Recherche par propriété

Cette page fournit une simple interface de navigation pour trouver des entités décrites par une propriété et une valeur nommée. D’autres interfaces de recherche disponibles comprennent la page recherche de propriété, et le constructeur de requêtes ask.

Recherche par propriété

Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Explanations » avec la valeur « On trouvera l'explication d'un physicien mentionnant les forces de Laplace à http://phymain.unisciel.fr/le-moteur-homopolaire/ .... et on y trouvera également des expériences complémentaires basées sur ces mêmes principes..... ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 41 résultats à partir du n°1.

Voir (200 précédentes | 200 suivantes) (20 | 50 | 100 | 250 | 500).


    

Liste de résultats

    • Moteur simple  + (On trouvera l'explication d'un physicien mentionnant les forces de Laplace à http://phymain.unisciel.fr/le-moteur-homopolaire/ .... et on y trouvera également des expériences complémentaires basées sur ces mêmes principes.....)
    • Au dela des étoiles  + (=== '''De manière simple''' === L'air chau=== '''De manière simple''' === L'air chauffé par la plaque électrique s'élève en déplaçant au-dessus de lui de l'air plus frais. L'air chaud et l'air froid ne laissent pas passer la lumière (et donc les images) de la même manière. Le paysage paraît donc en mouvement, car l'image que l'on en reçoit traverse de l'air en mouvement, froid ou chaud. === '''Questions sans réponses''' === * Existe-t-il un produit chimique ayant les mêmes effets ? * Le milieu de l'expérience a-t-il une influence ?ieu de l'expérience a-t-il une influence ?)
    • Dessine-moi un sapin  + (====== <u>ÉTAPE 1</u>. ====== ====== ÉTAPE 1. ====== Les dessins se ressemblent car le peu de temps donné pour dessiner oblige le cerveau à aller au plus efficace, à simplifier, à schématiser : ''par exemple, sapin = trois/quatre triangles + un tronc rectangulaire. '' Nous sommes allés très rapidement rechercher les informations les plus simplifiées rangées dans notre cerveau et associées au mot sapin, permettant de le décrire. ====== ÉTAPE 2. ====== Moins notre cerveau a le temps de s'imaginer l'objet, plus il va le schématiser, sélectionnant les éléments les plus représentatifs qui vont permettre selon nous de le décrire. À l'inverse, avec du temps, notre cerveau peut plus personnaliser l'objet, l'enrichir et prendre en compte plus de détails venant de notre culture, de notre éducation, de notre rapport personnel à l'objet ''(cf sapin avec des boules de Noël, pistes de ski...)'' et de la société dans laquelle nous vivons ''(cf. enfants qui ne fêtent pas Noël mais qui dessinent un sapin avec des cadeaux, car ils en voient à l'école, dans les magasins...). '' ====== ÉTAPE 3. ====== Notre cerveau catégorise, c'est-à-dire qu'il associe, trie, range les informations qu'il reçoit d'un objet par rapport à des éléments qui le décrivent (sa couleur, sa forme...) et des éléments associés à son contexte (ses usages, son milieu de vie...). Dans ces informations que notre cerveau associe à l'objet, certaines viennent de nos expériences collectives (en lien avec notre culture, notre éducation...) et sont communes à d'autres personnes, d'autres viennent de nos expériences personnelles (en lien avec nos souvenirs...) et sont individuelles. Ainsi, quand notre cerveau crée une catégorie avec le mot sapin, il regroupe un certain nombre d'informations que nous collons au mot sapin. Selon le temps disponible pour le représenter, nous allons chercher les informations qui sont les plus représentatives du sapin, nous les hiérarchisons. Plus nous aurons de temps pour le dessiner, plus nous pourrons le détailler, le personnaliser, le différencier du sapin dessiné par un autre. Selon le temps disponible et notre culture, nous n'utilisons pas les mêmes catégories. temps disponible et notre culture, nous n'utilisons pas les mêmes catégories.)
    • Force cachée du papier  + (Ceci s'explique grâce à la forme cylindriqCeci s'explique grâce à la forme cylindrique que l'on a donné au papier. En effet, la forme cylindrique est la plus efficace pour la répartition du poids des livres. Plus efficace car cette forme offre, pour le même périmètre, plus de surface par rapport aux autres formes géométriques comme le carré ou le triangle. Un pied carré est moins robuste car les arêtes constituent des points où les tensions s'accumulent au lieu de se répartir. Nous avons une surface plus grande grâce à la forme cylindrique ce qui implique donc une meilleure répartition des forces.donc une meilleure répartition des forces.)
    • Expansion de l'univers  + (Depuis sa création, l'univers s'étend de pDepuis sa création, l'univers s'étend de plus en plus. Cela signifie que les distances entre les astres grandissent. C'est ce qu'on appelle l'expansion de l'univers. Cela a été observé et expliqué au début du 20e siècle à l'aide de la théorie de la relativité générale d'Einstein. Cette théorie a radicalement changé notre façon de voir l'univers, et a permis d'expliquer des choses observées et qui ne trouvaient pas vraiment d'explication satisfaisante dans la théorie précédente (la gravité universelle de Newton).édente (la gravité universelle de Newton).)
    • Mon avion suspendu à l'effet Venturi  + (L''''effet Venturi''', du nom du physicienL''''effet Venturi''', du nom du physicien italien [https://fr.wikipedia.org/wiki/Giovanni_Battista_Venturi Giovanni Battista Venturi], est le nom donné à un phénomène de la [https://fr.wikipedia.org/wiki/Dynamique_des_fluides dynamique des fluides] où il y a formation d'une dépression dans une zone où les particules de fluides sont accélérées. Dans notre expérience, l'air soufflé à l'aide de la paille a moins de place pour passer quand il rencontre la bosse représentée par la feuille de papier. Il est coincé entre la feuille de papier et l'épaisse couche d’atmosphère qui est au-dessus de nous. Ainsi, pour que l'air passe quand même avec le même débit, chaque particule d'air est accélérée en passant au-dessus de la bosse, et donc, selon l'effet Venturi, la pression de l'air baisse au-dessus de la bosse, c'est-à-dire que l'air appuie moins sur le dessus de la bosse.ir appuie moins sur le dessus de la bosse.)
    • Lumière : Fontaine lumineuse  + (L'eau conduit davantage la lumière que l'aL'eau conduit davantage la lumière que l'air (indice de réfraction de l'air 1 pour 1,33 pour l'eau), la lumière du laser se trouve donc "piégée" dans l'eau et ne peut sortir dans l'air. L'angle que provoque naturellement la gravité a également une forte incidence.a gravité a également une forte incidence.)
    • Bateau à savon  + (La [http://ancien.wikidebrouillard.org/indLa [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] est une force s'exerçant sur un liquide qui l'incite à diminuer sa surface de contact avec l'air. Il s'agit d'une force de contact assimilable à une force de pression. L'eau possède donc une [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle]. Lorsque le bateau est déposé sans savon, la [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] de l'eau s'applique de manière équivalente sur tout les côtés de la pièce de papier, la résultante des forces engendrées est alors nulle et le système est en équilibre. Une molécule de savon possède un coté qui se lie à l'eau (hydrophile) et un coté qui se lie avec autre chose (graisse, terre, etc.. on dit hydrophobe). En se mélangeant à l'eau, les molécules de savon cassent la [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] de l'eau. La surface de l'eau se "déchire" en entrainant le bateau, un peu comme si le bateau était la partie mobile d'une fermeture éclair qui s'ouvre. Il faut alors changer l'eau du réservoir pour pouvoir recommencer l'expérience, car la [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] de l'eau est devenue trop faible en raison de l'action du savon.rop faible en raison de l'action du savon.)
    • Oeuf qui ramollit  + (La coquille de l’œuf a été dissoute par leLa coquille de l’œuf a été dissoute par le vinaigre. La coquille est principalement faite de calcaire (carbonate de calcium, CaCO3). Comme le bicarbonate, le carbonate de calcium va réagir avec le vinaigre ou d'autres acides. La réaction chimique produit également du CO2 (dioxyde de carbone), c'est la raison pour laquelle on peut observer des bulles à la surface de l’œuf et dans le verre. Le pigment qui donne sa couleur à l'œuf ne se dissout pas et reste collé à la paroi de l'œuf, c'est pour cela qu'il est rose. En revanche, il n'est plus solidaire du '''carbonate de calcium''' qui formait la coquille et un simple frottement permet de le retirer.un simple frottement permet de le retirer.)
    • Combien de pièces peut-on mettre dans un verre rempli d'eau  + (Les molécules interagissent entre elles, eLes molécules interagissent entre elles, et cela correspond à une certaine énergie. Les molécules se mettront toujours dans la position de moindre énergie. Or l'énergie pour les molécules d'eau est moindre si elles restent en contact avec d'autres molécules d'eau plutôt qu'avec des molécules de gaz (l'air). C'est pour cela que la configuration avec une "couche" d'eau qui dépasse du verre est plus stable que des gouttes qui se séparent pour couler le long du verre.
      ===Expériences complémentaires=== Refaire la même expérience avec d'autres liquides : de l'huile et de l'alcool. Est ce que le nombre de pièces (le volume) à ajouter est le même pour faire déborder le verre ? Réponse : non. L'huile et l'alcool sont des molécules différentes de l'eau. Elles n'interagissent pas ensemble de la même façon. Les configurations de moindre énergie ne sont donc pas les mêmes. Placer une assiette sur une balance et faire la tare. (Précision souhaitable de la balance : +/-1g). Placer un verre d'eau sur l'assiette, elle même sur la balance. Se placer dans la configuration où le verre est à la limite de déborder. Plonger un objet dans le verre et observer l'eau couler du verre dans l'assiette. Retirer un peu d'eau du verre, par exemple avec une pipette, sans rien faire couler. Retirer le verre d'eau de l'assiette. À quoi correspond le poids mesuré ? Réponse : au volume d'eau qui a débordé en ajoutant la pièce. Comme on connaît la masse volumique de l'eau (son poid par unité de volume, en gros 1 kilogramme par litre), on connaît donc le volume de l'eau qui a débordé. Ce volume est identique à celui de l'objet qu'on a plongé pour faire déborder le verre.
      jet qu'on a plongé pour faire déborder le verre.)
    • Moulage fidèle  + (Les préhistoriens utilisent la même méthodLes préhistoriens utilisent la même méthode. D'abord, ils coulent un élastomère (un produit qui durcit tout en restant souple) sur un sol archéologique. C'est la prise d'empreinte. Ensuite, ils coulent du plâtre ou de la résine spéciale dans l'empreinte. C'est le tirage de l'objet. La patine de l'objet est l'opération qui consiste à peindre le tirage pour lui donner les mêmes apparences que l'original .ner les mêmes apparences que l'original .)
    • Fusée à eau  + (Lorsque l'on actionne la pompe à vélo, on Lorsque l'on actionne la pompe à vélo, on envoie de l'air dans la bouteille. L'air envoyé dans la bouteille exerce une pression de plus en plus importante sur les parois de la bouteille mais également sur l'eau qu'elle contient. Lorsque la pression de l'air exercée sur l'eau devient trop importante, le bouchon fermant la bouteille est éjecté, et l'eau s'échappe rapidement. Ceci entraîne le décollage de la fusée. Lorsque la fusée s'est totalement vidée de son eau, elle revient sur Terre. vidée de son eau, elle revient sur Terre.)
    • Boulette rebelle  + (Lorsque l'on souffle simplement dans le goLorsque l'on souffle simplement dans le goulot, l'air n'est pas dirigé : il touche la boulette, mais également le fond de la bouteille. Cela entraîne une surpression dans la bouteille (on ajoute de l'air à celui déjà présent dans la bouteille). La surpression entraîne l'éjection de la boulette vers l'extérieur. Lorsque l'on utilise une paille pour souffler sur la boulette, l'air est dirigé directement vers celle-ci. Il n'y a pas de surpression dans la bouteille : la boulette n'est pas chassée vers l'extérieur, et peut donc entrerssée vers l'extérieur, et peut donc entrer)
    • Concurrents ou associés dans le milieu marin  + (On observe que lorsqu'une espèce fragiliséOn observe que lorsqu'une espèce fragilisée est enlevée (coraux, plancton), une grande partie du réseau trophique est fragilisée elle aussi. En effet, la proximité des espèces dans un réseau trophique et la complexité des interactions entre les organismes vivants impliquent que la fragilisation ou la disparition d'une espèce peut avoir d'importants impacts en cascade sur l'ensemble du réseau. L'acidification des océans fragilise des espèces à squelette calcaire comme le plancton et le corail qui sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépend une grande partie de la biodiversité marine et dont on dépend également. Ainsi, premier maillon des réseaux trophiques marins, le plancton est à la base de la vie dans les océans. Quant aux récifs coralliens, ils ne recouvrent que 0,5% des fonds marins, mais environ un tiers des espèces marines s'y nourrit, s'y abrite ou s'y reproduit. s'y nourrit, s'y abrite ou s'y reproduit.)
    • Ballon à réaction  + (On retrouve ici un principe d’action-réactOn retrouve ici un principe d’action-réaction, l’air qui est expulsé du ballon est “l’action”. En s’échappant du ballon l’air produit une force contre l’air ambiant. Imagine simplement qu’elle pousse l’air, comme tu pousserais un objet. Comme le dit [https://fr.wikipedia.org/wiki/Isaac_Newton Newton] cette force s’exerce également dans le sens opposé. C’est-à-dire que l’air ambiant pousse le ballon. Le ballon étant libre de bouger il se déplace le long de la ficelle, c’est la “réaction” ! C’est le principe des avions à réaction. Les réacteurs, fixés sous les ailes expulsent de l’air et du kérosène brûlé à grande vitesse vers l’arrière, ce qui fait avancer l’avion.e vitesse vers l’arrière, ce qui fait avancer l’avion.)
    • Drôle d'air dans mes poumons  + (Plus le ballon contient de farine, moins iPlus le ballon contient de farine, moins il se gonfle. Cela est dû au fait que la farine occupe du volume dans le ballon, mais également au durcissement de la paroi du ballon, rigidifiée par le mélange d’eau et de farine : moins élastique, la paroi se gonfle plus difficilement. Pendant le séjour de l’air dans les poumons, une partie de l’oxygène (O 2 ) qu’il contient passe dans le sang, tandis que le dioxyde de carbone (CO 2 ) que le sang a récupéré en circulant dans le corps passe dans les poumons. Mais les poumons reçoivent également toutes les petites poussières et gaz présents dans l’air que l’on respire. Lorsque ces intrus arrivent dans les poumons, ils sont évacués de deux façons différentes : * soit par la toux ou l'éternuement qui fait sortir l’air beaucoup plus fort, entraînant ainsi ce qu’il transporte ; * soit par la sécrétion par la membrane des poumons d’une grande quantité de mucus qui enveloppe les poussières et les entraîne vers la gorge, provoquant une toux ou une déglutition emportant les poussières dans le système digestif. Comme la farine et l’eau dans l’expérience, des poussières atteignant en grande quantité les alvéoles pulmonaires peuvent se mêler au mucus, durcissant ainsi les parois des poumons. Ces dernières se gonflent et se dégonflent alors plus difficilement, pouvant provoquer des difficultés respiratoires.t provoquer des difficultés respiratoires.)
    • Il fait tout noir dans l'espace  + (Pourquoi l'espace apparaît-il noir sur lesPourquoi l'espace apparaît-il noir sur les photos prises par les spacionautes ? D'après les expériences faites ci-dessus, il y a plusieurs explications : - sur la Terre, l'atmosphère terrestre filtre la lumière du soleil pour ne faire passer que certaines couleurs. - sur la Lune, il n'y a pas d’atmosphère pour filtrer la lumière, on voit donc l'espace tel qu'il est réellement. - l'espace est presque vide (à l'exception de quelques gaz), il n'y a donc pas de réflexion ou de diffusion de la lumière comme dans l'atmosphère (verre d'eau + lait). - l'univers est en expansion, les étoiles ne sont pas assez puissantes pour éclairer tout l'univers. - les étoiles proches de la Terre ne sont pas assez lumineuses et/ou trop vieilles pour éclairer la Terre.t/ou trop vieilles pour éclairer la Terre.)
    • Stylo élastique  + (Puisque l'objet n'a pas vraiment été modifPuisque l'objet n'a pas vraiment été modifié du fait de l'expérience, cela signifie que le phénomène que tu as observé est une '''illusion d'optique''' : c'est la manière dont tes yeux ont perçu le mouvement du stylo qui est à l'origine de cette impression de changement de consistance. La '''persistance rétinienne''' est une particularité du fonctionnement de l’œil et du cerveau, qui effectuent une '''superposition''' entre une image déjà vue et une autre que l'on est en train de voir. Cette persistance est liée au fait que ton cerveau met un certain temps pour traiter une image observée. Si l'image change trop rapidement, le cerveau continue à percevoir la première image alors qu'une nouvelle s'y superpose pendant ce temps. Dans notre expérience, comme le stylo se déplace très vite, ton cerveau a superposé plusieurs images de ses différentes positions et reconstitué le mouvement de celui-ci entre chaque image. Le résultat est cet effet de "stylo mou" que tu as pu constater par toi même. La persistance rétinienne est plus intense est plus longue si l'image observée est très lumineuse. Ainsi, lorsque tu regardes un objet brillant tel qu’une lampe ou un flash, tu continues à percevoir cet objet un certain temps même si tu regardes ailleurs. Il s'agit également d’une image persistante. s'agit également d’une image persistante.)
    • Pont en papier  + (<u>Défi 1</u> : Pour faire tenDéfi 1 : Pour faire tenir le pont en papier, plusieurs solutions sont possibles :

      - accumuler les couches de papier pour solidifier le tablier (partie où se fait le passage)

      - solidifier le tablier en pliant une des épaisseurs de papier en accordéon. Disposer les plis de façon perpendiculaire au sens de passage sur le pont, cela solidifie la structure.
      Pont en papier IMG 20200511 120438430.jpg
      Pont en papier IMG 20200511 120503831.jpg
      - positionner un arc sous le tablier. Les forces es répartissent ainsi le long de l'arc qui s'appuie sur les piliers (les verres).


      Défi 2 : Pour faire un pont tout en carton, il faut fabriquer des colonnes en papier. Les colonnes cylindriques sont plus solides que les colonnes en parallélépipède.
      Pont en papier IMG 20200511 120658431.jpg
      Toutes les explications ici : [[Spécial:AjouterDonnées/Tutorial/Force cachée du papier|Force cachée du papier]]
      )
    • La colonie des plantes  + ('''<u>Manche 1</u>''' Pour co'''Manche 1''' Pour coloniser un espace et pour que la plante trouve son équilibre, cela prend plusieurs années. Les plantes sont soumises à différentes pressions en lien avec le territoire qu'elles occupent (zone +/- humide, disponibilité de ressources dans le sol, lumière, etc.). De plus, leurs moyens de dissémination dépendent totalement d'éléments extérieurs : le vent, l'eau ou encore les autres animaux. En raison de la forte urbanisation et de l'agriculture, les plantes sauvages perdent beaucoup d'espaces à coloniser. Les activités humaines fragmentent également leurs territoires par l'installation de routes ou de lignes de train par exemple. Toutes les espèces ne sont pas adaptées de la même manière au changement climatique. Certaines sont plus résistantes et/ou résilientes à ce phénomène. Des plantes peuvent en effet vivre dans des climats très arides ou à l'inverse très humides. '''Manche 2''' Une augmentation de la température sur Terre provoque l'apparition de régions désertiques au Sud et la diminution de zones ayant un climat tempéré et/ou froid. Dans un désert, le sol est sec, infertile et il fait très chaud : 30-35°C. Certaines plantes sont plutôt résistantes et d'autres moins : elles entrent alors en compétition les unes avec les autres, et les plus vulnérables disparaissent. Des espèces de plantes s'adaptent plutôt bien au changement climatique et vont même aller jusqu'à conquérir de nouveaux territoires. Celles-ci peuvent être plus compétitrices que les plantes endémiques à une zone, ce sont les espèces exotiques envahissantes (EEE). '''Manche 3''' A l'échelle de vie des plantes, le changement climatique est très rapide. Comme pour de nombreuses autres espèces vivantes d'ailleurs. Les espèces n'ont pas le temps de s'adapter et sont également en difficulté du fait de leur faible vitesse de dispersion. En exemple, montrer les aires de répartitions actuelles et futures de deux espèces européennes : le Chêne vert et le Hêtre. actuelles et futures de deux espèces européennes : le Chêne vert et le Hêtre.)
    • Découvrir une espèce menacée : le panda  + ('''<u>Étape 4</u>''' La menac'''Étape 4''' La menace identifiée dans la BD est la destruction d’une partie de la forêt pour construire une route. Non seulement cela détruit directement des zones de forêts de bambous, mais ça contribue également à la fragmentation de la forêt, c’est-à-dire à son découpage en petits îlots séparés les uns des autres, ce qui réduit encore plus la surface disponible pour les pandas vivant dans cette zone et leur mobilité. De plus, la création de routes s’accompagne souvent de plus de déforestation le long de ces routes pour construire des habitats, récupérer des champs… Il existe d’autres causes à la déforestation : *l’agriculture (couper des parcelles d’arbres pour les transformer en champs) ; *l’urbanisation (construire des villes, des routes pour augmenter le tourisme…) ; *la construction de barrages ; l’exploitation de mines... *l’exploitation de la forêt pour récolter le bambou, le bois et les herbes médicinales... '''AU delà de la déforestation, qui est la principale menace qui pèse sur le panda''', il existe encore un peu de braconnage, ou des pièges (destinés à d’autres animaux) qui peuvent blesser voire tuer les pandas. Et indirectement, les changements climatiques fragilisent dans certaines zones géographiques les forêts de bambou, ce qui diminue également les zones de vie des pandas. '''Étape 5''' Au delà du fait que le panda soit mignon (donc tout le monde s’y intéresse), et que toute espèce doit être préservée pour elle-même, il existe plusieurs raisons de protéger le panda : *Qu’elles soient grandes ou petites, poilues ou avec des écailles, avec des pattes, des ailes ou rampantes, avec ou sans feuilles et fleurs, toutes les espèces jouent un rôle dans l’environnement, et sont liées à de nombreuses autres espèces. C’est pour cette raison que la disparition d’une espèce peut mettre en danger tout un ensemble d’autres espèces. C’est pourquoi il est important de les protéger. *De plus, le panda est une espèce dite “parapluie” : comme un parapluie, les efforts mis en place pour le protéger bénéficient à de nombreuses autres espèces partageant les mêmes territoires, et souffrant de ce fait des mêmes menaces (''notamment les singes dorés, les takins, les pandas roux, une espèce de cerf des bois, les ours noirs asiatiques, ainsi que la flore locale).''oux, une espèce de cerf des bois, les ours noirs asiatiques, ainsi que la flore locale).'')
    • Concurrents ou associés dans le milieu terrestre ? Les réseaux trophiques et réseaux alimentaires  + ('''Les végétaux sont toujours à la base de'''Les végétaux sont toujours à la base des réseaux trophiques. Ce sont des producteurs'''. Grâce à l’énergie du soleil, ils utilisent le dioxyde de carbone (CO2) de l’air pour produire de la matière (dite organique). Ils se nourrissent des minéraux du sol, provenant de la dégradation de végétaux et d’animaux par les micro-organismes (bactéries et champignons qui sont des décomposeurs). '''Les animaux sont des consommateurs''' : ils ne produisent pas seuls leur propre matière organique, ils ont besoin pour cela de consommer d’autres êtres vivants. '''Il en existe 3 types : les herbivores''' qui consomment les végétaux (lapin, chevreuil, chenille…), '''les carnivores''' qui se nourrissent d’animaux (rapace, loup, serpent…) et '''les omnivores''' qui se nourrissent d’animaux et de végétaux (mulot, renard...). Le réseau trophique est surtout basé sur des relations alimentaires, mais il n’existe pas que des relations alimentaires. Certaines espèces servent d’habitats ou d'abris à d’autres (arbres de la forêt pour le chevreuil, le lapin, le renard…), et il existe des relations entre espèces, bénéfiques ou non, qui peuvent être parfois très spécifiques : mutualisme, commensalisme, symbiose, parasitisme. À ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). Les multiples relations qui existent entre les espèces peuvent être parfois bénéfiques pour certaines, au dépend d’autres '''(+/-) : compétition, prédation et parasitisme'''. Mais les relations de coopération, bénéfiques pour les individus '''(+/+ ou +/0)''', sont également très importantes dans un écosystème. Elles se présentent sous trois formes : '''commensalisme, mutualisme et symbiose.''' Du fait de la disparition de certaines espèces (ex : mulot, renard...), d’autres vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient) ou augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le fonctionnement de l’ensemble de l’écosystème. Ainsi, en perturbant un écosystème (autoroutes, pesticides, coupe d’arbres, changement climatique...), non seulement nous altérons les réseaux trophiques des milieux concernés, mais nous modifions également les habitats et les relations de coopération et compétition qui existent entre les espèces, ainsi que les différentes fonctions de ces espèces dans leur milieu.différentes fonctions de ces espèces dans leur milieu.)
    • Les besoins des végétaux  + ('''Photo témoin :''' le géranium ne présen'''Photo témoin :''' le géranium ne présente pas particulièrement de signes de « manque » car il a tous les éléments nécessaires pour pousser convenablement (dont l’eau et la lumière mais aussi les nutriments présents dans la terre, la chaleur et le Co2 présents dans la pièce) '''Expérience 1 :''' le géranium n'avait pas accès à la lumière. Or, la lumière permet aux végétaux de vivre. Elle permet également aux feuilles d'être de couleur verte grâce aux chloroplastes. Si on avait mis le géranium pendant une semaine dans un endroit totalement noir, le géranium serait, au bout d’un certain temps, mort. Cette lumière lui permet en partie de faire la photosynthèse (voir pour aller plus loin) qui lui permet de pousser et de vivre. A savoir : trop ou pas assez de lumière entraîne la mort des chloroplastes et donc une mauvaise croissance '''Expérience 2 :''' nous avons retiré au géranium l’accès à l’eau. Or, l’eau permet elle aussi aux végétaux de vivre. Comme l’expérience nous le montre, sans eau, le géranium s’assèche, fane et finit par mourrir. L’eau est un élément essentiel de la vie de tout être vivant. Les végétaux fanent voir même meurent sans eau car l’eau permet le transport du sucre dans la sève, elle permet à la plante de réguler sa température, elle nourrit ses cellules et limite la prolifération des maladies et des parasites. Comme tout être vivant, la plante a besoin d’un certain nombre d’éléments pour grandir. Deux de ces éléments ont été mis en évidence au travers de cette expérience mais ce ne sont '''pas les seuls'''.ience mais ce ne sont '''pas les seuls'''.)
    • Plantes et biocides  + (- Le vinaigre est un biocide naturel : c’e- Le vinaigre est un biocide naturel : c’est un herbicide (substance qui tue les herbes) et un fongicide (substance qui tue les champignons) ; - Le sel est également un biocide naturel ; - Les plantes ont besoin d’eau pour pousser correctement. Si elles sont placées dans un environnement hostile (trop acide, trop basique…) elles meurent.(trop acide, trop basique…) elles meurent.)
    • Créer du vent  + (==='''La manipulation'''=== Note : Expéri==='''La manipulation'''=== Note : Expérience difficile à réaliser puisqu'il faut réussir à créer une différence notable de température entre le pain de glace et le spot. Les enfants peuvent également faire les manipulation en autonomie durant cette expérience en restant proche pour éviter les risques de brûlures. L'expérience fonctionnera davantage si le pain de glace est en hauteur et l'encens droit. ==='''De manière simple'''=== La fumée provenant directement de l'encens est chaude, elle monte et se répand sur le dessus de l'aquarium. Lorsqu'elle s'approche de pain de glace, elle se refroidit et descend. Elle se répand alors dans la partie inférieure de l'aquarium pour ensuite se réchauffer lorsqu'elle se rapproche du spot : elle remonte. On a ainsi formé un cycle et créé du vent.le remonte. On a ainsi formé un cycle et créé du vent.)
    • Libérez la chaussée !  +
    • Eponge contre inondation  + (Dans cette expérience, le bac peut représeDans cette expérience, le bac peut représenter une rivière ou un terrain. L’eau du verre, la pluie, l’eau de ruissellement ou une inondation. L’éponge, située au dessus du bac pour l’expérience, joue le même rôle qu’une zone humide (tourbière, marais...). Comme l’éponge, les zones humides peuvent accueillir et filtrer une grande quantité d’eau et ralentissent ainsi le débordement des rivières et l'inondation des sols. Elles atténuent donc les risques d’inondation des villes et villages situés en aval. Comme l’éponge, les zones humides conservent l’eau longtemps, ce qui permet d’avoir une flore et une faune spécifique aux milieux humides (sphaignes, droséras, linaigrettes, libellules, grenouilles, tritons...). Ces zones humides sont également des lieux de repos et de reproduction d’un grand nombre d’espèces de la rivière, et des lieux de refuge en cas de crues. Elles permettent aussi l’épuration des eaux.les permettent aussi l’épuration des eaux.)
    • Observer la faune d'un bloc de sol  + (Le bloc de sol est une méthode simple, quiLe bloc de sol est une méthode simple, qui permet d’observer les organismes qui vivent dans les premiers horizons du sol (ceux vers la surface). Ces animaux peuvent souvent passer inaperçus à nos yeux. Ce protocole nous donne une occasion de les découvrir. Cette opération permet d’identifier différents groupes d’organismes vivants dans le sol et de connaître leur abondance et leur densité par m². Une fois les petits animaux du sol récupérés et les différents groupes d’organismes vivant sur le sol identifiés, tu peux t'intéresser à leur abondance (= nombre d’individus d’une même espèce trouvés). Plus il y a d’individus différents, plus ton sol peut être considéré comme équilibré, en bonne santé. ''Les collemboles, par exemple, servent de bio-indicateurs de la qualité des sols (pollution, disponibilité en eau et en matière organique). S’ils sont présents en grande quantité, c’est un bon signe pour la santé du sol étudié !'' Si tu n’as pas récolté des individus de tous les groupes présents sur la clé de détermination, c’est normal. Tous ne vivent peut-être pas dans ton jardin, ne circulent pas durant les mêmes heures, ou ne s’attrapent pas de la même façon ! Cette expérience permet simplement d’identifier la présence et l’absence d’une petite partie des organismes qui vivent sur ton sol. Plus tu diversifieras les types de pièges utilisés (piège barber, aspirateurs à insectes, berlèse…), plus ta réponse sera complète !berlèse…), plus ta réponse sera complète !)
    • Piéger la faune du sol  + (Le piège fabriqué s’appelle un « piège BarLe piège fabriqué s’appelle un « piège Barber éthique ». Il permet d’observer facilement '''la petite faune du sol''', c’est-à-dire les animaux qui vivent dans et sur le sol. Ces animaux se déplacent silencieusement, de nuit comme de jour et peuvent ainsi passer inaperçus à nos yeux. Ce piège nous donne une occasion de les découvrir. Une fois les petits animaux du sol récupérés et les différents groupes d’organismes vivant sur le sol identifiés, tu peux t'intéresser à leur '''abondance''' (= nombre d’individus d’une même espèce trouvés). Plus il y a d’individus différents, plus ton sol peut être considéré comme équilibré, en bonne santé. ''Les collemboles, par exemple, servent de bio-indicateurs de la qualité des sols (pollution, disponibilité en eau et en matière organique). S’ils sont présents en grande quantité, c’est un bon signe pour la  santé du sol étudié !'' Si tu n’as pas récolté des individus de tous les groupes présents sur la clé de détermination, c’est normal. Tous ne vivent peut-être pas dans ton jardin, ne circulent pas durant les mêmes heures, ou ne s’attrapent pas de la même façon ! Cette expérience permet simplement d’identifier la présence et l’absence d’une petite partie des organismes qui vivent sur ton sol. Plus tu poseras de pièges, plus ta réponse sera complète ! Tu peux aussi diversifier les types de pièges utilisés (''aspirateurs à insectes, piège à moutarde pour les vers de terre, bloc de terre, berlese''…).vers de terre, bloc de terre, berlese''…).)
    • Premiers pas avec Arduino  + (Le programme est une suite d’instruction pLe programme est une suite d’instruction pour la carte : ·        dans la première ligne on demande à la carte de définir le chiffre 1 à la variable « pinLed », ce qui nous permettra plus tard de modifier facilement quel pin de sortie on veut choisir. ·        Ensuite la partie « Setup » après « Void Setup » est une portion de code que la carte doit effectuer une seule fois, on s’en sert pour initialiser les paramètres. Ici la ligne « pinMode(pinLed, OUTPUT) » demande à la carte de définir le pin1 (puisque pinLed a été définie plus tôt par 1) en sortie, pour la préparer à envoyer du courant. ·        Enfin la partie « Void Loop » est la portion de code qui va se répéter en boucle. Nous avons quatre lignes ici : o  La ligne « digitalWrite(pinLed, HIGH); » demande à la carte d’envoyer du courant par le pin1. o  La ligne « delay(1000); » ordonne de mettre le programme en pause pendant une seconde (le chiffre 1000 indique le temps d’attente en millisecondes). o  La ligne suivante « digitalWrite(pinLed, LOW); » ordonne à la carte d’arrêter d’envoyer du courant par le pin1. o  Et enfin la dernière ligne demande à nouveau d’attendre une seconde. Les parties Void Setup et Void Loop sont obligatoires pour tous les codes Arduino, sinon cela provoque une erreur. Pour résumer, on demande à la carte de définir « pinLed » sur 1, puis de définir le pin1 comme une sortie et ensuite on lui demande en boucle d’envoyer du courant par ce pin pendant une seconde puis d’arrêter d’en envoyer pendant une seconde. Au final la LED (qui est connectée dans le circuit électrique au pin1) devrait donc clignoter en brillant une seconde toute les secondes. Il est possible de modifier le programme pour faire clignoter la LED plus rapidement par exemple, en mettant des temps d’attente plus court. Si on met « 500 » à la place de « 1000 » dans les « delay » la LED clignotera deux fois plus vite. Il est également facile de modifier le pin de sortie si besoin, il suffit de changer le « 1 » par le pin de votre choix dans la ligne « int pinLed = 1 ».re choix dans la ligne « int pinLed = 1 ».)
    • Cartographie d'un bassin versant  + (Les Systèmes d'Informations Géographiques Les Systèmes d'Informations Géographiques sont des outils puissants pour représenter de nombreuses données. Certaines de ces données sont visibles depuis le ciel ou par satellite, d'autres sont collectées par des campagnes de mesures sur le terrain. L'hydrosphère représente l'ensemble de l'eau d'un territoire, sous toutes ses formes. Une partie de l'eau d'un territoire est visible, mais une autre est souvent cachée. Bien que deux cours d'eau d'un même territoire paraissent indépendants, ils sont souvent connectés. Parce qu'ils se jettent dans le même fleuve ou parce qu'ils sont alimentés par les mêmes évènements météorologiques. Un exemple simple : mon voisin et moi possédons chacun un puits. Ils paraissent indépendants, mais en réalité ils donnent accès à la même nappe souterraine. Si l'un de nous y pompe trop d'eau, les deux finiront à sec. C'est pourquoi une approche par hydrosphère, plus complète, est préférable.ydrosphère, plus complète, est préférable.)
    • Marche comme l'australopithèque  + (Les grands singes font partie de la famillLes grands singes font partie de la famille biologique des hominidés, comme nous les humains aussi appelés en biologie par notre nom de genre et d'espèce ''homo sapiens''. C'est pour cela que nous considérons les grands singes comme nos cousins et que nous nous sommes souvent comparés à eux. Nous avions même envisagé qu'ils faisaient partie de l'évolution de notre espèce : n'as-tu jamais entendu dire que nous descendions du singe ? Nous avons eu un ancêtre commun, mais ''homo sapiens'' ne descend pas du singe. La lignée humaine est complexe. L'australopithèque afarensis (''Australopitecus afarensis*''), dont les restes les plus connus sont ceux de Lucy, est également un de nos vieux cousins (ou peut-être un de nos ancêtres, mais les scientifiques s'interrogent toujours), et on s'est rendu compte qu'il était bipède. Notre anatomie, et particulièrement la forme de nos os et de leurs articulations, détermine nos mouvements. Grâce à des restes osseux suffisament importants, les paléoanthropologues et paléozoologistes arrivent à déterminer la capacité des mouvements. Les scientifiques ont pu récolter pas mal d'indices avec les restes retrouvés des australopithèques afarensis et les traces de pas laissés sur le site de Laetoli. L'étude de la profondeur des traces de pas a également permis de constater les points d'appui du marcheur et donc de réaliser des hypothèses plus approfondies sur sa démarche.
      =====*''Australopithecus'' est le genre biologique , et ''afarensis'' le nom de l'espèce. Les anthropologues ont défini plusieurs espèces d'australopithèques, toutes retrouvées sur le continent africain. ''Afarensis'' fait référence à la region de l'Afar en Ethiopie, là où a été retrouvé le premier fossile relativement complet de cette espèce. Ce fossile célèbre est surnommé Lucy.=====
      pèce. Ce fossile célèbre est surnommé Lucy.=====)
    • L'imperméabilité des sols  + (Lorsque la pluie tombe, une partie de l’eaLorsque la pluie tombe, une partie de l’eau est absorbée par le sol et une autre se met à s’écouler à la surface, on parle alors de ruissellement. Selon le sol, la pente et l’intensité de la pluie, la part de l’eau qui ruisselle peut varier. En hydrologie (l’étude des mouvements de l’eau) on parle de « coefficient de ruissellement ». Celui-ci s’exprime en pourcentage de l’eau qui ruisselle par rapport à la totalité de l’eau qui tombe sur une surface. Ce coefficient varie selon le type de sol (sable, terre, route, etc.). Dans cette expérience, le coefficient de ruissellement des éponges varie beaucoup selon leur taux d’humidité. Il est très élevé sur l'éponge gorgée d’eau et plutôt faible sur l’éponge humide. Un même sol peut avoir un coefficient de ruissellement très différent selon son état. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, l'eau n'arrive pas à s'infiltrer dans une éponge (ou un sol) complètement sec. C'est la raison pour laquelle des inondations se produisent aussi l'été. Il est également tout à fait possible d'essayer de refaire l’expérience en faisant varier l’inclinaison des éponges ou l’intensité de la pluie. Lorsque l’on ajoute une couche étanche (feuille de plastique ou aluminium, en hydrologie on parle de surface imperméable), l’eau qui tombe dessus ne peut pas atteindre le sol. Elle se met alors à ruisseler. Même si elle ruisselle jusqu’à une couche dans laquelle elle peut s’infiltrer, celle-ci ne sera généralement pas capable d’absorber toute l’eau qui tombe sur sa surface en plus de celle qui arrive.ur sa surface en plus de celle qui arrive.)
    • Coefficient de ruissellement  + (Lorsque la pluie tombe, une partie de l’eaLorsque la pluie tombe, une partie de l’eau est absorbée par le sol et une autre se met à s’écouler à la surface, on parle alors de ruissellement. Selon le sol, la pente et l’intensité de la pluie, la part de l’eau qui ruisselle peut varier. En hydrologie (l’étude des mouvements de l’eau) on parle de “coefficient de ruissellement”. Celui-ci s’exprime en pourcentage de l’eau qui ruisselle par rapport à la totalité de l’eau qui tombe sur une surface. Ce coefficient varie selon le type de sol (sable, terre, route, etc.). Dans notre expérience, le coefficient de ruissellement des éponges varie beaucoup selon leur taux d’humidité. Il est très élevé sur l'éponge gorgée d’eau et plutôt faible sur l’éponge humide. Un même sol peut avoir un coefficient de ruissellement très différent selon son état. Tu peux également essayer de refaire l’expérience en faisant varier l’inclinaison des éponges ou l’intensité de la pluie ! Lorsque l’on ajoute une couche étanche (feuille de plastique ou aluminium, en hydrologie on parle de surface imperméable), l’eau qui tombe dessus ne peut pas atteindre le sol ! Elle se met alors à ruisseler. Même si elle ruisselle jusqu’à une couche dans laquelle elle peut s’infiltrer, celle-ci ne sera généralement pas capable d’absorber toute l’eau qui tombe sur sa surface en plus de celle qui arrive.ur sa surface en plus de celle qui arrive.)
    • Intelligence artificielle DIY imbatable à l'hexapion  + (L’Hexapion est un jeu dit '''« résolu »'''L’Hexapion est un jeu dit '''« résolu »'''. Un jeu résolu est un jeu dont le résultat (gagner, perdre ou match nul) peut être correctement prédit à partir de n'importe quelle position, en supposant que les deux joueurs jouent à la perfection. Exemples de jeux résolus : Morpion (qui s’appelle aussi Tic-Tac-Toe ou OXO), puissance 4, Awalé, ... Les boîtes d’allumettes représentent l’arbre des possibles du jeu dans son intégralité. Chaque fois que l’IA perd, c’est une des branches de l’arbre qui mène à la défaite de l’IA qui est coupée. Petit à petit il y a de moins en moins de perles dans les boîtes, c’est-à-dire qu’il y a de moins en moins de possibilité de perdre pour l’IA. Si il ne reste plus qu’une perle par boîte, il est impossible de gagner contre l’IA. Dans ce système d’IA, c’est l’humain qui crée la donnée nécessaire au système pour apprendre. C’est un apprentissage qui est '''supervisé''' puisque c’est nous qui fixons les règles de ce qu’est un « bon coup » ou un « mauvais coup ». Notre IA possède également deux atouts de l’informatique : *Une mémoire parfaite *La capacité de répétition Ainsi la machine ne fait jamais deux fois la même erreur. Ce jeu permet d’illustrer ce qu’est '''l’apprentissage par renforcement''' utilisé en IA, de voir émerger un algorithme optimal et de s’interroger sur '''la notion d’« intelligence »''' dans ce système (particulièrement sur l’intelligence d’un système de boîtes d’allumettes !).ce d’un système de boîtes d’allumettes !).)
    • Aspirateur à bestioles  + (L’aspirateur à insectes est une méthode siL’aspirateur à insectes est une méthode simple et ludique pour apprendre à observer les milieux dans lesquels vit la petite faune qui vit sur le sol. Notons que cette faune de surface peut se déplacer la nuit (comme beaucoup de carabes) et donc être invisible pour l’humain. Cette opération permet d’identifier différents groupes d’organismes vivants sur le sol. Une fois les petits animaux du sol récupérés et les différents groupes d’organismes vivant sur le sol identifiés, tu peux t'intéresser à leur abondance (= nombre d’individus d’une même espèce trouvés). Plus il y a d’individus différents, plus ton sol peut être considéré comme équilibré, en bonne santé. Si tu n’as pas récolté des individus de tous les groupes présents sur la clé de détermination, c’est normal. Tous ne vivent peut-être pas dans ton jardin, ne circulent pas durant les mêmes heures, ou ne s’attrapent pas de la même façon ! Cette expérience permet simplement d’identifier la présence et l’absence d’une petite partie des organismes qui vivent sur ton sol. Plus tu diversifieras les types de pièges utilisés ( piège barber, bloc de sol, berlese…), plus ta réponse sera complète ! De plus, comparer des milieux différents entre eux reste également très intéressant pour évaluer les similitudes et différences et les lier par exemple à différents modes de gestion des sols.le à différents modes de gestion des sols.)
    • Canette renversée  + (Si la canette est vide, on ne peut pas la Si la canette est vide, on ne peut pas la faire tenir en position inclinée, elle tombe systématiquement. De même, lorsqu'elle est pleine. Le "truc" s'est de mettre la bonne quantité d'eau pour qu'il y ait autant d'eau de chaque côté de l'axe de rotation vertical qui passe par le point sur lequel la canette tient en équilibre. L'eau que l'on ajoute dans la canette est un poids. Pour que la canette tienne en équilibre il faut que ce poids soit également réparti, comme pour l'équilibre d'une balance, et c'est seulement à cette condition que le centre de gravité de la canette est situé sur l'axe de rotation vertical. Dès lors que le poids n'est pas également réparti, le centre de gravité de la canette n'est plus situé sur cet axe, et la canette tombe.us situé sur cet axe, et la canette tombe.)
    • Fabrique du papier recyclé  + (Tu as sûrement déjà appris à trier tes décTu as sûrement déjà appris à trier tes déchets. En effet, dans la cuisine de tes parents, à l’école, au parc, tu trouves souvent deux poubelles : une noire ou verte et une jaune. D’autres déchets sont mis de côté également : les bouteilles et les pots en verre, les piles électriques, les ampoules, les médicaments, et peut-être les épluchures. Une fois sortie de ta maison, tous ces objets n’auront pas la même suite de vie. Certains sont enfouis sous terre, d'autres sont recyclés. C’est-à-dire qu’ils vont être transformés en de nouvelles matières et objets.formés en de nouvelles matières et objets.)
    • Le folioscope  + (Une animation est une succession d'images.Une animation est une succession d'images. Avec le flipbook, nous recréons ce mécanisme que l'on peut voir à la télé dans les dessins animés ou les stop motions, par exemple. Feuilleté rapidement, un folioscope procure à l'œil l'illusion que le sujet représenté est en mouvement, illusion optique provoquée par la persistance rétinienne et l'effet phi. La persistance rétinienne est une particularité du fonctionnement de l'œil qui nous donne l'illusion du mouvement lorsque l'on regarde un dessin animé par exemple. En effet, les cellules de la rétine gardent en mémoire une image pendant environ un dixième de seconde après son apparition . Ainsi, si l'on fait défiler très rapidement une séquence d'images, au rythme de 24 par seconde, l'œil a en permanence en mémoire les images et ne peut distinguer 2 images successives. L’effet Phi, moins connu que la Persistance rétinienne, est un phénomène qui permet l’existence de l’image animée. Son fonctionnement est très simple également. Si un même objet apparaît successivement à des endroits qui se touchent, notre cerveau traduit cela automatiquement comme un mouvement de l’objet .atiquement comme un mouvement de l’objet .)
    • Fabrication d'une maquette de bassin de versant  + (Une maquette de bassin versant permet de sUne maquette de bassin versant permet de se familiariser avec le cycle naturel de l'eau et de réaliser de nombreuses observations et expériences en reconstituant le comportement de l'eau dans le paysage. En versant de l'eau en pluie sur les hauteurs de la maquette, on peut observer le chemin pris par l'eau en fonction des reliefs. Quand toute l'eau qui tombe sur une zone se retrouve au même point à l'arrivée (la même embouchure de rivière), cette zone est appelée un bassin versant. Sur les hauteurs, l'eau s'écoule de part et d'autre de lignes qui correspondent aux limites de différents bassins versants. Ces lignes sont appelées lignes de crête ou lignes de partage des eaux. On observera que l'eau qui ruisselle sur le bassin versant rejoint des ruisseaux, des rivières puis s'écoule finalement en mer, où le cycle naturel de l'eau se poursuivra avec l'évaporation, qui forme les nuages et dont les pluies ramèneront l'eau sur les terres. Un aspect du cycle naturel de l'eau reste difficilement visible sur ce type de maquette, il s'agit de l'infiltration d'une partie des eaux de pluie dans les sols (puisque le polystyrène une fois peint ou verni est imperméable). Mais l'ajout de quelques éléments sur la maquette (éponges, sable) permet d'aborder ce point.
      , sable) permet d'aborder ce point. <br/>)
    • Quelques exemples d'illusions d'optique  + (Étape 1: Ton œil s'adapte aux différences Étape 1: Ton œil s'adapte aux différences de couleurs en fonction de l'environnement (ici la lumière et l'ombre) et donne une teinte aux objets (ici le damier). L’œil perçoit les dalles plus claires à la lumière et plus sombres à l'ombre, comme ce serait le cas dans la réalité. Mais dans cette image, ce n'est pas le cas. Étape 2: C’est ce qu’on appelle le mouvement apparent. L’illusion des serpents tournants se produit parce qu’il y a trop d’informations qui viennent “frapper” les différentes parties de notre œil en même temps. Tous ces détails sont envoyés à notre cerveau en une seule fois, ce qui trompe le cerveau en pensant que le mouvement a lieu. Étape 3: Beaucoup d'illusions sont des objets impossibles, qui n'existent pas dans la vraie vie. Tu peux également chercher le Triangle de Penrose pour voir un autre exemple d'objets impossibles. Pourquoi ne pas en fabriquer un toi même maintenant ? Étape 4: Les trois illusions jouent sur les perspectives et les couleurs afin de tromper l’œil. Notre cerveaux classe donc soit les objets comme ayant des tailles différentes, soit les barres comme étant non parallèles voir même courbes.me étant non parallèles voir même courbes.)