'instructions menant à un résultat (un gâteau ou un plat). En sport, lorsque vous devez changer votre stratégie de jeu en fonction des actions de l'adversaire, c'est de l'algorithme. Autre Exemple: pour résoudre un Rubik's cube, il y a une suite d'instructions à suivre. il y a une suite d'instructions à suivre.)
    • Les pollutions invisibles  + (<nowiki>Chacun d'entre nous possède Chacun d'entre nous possède une multitude de produits pour des utilisations différentes. Avant de les utiliser ou de les mélanger, il est important de connaître leur composition et les réactions qu'ils peuvent créer.

      Le vinaigre est un bon exemple, on peut l’utiliser de nombreuses manières : pour le ménage, en cuisine... Il peut servir à enlever des taches, mais doit être utilisé avec précautions, car il fait blanchir certaines surfaces comme le granit.


      Un grand nombre d’éléments invisibles peuvent être présents dans nos cours d'eau, et certains sont très polluants. Pourtant, la plupart du temps, on pourrait croire que l'eau est « propre » lorsqu’on l’observe à l’oeil nu. Cependant, si l’on examine l’eau au microscope, ou qu'on réalise des analyses, on peut souvent s’apercevoir que l'eau n'est pas aussi propre qu’elle n'en a l’air.

      La pollution de l'eau est présente sur toute la surface de la Terre et touche l’eau sous toutes ses formes (cours d'eau, océans, pluie, neige, glaces polaires...).


      Une activité ou un produit de l’activité humaine qui libère des produits dangereux pour l’environnement ou la santé est appelé une source de pollution.


      '''Les principales sources de pollution de l’eau'''


      '''La pollution domestique'''

      Elle provient des habitations et des bâtiments collectifs (écoles, commerces, hôpitaux...).

      En moyenne sur la planète, un habitant consomme 137 litres d'eau par jour*, dont la quasi-totalité est rejetée. Ce sont des eaux usées issues de la cuisine, de la salle de bain mais également des toilettes. Elles contiennent de nombreux polluants : des graisses, savons, détergents, matières en suspension, matières organiques ou minérales dissoutes, et plusieurs milliards de bactéries.

      * ''selon l'UNICEF en 2022''


      Les déchets ménagers font aussi partie de la pollution domestique. Un français jette environ 1 kilo de déchets par jour** (plastiques, métaux, piles, ampoules...). Leur rejet dans la nature pollue les rivières et les nappes souterraines. Par exemple, une bouteille plastique peut mettre jusqu'à 1000 ans à se dégrader, et pollue la nature pendant toute sa durée de vie.

      ** ''selon l'ADEME en 2022''


      '''La pollution agricole'''

      Elle représente la première source de pollution des ressources en eau. Les pollutions agricoles regroupent les pollutions liées à la culture, mais également à l'élevage. Les principales sources de pollution sont les engrais, les lisiers et les purins d'élevage ainsi que les produits phytosanitaires.

      Les engrais utilisés par l'agriculture contiennent de l'azote, et ses dérivés les nitrites et les nitrates. À l'échelle nationale, l'agriculture représente 33 à 66 % de la pollution en azote de l'eau.


      '''La pollution industrielle'''

      Les pollutions liées aux industries et les polluants qu’elles génèrent varient beaucoup en fonction du type d’activités. Les principales industries produisant des polluants sont les usines agroalimentaires (matières organiques, graisses), les usines de fabrication de papier, la chimie et l'industrie du cuir (divers produits chimiques), la métallurgie et les traitements des surfaces (métaux), le transport (hydrocarbures), les centrales nucléaires (déchets radioactifs et eaux chaudes utilisées dans les circuits de refroidissement).


      '''Les principaux types de polluants'''


      '''Les matières organiques''' ont durant très longtemps constitué les principaux polluants des milieux aquatiques. Elles proviennent des déchets domestiques (ordures ménagères, excréments), agricoles (lisiers) ou industriels (papeterie, tanneries, abattoirs, laiteries, …). Leur présence peut, en forte concentration, engendrer une asphyxie de la faune aquatique (manque d'oxygène), qui menace particulièrement les poissons.


      Les '''hydrocarbures''' sont présents dans les rejets des usines, garages et stations-services, et dans l’eau qui ruisselle sur les routes. En trop grande quantité, ils peuvent s’avérer très toxiques pour la faune et la flore aquatiques. Les pollutions aux hydrocarbures ne sont malheureusement pas rares. Plusieurs fois par an, le milieu marin subit des marées noires dues aux accidents ou aux rejets (parfois volontaires) d’hydrocarbures par des navires pétroliers.


      La '''pollution métallique''' est un problème très préoccupant, en raison de sa toxicité et de son accumulation dans la chaîne alimentaire : un humain qui consomme un poisson contaminé accumule non seulement les métaux contenus dans ce poisson mais également ceux contenus dans les proies que celui-ci avait mangées auparavant. Les métaux qui peuvent polluer l’eau, tels que l’aluminium, l’arsenic, le chrome, le cuivre, et les métaux lourds (mercure, plomb...), sont très dangereux pour la santé humaine. Ils proviennent des rejets d'usines, de l'épandage sur les sols agricoles, des boues de stations d'épuration, des eaux de ruissellement, et ne sont pas biodégradables.


      La '''pollution chimique''' provient de l'insuffisance des stations d'épurations, de l'absence des réseaux d'assainissement, du lessivage des sols, des ruissellement de la pluie sur la route et les toits des industries. Depuis le début des années 1950, de nombreuses régions industrielles subissent des pluies acides dues à la pollution de l'air par des gaz et des particules. Ces pluies endommagent fortement les forêts, les sols, les lacs et les rivières.


      La '''pollution thermique''' est de plus en plus présente. Elle est causée par les eaux de refroidissement de certaines industries. L'eau est pompée dans les cours d'eau ou dans le milieu marin, puis rejetée avec une température plus élevée de 4 à 5°C. Cela déséquilibre le milieu naturel et la vie des espèces aquatiques (reproduction perturbée, prolifération d'espèces nuisibles...).


      La '''pollution radioactive''' est rare, mais des accidents nucléaires comme celui survenu dans la centrale de Tchernobyl en 1986 peuvent avoir des conséquences désastreuses sur la santé humaine et l’environnement.


      '''Évaluer la qualité d’une eau'''


      On note la qualité d'une eau à l'aide de tableaux de critères dont la qualité est représentée par 5 couleurs :

      - Le bleu indique que l’eau est de très bonne qualité ;

      - Le vert indique que l’eau est de bonne qualité ;

      - Le jaune indique que l’eau est de qualité moyenne ;

      - Le rose indique que l’eau est de mauvaise qualité ;

      - Le rouge indique que l’eau est de très mauvaise qualité.


      Les études de la qualité des eaux se composent de trois parties : l'échantillonnage (c’est le prélèvement de l'eau), l'analyse et l'interprétation des résultats.

      Pour déterminer la pollution chimique et physique, on utilise la méthode du SEQ'eau, basée sur les paramètres chimiques (concentration en nitrites, nitrates, ammonium et phosphates), et physiques (température, pH, conductivité, salinité, taux d’oxygène...). On compare les résultats à un tableau de référence, où la qualité est représentée par une couleur.

      Pour évaluer la qualité globale d'une eau, on considère le paramètre dont la qualité la plus mauvaise. En général, il s’agit de la concentration en nitrates.


      Il existe également des méthodes d'analyses biologiques pour mesurer la pollution de l'eau. L'IBGN (Indice Biologique Global Normalisé) se base sur la diversité et les espèces de macro-invertébrés présents dans l'eau. L'IPR (Indice Poisson Rivière), l'Indice Biologique Diatomées, l'Indice macrophytes sont également des méthodes d'analyses biologiques de l'eau qui se basent sur la présence d’organismes vivants appelés « bioindicateurs ».


      Les méthodes microbiologiques permettent de déterminer la concentration en microorganismes qui peuvent causer des maladies : virus, bactéries, ou champignons, nombreux dans les eaux de notre planète. Les bactéries susceptibles de provoquer des maladies, comme'' Pseudomonas'', ''Escherichia coli'' ou ''Legionella'' figurent parmi les micro-organismes les plus recherchés.
      e Diatomées, l'Indice macrophytes sont également des méthodes d'analyses biologiques de l'eau qui se basent sur la présence d’organismes vivants appelés « bioindicateurs ».<br /><br /><br />Les méthodes microbiologiques permettent de déterminer la concentration en microorganismes qui peuvent causer des maladies : virus, bactéries, ou champignons, nombreux dans les eaux de notre planète. Les bactéries susceptibles de provoquer des maladies, comme'' Pseudomonas'', ''Escherichia coli'' ou ''Legionella'' figurent parmi les micro-organismes les plus recherchés.<br/></nowiki>)
    • Défi : l'eau monte !  + (De nombreuses régions subissent à la fois De nombreuses régions subissent à la fois les effets de la montée du niveau des mers et des océans et d'inondations fréquentes, dues à de fortes pluies et aux crues des rivières. Il arrive que ces phénomènes s'additionnent, par exemple lors des fortes marées et des tempêtes.


      Comme dans ce défi, il existe des stratégies nombreuses pour faire face à la montée du niveau des mers et à l'augmentation des épisodes d'inondation, de submersion et d'érosion des zones côtières. Chaque stratégie possède des avantages et des inconvénients, qui ne seront pas forcément exactement les mêmes que ceux observés dans cette expérience.


      Les enrochements permettent de protéger en partie les côtes de la violence des vagues lors des tempêtes. Ils sont surtout mis en place au niveau des plages de sable, mais leur efficacité reste limitée, leur coût économique et leur impact écologique ne sont pas négligeables.


      L'installation de digues et de barrages permer de créer une barrière étanche contre la mer. Il existe aujourd'hui des barrages mobiles, qui se dressent ou s'abaissent en fonction des conditions environnementales et météorologiques. Un dispositif de barrage escamotable, appelé MOSE (ou "Moïse") a ainsi été installé pour protéger la lagune de Venise lors des plus grandes marées. Il complète d'autres mesures de lutte contre la montée des eaux, notamment la surélévation des rives et la consolidation des berges de la lagune.

      Mais la construction et l'entretien de digues et de barrages s'avère très coûteux, et leurs conséquences environnementales sont très importantes, puisque ces aménagements modifient profondément les courants, les écosystèmes littoraux et la biodiversité qu'ils abritent.

      Certaines étendues de terre , protégées par des digues fixes et permanentes, ont été gagnées sur des surfaces autrefois occupées par la mer, on les désigne sous le nom de polders. En France on trouve des polders en Picardie et dans l'estuaire de la Gironde, mais l'exemple le plus connu est celui des Pays-Bas, où ils constituent près d'un quart de la surface du pays.



      Les constructions surélevées ou sur pilotis existent depuis des siècles, en particulier sur les lacs ou dans les régions côtières. Elles permettent d'augmenter les surfaces habitables en installant des constructions dans des zones jusqu'alors inhabitées. Ce type d'installations nécessite cependant des équipements parfois coûteux pour limiter leur impact environnemental tout en répondant aux besoins des habitants collecte des eaux usées et des déchets, installation de l'électricité, déplacements...).
      Village sur pilotis au Cambodge



      La construction de maisons flottantes se développe à travers le monde, en particulier dans des zones où les terres présentent de faibles altitudes et sont donc souvent déjà affectées par la montée du niveau des mers (bord de fleuves, Floride, Pays-Bas...). Ce type de logement nécessite lui aussi d'adapter ses équipements et son mode de vie pour ne pas entrainer dimpacts négatifs sur l'environnement.

      Maison flottante sur le fleuve Neva (Russie)



      Face à la montée des eaux dans les zones côtières, une autre stratégie consiste à ne plus construire sur le front de mer, voire à reculer les constructions existantes pour les relocaliser dans les terres ou à des altitudes plus élevées. Cela implique parfois de déplacer d'importantes populations et de les reloger dans de nouvelles zones, plus sûres.

      Plus près de nous, la ville de Quimperlé (Finistère), qui subit régulièrement des épisodes d'inondations causées par les crues, a mis en place plusieurs stratégies complémentaires. En amont de la rivière, la création et l'entretien de talus bocagers et de zones humides (marais) freine le ruissellement des eaux de pluie, en partie capturées par les sols et la végétation. Le cours d'eau est également réaménagé pour ajouter des méandres et créer des zones de débordement en campagne, afin de ralentir l'écoulement. Enfin, dans la ville, l'installation de barrières anti-inondations le long des berges de la rivière protège les habitations et les commerces en cas de crue.

      Ces mesures présentent des aspects positifs pour l'environnement, en recréant ou en protégeant des zones naturelles favorables à la biodiversité (talus, méandres de rivière, zones humides).
      barrière anti-inondation, ville Quimperlé

      Il est important aussi de préciser que les enjeux de la montée des eaux ne se limitent pas aux contructions, sur lesquelles se concentre ce défi. En s'infiltrant dans les sols, l'eau salée peut rendre des terres impossibles à cultiver et rendre l'eau douce impropre à la consommation pour les humains et les animaux d'élevage.
      ation pour les humains et les animaux d'élevage.)
    • Un coup de pouce pour la biodiversité  + (De plus en plus de communes, d'intercommunDe plus en plus de communes, d'intercommunalités et de collectifs citoyens se mobilisent pour favoriser la protection de la biodiversité dans notre environnement au quotidien. Certaines mesures sont très peu coûteuses, d'autres permettent de faire des économies tout en donnant un "coup de pouce à la biodiversité (ne plus tondre les pelouses aussi souvent, composter les déchets organiques des cantines au lieu de les jeter à la poubelle, ne plus ramasser la laisse de mer sur les plages). Chacun peut agir à son échelle, et souvent avec des moyens très raisonnables : même sur un petit balcon, il est possible d'attirer des pollinisateurs en plantant des herbes aromatiques, de permettre à des oiseaux de se nourrir ou de nicher en fabriquant de petits dispositifs avec du matériel de récupération... L'éducation, la sensibilisation des publics sont aussi des moteurs très efficaces pour inciter un plus grand nombre de citoyens et de pouvoirs publics à agir en faveur de la biodiversité.blics à agir en faveur de la biodiversité.)
    • Imagine... ton bord de mer  + (Gérer un territoire demande de prendre en Gérer un territoire demande de prendre en compte de nombreux éléments, en commençant par les besoins essentiels de la population, mais aussi de prendre chaque décision en prévoyant ses conséquences positives ou négatives. L'installation d'une construction occupe de l'espace, et peut parfois diminuer la beauté du paysage, ou générer des déchets, voire des pollutions, elle peut aussi apporter de nouveaux services aux habitants (nourriture, travail, production d'énergie...). L'aménagement et l'urbanisme s'appuient sur l'avis de professionnels experts, comme le.la responsable des déchets, des eaux... mais doivent aussi impliquer les citoyens, qui peuvent eux aussi agir sur leur territoire. La gestion d'une ville et l'adaptation du littoral au changement climatique représentent un travail complexe. Cela demande de recueillir l'avis d'experts, d'établir des diagnostics, de prévoir quels seront les besoins de la population et l'évolution du climat dans le futur. Pour agir efficacement, les décideurs doivent étudier les solutions techniques possibles, mais aussi sensibiliser et impliquer les citoyens dans la prise de décisions et les actions à mettre en oeuvre. Une ville n'est pas figée dans le temps, loin de là ! Il est parfois nécessaire de déconstruire des bâtiments anciens habitats plus petits, plus agréables et moins gourmands en énergies, , de détruite des routes ou des parkings construits sur le bord de mer pour esruarer des habitats naturels (marais maritimes, dunes...), de végétaliser et protéger les dunes littorales pour limiter les phénomènes d'érosion et de montée des eaux... Les nouvelles connaissances et techniques permettent aujourd'hui de répondre aux besoins des habitants des bords de mer tout en adaptant les constructions, les transports, la production d'énergie et de nourriture pour respecter l'environnement et faire face au conditions climatiques actuelles et futures.nditions climatiques actuelles et futures.)
    • Premiers pas avec Arduino  + (Ici on a vu comment régler un pin en mode Ici on a vu comment régler un pin en mode sortie, mais sachez que l’on peut également régler les pins en mode entrée et de demander à la carte de lire si du courant y circule et d’effectuer certaines actions si c’est le cas. C’est ce qui se passe notamment quand on utilise des capteurs. Par exemple, on pourrait commander l’allumage de la LED avec une télécommande infrarouge. Il faudrait pour cela brancher un capteur infrarouge sur un pin d’entrée de la carte. Lorsque l’on enverrait des ondes à l’aide d’une télécommande le capteur ferait circuler du courant dans ce pin, et la carte pourrait être programmée pour allumer la LED uniquement si c’est le cas. Une application possible de ce fonctionnement dans la vie de tous les jours sont les télécommandes de télévision. Chaque touche envoie un train d’onde particulier que la télévision interprète comme un ordre (changer de chaîne, augmenter le volume, la luminosité, …). Il existe de nombreux capteurs, sensibles à l’humidité, le mouvement, la lumière, etc.l’humidité, le mouvement, la lumière, etc.)
    • Eponge contre inondation  + (La destruction des zones humides, drainéesLa destruction des zones humides, drainées au profit des terres agricoles ou des zones habitables, entraîne une forte perte de biodiversité. Mais en plus de cela, ces transformations nous privent de l’épuration et des protections naturelles contre les inondations (filtration de l'eau, zone d’expansion des crues) que permettent ces écosystèmes. Nous sommes alors amenés à construire des ouvrages bien plus coûteux (barrages, réservoirs de rétention d’eau...) pour remplir le même rôle ! De plus, recouvrir de bitume les sols proches des cours d’eau les rend imperméables, accentuant le ruissellement de l’eau et la puissance des inondations. Les zones humides existent également sur les littoraux. Certaines d'entre elles, les mangroves, sont des groupements de végétaux (palétuviers) de régions tropicales situées dans la zone de balancements des marées et souvent à l’embouchure de fleuves. Elles protègent les zones côtières contre les tempêtes : elles servent de brise-vent et de zones tampons contre les inondations, protégeant ainsi les terres situées le long du littoral. Les mangroves abritent également une grande quantité d'espèces comestibles, pouvant jouer un rôle dans la lutte contre la famine ou la malnutrition. Elles sont aussi des zones de reproduction et de croissance pour les jeunes de nombreuses espèces vivant au large. Cependant, l'urbanisation de plus en plus forte du littoral met en péril ces écosystèmes pourtant indispensables pour protéger les littoraux et la biodiversité de ces zones et des zones adjacentes.sité de ces zones et des zones adjacentes.)
    • Imagine... ta ville  + (La gestion d'une ville et l'adaptation du La gestion d'une ville et l'adaptation du milieu urbain au changement climatique représentent un travail complexe. Cela demande de recueillir l'avis d'experts, d'établir des diagnostics, de prévoir quels seront les besoins de la population et l'évolution du climat dans le futur. Pour agir efficacement, les décideurs doivent étudier les solutions techniques possibles, mais aussi sensibiliser et impliquer les citoyens dans la prise de décisions et les actions à mettre en oeuvre. Une ville n'est pas figée dans le temps, loin de là ! Il est parfois nécessaire de déconstruire des bâtiments anciens, des routes ou des parkings pour créer des habitats plus petits, plus agréables et moins gourmands en énergies, installer des espaces verts et des points d'eau pour éviter les trop fortes chaleurs et diminuer la pollution. Les nouvelles connaissances et techniques permettent aujourd'hui de répondre aux besoins des citadins tout en adaptant les constructions, les transports, la production d'énergie et de nourriture pour respecter l'environnement et faire face au conditions climatiques actuelles et futures.nditions climatiques actuelles et futures.)
    • Imagine... ta campagne  + (La gestion d'une ville et l'adaptation du La gestion d'une ville et l'adaptation du milieu rural au changement climatique représentent un travail complexe. Cela demande de recueillir l'avis d'experts, d'établir des diagnostics, de prévoir quels seront les besoins de la population, l'avolution des activités économiques (notamment l'agriculture) et l'évolution du climat dans le futur. Pour agir efficacement, les décideurs doivent étudier les solutions techniques possibles, mais aussi sensibiliser et impliquer les citoyens dans la prise de décisions et les actions à mettre en oeuvre. Une ville de campagne n'est pas figée dans le temps, loin de là ! Il est parfois nécessaire de déconstruire des bâtiments anciens pour créer des habitats plus modernes, plus agréables et moins gourmands en énergies, développer les transports pour faciliter la mobilité et l'emploi des habitants sans augmenter la pollution, permettre une production agricole de proximité sans dégrader l'environnement. Les nouvelles connaissances et techniques permettent aujourd'hui de répondre aux besoins des citadins tout en adaptant les constructions, les transports, la production d'énergie et de nourriture pour respecter l'environnement et faire face au conditions climatiques actuelles et futures.nditions climatiques actuelles et futures.)
    • Des cratères d'énergie  + (La transformation de l’énergie est partoutLa transformation de l’énergie est partout autour de nous. La photosynthèse permet aux plantes de transformer l’énergie lumineuse en énergie chimique. Les dynamo de vélo permettent aux cyclistes d’utiliser l’énergie cinétique qui fait avancer leur vélo pour la transformer en énergie lumineuse et allumer leur ampoule. Les voitures nous emmènent d’un point A à un point B grâce à leur moteur qui transforme l’énergie chimique de l’essence, en énergie thermique qui met en marche des pistons puis cinétique qui fait avancer la voiture. Les appareils électriques consomment de l’énergie électrique. Cette électricité est obtenue grâce à l’énergie cinétique du vent, à l’énergie lumineuse du soleil, l’énergie potentiel de l’eau, l’énergie nucléaire de l’uranium…e l’eau, l’énergie nucléaire de l’uranium…)
    • Réseaux de tri  + (Les algorithmes sont utilisés quotidiennement pour : - résoudre des problèmes complexes à l'aide d'une démarche scientifique ; - fabriquer des intelligences artificielles (IA).)
    • Plantes et biocides  + (Les biocides sont des produits utilisés enLes biocides sont des produits utilisés en agriculture ou dans les jardins pour tuer des organismes (insectes, « mauvaises herbes », micro-organismes (champignons, bactéries)) qui pourraient nuire aux plantes que l’on veut faire pousser. Les pesticides sont des biocides. La plupart des biocides sont des produits de synthèse (chimiques). En France, on utilise chaque année plus de 66 000 tonnes de pesticides en agriculture. Le problème, c'est que les biocides ne détruisent pas uniquement les organismes qui dérangent nos productions : ils s’infiltrent dans les sols, dans l'eau, et peuvent nuire à l’environnement et à notre santé. Certaines techniques d'agriculture (comme en agroécologie, ou en agriculture biologique), permettent d'utiliser moins de biocides et ainsi de réduire la pollution. Afin de limiter l'utilisation de produits phytosanitaires, les structures porteuses de SAGE aident les communes de leur territoire à adopter le désherbage mécanique plutôt que chimique.
      erbage mécanique plutôt que chimique.<br/>)
    • Qu'est-ce que les Biocides  + (Les biocides sont utiles au quotidien et pLes biocides sont utiles au quotidien et participent à l'hygiène de nos lieux de vie. Heureusement, de plus en plus de biocides d'origine naturelle sont développés aujourd'hui [4]. Ceux-ci sont plus rapidement dégradés dans l'environnement, leur impact est donc moindre. On préfère également utiliser des méthodes alternatives pour lutter contre les espèces nuisibles [5]. Ces moyens de lutte physique ou biologique (plutôt que chimique) ont l'avantage de ne pas faire de dégâts sur l'environnement, mais sont parfois moins efficaces ou plus coûteux. Parmi ces méthodes alternatives, on retrouve : *Le lâcher de prédateurs, comme les coccinelles pour lutter contre les pucerons ; *Les pièges, qui attirent les insectes indésirables et permettent de n'éliminer qu'eux ; *La lutte manuelle, comme le désherbage à la main; *Les moyens physiques, les hautes températures notamment, qui permettent de tuer les bactéries dans l'alimentation sans ajouter de biocide.ns l'alimentation sans ajouter de biocide.)
    • Code minimal des fonctions réseau  +
    • A quoi servent les fleurs  + (Les insectes pollinisateurs permettent auxLes insectes pollinisateurs permettent aux humains d’accéder à une grande diversité de fruits et de légumes dans notre alimentation quotidienne, et la pollinisation nous rend d’immenses services économiques. '''La production de 84% des espèces cultivées en Europe (incluant la grande diversité de légumes et d'arbres fruitiers) dépend directement de la pollinisation par les insectes'''. À l’échelle de la planète, des études estiment que le service "pollinisation" offert par le monde animal à l’agriculture vaudrait environ 153 milliards d'euros/an  ! '''Il faut toutefois être très vigilant lorsqu’on aborde les services écologiques''', afin de ne pas réduire la biodiversité à une vision purement économique et fonctionnelle, qui fournirait des services aux humains. Car cette vision justifierait de donner une valeur à la nature en fonction des bénéfices que nous en retirons et d’accepter qu’il y ait donc une biodiversité utile, et une autre dont on pourrait se passer...et une autre dont on pourrait se passer...)
    • S'initier aux sciences participatives en ville  + (Les organismes vivants sont souvent difficLes organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Un programme comme "Sauvages de ma rue" apporte beaucoup aux personnes qui étudient les espèces végétales, il permet de : *Collecter des données et sensibiliser le public pour une meilleure connaissance des espèces et de leurs habitats, et pour favoriser leur préservation *Collecter des données dans le cadre d’une recherche scientifique s’appuyant sur un protocole scientifique établi Grâce à ces études, les scientifiques peuvent par exemple comparer les observations réalisées sur les plantes sauvages poussant sur les trottoirs par rapport aux observations collectées sur les mêmes espèces en milieu naturel, mesurer les effets de l'activité humaine sur la flore, estimer les changements liés au réchauffement climatique sur les végétaux au fil des années... Cette activité est adaptée du programme de sciences participatives "Sauvages de ma rue", développé par l’association Tela Botanica et le Museum National d'Histoire Naturelle. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives en suivant son protocole original.patives en suivant son protocole original.)
    • S'initier aux sciences participatives à la campagne  + (Les organismes vivants sont souvent difficLes organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Les informations collectées grâce à ces programmes aident à comprendre comment les animaux ou les plantes vivent, si certaines espèces ont tendance à devenir moins abondantes (exemple des abeilles et autres pollinisateurs en déclin), et de comprendre pourquoi (pollution, réchauffement, activités humaines qui perturbent parfois les espèces), ou si au contraire la biodiversité revient dans un endroit qui a été aménagé pour la faire revenir. Cette activité est inspirée du programme de sciences participatives Spipoll, développé par le Museum National d’Histoire Naturelle. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives.à un programme de sciences participatives.)
    • S'initier aux sciences participatives sur le littoral  + (Les organismes vivants sont souvent difficLes organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Grâce à ces études, les scientifiques ont pu déterminer par exemple que la pêche à pied avait entraîné une forte diminution des populations de bigorneaux sur les côtes bretonnes. Certaines espèces d’algues brunes sont également de moins en moins présentes sur nos littoraux, comme les laminaires, dont plusieurs espèces sont probablement perturbées par les effets du réchauffement climatique. Cette activité est inspirée du programme de sciences participatives Biolit, développé par l’association Planète Mer. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives.à un programme de sciences participatives.)
    • Tour d'Hanoï  +
    • Transport et érosion : la dynamique des cours d'eau  + (Les rivières ont toujours changé de forme Les rivières ont toujours changé de forme avec le temps, mais au fur et à mesure que l’Homme s’est installé autour, il a cherché à les contrôler. Certains tronçons ont été redressés pour faciliter la navigation des bateaux, mais cela augmente la vitesse du courant et donc l’érosion. À d’autres endroits, on a construit des obstacles à l’écoulement des eaux ou des sédiments. En France, on a recensé plus de 75 000 ouvrages destinés à retenir l’eau (type barrage), dont 296 avec une hauteur supérieure à 20 mètres ! Les travaux réalisés sur une rivière peuvent avoir des impacts très importants sur l’écosystème et ses alentours. Les sédiments et leur transport ont un rôle extrêmement important dans la vie des rivières. Au fur et à mesure des crues et de l’érosion, ils se distribuent en fonction de la taille et s’accumulent à différents endroits de la rivière. Ils servent alors d’habitats à de nombreuses espèces, animales ou végétales. De plus, quand on parle d’une rivière, nous pensons souvent à son lit mineur. Or, le lit majeur (la zone inondée lors des crues) fait aussi partie de la rivière. Aujourd’hui, ce fait est souvent oublié lorsque des habitations sont construites dans ce que l’on nomme des « zones inondables ».e que l’on nomme des « zones inondables ».)
    • Plantes au secours du sol et des dunes  + (Les végétaux, par leur diversité (taille, Les végétaux, par leur diversité (taille, forme, systèmes racinaires...), jouent un rôle de fixateur du sol et des dunes, grâce à plusieurs mécanismes : - réduction du débit (vitesse) de l'eau et donc de la force d'entraînement du sol par ruissellement ; - augmentation de l'infiltration de l'eau dans le sol grâce aux racines et donc diminution du ruissellement ; - interception des gouttes de pluie et donc réduction de l'impact de celles-ci sur le sol ; - restitution dans l'atmosphère d'une partie de l'eau contenue dans le sol par évapotranspiration. Lorsque nous coupons les arbres sur une pente en montagne, ou que nous arrachons les hautes herbes sur les dunes au bord de la mer, la pluie s'infiltre dans le sol, ruisselle en surface, creuse des ravines et entraîne la terre (ou le sable) le long des pentes… Sans plante pour le retenir, le sol se laisse entraîner par l'eau, provoquant parfois des torrents de boue. Le sol disparaît, ne recouvrant plus les roches sur lesquelles il s'était formé. Les plantes ne peuvent plus pousser. Voilà comment une région peut devenir désertique à cause des coupes et des arrachages intempestifs.des coupes et des arrachages intempestifs.)
    • Les plantes au secours des berges  + (Les végétaux, par leur diversité (taille, Les végétaux, par leur diversité (taille, forme, systèmes racinaires...), jouent un rôle de fixateur du sol et des berges, grâce à plusieurs mécanismes :
      *Réduction du débit (vitesse) de l’eau et donc de la force d’entraînement du sol par ruissellement ; *Augmentation de l’infiltration de l’eau dans le sol grâce aux racines et donc diminution du ruissellement ; *Interception des gouttes de pluie et donc réduction de l’impact de celles-ci sur le sol ; *Restitution dans l’atmosphère d’une partie de l’eau contenue dans le sol par évapotranspiration. Lorsque nous coupons les arbres sur une pente en montagne, ou que nous retirons les arbustes aux abords des cours d’eau, l’eau s’infiltre dans le sol, ruisselle en surface, creuse des ravines et entraîne la terre le long des pentes… Sans plantes pour le retenir, le sol se laisse entraîner par l’eau, provoquant parfois des torrents de boue. Le sol disparaît, ne recouvrant plus les roches sur lesquelles il s’était formé. Les plantes ne peuvent plus pousser. Voilà comment une région peut devenir désertique à cause des coupes et des arrachages intempestifs.
      cause des coupes et des arrachages intempestifs.)