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Q
Les biocides sont utiles au quotidien et participent à l'hygiène de nos lieux de vie. Heureusement, de plus en plus de biocides d'origine naturelle sont développés aujourd'hui [4]. Ceux-ci sont plus rapidement dégradés dans l'environnement, leur impact est donc moindre. On préfère également utiliser des méthodes alternatives pour lutter contre les espèces nuisibles [5]. Ces moyens de lutte physique ou biologique (plutôt que chimique) ont l'avantage de ne pas faire de dégâts sur l'environnement, mais sont parfois moins efficaces ou plus coûteux. Parmi ces méthodes alternatives, on retrouve : *Le lâcher de prédateurs, comme les coccinelles pour lutter contre les pucerons ; *Les pièges, qui attirent les insectes indésirables et permettent de n'éliminer qu'eux ; *La lutte manuelle, comme le désherbage à la main; *Les moyens physiques, les hautes températures notamment, qui permettent de tuer les bactéries dans l'alimentation sans ajouter de biocide.  +
Pour comprendre notre monde, nos yeux transmettent des informations au cerveau. Quand nos yeux voient quelque chose de différent de ce que nous avons l'habitude de voir, ils s'adaptent pour le transformer et ainsi, le faire correspondre à une autre chose que nous avons l'habitude de voir. Les illusions d'optique sont souvent utilisées dans la peinture et la photographie, ainsi que par les illusionnistes et magiciens pour tromper les spectateurs.  +
Apprendre aux enfants à ne pas ce couper la parole et à parler quand vient son tour  +
R
Pour surprendre tes amis et ta famille, tu peux servir ce riz de couleur inhabituelle. Une façon de se préparer de nouvelles saveurs !  +
Lorsque l'eau se met à geler, elle passe toujours pas une phase où elle se transforme en cristaux avant de se solidifier. Vous pouvez en observer dans votre congélateur ou lorsqu'il neige dehors.  +
Sur un café bricol' ou lors de tout autre atelier de réparation Chez soi si on est motivé ! Un parallèle avec les mécanismes tournants plutôt qu'avec l'eau :<br/>https://piped.video/watch?v=QrkiJZKJfpY On peut utiliser leur simulateur en ligne gratuitement : https://simulator.spintronics.com/  +
Chat gpt que vous connaîtrez peut-être, fonctionne avec un réseau de neurones, pour calculer les mots.  +
Les algorithmes sont utilisés quotidiennement pour : - résoudre des problèmes complexes à l'aide d'une démarche scientifique ; - fabriquer des intelligences artificielles (IA).  +
C’est le même principe lorsque nous allons dans le fond de la piscine et que nous avons mal aux oreilles : l’eau de la piscine pousse sur les oreilles pour y entrer car la pression y est moins forte.  +
S
Les organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Un programme comme "Sauvages de ma rue" apporte beaucoup aux personnes qui étudient les espèces végétales, il permet de : *Collecter des données et sensibiliser le public pour une meilleure connaissance des espèces et de leurs habitats, et pour favoriser leur préservation *Collecter des données dans le cadre d’une recherche scientifique s’appuyant sur un protocole scientifique établi Grâce à ces études, les scientifiques peuvent par exemple comparer les observations réalisées sur les plantes sauvages poussant sur les trottoirs par rapport aux observations collectées sur les mêmes espèces en milieu naturel, mesurer les effets de l'activité humaine sur la flore, estimer les changements liés au réchauffement climatique sur les végétaux au fil des années... Cette activité est adaptée du programme de sciences participatives "Sauvages de ma rue", développé par l’association Tela Botanica et le Museum National d'Histoire Naturelle. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives en suivant son protocole original.  +
Les organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Grâce à ces études, les scientifiques ont pu déterminer par exemple que la pêche à pied avait entraîné une forte diminution des populations de bigorneaux sur les côtes bretonnes. Certaines espèces d’algues brunes sont également de moins en moins présentes sur nos littoraux, comme les laminaires, dont plusieurs espèces sont probablement perturbées par les effets du réchauffement climatique. Cette activité est inspirée du programme de sciences participatives Biolit, développé par l’association Planète Mer. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives.  +
Les organismes vivants sont souvent difficiles à étudier pour les scientifiques et les associations de protection et d’étude de la nature, car ils ne peuvent pas être partout ! Grâce aux programmes de sciences participatives, tous les citoyens peuvent aider à étudier et suivre la biodiversité, même si l’on n’est pas un spécialiste. Ces programmes proposent d’observer, parfois de compter, quelques espèces d’animaux ou de plantes et de communiquer ses observations aux personnes qui étudient la biodiversité. Les informations collectées grâce à ces programmes aident à comprendre comment les animaux ou les plantes vivent, si certaines espèces ont tendance à devenir moins abondantes (exemple des abeilles et autres pollinisateurs en déclin), et de comprendre pourquoi (pollution, réchauffement, activités humaines qui perturbent parfois les espèces), ou si au contraire la biodiversité revient dans un endroit qui a été aménagé pour la faire revenir. Cette activité est inspirée du programme de sciences participatives Spipoll, développé par le Museum National d’Histoire Naturelle. Elle permet de s’exercer à pratiquer les sciences participatives en développant sa capacité d’observation, sa concentration, sa rigueur scientifique, et de s’organiser pour travailler en petites équipes. Il sera alors plus facile aux participants de participer à un programme de sciences participatives.  +
Tu peux observer l'écoulement de l'eau dans ton quotidien, elle est toujours attirée vers le sol. Parfois tu peux observer des phénomènes qui vont à l'encontre de la gravité quand tu fais la vaisselle, dans ton bain ou dehors avec les jeux d'eau. Quand on arrose le jardin, l'eau fini toujours par retomber vers le sol mais la pression dans le tuyau peut la faire remonter. En impesanteur dans leur vaisseau spatial, les spationautes flottent, ils n'ont plus de repères indiquant le haut ou le bas. Ils subissent une transformation du visage et des jambes au début de leur séjour. Le cœur continue à propulser le sang vers la tête, et à le laisser aller vers les pieds. Comme il n'y a plus ni haut ni bas, le sang se répartit alors différemment dans le corps. C'est pourquoi ces voyageurs se retrouvent avec un visage bouffi et tout rouge, et des jambes toutes blanches. Heureusement, le corps s'habitue à ses nouvelles conditions de vie, et au bout de quelques jours le sang se répartit également dans toutes les parties du corps.  +
Lorsque l'on écoute de la musique un peu fort avec de belles basses, on peut sentir les organes de notre ventre/poitrine vibrer comme la musique ! Les instruments de musique eux aussi produisent des vibrations, c'est comme ça que l'on créé des notes de musique.  +
Il existe des dispositifs qui permettent d'enregistrer le son binaural (en 3D). Il s'agit de deux micros placés à la même distance l’un de l’autre que les oreilles humaines. Ce type d'enregistrement donne l'impression que le son provient de plusieurs endroits différents, comme dans un environnement réel. Ce système peut être reproduit simplement en utilisant deux micros monophoniques omnidirectionnels fixés de chaque côté d'une boule de polystyrène par exemple. Certains logiciels permettent de réaliser des enregistrements de sons binauraux. La technique d'enregistrement binaural est de plus en plus utilisée, notamment par les radios qui veulent proposer aux auditeurs une perception des sons plus proche de la réalité. Certains sons binauraux sont aussi diffusés comme exercices de relaxation.  +
La propriété de persistance rétinienne de l’œil est utilisée au cinéma ou à la télévision pour donner l'illusion d'un mouvement continu à partir d'une série d'images qui défilent rapidement. Son application a notamment permis de développer la technique du dessin animé : une séquence d'images, défilant à 24 images par seconde, est trop rapide pour que l’œil puisse discerner la différence entre deux images successives. Le cerveau interprète cette succession comme un mouvement fluide. Plus anciennement, le [[thaumatrope]], redécouvert au XIXe siècle et dont l'invention est peut-être aussi ancienne que la Préhistoire, est un objet ludique qui exploite lui aussi la persistance rétinienne. De nombreux jouets optiques similaires ont été inventés au XIXe siècle : zootrope, praxinoscope, etc., préfigurant le cinéma.  +
T
On pourrait l'utiliser pour poser plein de choses comme peut-être un petit apéro entre amis. Ou juste une lampe ou de la décoration pour son appart.  +
Nos yeux ne voient pas, même en plein jour, un objet dont l'image arrive sur le point aveugle. C'est pour cela que des poussières et de petits insectes arrivent parfois à atteindre notre œil, car nous ne les voyons pas approcher. Si nous ne sommes pas attentifs, le point aveugle peut donc être la cause d'accidents de la vie de tous les jours ou de la circulation, lorsque des obstacles sont occultés brièvement sous un certain angle, et que ceux-ci ne sont présents que dans le champ de vision d'un seul œil. Si notre œil se déplace ou si l'objet entre dans la partie du champ de vision commune aux deux yeux, alors l'objet sera perçu, ce qui explique pourquoi il est important de contrôler tout son périmètre visuel lorsqu'on se déplace dans la rue ou que l'on conduit une voiture. Alors, ouvrons l’œil (ou si possible les deux) !  +
Décorer des tissus, utiliser les "déchets" de cuisine.  +
Comprendre son sol pour jardiner  +