Recherche par propriété

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Une liste de toutes les pages qui ont la propriété « Applications » avec la valeur « Les Ultra violet ont un impact Photosensible : Sensible à la lumière ». Puisqu’il n’y a que quelques résultats, les valeurs proches sont également affichées.

Affichage de 26 résultats à partir du n°1.

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Liste de résultats

  • Faire flotter de la pâte à modeler  + (La poussée d'Archimède est facilement obseLa poussée d'Archimède est facilement observable dans notre quotidien. Nous pouvons observer grâce à elle que : *les bateaux ne coulent pas *Le canard qui flotte dans le bain *les plongeurs peuvent se maintenir entre deux eaux pour observer la faune et flore marine *nous flottons dans l'eau (bien que le sel de l'océan participe aussi à la flottaison, voir expériences ci-dessous) La poussée d'Archimède ne s'applique pas que dans l'eau, l'air aussi exerce cette force, mais comme il est beaucoup plus léger que l'eau, il faut des volumes beaucoup plus grands pour avoir la même force. C'est comme cela que les montgolfières remplit d'air chaud et les zeppelins remplit d’hélium (plus léger que l'air), peuvent monter, en flottant dans l'air.), peuvent monter, en flottant dans l'air.)
  • Stylo élastique  + (La propriété de persistance rétinienne de La propriété de persistance rétinienne de l’œil est utilisée au cinéma ou à la télévision pour donner l'illusion d'un mouvement continu à partir d'une série d'images qui défilent rapidement. Son application a notamment permis de développer la technique du dessin animé : une séquence d'images, défilant à 24 images par seconde, est trop rapide pour que l’œil puisse discerner la différence entre deux images successives. Le cerveau interprète cette succession comme un mouvement fluide. Plus anciennement, le [[thaumatrope]], redécouvert au XIXe siècle et dont l'invention est peut-être aussi ancienne que la Préhistoire, est un objet ludique qui exploite lui aussi la persistance rétinienne. De nombreux jouets optiques similaires ont été inventés au XIXe siècle : zootrope, praxinoscope, etc., préfigurant le cinéma.praxinoscope, etc., préfigurant le cinéma.)
  • Initiation à la soudure  + (La soudure électronique est utilisé dans lLa soudure électronique est utilisé dans l'ensemble de nos matériaux électroniques. Regardez de plus près une carte d'ordinateur par exemple, on y voit facilement, tous les petits piquots de soudure. Plus l'élément est petit, plus les soudures doivent être précises. Le procédé de soudure s'applique dans d'autre cas que l'électronique, avec d'autre matériaux mais sur le même principe. C'est le cas par exemple lors de la construction de portail en aluminim (soudure à l'arc). de portail en aluminim (soudure à l'arc).)
  • Défi : rafraîchir la ville  + (La surchauffe urbaine est causée causée paLa surchauffe urbaine est causée causée par différents paramètres inhérents au milieu urbain que sont la forme urbaine, les caractéristiques des revêtements et la part de végétal, et encore la concentration d’activité humaine

    La surchauffe urbaine ou « ilot de chaleur urbain » est notamment très marquée pendant la période estivale. Les nuits restant chaudes, ce phénomène est un facteur important dans la surmortalité liée aux canicules.

    Profil d'îlot de chaleur urbain. 1 = résidentiel de banlieue, 2 = parc; 3 = Résidentiel urbain; 4 = centre-ville; 5 = Commercial; 6 = résidentiel suburbain; 7 = Rural
    Pour rafraîchir les villes, plusieurs mesures peuvent être mises en place : façade claire et réfléchissante, espaces verts, fontaines, arrosage des rues, végétalisation de la ville (toitures, murs, trottoirs...).
    mur végétal à Paris

    )
  • Des cratères d'énergie  + (La transformation de l’énergie est partoutLa transformation de l’énergie est partout autour de nous. La photosynthèse permet aux plantes de transformer l’énergie lumineuse en énergie chimique. Les dynamo de vélo permettent aux cyclistes d’utiliser l’énergie cinétique qui fait avancer leur vélo pour la transformer en énergie lumineuse et allumer leur ampoule. Les voitures nous emmènent d’un point A à un point B grâce à leur moteur qui transforme l’énergie chimique de l’essence, en énergie thermique qui met en marche des pistons puis cinétique qui fait avancer la voiture. Les appareils électriques consomment de l’énergie électrique. Cette électricité est obtenue grâce à l’énergie cinétique du vent, à l’énergie lumineuse du soleil, l’énergie potentiel de l’eau, l’énergie nucléaire de l’uranium…e l’eau, l’énergie nucléaire de l’uranium…)
  • Le bassin versant  + (Le bassin versant est une unité géographiqLe bassin versant est une unité géographique, qui ne tient pas compte des frontières géopolitiques (pays, région, ville), mais qui permet de prendre en compte les problématiques liées à l’eau (ruissellement, inondations, sédimentation, qualité de eau …). Il s’agit donc également d’une unité administrative de gestion de l’eau. La gestion de l’eau dans les grands bassins versants français est confiée aux Agences de l’eau. En France, on compte 6 grands bassins versants dépendant des grands fleuves  : Loire-Bretagne, Adour-Garonne, Rhône-Méditerranée, Sèvre-Normandie, Rhin-Meuse, Artois-Picardie. Créées par la loi sur l’eau de 1964, les agences sont des établissements publics de l’État. Elles assurent une mission d’intérêt général visant à gérer et à préserver la ressource en eau et les milieux aquatiques. Le bassin versant d’un fleuve peut être composé de plusieurs sous-bassins versants. Au niveau des sous-bassins versants, la gestion de l’eau est confiée aux structures porteuses de SAGE. Un bassin versant se délimite par des lignes de partage des eaux entre les différents bassins. Ces lignes sont des frontières naturelles dessinées par le relief : elles correspondent aux lignes de crête. Les gouttes de pluie tombant d’un côté ou de l’autre de cette ligne de partage des eaux alimenteront deux bassins versants situés côte à côte. À l’image des poupées russes, le bassin versant d’un fleuve est composé par l’assemblage des sous-bassins versants de ses affluents. Les Agences et les structures définissent leurs actions en fonction des textes internationaux, européens (Directive Cadre sur l’Eau) et nationaux. POUR LE NATIONAL : Selon l’arrêté du 16 mai 2005 portant sur la délimitation des bassins ou groupements de bassins en vue de l’élaboration et de la mise à jour des schémas directeurs d’aménagement et de gestion des eaux : En France, les ressources en eau sont gérées par bassin hydrographique, délimités par les lignes de partage des eaux superficielles. Les 12 bassins sont : - Les 7 bassins métropolitains : Adour-Garonne, Artois-Picardie, Loire-Bretagne, Rhin-Meuse, Rhône-Méditerranée, Corse, Seine-Normandie ; - Les 5 bassins d’outre-mer : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion et Mayotte.Guyane, Martinique, La Réunion et Mayotte.)
  • Capteur de pression atmosphérique par arduino  + (Le capteur peut servir de thermomètre ainsLe capteur peut servir de thermomètre ainsi que de baromètre. Il manquerait simplement un écran lcd afin de ne pas avoir besoin de l'ordinateur pour lire les valeurs. La pression peut ainsi permettre de connaitre le temps qu'il va faire (les cartes des hautes et des basses pressions sont utilisées par les météorologues) ainsi que l'altitude qui fait varier la pression.ue l'altitude qui fait varier la pression.)
  • Expansion de l'univers  + (Le ciel est plein d'étoiles, pourquoi ne voit-on rien la nuit ?)
  • Friction' Test  + (Le coefficient de frottement fluide est trLe coefficient de frottement fluide est très important dans le domaine de l'ingénierie mécanique. Ce coefficient exprimé la viscosité d'un fluide. Il st définit comme la mesure de la résistance d'un fluide en cours de déformation dues aux forces intermoléculaires. Il peut être utilisé pour faire des modèles de systèmes afin de se rapprocher au maximum du phénomène physique réel, et prédire les trajectoire des systèmes élaborés.ire les trajectoire des systèmes élaborés.)
  • Coefficient de ruissellement  + (Le coefficient de ruissellement varie beauLe coefficient de ruissellement varie beaucoup selon l’usage et la végétation d’un sol. On estime que 5% de l’eau qui tombe sur une forêt ruisselle, contre 25% sur un champ cultivé [3]. Et dans nos villes alors ? Les toits de nos habitations n’absorbent pas l’eau, bien au contraire, leur coefficient de ruissellement est de 100% ! Globalement, le coefficient de ruissellement en ville dépasse 90%. Lorsque nous construisons nos habitations ou nos routes, nous créons des surfaces imperméables (étanches) pour l’eau. Lors de fortes précipitations, celle-ci est alors contrainte de ruisseler. Les petites surfaces qui ne sont pas recouvertes ne suffisent généralement pas à absorber toute l’eau qui tombe sur toute la zone. L’eau continue de ruisseler et s’accumule, c’est l’inondation ! On estime qu’en 2010, presque 9% de la surface de la France était artificialisée (c’est à dire utilisée par l’homme, d’une manière ou d’une autre), dont 5% totalement imperméables (habitations, routes, etc.) [2] ! L’artificialisation des sols continue en France ! Dans la majorité des cas (90% entre 2000 et 2006, [1]), ce sont d’anciens sols agricoles qui sont artificialisés. Ceux-ci ne sont alors plus capables d’absorber et de filtrer l’eau. Aujourd’hui, lorsque que l’on souhaite créer de nouvelles zones d’habitations, on est obligé de prendre en compte le ruissellement. Une solution souvent utilisée est de créer un “bassin de rétention”, qui va pouvoir accueillir toute l’eau qui ruisselle et éviter les inondations. Celui-ci a un coefficient de ruissellement très faible, voire nul, d’abord parce qu’il est en forme de cuvette (l’eau ne peut pas s’en échapper), mais aussi parce que son sol est très perméable, comme du sable.on sol est très perméable, comme du sable.)
  • La biodégradation  + (Le compostage est basé sur le même principe. À l’automne les feuilles tombent des arbres et se dégradent sur le sols, si celles-ci ne sont pas ramassées. Au printemps, on ne les voit plus.)
  • Photographie végétale  + (Le concept de la photographie argentique: un papier photosensible qui change de couleur quand il est mis en présence de lumière.)
  • Mini station météo (qualité de l'air)  + (Le dispositif peut servir, dans une pièce à vivre, à s'informer de la qualité de l'air. Il serait aussi envisageable de communiquer des relevés de données à distance grâce à la liaison wi-fi de la carte.)
  • Dessine sur ta fenêtre.  + (Le décor vu par notre fenêtre constitue un repère quotidien.)
  • Billet qui flambe  + (Le mélange d'eau et d'alcool est souvent uLe mélange d'eau et d'alcool est souvent utilisé pour créer un trucage donnant l'impression qu'un objet ou sa surface brûle. En réalité seul l'alcool contenu dans le mélange alimente la flamme, tandis que l'eau empêche le support de se consumer. Cette expérience peut cependant s'avérer dangereuse car l'objet enflammé peut brûler si les proportions d'eau et d'alcool ne sont pas adaptées ou que l'objet n'est pas suffisamment imbibé d'eau.objet n'est pas suffisamment imbibé d'eau.)
  • Acidification des océans  + (Le phénomène d'acidification des océans esLe phénomène d'acidification des océans est étudié par de nombreux scientifiques depuis plusieurs années. C'est une autre conséquence, dramatique pour l'environnement, de l'excès de CO2 dans l'atmosphère, qui est aussi en partie responsable du réchauffement climatique (avec d'autres gaz à effet de serre). Un échange permanent existe entre l'atmosphère et les océans (mais aussi les lacs et les rivières), qui absorbent une partie du CO2 atmosphérique. L’augmentation de la concentration de CO2 dans l'atmosphère due à la pollution rompt un équilibre et augmente la quantité de CO2 qui se dissout dans l'eau. L’absorption par l’eau de ce CO2 en excès a deux conséquences majeures sur les mers et les océans : -      leur pH diminue (c’est l’acidification proprement dite, même si le pH de l’eau reste, et restera toujours, supérieur à 7), -      leur concentration en carbonates (CO32-) diminue également. Les organismes calcifiants, c'est-à-dire ceux qui sont protégés par une coquille, une carapace ou un squelette en calcaire (aussi appelé carbonate de calcium), comme par exemple les coquillages, les crustacés, mais aussi certaines algues, sont les plus menacés par l’acidification. Ces organismes utilisent les ions carbonate et du calcium pour former leurs protections de calcaire : c'est la calcification (Ca2+ + CO32- -> CaCO3). Lorsque les organismes calcifiants se trouvent dans un milieu appauvri en ions carbonate (à cause de l'augmentation de la quantité de CO2), leurs coquilles deviennent plus fragiles, ils mettent plus de temps à les construire, et les larves souffrent plus souvent de malformations. Les organismes non calcifiants peuvent aussi être perturbés par la diminution du pH, qui peut affecter leur comportement, leur croissance ou encore leur reproduction. L'acidification des océans a entraîné une diminution du pH de l'eau de mer, qui est en moyenne 30 % plus acide (ou plutôt devrait-on dire « moins basique ») aujourd'hui que dans les années 1800. On observe déjà un impact sur les organismes calcifiants : disposant de moins d'ions carbonates, certains ont plus de difficultés à fabriquer leurs structures calcaires. On a par exemple constaté un ralentissement de la croissance des huîtres ou des moules, ce qui affecte aussi les élevages. Dans certaines régions du globe, l'eau de mer est même devenue corrosive pour de petits organismes calcifiés du plancton, comme les ptéropodes, qui représentent la base des chaînes alimentaires, et qui se raréfient. Ce phénomène d'acidification des océans se poursuit et s'accélère : les chercheurs estiment que d'ici l’année 2100, le pH de l'eau de mer devrait encore diminuer et atteindre un pH de 7,7 à 7,6. Cela équivaut à multiplier par trois l'acidité actuelle (car l’échelle du pH est logarithmique). Pour enrayer ou du moins ralentir le phénomène, le plus efficace serait de s'attaquer directement à sa cause, en limitant la production de CO2 généré par les activités humaines, ce qui permettrait également de freiner le réchauffement climatique. Or le CO2 produit par l'homme est issu majoritairement de la combustion de sources d'énergie fossiles : pétrole, charbon et gaz. Le recours à des sources d'énergies ne produisant pas de CO2 semble donc incontournable.
    l'homme est issu majoritairement de la combustion de sources d'énergie fossiles : pétrole, charbon et gaz. Le recours à des sources d'énergies ne produisant pas de CO<sub>2</sub> semble donc incontournable. <br/>)
  • Fleur de papier capillaire  + (Le phénomène de capillarité est visible auLe phénomène de capillarité est visible au quotidien, quand un buvard aspire de l'encre, quand l'encre imprègne le papier lorsqu'on écrit, quand on essuie un liquide avec une éponge. Si l'on trempe un morceau de sucre dans un liquide le morceau de sucre se colore à mesure que le café s'infiltre dedans. La capillarité entre en jeu (même si cela est très minoritaire) dans la montée de l'eau et de la sève dans les plantes. (Voir ici pour plus de détails [https://www.science-et-vie.com/article-magazine/quest-ce-qui-fait-monter-la-seve-dans-les-plantes])qui-fait-monter-la-seve-dans-les-plantes]))
  • Fusée à eau  + (Le principe d'action-réaction :)
  • Bateau à propulsion à eau  + (Le principe d'action-réaction est à l'origLe principe d'action-réaction est à l'origine de nombreux mouvements que l'on observe au quotidien. Il sert à la propulsion de véhicules, comme les bateaux à rames : les rameurs exercent une force sur l'eau vers l'arrière, tandis que l'eau exerce en retour une force sur le bateau, en le propulsant vers l'avant. Ce principe s'applique aussi aux avions « à réaction ». L'exemple le plus spectaculaire est la propulsion des fusées, car elle s'exerce dans l'espace, donc dans le vide. Une fusée produit une force vers l'arrière en expulsant des gaz, qui génèrent en retour une poussée de la fusée vers l'avant. La fusée ne s'appuie donc ni sur de l'air ni sur de l'eau, mais directement sur les gaz qu'elle éjecte.is directement sur les gaz qu'elle éjecte.)
  • Laver de l'eau  + (Le principe traité dans cette expérience ressemble à celui d'une station d'épuration, ou à celui rencontré au niveau des nappes phréatiques.)
  • Concurrents ou associés dans le milieu marin  + (Le réseau trophique est indispensable à toLe réseau trophique est indispensable à toute vie, dans les océans et sur Terre. Bien le connaître permet de comprendre comment fonctionne la vie sur Terre. C'est à partir de ce réseau que s'établissent les interactions entre les espèces animales, végétales et leur environnement, mais pas seulement. Il existe de nombreux types d'interactions dans le monde vivant - autres que la prédation - bénéfiques ou non pour les espèces concernées. C'est le cas du mutualisme (bénéfices réciproques entre deux espèces), de la symbiose (bénéfices réciproques et liens vitaux entre deux espèces), du commensalisme (bénéfices non réciproques, mais non nuisibles) et du parasitisme (bénéfices non réciproques et nuisibles). La fragilisation des organismes marins à squelette calcaire pourrait modifier les écosystèmes marins et la disponibilité en ressource de poissons et de coquillages. Or aujourd'hui, plus d'un milliard de personnes à travers le monde trouvent leur première source de protéines dans les espèces marines dont ils se nourrissent, tout comme différentes espèces terrestres (oiseaux...). De plus, de nombreux emplois et économies locales sont liés à la pêche et aux coquillages. L'acidification des océans pourrait donc toucher bien plus que les organismes marins. Sans parler du rôle fondamental du plancton comme principal fournisseur d'oxygène pour la planète et les êtres humains, mais aussi comme puits à carbone indispensable pour atténuer nos émissions de gaz à effet de serre dans l'atmosphère !e gaz à effet de serre dans l'atmosphère !)
  • Propagation du son dans l'eau et l'air  + (Le son se propage donc plus facilement et Le son se propage donc plus facilement et plus rapidement dans l’eau. C’est pour cela que, quand on est dans son bain et qu'on met la tête sous l'eau, les sons de la maison sont amplifiés. C'est aussi pour ça que les cétacés peuvent communiquer sur plusieurs centaines de kilomètres (jusqu’à 800 km). centaines de kilomètres (jusqu’à 800 km).)
  • Le sténopé  + (Le sténopé, c'est la base de la photographLe sténopé, c'est la base de la photographie, ou comment capturer une image et la conserver. La lumière rentre dans l'appareil, et s'affiche sur l'écran/pellicule photo de l'appareil. Dans la photographie argentique, la lumière (les photons de lumière), vont réagir avec avec les ions "argent" de la pellicule (d'où "argentique") et créer l'image négative. En laboratoire, le bain de révélateur va fixer les ions argent qui se sont transformés. Les autres vont être éliminés durant le rinçage. Pour obtenir une image nette et de qualité, le photographe va adapter son appareil à la quantité de lumière disponible dans son environnement (nuit, nuages, soleil, ect) en faisant varier l'entrée de lumière gràce au diaphragme (on l'ouvre en grand la nuit pour faire rentrer plus de lumière // grand trou du sténopé). Pour obtenir une image plus grande, le photographe va zoomer (// plus grande boîte de sténopé). Néanmoins, la qualité de l'image baisse... Pour la vision animale, le principe est le même : la lumière pénètre par la pupille, traverse différentes couches transparentes (cornée, cristallin, ...) pour venir s'afficher sur la rétine. Les cellules photosensibles (cônes et batonnets) envoient des messages nerveux au cerveau pour traiter l'information. La pupille joue le rôle du diaphragme pour ajuster la quantité de lumière qui pénètre dans l'oeil.antité de lumière qui pénètre dans l'oeil.)
  • Accorder un verre  + (Le verrillon est un instrument composé d'uLe verrillon est un instrument composé d'un ensemble de verre en cristal. Il est qualifié d'instrument « idiophone », car le son est produit par le matériau de l'instrument lui-même, comme les tambours ou le xylophone. Le musicien en joue par friction sur le bord des verres avec des doigts humidifiés ou couverts de résine pour faire vibrer le verre et former la note. Il proviendrait d'Asie et aurait fait sensation au XVIIIIeme siècle en Europe. Aujourd'hui un peu oublié, c'est pourtant le seul instrument accessible à tous, à condition d'avoir des verres et de l'eau. Il est de plus totalement modulable : on peut, selon le remplissage des verres, créer son propre ensemble de notes qui se suivent ou non dans la gamme musicale. se suivent ou non dans la gamme musicale.)
  • Le ballon collant  + (Les "châtaignes".)
  • Réseaux de tri  + (Les algorithmes sont utilisés quotidiennement pour : - résoudre des problèmes complexes à l'aide d'une démarche scientifique ; - fabriquer des intelligences artificielles (IA).)
  • 1 œil + 1 œil = 1 image!  + (Les arcs-en-ciel ainsi que les mirages sont des formes d'illusions d'optique que l'on peut observer dans la nature.)
  • Aéroglisseur  + (Les aéroglisseurs sont des véhicules amphibies qui sont aujourd’hui utilisés dans différentes circonstances mais surtout dans les pays nordiques, par exemple au Canada. Ils servent parfois de brise-glaces.)
  • L'oeuf qui flotte  + (Les bateaux, les sous marins et même certaLes bateaux, les sous marins et même certains animaux marins utilisent ce même principe pour pouvoir flotter. Les sous-marins et les animaux marins possédant une vessie natatoire peuvent faire varier leur densité afin d'évoluer à différentes profondeurs. C'est également le principe qui est utilisé par les montgolfières, sauf qu'elles se déplacent dans un autre fluide : l'air.se déplacent dans un autre fluide : l'air.)
  • Plantes et biocides  + (Les biocides sont des produits utilisés enLes biocides sont des produits utilisés en agriculture ou dans les jardins pour tuer des organismes (insectes, « mauvaises herbes », micro-organismes (champignons, bactéries)) qui pourraient nuire aux plantes que l’on veut faire pousser. Les pesticides sont des biocides. La plupart des biocides sont des produits de synthèse (chimiques). En France, on utilise chaque année plus de 66 000 tonnes de pesticides en agriculture. Le problème, c'est que les biocides ne détruisent pas uniquement les organismes qui dérangent nos productions : ils s’infiltrent dans les sols, dans l'eau, et peuvent nuire à l’environnement et à notre santé. Certaines techniques d'agriculture (comme en agroécologie, ou en agriculture biologique), permettent d'utiliser moins de biocides et ainsi de réduire la pollution. Afin de limiter l'utilisation de produits phytosanitaires, les structures porteuses de SAGE aident les communes de leur territoire à adopter le désherbage mécanique plutôt que chimique.
    erbage mécanique plutôt que chimique.<br/>)
  • Qu'est-ce que les Biocides  + (Les biocides sont utiles au quotidien et pLes biocides sont utiles au quotidien et participent à l'hygiène de nos lieux de vie. Heureusement, de plus en plus de biocides d'origine naturelle sont développés aujourd'hui [4]. Ceux-ci sont plus rapidement dégradés dans l'environnement, leur impact est donc moindre. On préfère également utiliser des méthodes alternatives pour lutter contre les espèces nuisibles [5]. Ces moyens de lutte physique ou biologique (plutôt que chimique) ont l'avantage de ne pas faire de dégâts sur l'environnement, mais sont parfois moins efficaces ou plus coûteux. Parmi ces méthodes alternatives, on retrouve : *Le lâcher de prédateurs, comme les coccinelles pour lutter contre les pucerons ; *Les pièges, qui attirent les insectes indésirables et permettent de n'éliminer qu'eux ; *La lutte manuelle, comme le désherbage à la main; *Les moyens physiques, les hautes températures notamment, qui permettent de tuer les bactéries dans l'alimentation sans ajouter de biocide.ns l'alimentation sans ajouter de biocide.)
  • Lumière, couleurs et chaleur  + (Les bâtiments et les toitures de couleur sLes bâtiments et les toitures de couleur sombre emmagasinent plus de chaleur que ceux de couleur claire. Les toitures sombres, en ardoise ou goudronnées, chauffent plus vite et restent chaudes plus longtemps que les toits couverts de tuiles claires ou les toits végétalisés (couvertes d'herbes). C’est pour cette raison que les habitations et les toits sont souvent de couleur claire dans les régions très exposées au soleil et à la canicule, comme c’est le cas en Grèce par exemple. Au contraire, on utilisera plutôt des couleurs sombres et des matériaux qui accumulent et conduisent mieux la chaleur dans les équipements qui utilisent l’énergie solaire pour produire de la chaleur, tels que les chauffe-eau solaires. L'aluminium, qui réfléchit fortement la lumière, est utilisé pour fabriquer des dispositifs qui concentrent les rayons lumineux et la chaleur vers un même point, comme dans les fours solaires. Dans les villes, les grandes étendues de béton ou de bitume, comme les routes, les parkings, certaines cours d’école, les grandes places et les grands ensembles d’immeubles, deviennent des îlots de chaleur urbains (ICU). Ces zones forment des « bulles de chaleur », où il peut être très pénible de vivre, car elles chauffent beaucoup durant la journée, et la nuit elles ne se rafarichissent que très peu, et libèrent la chaleur accumulée durant la journée. Ce phénomène devient de plus en plus problématique avec l’augmentation des températures causée par le réchauffement climatique. * Pour limiter les îlots de chaleur dans les villes, il existe différentes techniques. Le plus efficace est de conserver ou de créer des points d’eau et des zones boisées ou végétalisées (pelouses, toitures végétales), de favoriser une bonne circulation naturelle de l’air, et d’utiliser pour les constructions des matériaux qui réfléchissent beaucoup les rayons du soleil sans accumuler la chaleur.ayons du soleil sans accumuler la chaleur.)
  • Piano invisible avec arduino  + (Les capteurs à ultrason sont utilisés dans de nombreux dispositifs, l'expérience peut servir d'introduction à la programmation de capteurs (en vu d'un robot par exemple) ou en finalité d'une séance sur la musique.)
  • Thaumatrope  + (Les dessins animés traditionnels mais aussLes dessins animés traditionnels mais aussi le cinéma en général se servent du même mécanisme ! A la manière d'un flipbook, des images légèrement différentes défilent suffisamment vite pour créer une illusion du mouvement et tromper le cerveau. Un peu d'histoire : Le thaumatrope a été inventé en Europe entre 1825 et 1830 par [https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=John_Ayrton_Paris&action=edit&redlink=1 John Ayrton Paris]. Au XIXeme siècle, plusieurs chercheurs essayaient de trouver une manière de donner du mouvement à une image fixe. Le thaumatrope est la première invention qui a permis de donner du mouvement. C'est ce que l'on appel le précinéma [https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9cin%C3%A9ma Histoire du précinéma sur wikipédia]A9cin%C3%A9ma Histoire du précinéma sur wikipédia])
  • Créer une catapulte  + (Les enfants qui ne sont pas d'un âge trop petit peuvent s'amuser avec en envoyant le projectile le plus loin possible ou en essayant de viser une cible.)
  • Apollo thé  + (Les flammes des briquets, des allumettes oLes flammes des briquets, des allumettes ou de la gazinière vont vers le haut. C’est aussi le principe des montgolfières. Normalement, les montgolfières (l’ensemble ballon et nacelle) sont plus lourdes que l’air, elles restent « clouées » au sol. Pour les faire décoller, on fait chauffer l’air à l’intérieur d’un ballon grâce à un brûleur. Quand on atteint une température assez haute, l’air chaud emprisonné dans le ballon compense le poids de la montgolfière et peut alors emporter le ballon avec la nacelle, la faisant décoller. Notons, qu’il faut plusieurs dizaines de minutes pour que l’air à l’intérieur du ballon soit assez chaud pour permettre à la montgolfière de décoller.r permettre à la montgolfière de décoller.)
  • Fusée Bicarbonate-Vinaigre  + (Les gaz sous pression entrent en jeu dans Les gaz sous pression entrent en jeu dans un grand nombre d'équipements et de technologies. La vapeur d'eau a longtemps été un moyen de propulsion pour les locomotives et les bateaux, et participe encore à la propulsion des navires à turbines nucléaires. Les fusées et les avions à réaction se déplacent grâce à l'expulsion de gaz à haute pression. Les tireuses de boissons gazeuses fonctionnent au dioxyde de carbone (CO2). Les bouteilles de plongée contiennent de l'air comprimé à une pression d'environ 200 bars. La plus importante production de CO2  par l'homme est involontaire : elle est essentiellement due à la combustion d'énergies fossiles (gaz naturel, charbon et pétrole), qui en libère des quantités phénoménales dans l'atmosphère. Ce rejet massif de CO2  par les activités humaines contribue au réchauffement climatique par augmentation de l'effet de serre, et provoque notamment un phénomène d'acidification des océans.t un phénomène d'acidification des océans.)
  • Paille à son  + (Les humains ont aussi leur propre instrumeLes humains ont aussi leur propre instrument : la voix. En sortant des poumons, l'air circule par la tranchée puis le larynx, où il rencontre les cordes vocales. Le larynx étant plus étroit que la trachée, l'air accélère créant un changement de pression: les cordes vocales se rapprochent, puis se ré-ouvrent. La répétition de ce phénomène d'ouverture et de fermeture permet la vibration des cordes vocales. Cette vibration est à l’origine du son : si tu mets ta main sur ta gorge en faisant « haaaaaaa » tu peux sentir les vibrations de tes cordes vocales. La fréquence du son dépend de la contraction du larynx qui modifie les plis vocaux.ion du larynx qui modifie les plis vocaux.)
  • Courant passera-t-il  + (Les humains sont de bons conducteurs : notre corps se compose à plus de 50% d'eau (salée !).)
  • A quoi servent les fleurs  + (Les insectes pollinisateurs permettent auxLes insectes pollinisateurs permettent aux humains d’accéder à une grande diversité de fruits et de légumes dans notre alimentation quotidienne, et la pollinisation nous rend d’immenses services économiques. '''La production de 84% des espèces cultivées en Europe (incluant la grande diversité de légumes et d'arbres fruitiers) dépend directement de la pollinisation par les insectes'''. À l’échelle de la planète, des études estiment que le service "pollinisation" offert par le monde animal à l’agriculture vaudrait environ 153 milliards d'euros/an  ! '''Il faut toutefois être très vigilant lorsqu’on aborde les services écologiques''', afin de ne pas réduire la biodiversité à une vision purement économique et fonctionnelle, qui fournirait des services aux humains. Car cette vision justifierait de donner une valeur à la nature en fonction des bénéfices que nous en retirons et d’accepter qu’il y ait donc une biodiversité utile, et une autre dont on pourrait se passer...et une autre dont on pourrait se passer...)
  • Loupe maison  + (Les lentilles optiques sont présentes dansLes lentilles optiques sont présentes dans beaucoup d'objets au quotidien : - Jumelles - Loupes - Appareils photo (y compris du téléphone !) - Un lecteur CD Elles sont parfois remplacées par des miroirs optiques. On ne verra plus "à travers" mais on regardera alors simplement le reflet grossit de l'image. C'est le cas dans : - Certains microscopes - Les télescopes modernes La conception des lunettes ophtalmiques repose également sur cette propriété de la lumière.alement sur cette propriété de la lumière.)
  • BOXSON  + (Les objets programmables sont bien présents dans nos quotidiens aujourd'hui. Ce dispositif fait aussi penser aux jeux pour enfants qui diffusent des sons et des musiques. <br/>)
  • Canette renversée  + (Les objets qui nous entourent possèdent toLes objets qui nous entourent possèdent tous un centre de gravité (ou centre de masse). Pour les objets dits de révolution ou qui possèdent des plans de symétrie, ce point est facile à trouver, il s'agit du milieu de l'objet. Si ce centre de gravité se situe sur un axe vertical qui passe par le support sur lequel ils sont posés alors ils restent immobiles dans leur position d'équilibre. Mais dès lors que cet axe ne passe plus par le support, c'est à dire que la majeure partie du poids de l'objet est "dans le vide", l'équilibre est instable et l'objet tombe. Tout est une histoire de répartition des poids !st une histoire de répartition des poids !)
  • S'initier aux sciences participatives sur le littoral  + (Les organismes vivants sont souvent difficLes organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Grâce à ces études, les scientifiques ont pu déterminer par exemple que la pêche à pied avait entraîné une forte diminution des populations de bigorneaux sur les côtes bretonnes. Certaines espèces d’algues brunes sont également de moins en moins présentes sur nos littoraux, comme les laminaires, dont plusieurs espèces sont probablement perturbées par les effets du réchauffement climatique. Cette activité est inspirée du programme de sciences participatives Biolit, développé par l’association Planète Mer. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives.à un programme de sciences participatives.)
  • S'initier aux sciences participatives à la campagne  + (Les organismes vivants sont souvent difficLes organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Les informations collectées grâce à ces programmes aident à comprendre comment les animaux ou les plantes vivent, si certaines espèces ont tendance à devenir moins abondantes (exemple des abeilles et autres pollinisateurs en déclin), et de comprendre pourquoi (pollution, réchauffement, activités humaines qui perturbent parfois les espèces), ou si au contraire la biodiversité revient dans un endroit qui a été aménagé pour la faire revenir. Cette activité est inspirée du programme de sciences participatives Spipoll, développé par le Museum National d’Histoire Naturelle. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives.à un programme de sciences participatives.)
  • S'initier aux sciences participatives en ville  + (Les organismes vivants sont souvent difficLes organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Un programme comme "Sauvages de ma rue" apporte beaucoup aux personnes qui étudient les espèces végétales, il permet de : *Collecter des données et sensibiliser le public pour une meilleure connaissance des espèces et de leurs habitats, et pour favoriser leur préservation *Collecter des données dans le cadre d’une recherche scientifique s’appuyant sur un protocole scientifique établi Grâce à ces études, les scientifiques peuvent par exemple comparer les observations réalisées sur les plantes sauvages poussant sur les trottoirs par rapport aux observations collectées sur les mêmes espèces en milieu naturel, mesurer les effets de l'activité humaine sur la flore, estimer les changements liés au réchauffement climatique sur les végétaux au fil des années... Cette activité est adaptée du programme de sciences participatives "Sauvages de ma rue", développé par l’association Tela Botanica et le Museum National d'Histoire Naturelle. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives en suivant son protocole original.patives en suivant son protocole original.)
  • Panneau photovoltaïque et choc électrique  + (Les panneaux photovoltaïques ont besoin d'Les panneaux photovoltaïques ont besoin d'une source lumineuse (en l'occurence le soleil) pour produire '''un courant électrique continu'''. Plus la source lumineuse est importante, plus la production d'électricité est importante. C'est pour cela qu'il est important qu'un panneau photovoltaïque soit situé et orienté de façon à recevoir de la lumière du soleil tout au long de la journée. En cas de ciel nuageux ou de pluie, le panneau continu malgré tout à produire de l'électricité. Néanmoins, l'environnement étant moins lumineux, il produit donc moins de courant électrique à cet instant. La production d'électricité varie donc également en fonction de la région où est implanté le panneau solaire (par exemple, le Sud de la France est plus ensoleillé que le Nord de la France, ce qui différencie la production entre ces 2 endroits). Elle varie également en fonction des saisons (la durée d'ensoleillement est plus importante l'été que l'hiver, par exemple).
    te l'été que l'hiver, par exemple). <br/>)
  • Les P'tit poissons  + (Les poissons utilisent un muscle qui comprime une poche pour monter ou descendre dans l'eau, c'est la vessie natatoire https://fr.wikipedia.org/wiki/Anatomie_des_poissons#Syst%C3%A8me_de_flottaison)
  • L'évaporation et la concentration des polluants  + (Les polluants qui s'évaporent peuvent ensuLes polluants qui s'évaporent peuvent ensuite retomber, entrainés par la pluie et être être retrouvés à des kilomètres de l'endroit où ils ont été relâchés ! [2] Un élément chimique peut donc polluer plusieurs milieux s’il est amené à s’évaporer. D'autres se transforment une fois dans l'atmosphère et peuvent créer d'autres formes de pollution, comme les pluies acides. [3] Plus un polluant est concentré, plus il risque de faire des dégâts. Pour les organismes vivants, une plus grande concentration signifie plus de probabilité de rencontrer ce polluant. Une expérience simple permet de mettre en évidence ce principe. Verser une dizaine de grains de riz (ou autre) dans une assiette plate puis fermer les yeux et toucher du doigt au hasard. Le risque de tomber sur un grain de riz est assez faible. Transvaser dans un verre ou une tasse et recommencer. La concentration des grains et beaucoup plus élevée et le risque d'en toucher au moins un également.risque d'en toucher au moins un également.)
  • Porte automatique avec élastique  + (Les portes d'immeubles ou dans les magasins qui se referment derrières toutes seuls lentement.)