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Étape 1 : Nos yeux sont placés de chaque côté de notre nez, donc légèrement décalés l'un par rapport à l'autre. Chaque œil voit une partie différente du paysage dont une partie commune, c'est ce qui permet au cerveau de reconstituer le paysage complet, plus large. Étape 2 : Cette expérience permet de bien voir le décalage des images perçues par nos deux yeux, on a l'impression que l'image "saute" de droite à gauche. Étape 3 : Les yeux ne voient pas la même chose, l'un voit à l’intérieur du rouleau et l'autre voit la main ouverte. Les yeux nous permettent de voir, mais c’est le cerveau qui « compose» les images. Le cerveau associe les deux images vues par les deux yeux pour n’en donner qu’une seule. Les deux images vues par les yeux étant très différentes l’une de l’autre le cerveau est trompé et nous donne une fausse interprétation de ce que nous voyons. Étape 4 : L'association par notre cerveau de deux images légèrement décalées permet d'avoir une représentation de notre environnement en trois dimensions, on peut avoir une notion de profondeur de champs (quel objet est devant l'autre). Avec un seul œil, on voit comme "à plat", en deux dimensions seulement. C'est pour cela qu'avec un seul œil ouvert, on a du mal à bien viser un point précis. Au final, nous ne voyons pas double bien que nous ayons deux yeux, parce qu'un système dans notre cerveau récupère les deux images légèrement différentes des deux yeux, avec des champs de vision différents mais une partie commune et un léger décalage. Le cerveau en fait alors une superposition pour ne former qu'une seule et unique image, large et en trois dimensions. Cette image sera parfaite si l'on reçoit bien toutes les informations des yeux, puisqu'on a vu la complémentarité nécessaire pour capter le relief par exemple.  +
A
'''<u>Étape 3</u> :''' La fleur est le lieu de reproduction de la plante. Elle renferme les organes reproducteurs: les étamines (l’organe mâle) qui contiennent le pollen, et le pistil (l’organe femelle) qui contient l’ovule. Dans la nature, pour qu'une plante se reproduise, il est nécessaire que le pollen soit transporté sur le pistil de la fleur - '''c'est la pollinisation''' - pour rencontrer l'ovule. L'ovule devient alors une graine et le pistil (ou une partie de la fleur) devient un fruit, source de nourriture pour de nombreuses espèces, dont la nôtre ! La graine, en tombant, germe pour donner une nouvelle plante. '''<u>Étape 4</u> :''' Les plantes dont le pollen est transporté par le vent doivent fabriquer une grande quantité de pollens, car seul une infime partie de ce pollen atteint le pistil d'une plante de la même espèce. ''(Ainsi, plus la plante fabrique de pollen, plus elle aura de chance que son pollen atteigne une autre plante)''. '''<u>Étapes 5 et 6</u> :''' Les insectes pollinisateurs (et parfois certains oiseaux et chauve-souris) sont attirés par les fleurs colorées et parfumées, comme celles de la plupart des arbres fruitiers (pomme,abricot, orange...) et des plantes potagères (courgette, tomate, pois, tournesol...), dont ils consomment le nectar. Ainsi, sans pollinisateurs, de nombreux fruits et légumes disparaîtraient. Les pollens de ces plantes sont généralement collants, huileux ou crochus, ainsi, ils se fixent mieux aux insectes. Ces adaptations naturelles sont à l’origine de la grande richesse et diversité des végétaux de notre planète. Quant aux fleurs discrètes (petites, sans couleur ni odeur) comme celles des céréales (blé, maïs...) et des arbres forestiers (pin, sapin, châtaignier, chêne, hêtre,noisetier...), c'est souvent le vent qui transporte le pollen sur les fleurs voisines, ces plantes fabriquent une grande quantité de pollen, dont seule une infime partie atteindra le pistil d'une autre plante de la même espèce. Parfois, le pollen d'une fleur tombe directement sur le pistil de la même fleur. '''Ainsi les plantes, très diversifiées, sont adaptées aux différents modes de dissémination des grains de pollen !''' <br/>  
L'ADN que nous cherchons se situe à l'intérieur des cellules de l'oignon (dans le noyau de chaque cellule, il y a de l'ADN). Quand on broie l'oignon, ce qu'il y a l'intérieur peut sortir. Le sel permet de faciliter une réaction chimique qui s'appelle la précipitation. La précipitation est une réaction chimique dont le résultat ressemble à des grumeaux dans un liquide (cela ressemble aux grumeaux dans une purée de pomme de terre). Pour obtenir l'ADN d'un oignon, il faut effectuer une précipitation entre le liquide provenant de l'oignon et de l'alcool. C'est pourquoi on ajoute de l'alcool.  +
Respectivement 33,4% et 44,8% de tous le terrritoire marin français et de la métropole sont considéré comme protégé. Il y a plusieurs type d'aire marine protégé sous plusieurs appelation en fonction des outils énoncé dans un texte de loi français appelé "Le code de l'environnement", comme les zones Natura 2000, les parcs naturels marins, la partie maritime des parcs nationaux etc. Ces différents types d'AMP ne sont pas équivalent au niveau des restrictions des actions humaines Du 3 au 9 février 2023, s’est déroulé Le Congrès international sur les aires marines protégées (IMPAC) à Vancouver, au Canada en vue de planifier la protection de 30% de l’océan mondial d’ici 2030. La communauté internationale des gestionnaires et praticiens de la conservation marine ont pu échanger autour du renforcement de la conservation de la biodiversité marine et de la protection du patrimoine naturel et culturel de l’océan.  +
Les sons sont produits par des vibrations. Chaque vibration possède une vitesse de vibration propre appelée « fréquence ». Le fait de frapper un verre produit ce genre de vibrations. La vitesse de vibration dépend de la quantité d'eau dans le verre.  +
'''Le rouge de phénol change de couleur en fonction de l’acidité''' (appelée pH) : dans un liquide neutre comme l’eau (pH = 7), il est de couleur orangée, dans un produit acide comme le vinaigre, il vire au jaune, et dans un produit basique (c’est à dire le contraire d’acide, comme le mélange eau/bicarbonate) il vire au rose/rouge. Lorsqu’on verse du rouge de phénol dans l’eau de mer, on obtient une couleur <u>rose-rouge</u>, ce qui montre que l’eau de mer est basique (son pH est voisin de 8,1 en moyenne). Mais en soufflant une minute dans l’eau de mer, ou en y ajoutant du CO<sub>2</sub> pur, on l’a rendue acide, c’est pour cela que le rouge de phénol est devenu <u>jaune</u>. Le CO<sub>2</sub>, ou dioxyde de carbone, acidifie l’eau de mer, c’est à dire qu’il fait diminuer son pH. '''''Cette expérience reproduit en accéléré et de façon plus marquée, le phénomène actuel d’acidification des océans causé par le CO<sub>2</sub> produit en excès par les activités humaines.'''''  +
Plus la surface en contact avec l’air est grande, plus les échanges de chaleur sont importants, et donc rapides. C’est la surface de l’eau qui se refroidit d’abord, au contact de l’air. Elle a ensuite des échanges de chaleur avec l’eau située au-dessous d’elle : elle lui prend de la chaleur. C’est pourquoi l’assiette d’eau perd plus vite sa chaleur que le gobelet d’eau.  +
=== '''De manière simple''' === On a demandé à l'ordinateur de réaliser un compteur via la carte Arduino. Pour cela, on a écrit un code qui gère la carte Arduino afin d'afficher les nombres de 0 à 9 successivement. === '''Questions sans réponses''' === Peut-on afficher des chiffres en tapant sur le clavier, sans l'exécution pas à pas de l'afficheur 7 segments ?  +
La forme de l’aile, bombée en haut et plate en bas, fait que l’air met plus de temps à passer en haut de l’aile qu’en bas de celle-ci lors de la traversée. Cette différence fait que l’air est plus rapide en bas qu’en haut. L’air du bas exerce donc une force sur l’aile et la porte vers le haut, ce qui conduit à la montée de l’aile dans l’air et permet le vol. === '''Questions sans réponses''' === Comment le profil de l’aile influence-t-il le vol ?  +
Lorsqu'on plonge le verre dans l'eau, l'air bloqué à l'intérieur empêche l'eau de remonter dans le verre pour mouiller le mouchoir.  +
On constate que le cône fixé à l’œuf est déformé, il a absorbé une partie de l’énergie du choc, ce qui a permis à l’œuf de ne pas être cassé.  +
'''Introduction au fonctionnement de l'airzooka''' : L'airzooka emprunte son fonctionnement à l'arbalète. Voir sur Wikipédia [http://fr.wikipedia.org/wiki/Arbal%C3%A8te_%28arme%29 l'arbalète].  +
L'eau pousse les allumettes à reprendre leur forme initiale, et donc leur permet de s'écarter les unes des autres. L'eau s'infiltre dans le bois des allumettes par la pliure, ce qui fait intervenir le phénomène de la capillarité.  +
L'électricité qui passe dans le circuit fait chauffer fortement la laine d'acier, qui joue ici le rôle du filament de l'ampoule. A haute température, la laine d'acier émet de la lumière, c'est ce qu'on appelle l'incandescence.  +
As-tu essayé de réceptionner le reste du sachet dans ta main quand il retombe ? Combien pèse-t-il ? Quand on a mis le feu au sachet de thé, la combustion a chauffé l'air aux alentours. Cet air plus chaud s'est précipité vers le haut ("la chaleur monte, le froid descend"). Au début, le sachet de thé est un peu trop lourd pour être entraîné vers le haut avec ce courant d'air chaud mais plus il brûle, plus il devient léger, au point qu'il finit par l'être assez pour se laisser emporter !  +
Cet objet est une arbalète. il s'agit d'une arme similaire à un arc, mais utilise un mécanisme de déclenchement appelé gâchette pour libérer la corde et propulser une flèche à grande vitesse. Elle se compose généralement d'une crosse, d'un arc, d'une gâchette et d'une corde, ainsi que de divers accessoires tels que des viseurs et des repose-flèches.  +
L'eau s'infiltre entre les cure-dents par capillarité puis atteint le papier filtre et y dilue l'encre.  +
La lumière blanche est composée de plusieurs couleurs. Lorsqu'un rayon de lumière change de milieu (ici de l'air à l'eau puis de l'eau à l'air), cela sépare ses différentes couleurs et crée un arc-en-ciel.  +
La lumière blanche est composée de plusieurs couleurs. Lorsqu'un rayon de lumière change de milieu (ici en passant de l'air à l'eau puis de l'eau à l'air), cela sépare ses différentes couleurs et crée un arc-en-ciel.  +
L’aspirateur à insectes est une méthode simple et ludique pour apprendre à observer les milieux dans lesquels vit la petite faune qui vit sur le sol. Notons que cette faune de surface peut se déplacer la nuit (comme beaucoup de carabes) et donc être invisible pour l’humain. Cette opération permet d’identifier différents groupes d’organismes vivants sur le sol. Une fois les petits animaux du sol récupérés et les différents groupes d’organismes vivant sur le sol identifiés, tu peux t'intéresser à leur abondance (= nombre d’individus d’une même espèce trouvés). Plus il y a d’individus différents, plus ton sol peut être considéré comme équilibré, en bonne santé. Si tu n’as pas récolté des individus de tous les groupes présents sur la clé de détermination, c’est normal. Tous ne vivent peut-être pas dans ton jardin, ne circulent pas durant les mêmes heures, ou ne s’attrapent pas de la même façon ! Cette expérience permet simplement d’identifier la présence et l’absence d’une petite partie des organismes qui vivent sur ton sol. Plus tu diversifieras les types de pièges utilisés ( piège barber, bloc de sol, berlese…), plus ta réponse sera complète ! De plus, comparer des milieux différents entre eux reste également très intéressant pour évaluer les similitudes et différences et les lier par exemple à différents modes de gestion des sols.  +
'''De manière simple...''' Dans des conditions atmosphériques ordinaires, l'eau se transforme en glace lorsque sa température descend sous 0°C. Ce changement d'état s'appelle "la solidification". Lors de la solidification, les particules microscopiques qui composent l'eau se lient les unes aux autres. Elles sont plus éloignées les unes des autres que dans l'eau liquide. Les particules se figent dans cet état et donnent ainsi une structure solide à l'eau. 1 litre d'eau pèse 1kg, alors qu'1 litre de glace pèse 0,9kg : la glace prend plus de place que l'eau liquide mais elle est plus légère : elle flotte ! '''Questions sans réponses''' <br/> *Existe-t-il plusieurs formes de glace ? *Si oui, toutes les formes de glace flottent-elles ?  +
Le lit d’une rivière est l’espace occupé lors de l’écoulement de l’eau en période normale. Cependant, certains phénomènes peuvent entraîner une montée du niveau de l’eau. C’est le cas d’une forte pluie, des crues (à la fin de l’hiver), des marées à fort coefficient, de la libération de l’eau des barrages… Cette montée du niveau de l’eau se fait dans le lit majeur du cours d’eau, c’est ce qu’on appelle communément les « zones inondables  ». Ce lit correspond au plus haut niveau d’eau enregistré le long du cours d’eau. En fonction de la quantité d’eau, l’augmentation du niveau de l’eau va occuper une partie ou la totalité du lit majeur.  +
=== '''De manière simple''' === L'air chauffé par la plaque électrique s'élève en déplaçant au-dessus de lui de l'air plus frais. L'air chaud et l'air froid ne laissent pas passer la lumière (et donc les images) de la même manière. Le paysage paraît donc en mouvement, car l'image que l'on en reçoit traverse de l'air en mouvement, froid ou chaud. === '''Questions sans réponses''' === * Existe-t-il un produit chimique ayant les mêmes effets ? * Le milieu de l'expérience a-t-il une influence ?  +
Pour pouvoir planer, un avion a besoin de se faire porter par l'air. C'est pourquoi il doit être fabriqué avec du matériel léger. L'avantage de la paille, par rapport au papier, est que l'air peut la traverser dans toute sa longueur. Elle oppose donc moins de résistance à l'air que le papier. Les deux tubes de papier servent d'ailes à notre avion, ils le guident. Plus ils sont gros, plus l'avion est déséquilibré et tourne sur lui-même. Le trombone, pour finir, sert à rétablir l'équilibre de l'avion au moment du lancer. Si on le retire, l'avion a tendance à s'envoler vers le haut pour retomber à pic au sol.  +
En s'échappant, l'air contenu dans le ballon forme sous le disque un coussin d'air qui soulève le montage. Le disque est supporté par l'air qui est évacué à une faible distance de la table. Les frottements étant quasiment supprimés puisqu'il n'y a pas de contacts directs avec le support, le montage peut alors se déplacer.  +
B
Selon le code enregistré dans la carte, le bouton va activer la lecture d'un nouveau son.  +
Le frottement du peigne contre le tissu permet de charger le peigne en électricité statique. Lorsqu'on approche ensuite le peigne de la balle, celle-ci se charge légèrement, ce qui entraîne la création d'une force dite électrostatique. Les deux objets s'attirent.  +
Les trois informations à retenir : - En brûlant, le coton chauffe l'air à l'intérieur de la [http://wikidebrouillard.org/index.php/Bouteille bouteille], ce qui provoque la dilatation de l'air : il prend plus de place. - Une partie de l'air s'échappe alors de la bouteille : le [http://wikidebrouillard.org/index.php/Ballon_de_baudruche ballon de baudruche] sautille. - Puis la flamme s'éteint et l'air se comprime (en refroidissant, il prend moins de place) en aspirant avec lui le [http://wikidebrouillard.org/index.php/Ballon_de_baudruche ballon de baudruche] qui bouche parfaitement le goulot de la [http://wikidebrouillard.org/index.php/Bouteille bouteille].  +
=== De manière simple === En frottant le ballon avec les cheveux, on le charge en électricité statique. Lorsqu’on l’approche des morceaux de papier, ceux-ci se chargent légèrement et il se crée une force dite électrostatique. Les deux objets s’attirent.  +
L'air chaud est plus léger que l'air froid, il a donc tendance à monter. De plus, l'air soufflé par le sèche-cheveux pousse le ballon vers le haut. Le ballon trouve son équilibre entre son poids qui l'entraîne vers le bas et la poussée de l'air vers le haut. Le ballon reste donc suspendu dans les airs... en lévitation ! === '''Questions sans réponses''' === Pourquoi le poids nous entraîne-t-il vers le bas ? Pourquoi l'air chaud monte ? Cela fonctionne-t-il avec un ventilateur ?  +
En temps normal, lorsqu'on perce un ballon, celui-ci éclate. Pourquoi ? Parce que le caoutchouc est tellement sous tension que le moindre petit trou entraîne une déchirure de la membrane. Dans notre expérience, le pic pénètre le ballon par 2 points précis : près du nœud et à l'autre extrémité, là où le caoutchouc est le moins tendu (d'où la couleur plus foncée du caoutchouc dans ces régions). Ainsi, le trou formé par le pic ne s'agrandit presque pas. Le liquide vaisselle (le savon) aide à améliorer la pénétration du pic dans la membrane du ballon sans trop la déchirer.  +
On retrouve ici un principe d’action-réaction, l’air qui est expulsé du ballon est “l’action”. En s’échappant du ballon l’air produit une force contre l’air ambiant. Imagine simplement qu’elle pousse l’air, comme tu pousserais un objet. Comme le dit [https://fr.wikipedia.org/wiki/Isaac_Newton <u>Newton</u>] cette force s’exerce également dans le sens opposé. C’est-à-dire que l’air ambiant pousse le ballon. Le ballon étant libre de bouger il se déplace le long de la ficelle, c’est la “réaction” ! C’est le principe des avions à réaction. Les réacteurs, fixés sous les ailes expulsent de l’air et du kérosène brûlé à grande vitesse vers l’arrière, ce qui fait avancer l’avion.  +
=== De manière simple === En frottant le ballon avec les cheveux, on le charge en électricité statique. Lorsqu’on l’approche des morceaux de papier, ceux-ci se chargent légèrement et il se crée une force dite électrostatique. Les deux objets s’attirent.  +
Le bateau avance selon le principe d'action-réaction. En s'écoulant, l'eau exerce une poussée vers l'arrière, c'est l'action. Cela provoque une réaction en sens opposé : le bateau est poussé vers l'avant.  +
La [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] est une force s'exerçant sur un liquide qui l'incite à diminuer sa surface de contact avec l'air. Il s'agit d'une force de contact assimilable à une force de pression. L'eau possède donc une [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle]. Lorsque le bateau est déposé sans savon, la [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] de l'eau s'applique de manière équivalente sur tout les côtés de la pièce de papier, la résultante des forces engendrées est alors nulle et le système est en équilibre. Une molécule de savon possède un coté qui se lie à l'eau (hydrophile) et un coté qui se lie avec autre chose (graisse, terre, etc.. on dit hydrophobe). En se mélangeant à l'eau, les molécules de savon cassent la [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] de l'eau. La surface de l'eau se "déchire" en entrainant le bateau, un peu comme si le bateau était la partie mobile d'une fermeture éclair qui s'ouvre. Il faut alors changer l'eau du réservoir pour pouvoir recommencer l'expérience, car la [http://ancien.wikidebrouillard.org/index.php?title=Tension_superficielle tension superficielle] de l'eau est devenue trop faible en raison de l'action du savon.  +
'''Étape 3.''' <br /><br />La matière est faite de particules minuscules dont certaines ont ce qu’on appelle une charge électrique. Les charges de même signe se repoussent alors que les charges de signe opposé s'attirent.<br /><br />Toutes les matières sont normalement électriquement neutre, c'est-à-dire qu'elles possèdent le même nombre de charges positives (protons) et négatives (électrons). Seuls les électrons peuvent être arrachés à la matière. Certaines matières "retiennent" leurs électrons mieux que d'autres.<br /><br />Par exemple, en frottant le ballon de baudruche sur tes cheveux, tu le déséquilibres électriquement, c'est-à-dire que des charges négatives (électrons) sont arrachées des cheveux et récupérées par le ballon. '''On dit que le ballon se charge en électricité statique'''. Grâce à cette électricité statique, si tu approches le ballon des billes de papier aluminium, celles-ci se chargent à leur tour et il se crée alors un phénomène de force électrostatique.<br /><br />Les billes d'aluminium vont transporter les charges négatives du ballon vers la feuille de papier d'aluminium, en faisant un va-et-vient jusqu'à ce que les matières redeviennent à peu près équilibrée électriquement.<br /><br /><br />'''Étape 4.''' <br /><br />Dans l’expérience tu as pu observer la réaction entre des billes d’aluminium et un ballon chargé en électricité statique. Les billes d’aluminium sont attirées par le ballon et viennent s’y fixer. C’est le même principe que l'on peut observer pour certains grains de pollen et certains insectes pollinisateurs comme le bourdon et l’abeille. '''En volant, leurs ailes battent si rapidement que des charges positives apparaissent à la surface de leurs corps'''. Les fleurs et les grains de pollen quant à eux sont généralement chargés négativement. Ainsi, lorsque les insectes se posent sur une fleur, '''du pollen est attiré par le corps de l’insecte qui est chargé positivement.''' Certains grains de pollen viennent s'accumuler sur l’insecte et s’accrochent aux poils. <div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Billes sauteuses Annexe 8.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg" class="image"><img alt="Billes sauteuses Annexe 8.jpg" src="/images/thumb/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg/240px-Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg" width="240" height="198" srcset="/images/thumb/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg/360px-Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg 1.5x, /images/thumb/e/ed/Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg/480px-Billes_sauteuses_Annexe_8.jpg 2x" data-file-width="1692" data-file-height="1394" /></a></div></div></span></div>  
En fait, seul l'alcool a brûlé car le billet est protégé par l'eau contenue dans le mélange.  +
'''Les milieux naturels''' décrits dans cette activité sont très différents les uns des autres, et notre planète en compte beaucoup d’autres ! Tous accueillent la vie, mais pas de la même manière : par exemple, les récifs coralliens et les forêts tropicales hébergent une plus grande quantité d’espèces que le désert saharien est le pôle nord. Chacun de ces milieux de vie est ce qu’on appelle un '''écosystème''', défini par '''la diversité des espèces qui y vivent et qui sont en interactions les unes avec les autres, et avec ce milieu''' (roches, sol, eau...). Quelques écosystèmes que l’on connaît à grande échelle, et qui définissent les grandes zones géographiques de notre planète, s’appellent des biomes (citons par exemple les forêts tropicales, la toundra, les prairies tempérées, les savanes, les abysses...). <u>Intéressons-nous maintenant aux espèces</u> : en général, elles diffèrent d’un milieu naturel à l’autre. Cependant, certaines d’entre elles se ressemblent fortement. Par exemple, le fennec, le renard polaire et le renard roux (qui vit en milieu tempérée), sont des espèces de la même famille (canidés) et du même genre (Vulpes), qui se sont différenciées en s’adaptant biologiquement à leurs différents milieux de vie. Nous remarquons aussi que l’espèce humaine est présente dans presque tous les milieux. Elle a su s’adapter à différentes conditions de vie, notamment en utilisant les ressources de la biodiversité. Quels que soient ces milieux, l’humain entretient des liens étroits avec les espèces qui y vivent : pêcheurs, plongeurs dans les récifs coralliens, pasteurs nomades dans le désert, chasseurs nomades au pôle Nord qui, tout comme les Indiens d’Amazonie, tirent de la nature la majeure partie de leurs ressources (nourriture, vêtements, médicaments, matériaux de construction...).  +
Bien que présentant une morphologie commune (une tête, deux jambes, deux bras, deux oreilles, un nez...), les humains peuvent se différencier sur une multitude de caractères physiques comme la couleur des cheveux, des yeux, la présence de fossettes, la forme du nez, la taille... Et même au sein d'un même caractère, cheveux blonds par exemple, les individus aux cheveux blonds diffèrent fortement les uns des autres par une grande diversité d'autres caractères (taille, lobe des oreilles, couleur des yeux...). '''Qu’est-ce qui rend chaque individu unique ?''' Même au sein d'une famille biologique, les parents et les enfants auront certains caractères physiques communs (par exemple couleur des yeux, forme des cheveux…  hérités des parents, donnés aux enfants) mais il n’y aura pas d'individus identiques (à part les vrais jumeaux, sur le plan génétique). Chaque individu possède '''un mélange''' '''de caractères physiques issus des parents qui le rend unique''', différent de tous les autres individus de la même espèce.  +
L'objet réalisé sera biodégradable et à usage unique. Il est composé de produits naturels (amidon de maïs, eau, huile et vinaigre) qui n'impacteront pas l'environnement.  +
Les cartes contenues dans les blocs font chacune référence à une ligne de commande spécifique pour le Petit Bot. Le module RFID analyse la carte la plus plus proche et la traduit en action. Ces actions sont compilées jusqu'au déclenchement du programme grâce au buzzer.  +
Le bon état écologique se définit à l’aide des différents sous-critères : - Critères biologiques (présence/absence d’organismes végétaux et animaux considérés comme bioindicateurs) ; - Critères hydromorphologiques (naturalité/artificialisation du milieu et des processus qui y sont à l’œuvre) ; - Critères physico-chimiques (toxicologie…) ; - Indices de qualité tels que l’indice biologique ou les indices basés sur les macro-invertébrés. Pour chaque masse d’eau, l’état écologique est qualifié selon cinq classes : très bon, bon, moyen, médiocre et mauvais. Dans tous les cas, il est caractérisé par l’écart aux conditions de référence. Ce référent correspond à la classe « état très bon » attribué lorsque les conditions sont représentatives d’une eau de surface pas ou très peu influencée par l’activité humaine. Les signes d’impact des activités humaines sont visibles dans les différents sous-critères : - Absence de certaines espèces emblématiques ; - Modification de la morphologie des cours d’eau ; - Présence de pollution dans les eaux ; - Indices biologiques avec des notes dégradées ; - …  +
Lorsque le bicarbonate entre en contact avec le vinaigre il se produit une réaction chimique qui libère du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>). Rapidement le CO<sub>2</sub> va occuper tout le volume du bocal chassant alors l'air initialement présent. L'air contient du dioxygène (O<sub>2</sub>) indispensable pour la flamme. Le bocal ne contenant plus que du CO<sub>2</sub>, la flamme est privée de dioxygène et s'éteint.  +
Lorsque l'on souffle simplement dans le goulot, l'air n'est pas dirigé : il touche la boulette, mais également le fond de la bouteille. Cela entraîne une surpression dans la bouteille (on ajoute de l'air à celui déjà présent dans la bouteille). La surpression entraîne l'éjection de la boulette vers l'extérieur. Lorsque l'on utilise une paille pour souffler sur la boulette, l'air est dirigé directement vers celle-ci. Il n'y a pas de surpression dans la bouteille : la boulette n'est pas chassée vers l'extérieur, et peut donc entrer  +
En frottant le trombone avec l'aimant, l'aimant donne au trombone une particularité que l'on appelle le magnétisme. Cela permet aux objets dits "magnétiques", d'indiquer la position d'objets tels que les aimants. Le trombone ainsi magnétisé indique le nord de notre planète ! On met le trombone avec le liège sur l'eau pour permettre au trombone de se déplacer librement.  +
L'huile a la même densité que ce mélange d'eau et d'alcool, ce qui veut dire qu'un volume d'huile et un même volume du mélange ont une masse identique. L'huile flotte au milieu et prend une forme ronde, car elle est entourée par le mélange auquel elle ne peut pas se mélanger, et la forme ronde est celle qui permet à l'huile d'être le moins possible en contact avec le mélange. Un liquide lancé hors de son récipient dans une station spatiale réagit de la même manière en prenant la forme d'une boule qui flotte.  +
C
Si la canette est vide, on ne peut pas la faire tenir en position inclinée, elle tombe systématiquement. De même, lorsqu'elle est pleine. Le "truc" s'est de mettre la bonne quantité d'eau pour qu'il y ait autant d'eau de chaque côté de l'axe de rotation vertical qui passe par le point sur lequel la canette tient en équilibre. L'eau que l'on ajoute dans la canette est un poids. Pour que la canette tienne en équilibre il faut que ce poids soit également réparti, comme pour l'équilibre d'une balance, et c'est seulement à cette condition que le centre de gravité de la canette est situé sur l'axe de rotation vertical. Dès lors que le poids n'est pas également réparti, le centre de gravité de la canette n'est plus situé sur cet axe, et la canette tombe.  +
'''<u>Étape 3</u>''' * La coupe horizontale montre des petits ronds colorés, la coupe verticale, des lignes colorées : '''l'eau colorée a été transportée par les petits tubes contenus dans la plante, appelés « vaisseaux capillaires ». Ce mode de transport d'un liquide''''' (montée naturelle d’un liquide dans des tous petits vaisseaux)'' '''est appelé <u>capillarité.</u>''' * La buée observée dans le second sac plastique est formée par l'air emprisonné. Ce sac sert de témoin à l'expérience. Les gouttes observées dans l'autre sac, plus nombreuses et plus grosses, proviennent un peu de la buée (comme dans le sac témoin), mais surtout de la feuille. '''L'eau s'évapore donc des feuilles dans l'air : c'est <u>la transpiration de la plante</u>'''. Ces gouttes d'eau sont transparentes : la plante a stocké les pigments colorés et a restitué une eau pure. '''<u>Étape 4</u>''' * Le papier (représentant la racine) a absorbé l'eau contenue dans le sol (mélange d’argile et de sel), qui s'est déversée dans second verre (représentant la plante). Dans son trajet, l'eau a entraîné avec elle tout ce qui pouvait passer par les trous minuscules du papier. C'est pourquoi nous retrouvons le sel, dissout dans l’eau, mais pas l’argile. '''De la même manière, les racines servent aux plantes pour absorber l'eau et différents minéraux du sol.''' '''Les végétaux jouent un rôle important dans le cycle de l'eau. La transpiration couplée au phénomène de capillarité permet à l'eau de circuler à travers les plantes et d'être évaporée dans l'atmosphère. La plante peut ainsi se nourrir, mais aussi capter certains polluants et les stocker ou les dégrader.'''<span></span>  +
=== '''De manière simple''' === Il s'agit d'un capteur numérique : le capteur est en fait uniquement la partie du milieu qui est sensible a la pression et la température. Les valeurs sont ensuite renvoyées à l'arduino par les broches A4 et A5. Les fonctions de la librairie permettent ensuite de récupérer des valeurs concrètes sans avoir besoin de faire des calcules.  +
=== '''De manière simple''' === Une pression est effectuée sur le capteur, suite à cet effort un certain nombre de LEDS s’allume. L’allumage et le paramétrage des LEDS se programment grâce au logiciel ARDUINO. * Que se passe-t-il quand toutes les LEDS sont allumées ? => L’effort de pression est trop important pour le capteur, il faut donc vérifier que le capteur a une fourchette de pression assez importante pour assurer le bon fonctionnement de ce montage.  +
Après avoir été frottée contre un vêtement, la paille possède des propriétés statiques : elle est chargée <u>négativement</u>. En l'approchant d'une des plaques, elle permet la répartition des charges positives et négatives sur l'ensemble du montage, ce qui a pour conséquence d'attirer d'un côté ou de l'autre la boule d'aluminium. Le polystyrène est important car il sert d'isolant, afin que les électrons ne se déplacent pas n'importe où.  +
Les Systèmes d'Informations Géographiques sont des outils puissants pour représenter de nombreuses données. Certaines de ces données sont visibles depuis le ciel ou par satellite, d'autres sont collectées par des campagnes de mesures sur le terrain. L'hydrosphère représente l'ensemble de l'eau d'un territoire, sous toutes ses formes. Une partie de l'eau d'un territoire est visible, mais une autre est souvent cachée. Bien que deux cours d'eau d'un même territoire paraissent indépendants, ils sont souvent connectés. Parce qu'ils se jettent dans le même fleuve ou parce qu'ils sont alimentés par les mêmes évènements météorologiques. Un exemple simple : mon voisin et moi possédons chacun un puits. Ils paraissent indépendants, mais en réalité ils donnent accès à la même nappe souterraine. Si l'un de nous y pompe trop d'eau, les deux finiront à sec. C'est pourquoi une approche par hydrosphère, plus complète, est préférable.  +
La catapulte est créée grâce à un élastiques qui vient exercer une pression sur un bout de bois rigide, ce qui a pour effet que lorsque nous cessons d'exercer cette pression le bout de bois va partir et la vis qui est au bout va pouvoir venir percuter la capsule et donc enclencher le décapsulage.  +
La force fournie par l'utilisateur dans le levier va permettre, grâce à la vis placée sous la capsule, de la retirer. Plus l'utilisateur met de force, plus la capsule sera catapultée loin  +
La catapulte est créer grace a un ressort et des élastiques qui viennent exercer une pression sur un bout de bois rigide, ce qui a pour effet que quand nous arretons d'exercer cette pression le bout de bois va partir et le poids qui est au bout va pouvoir venir percuter le bras de levier et donc enclencher le décapsulage.  +
Une catapulte à élastique est un type de catapulte qui utilise l'énergie stockée dans un élastique pour propulser un projectile. La catapulte est généralement composée d'une base, d'un bras de levier, d'un lanceur et d'un élastique.  +
L’air comprimé désigne l’air dont la pression est supérieure à la pression atmosphérique. Il peut être stocké à haute pression et constitue un formidable outil pour fournir de l’énergie. Plus sûr et plus simple à utiliser que d’autres solutions alternatives, comme la vapeur ou les piles, l’air comprimé est une source d’énergie très répandue. En tournant la vanne, on libère l'air comprimé de la bouteille, et toute l'énergie fournie en pompant se libère d'un coup.  +
Après avoir fait la recette nous pouvons remarquer que le agar a agis sur ketchup. Il a « gélifié » la ketchup. Quand la solution (ketchup) est chaude la solution est liquide mais quand la solution refroidit alors la solution devient gélatineuse  +
'''Lorsque tu couvre la bougie avec le verre il se passe deux choses :''' - D'une part, la combustion nécessite du dioxygène (O2) et produit du dioxyde de carbone (CO2). Lorsque la quantité de dioxygène présente dans le verre devient trop faible alors la flamme s'éteint. - D'autre part, la flamme de la bougie produit de la chaleur qui va chauffer l'air présent dans le verre. L'air en chauffant se dilate. C'est à dire que pour la même quantité d'air, cet air prend plus de place. On peut d'ailleurs constater cette dilation, car lorsque l'on pose le bocal sur la bougie, un bulle d'air s'échappe. Lorsque la flamme s'éteint (du fait du manque d'oxygène) l'air refroidit. A l'inverse de la dilatation , en se refroidissant, l'air se rétracte, c'est à dire qu'il prend moins de place. L'eau va alors être aspirée dans le verre occupant la place ainsi libérée.  +
=== '''De manière simple''' === Les Leds s'allument de manière aléatoire de plus en plus vite. À chaque pression sur un bouton poussoir se produit l'événement suivant : soit ce bouton correspond à la bonne led et le jeu continue, soit ce bouton ne correspond pas à la bonne Led, le jeu s’arrête et le score s'affiche à l'aide des leds.  +
=== '''De manière simple''' === Au départ, il y a de l'air entre les feuilles, comme partout autour de nous. Cet air appuie sur tous les objets de la même façon, tout autour d'eux avec la même force : c'est la pression atmosphérique. En soufflant, on déplace de l'air et on crée un courant d'air entre les feuilles. Ce déplacement d'air entraîne une diminution de la pression de l'air entre les feuilles. L'air appuie alors moins fort entre les feuilles qu'autour d'elles, et elles sont poussées l'une contre l'autre. === '''Questions sans réponses''' === L'espace entre les feuilles est ouvert, pourquoi l'air ne vient pas des côtés ?  +
La phase de couleur verte est celle qui est le plus bas, elle correspond à la chlorophylle. La phase de couleur jaune est celle qui est le plus haut, elle correspond aux xanthophylles et carotènes. <br/>  +
La bande de papier filtre absorbe l'eau qui va alors monter le long de la bande. L’eau a le pouvoir de monter naturellement malgré la force de gravité (celle qui fait tomber les objets). Pour cela, elle va s’aider des micro-fibres présentes dans le papier. On appelle ce phénomène '''la capillarité.''' Lorsque l'eau atteint le point coloré, elle l'entraîne avec elle. Chaque colorant réagit alors différemment selon le type de papier filtre et selon le liquide utilisé. Certains colorants vont moins vite ou montent moins haut, ce qui fait qu'ils se séparent et qu'on peut les distinguer nettement au bout de quelques instants. C'est la technique de '''chromatographie'''. La couleur d’un feutre est en fait composée de plusieurs couleurs. Sur notre expérience, les couleurs des feutres bleu et vert sont des mélanges de plusieurs couleurs, alors que le jaune ne comporte aucun mélange de couleur. Le bleu comportait du magenta alors que le vert, lui, comportait du jaune et du cyan ! C'est pour cela qu'on parvient à voir ces nouvelles couleurs sur notre papier filtre !  +
Dans un circuit en série, chaque composant utilise une partie de la tension électrique, un peu comme si les composants se « partageaient » l’électricité. Donc plus il y a de composants dans le circuit, moins chaque composant reçoit d’électricité pour fonctionner. Certains composants ont besoin d’une tension minimale pour fonctionner, comme les LED. Si les autres composants consomment trop d’électricité, il n’en reste plus suffisamment pour les LED, et elles ne s’allument pas. Lorsqu'un circuit est branché en parallèle, la tension est la même dans les 2 parties : les composants fonctionnent avec la même tension et ont un fonctionnement normal.  +
La naissance de la classification commence par l'observation des caractéristiques physique du vivant. Les scientifiques ont ensuite cherché à nommer ces groupes d'individus pour déterminer des groupes, embranchements, famille etc...  +
Lorsque la pluie tombe, une partie de l’eau est absorbée par le sol et une autre se met à s’écouler à la surface, on parle alors de ruissellement. Selon le sol, la pente et l’intensité de la pluie, la part de l’eau qui ruisselle peut varier. En hydrologie (l’étude des mouvements de l’eau) on parle de “coefficient de ruissellement”. Celui-ci s’exprime en pourcentage de l’eau qui ruisselle par rapport à la totalité de l’eau qui tombe sur une surface. Ce coefficient varie selon le type de sol (sable, terre, route, etc.). Dans notre expérience, le coefficient de ruissellement des éponges varie beaucoup selon leur taux d’humidité. Il est très élevé sur l'éponge gorgée d’eau et plutôt faible sur l’éponge humide. Un même sol peut avoir un coefficient de ruissellement très différent selon son état. Tu peux également essayer de refaire l’expérience en faisant varier l’inclinaison des éponges ou l’intensité de la pluie ! Lorsque l’on ajoute une couche étanche (feuille de plastique ou aluminium, en hydrologie on parle de surface imperméable), l’eau qui tombe dessus ne peut pas atteindre le sol ! Elle se met alors à ruisseler. Même si elle ruisselle jusqu’à une couche dans laquelle elle peut s’infiltrer, celle-ci ne sera généralement pas capable d’absorber toute l’eau qui tombe sur sa surface en plus de celle qui arrive.  +
* Dans le premier cas, l'eau s'échappe de la boîte. * Dans le second cas, l'eau de ne s'échappe pas de la boîte a cause de la pression de l'air qui la maintient et la pousse vers l'intérieur.   +
Les molécules interagissent entre elles, et cela correspond à une certaine énergie. Les molécules se mettront toujours dans la position de moindre énergie. Or l'énergie pour les molécules d'eau est moindre si elles restent en contact avec d'autres molécules d'eau plutôt qu'avec des molécules de gaz (l'air). C'est pour cela que la configuration avec une "couche" d'eau qui dépasse du verre est plus stable que des gouttes qui se séparent pour couler le long du verre. <br/> ===Expériences complémentaires=== Refaire la même expérience avec d'autres liquides : de l'huile et de l'alcool. Est ce que le nombre de pièces (le volume) à ajouter est le même pour faire déborder le verre ? Réponse : non. L'huile et l'alcool sont des molécules différentes de l'eau. Elles n'interagissent pas ensemble de la même façon. Les configurations de moindre énergie ne sont donc pas les mêmes. Placer une assiette sur une balance et faire la tare. (Précision souhaitable de la balance : +/-1g). Placer un verre d'eau sur l'assiette, elle même sur la balance. Se placer dans la configuration où le verre est à la limite de déborder. Plonger un objet dans le verre et observer l'eau couler du verre dans l'assiette. Retirer un peu d'eau du verre, par exemple avec une pipette, sans rien faire couler. Retirer le verre d'eau de l'assiette. À quoi correspond le poids mesuré ? Réponse : au volume d'eau qui a débordé en ajoutant la pièce. Comme on connaît la masse volumique de l'eau (son poid par unité de volume, en gros 1 kilogramme par litre), on connaît donc le volume de l'eau qui a débordé. Ce volume est identique à celui de l'objet qu'on a plongé pour faire déborder le verre.  +
Nous sommes entourés d'ondes électromagnétiques. Les ondes de la transmission de la radio, de la télé, etc. le courant électrique aussi émet des ondes électromagnétiques. Ces ondes créent de l'électricité dans les broches des composants électroniques. C'est pour cela qu'une broche connectée à rien, n'est pas forcément à l'état 0. Une résistance de pullup fixe l'état à HIGH (état haut). Une résistance de pulldown fixe l'état à LOW (état BAS).  +
La loupe concentre les rayons du soleil en un point relativement petit. De ce fait, l'énergie reçue par ce point augmente et la température de la feuille peut s'élever jusqu'à son point de combustion.<br /><br />* <div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Lumiere - Concentration de la lumiere Schemaloupe.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/8/84/Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg" class="image" title="1 : rayons du soleil 2 : Loupe"><img alt="1 : rayons du soleil 2 : Loupe" src="/images/8/84/Lumiere_-_Concentration_de_la_lumiere_Schemaloupe.jpg" width="249" height="405" data-file-width="249" data-file-height="405" /></a></div></div></span></div><br /><br />1 : Rayons Solaires<br /><br />2 : Loupe  +
On observe que lorsqu'une espèce fragilisée est enlevée (coraux, plancton), une grande partie du réseau trophique est fragilisée elle aussi. En effet, la proximité des espèces dans un réseau trophique et la complexité des interactions entre les organismes vivants impliquent que la fragilisation ou la disparition d'une espèce peut avoir d'importants impacts en cascade sur l'ensemble du réseau. L'acidification des océans fragilise des espèces à squelette calcaire comme le plancton et le corail qui sont à la base d'écosystèmes fondamentaux dont dépend une grande partie de la biodiversité marine et dont on dépend également. Ainsi, premier maillon des réseaux trophiques marins, le plancton est à la base de la vie dans les océans. Quant aux récifs coralliens, ils ne recouvrent que 0,5% des fonds marins, mais environ un tiers des espèces marines s'y nourrit, s'y abrite ou s'y reproduit.  +
'''Les végétaux sont toujours à la base des réseaux trophiques. Ce sont des producteurs'''. Grâce à l’énergie du soleil, ils utilisent le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l’air pour produire de la matière (dite organique). Ils se nourrissent des minéraux du sol, provenant de la dégradation de végétaux et d’animaux par les micro-organismes (bactéries et champignons qui sont des décomposeurs). '''Les animaux sont des consommateurs''' : ils ne produisent pas seuls leur propre matière organique, ils ont besoin pour cela de consommer d’autres êtres vivants. '''Il en existe 3 types : les herbivores''' qui consomment les végétaux (lapin, chevreuil, chenille…), '''les carnivores''' qui se nourrissent d’animaux (rapace, loup, serpent…) et '''les omnivores''' qui se nourrissent d’animaux et de végétaux (mulot, renard...). Le réseau trophique est surtout basé sur des relations alimentaires, mais il n’existe pas que des relations alimentaires. Certaines espèces servent d’habitats ou d'abris à d’autres (arbres de la forêt pour le chevreuil, le lapin, le renard…), et il existe des relations entre espèces, bénéfiques ou non, qui peuvent être parfois très spécifiques : mutualisme, commensalisme, symbiose, parasitisme. À ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). Les multiples relations qui existent entre les espèces peuvent être parfois bénéfiques pour certaines, au dépend d’autres '''(+/-) : compétition, prédation et parasitisme'''. Mais les relations de coopération, bénéfiques pour les individus '''(+/+ ou +/0)''', sont également très importantes dans un écosystème. Elles se présentent sous trois formes : '''commensalisme, mutualisme et symbiose.''' Du fait de la disparition de certaines espèces (ex : mulot, renard...), d’autres vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient) ou augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le fonctionnement de l’ensemble de l’écosystème. Ainsi, en perturbant un écosystème (autoroutes, pesticides, coupe d’arbres, changement climatique...), non seulement nous altérons les réseaux trophiques des milieux concernés, mais nous modifions également les habitats et les relations de coopération et compétition qui existent entre les espèces, ainsi que les différentes fonctions de ces espèces dans leur milieu.  
<u>Étape 4</u> : Dans le sol, les organismes vivants peuvent être identifiés : <br/> *''<u>par taille</u> '': micro-organismes et microfaune (échelle du micron = un millième de millimètre)), mésofaune (échelle du millimètre), macrofaune (échelle du centimètre), mégafaune et plantes (échelle du décimètre/mètre) *''<u>et par niveaux trophiques :</u>'' **A la base des chaînes alimentaires, les végétaux – appelés '''producteurs primaires''' - utilisent les minéraux du sol et le dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) de l'air pour produire de la matière (dite organique) grâce à l'énergie du soleil. **Feuilles, bois, débris végétaux et animaux sont dégradés par '''les décomposeurs''' (micro-organismes : bactéries et champignons) et '''les détritivores''' (collemboles, vers de terre...) qui fragmentent et transforment la matière organique. Les minéraux issus de cette dégradation sont ainsi remis à disposition des plantes. **De toutes les tailles, '''les consommateurs (herbivores, omnivores et carnivores :''' vers nématodes, acariens, carabes, araignées, fourmis, hérissons, poules…) permettent la régulation des populations d’organismes vivants du sol. <u>Étape 5</u> : Les interactions entre espèces ne sont pas qu’alimentaires. Elles peuvent être aussi bénéfiques pour les deux espèces (mutualisme, symbiose), bénéfiques pour une espèce sans nuire pour autant à l’autre (commensalisme), bénéfiques pour une espèce au dépend de l’autre (parasitisme). A ces relations s'ajoute la compétition pour une même ressource (nourriture, habitat). <u>Étape 6</u> : Suite à la destruction d’un habitat, les premiers maillons du réseau qui sont touchés ne vont modifier que légèrement le réseau d’interactions. Mais au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau. Du fait de la disparition des vers de terre ou des carabes, certaines espèces vont voir leur population diminuer (car ils s’en nourrissaient), d’autres augmenter (car ils ne sont plus mangés), ce qui peut fortement déstabiliser le bon fonctionnement du sol et de sa biodiversité. Non seulement cela altère le réseau trophique, mais cela va aussi modifier les relations de coopération et de compétition qui existent entre les espèces. D’où l’intérêt de réfléchir, dans un jardin, aux bonnes pratiques pour maintenir le plus de biodiversité : http://ephytia.inra.fr/fr/C/25197/jardibiodiv-Conseils-de-gestion-des-jardins. À travers ses activités (agriculture, jardinage, urbanisation, haies végétales, paillage, compost…) l'humain peut avoir différents types d’impacts sur le sol. Il interagit donc directement ou indirectement avec toutes les espèces du réseau : *en favorisant ou réduisant la présence de débris végétaux dans un sol ; *en privilégiant certaines espèces (qui deviendront alors plus abondantes) ; *en faisant disparaître certaines espèces (du fait de l’utilisation de produits chimiques, de certains modes de production agricoles, de l’urbanisation…)  
Le courant électrique nécessaire à l'allumage de la lampe circule donc plus ou moins bien dans les différents matériaux. Les matériaux qui laissent passer le courant sont appelés "conducteurs" et ceux qui ne le laissent pas passer sont appelés "isolants".  +
En tournant la cuillère dans un sens, on crée un tourbillon ou vortex, l'eau se déplace en tournant autour d'un axe. L'eau, en tournant, va entraîner les morceaux de plastique en son centre. <br/>  +
Le métal chauffé prend différentes couleurs. A chaque fois que le métal atteint une température précise, il va changer de couleur. C'est ce qu'on appelle l'incandescence !  +
L’eau remonte le long du morceau de papier absorbant et s’étale sur le papier-filtre. Le cercle de feutre noir est alors entraîné avec l’eau. Les différentes couleurs qui composent l'encre noire se séparent. La décomposition des couleurs est due à la différence de masse entre les encres de différentes couleurs : les encres les plus légères sont entraînées plus vite, et donc plus loin que les encres plus lourdes. Malgré la gravité, qui voudrait que l'eau reste au fond du verre, celle-ci remonte le long du papier absorbant. C'est ce qu'on appelle la capillarité ! Les liaisons entre le papier absorbant et l'eau sont plus fortes que la gravité, ce qui permet à l'eau de monter.  +
=== '''De manière simple''' === Le chou rouge possède des éléments colorés violets qui sont capables de changer de couleur lorsque l'acidité varie. * Le citron et le vinaigre sont acides -> le jus de chou devient rose. * Le bicarbonate est le contraire d'acide (on dit alors qu'il est "basique") -> le jus de chou devient bleu ! La lessive est encore plus basique que le bicarbonate, le mélange fait alors virer le jus de chou rouge au vert.  +
Plus l'eau contient des éléments conducteurs, les ions, plus elle conduit le courant électrique. L'[http://www.wikidebrouillard.org/index.php?title=Eau eau] pure (H2O) est un élément non conducteur (qui ne permet pas le passage de l'électricité) parce qu'elle ne contient pas d'ions. L'eau du robinet, ou l'eau douce que l'on trouve dans la nature, ne sont PAS isolantes car elles ne sont jamais pures : elles contiennent des minéraux dissous sous forme d'ions. Cependant l'eau du robinet n'est que faiblement conductrice, le courant y circule trop peu pour que cela suffise à allumer l'ampoule dans notre expérience, car le courant appliqué y est très faible. '''Mais attention''' : l'eau du robinet est suffisamment conductrice pour créer un grand risque d'électrocution dès qu'on y fait circuler un courant électrique assez puissant ! C'est pour cela qu'il est très dangereux d'approcher des appareils électriques de l'eau. L''''eau salée''' est beaucoup plus conductrice que l'eau douce parce que le sel n'est pas un isolant. Il augmente donc très nettement la conductivité de l'eau. C'est pour cela que dans notre expérience l'eau salée laisse passer suffisamment le courant pour que l'ampoule s'allume.  +
L'air chauffé par le radiateur s'élève devant la fenêtre en déplaçant l'air plus frais au-dessus de lui.  +
Une rivière est un milieu vivant et évolutif. Même si elle est laissée sans aménagement, son tracé évoluera au gré des crues [1]. En effet, lorsque le cours d'eau prend de la vitesse (parce que la quantité d'eau augmente ou qu'elle s'écoule tout droit sans obstacles), il va venir grignoter ses berges. C'est ce phénomène tout à fait naturel qu'on appelle érosion. Au contraire, si un cours d'eau qui a pris de la vitesse doit ralentir brusquement, par exemple s'il arrive sur des méandres où l'eau s'écoule lentement, alors il va déborder. C'est ce qu'on appelle l'inondation. Ici, les tuiles ''Biodiversité'' représentent les poissons migrateurs qui remontent les rivières pour se reproduire. C'est le cas des saumons, par exemple. Ceux-ci vivent leur vie en mer et remontent depuis l'embouchure jusqu'aux petits ruisseaux qui ont formé le fleuve pour se reproduire. Cependant de nombreux ouvrages comme des seuils ou des barrages hydro-électriques peuvent les empêcher de remonter jusqu'aux zones où l'eau est la plus pure pour y établir leur descendance [2].  +
Quand on met du sel dans l'eau, il va se dissoudre : on va le voir disparaître dans l'eau. À mesure que l'eau s'évapore lentement dans l'air, le sel toujours présent dans l'eau va se reformer en grains sous forme de cubes ressemblant à du gros sel.  +
Mode d'emploi: #Placer la catapulte sur une surface plane (avec de la place autour quand le projectile partira!) #Brancher le moteur (toujours faire attention avec l'électricité) #Le moteur commence à tourner pendant que la bobine se déroule #Lorsque la bobine a fini de se dérouler, le fil se bloque et coupe l'élan du bras; ce qui l'arrête. #Quand l'expérience est terminée, commencez par débrancher le moteur puis réenrouler autour de la bobine.  +
La voiture à propulsion élastique fonctionne grâce à un système simple mais astucieux. Un élastique est tendu à l'aide d'un dispositif mécanique et stocke de l'énergie potentielle. Lorsque l'on relâche l'élastique, l'énergie stockée est convertie en énergie cinétique, propulsant ainsi la voiture en avant. Le dispositif mécanique est une manivelle qui enroule la ficelle sur un axe et tend ainsi l'élastique. La longueur de la ficelle est déterminée par un rapport de transmission, qui peut être ajusté pour modifier la force exercée par l'élastique et la distance parcourue par la voiture. Plus le rapport de transmission est élevé, plus la distance parcourue par la voiture sera grande mais la force exercée par l'élastique sera plus faible, et inversement. Lorsque la voiture est prête à être lancée, l'élastique est enroulé dans le dispositif mécanique en utilisant la manivelle. Une fois que l'élastique est suffisamment tendu, la voiture est placée sur une surface plane et l'élastique est libéré . L'énergie stockée dans l'élastique est alors transférée à la voiture, qui commence à avancer. La distance parcourue par la voiture dépendra de la longueur de la ficelle et de la force exercée par l'élastique, ainsi que de la qualité des roues et de la surface sur laquelle elle roule.  +
==='''La manipulation'''=== Note : Expérience difficile à réaliser puisqu'il faut réussir à créer une différence notable de température entre le pain de glace et le spot. Les enfants peuvent également faire les manipulation en autonomie durant cette expérience en restant proche pour éviter les risques de brûlures. L'expérience fonctionnera davantage si le pain de glace est en hauteur et l'encens droit.<span></span> ==='''De manière simple'''=== La fumée provenant directement de l'encens est chaude, elle monte et se répand sur le dessus de l'aquarium. Lorsqu'elle s'approche de pain de glace, elle se refroidit et descend. Elle se répand alors dans la partie inférieure de l'aquarium pour ensuite se réchauffer lorsqu'elle se rapproche du spot : elle remonte. On a ainsi formé un cycle et créé du vent.  +
Vous appuyez sur la barre espace pour maintenir l'oiseau en vol. La partie est finie si vous touchez un tuyau ou si vous touchez le bord en bas.  +
Vous dirigez le serpent avec les flèches de direction. Votre but est de manger la pomme pour pouvoir grandir jusqu'à ce que vous touchiez malencontreusement le bord.  +
Si vous voulez juste y jouer, les flèches gauche et droite servent pour diriger le personnage et la touche espace sert à sauter. Il faut éviter les pièges sur le terrain pour avancer.  +
Le programme, lorsqu'il est lancé, trouve une valeur aléatoire entre 1 et 5. Par la suite, en fonction de la valeur, la carte arduino enverra de l'électricité dans les LEDs. Par exemple, si le programme trouve la valeur 2, la carte enverra de l'électricité dans les LEDs haut droite et bas gauche, ce qui fera que ces deux LEDs s'allumeront. Le bouton, lorsqu'il est enclenché, ouvre le circuit, l'électricité ne passe plus et éteint la carte. Le relâchement du bouton fait que le circuit se referme et relance le programme.  +
Vous contrôler les barres de Pong avec les touches z et s pour la première barre et les flèches du haut et du bas pour la seconde. Le but est de faire passer la balle dans le camp adverse (représenté par la barre grise de chaque côté de l'écran) pour gagner. Il est préférable d'y jouer à deux mais vous pouvez y jouer seul aussi.  +
Le but est de tuer les chauves-souris tout en évitant de tirer sur la grenouille magique. Vous dirigez le viseur avec la souris et vous appuyez sur le clic droit pour tirer.  +
L'engrenage permet de ramener les extrémités des deux bras latéraux vers le centre de la catapulte, accumulant ainsi de l'énergie qui propulsera le projectile une fois libérée  +
Lorsque l'on tape la cuillère sur la table, on fait vibrer la cuillère. La '''vibration''' va être transmise par la ficelle puis passer par tes os au bout de tes doigts jusqu'à ton oreille. La vibration est alors interprétée par l'organe du corps qui transmet l'information sonore au cerveau : '''ton système auditif.'''  +
*Au contact de l'air et avec le temps, la surface des pièces en cuivre devient noirâtre, on dit que le cuivre s''''oxyde'''. *Dans le verre, des particules de cuivre se détachent alors de la surface des pièces de monnaie : on les appelle des '''ions''' cuivre. *Une fois dans le vinaigre les ions cuivre rencontrent le clou qui est en acier. L'acier contient du fer qui réagit avec les ions cuivre. *Les ions cuivre se retransforment en cuivre sur la surface du clou et les particules de fer deviennent des ions ferreux. *Nous venons de faire une réaction chimique qu'on appelle '''oxydo-réduction'''.   +
<nowiki>Sous l'exposition à des '''rayons ultraviolets''', le fer des surfaces exposées est réduit, formant sur le papier une couleur bleu de Prusse à bleu cyan. <br /><br /><br />L’intensité du changement de couleur dépend de la quantité de rayons UV, mais on peut obtenir des résultats satisfaisants après trois à six minutes d’exposition en plein soleil en été. <br /><br /><br />Les motifs, qui apparaissent en clair sur fond sombre, peuvent être obtenus par contact avec tous formats de négatifs, sachant qu’il n’y a évidemment aucun agrandissement dans ce cas. N’importe quel type d'objet peut aussi être utilisé pour obtenir des photogrammes. Après l’exposition, le fer non réagi (jaune-vert) est éliminé par rinçage à l’eau courante. La couleur bleue est due à un précipité bleu de ferrocyanure ferrique de formule chimique complexe : KFe2(CN)6, appelé historiquement bleu de Prusse ou bleu de Turnbull.<br /><br /><br />En réalité les deux ions du fer sont à des degrés d'oxydation différents : KFe+III[Fe+II(CN)6].<br /><br /><br />Ce pigment bleu, solide et peu soluble dans l'eau, est incrusté dans les fibres du papier. Aussi, le type de papier que vous utiliserez aura une incidence sur la tenue de votre cyanotype.</nowiki>  +
Le phénomène illustré par cette expérience, montre qu'une plante se nourrit grâce à l'effet de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Capillarit%C3%A9 capillarité] (On appelle capillarité la montée naturelle de certains liquides (dont l'eau) dans des canaux de très petit diamètre). La tige des fleurs et des plantes est constituée de plusieurs canaux minuscules. Chaque canal est relié à une partie précise d'un pétale. Ainsi, le canal qui plonge dans l'eau colorée en rouge conduit cette eau à toutes les extrémités du céleri.  +
D
Plus la bille sera en hauteur, plus elle accumulera d’énergie. Lorsqu’on la lâche, l’énergie se transforme en vitesse. Puis en son (le son du choc) et on voit le cratère se former. Le cratère est une visualisation de l’énergie libérée par la bille.  +
Il n’existe pas de définition universelle en dessin de l’arbre tant cette notion recouvre une grande variété de formations et d'espèces aux agencements divers. L’une des définitions communément acceptée est la suivante : l’arbre est considéré comme un végétal ligneux, c’est à dire composé de bois (à l’inverse de l’herbe), ayant un tronc nu et non composé de branche (donc non ramifié) dès la base, d'une hauteur supérieure ou égale à sept mètres ou susceptible d'atteindre cette dimension à maturité. Lorsque la taille est inférieure à 7 mètres, on parle d’arbustes.  +
Le champ de vision qu'on a de notre fenêtre est restreint. Il se limite généralement à environ 180°, c'est à dire ce qu'on peut voir en regardant à droite et à gauche. Lorsqu'on bénéficie de fenêtres sur d'autres façades du bâtiment, on peut élargir ce champ de vision et changer un peu le paysage qu'on voit.  +
====== <u>ÉTAPE 1</u>. ====== Les dessins se ressemblent car le peu de temps donné pour dessiner oblige le cerveau à aller au plus efficace, à simplifier, à schématiser : ''par exemple, sapin = trois/quatre triangles + un tronc rectangulaire. '' Nous sommes allés très rapidement rechercher les informations les plus simplifiées rangées dans notre cerveau et associées au mot sapin, permettant de le décrire. ====== <u>ÉTAPE 2</u>. ====== Moins notre cerveau a le temps de s'imaginer l'objet, plus il va le schématiser, sélectionnant les éléments les plus représentatifs qui vont permettre selon nous de le décrire. À l'inverse, avec du temps, notre cerveau peut plus personnaliser l'objet, l'enrichir et prendre en compte plus de détails venant de notre culture, de notre éducation, de notre rapport personnel à l'objet ''(cf sapin avec des boules de Noël, pistes de ski...)'' et de la société dans laquelle nous vivons ''(cf. enfants qui ne fêtent pas Noël mais qui dessinent un sapin avec des cadeaux, car ils en voient à l'école, dans les magasins...). '' ====== <u>ÉTAPE 3.</u> ====== Notre cerveau catégorise, c'est-à-dire qu'il associe, trie, range les informations qu'il reçoit d'un objet par rapport à des éléments qui le décrivent (sa couleur, sa forme...) et des éléments associés à son contexte (ses usages, son milieu de vie...). Dans ces informations que notre cerveau associe à l'objet, certaines viennent de nos expériences collectives (en lien avec notre culture, notre éducation...) et sont communes à d'autres personnes, d'autres viennent de nos expériences personnelles (en lien avec nos souvenirs...) et sont individuelles. Ainsi, quand notre cerveau crée une catégorie avec le mot sapin, il regroupe un certain nombre d'informations que nous collons au mot sapin. Selon le temps disponible pour le représenter, nous allons chercher les informations qui sont les plus représentatives du sapin, nous les hiérarchisons. Plus nous aurons de temps pour le dessiner, plus nous pourrons le détailler, le personnaliser, le différencier du sapin dessiné par un autre. Selon le temps disponible et notre culture, nous n'utilisons pas les mêmes catégories.