Ce jeu s'inspire du cas réel des phalènes du bouleau, tel qu'il a pu être étudié au XIXe siècle. On connaissait jusqu'alors cette espèce de papillon majoritairement sous sa forme claire et parsemée de taches sombres, qui lui permettait de se camoufler facilement en se posant sur l'écorce des bouleaux. Parmi les populations de phalènes du bouleau, on trouvait aussi une minorité d'individus porteurs d'une mutation génétique, qui présentaient une couleur sombre. Plus faciles à repérer sur l'écorce des bouleaux, ces phalènes sombres étaient plus souvent victimes des oiseaux prédateurs.
Avec l'arrivée de l'ère industrielle, au XIXe siècle, les importantes émissions de suie et de fumées d'usines dans les alentours des grandes villes ont noirci l'écorce des bouleaux. Les phalènes clairs sont alors devenus beaucoup plus visibles des prédateurs et ont été massivement dévorés. Les phalènes sombres, mieux camouflés sur les bouleaux, sont alors rapidement devenus majoritaires chez l'espèce.
Même si ce cas fait suite à une modification de l'environnement due aux activités humaines, elle illustre les mécanismes de sélection naturelle et d'adaptation des espèces, qui sont similaires face à des changements naturels, rapides ou lents, des contraintes que le milieu exerce sur les êtres vivants qui y vivent. +
Ce jeu permet de faire connaissance avec les autres participants de l'activité. En cercle, quelqu'un lance le ballon à la personne de son choix et cette dernière dit son prénom +
Dans la nature, certains animaux inoffensifs imitent des congénères plus dangereux afin de ne pas se faire manger par leurs prédateurs. On appelle ce mécanisme le mimétisme batésien. +
Il est possible de reproduire ce jeu à taille humaine : dessiner le quadrillage à la craie sur un trottoir, utiliser le quadrillage de la cuisine ou de la terrasse, utiliser de la corde pour délimiter le terrain dans le jardin, ... Le joueur est alors le robot et doit écouter les instructions de son guide (attention, le robot ne prends pas d'initiative !)
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Dans la vie de tous les jours nous pouvons utiliser ce meuble pour pouvoir ranger des affaires. Ce rangement à une ouverture qui apporte de la satisfaction car peut utilisé de nos jours. Nous aimerions pouvoir retrouver ce design dans d'autres objets du quotidien comme une table ou une chaise et bien d'autres encore. +
<nowiki>Le coefficient de ruissellement varie beaucoup selon l’usage et la végétation d’un sol. On estime que 5 % de l’eau qui tombe sur une forêt ruisselle, contre 25 % sur un champ cultivé [https://www.giser.be/wp-content/uploads/2019/05/Guide-technique-Eaux-pluviales.pdf [1]].<br /><br />Et dans les villes alors ? Les toits des habitations n’absorbent pas l’eau, bien au contraire, leur coefficient de ruissellement est de 100% ! Globalement, le coefficient de ruissellement en ville dépasse 90 %. Lorsque nous construisons nos habitations ou nos routes, nous créons des surfaces imperméables (étanches) pour l’eau. Lors de fortes précipitations, celle-ci est alors contrainte de ruisseler. Les petites surfaces qui ne sont pas recouvertes ne suffisent généralement pas à absorber toute l’eau qui tombe sur toute la zone. L’eau continue de ruisseler et s’accumule, c’est l’inondation.<br /><br />On estime qu’en 2010, presque 9 % de la surface de la France était artificialisée (c’est à dire utilisée par l’homme, d’une manière ou d’une autre), dont 5 % totalement imperméables (habitations, routes, etc.) [https://www.gissol.fr/rapports/Rapport_HD.pdf [2]] !<br /><br />L’artificialisation des sols continue en France ! Dans la majorité des cas (90 % entre 2000 et 2006, [https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/sites/default/files/2018-10/Le_point_sur___Sols_V7.pdf [3]]), ce sont d’anciens sols agricoles qui sont artificialisés. Ceux-ci ne sont alors plus capables d’absorber et de filtrer l’eau.<br /><br />Aujourd’hui, lorsque que l’on souhaite créer de nouvelles zones d’habitations, il est obligatoire de prendre en compte le ruissellement. Une solution souvent utilisée est de créer un « bassin de rétention », pouvant accueillir toute l’eau qui ruisselle et éviter les inondations. Celui-ci possède un coefficient de ruissellement très faible, voire nul, d’abord parce qu’il est en forme de cuvette (l’eau ne peut pas s’en échapper), mais aussi parce que son sol est très perméable, comme du sable.</nowiki>
Les bateaux, les sous marins et même certains animaux marins utilisent ce même principe pour pouvoir flotter. Les sous-marins et les animaux marins possédant une vessie natatoire peuvent faire varier leur densité afin d'évoluer à différentes profondeurs.
C'est également le principe qui est utilisé par les montgolfières, sauf qu'elles se déplacent dans un autre fluide : l'air. +
* Cette expérience illustre comment des petits supports peuvent améliorer la stabilité d’un objet, comme les petites cales utilisées sous des meubles pour éviter qu’ils ne vacillent.
* Dans la construction, les architectes utilisent ce même principe pour stabiliser des structures sur un terrain irrégulier.
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On commence à trouver des dynamos partout : dans les éoliennes mais aussi dans les radios à manivelle, les lampes de poche, etc...
Les éoliennes sont fabriquées de la même façon.
Elles possèdent, une grande hélice, un générateur et produisent de l'électricité de la même manière.
A l'intérieur de l'éolienne nous avons, un '''rotor''' (qui est un aimant) et un '''stator''' (une bobine de cuivre).
Le rotor tourne auprès du stator, ce qui entraîne une réaction électrique.
En effet, dans notre stator (le cuivre), il a y a ce qu'on appelle, des '''électrons''' (invisibles à l'oeil nu).
Ces électrons sont libérés par l'aimant qui tourne.
Lorsque les électrons se libèrent, cela crée : '''de l'électricité'''. +
Les polluants qui s'évaporent peuvent ensuite retomber, entrainés par la pluie et être être retrouvés à des kilomètres de l'endroit où ils ont été relâchés ! [2] Un élément chimique peut donc polluer plusieurs milieux s’il est amené à s’évaporer. D'autres se transforment une fois dans l'atmosphère et peuvent créer d'autres formes de pollution, comme les pluies acides. [3]
Plus un polluant est concentré, plus il risque de faire des dégâts. Pour les organismes vivants, une plus grande concentration signifie plus de probabilité de rencontrer ce polluant.
Une expérience simple permet de mettre en évidence ce principe. Verser une dizaine de grains de riz (ou autre) dans une assiette plate puis fermer les yeux et toucher du doigt au hasard. Le risque de tomber sur un grain de riz est assez faible. Transvaser dans un verre ou une tasse et recommencer. La concentration des grains et beaucoup plus élevée et le risque d'en toucher au moins un également. +
D’un côté l’architecture moderne ouvre la porte à plein d’idées nouvelles et à des besoins en perpétuelle évolution. D’un autre côté, les bâtiments anciens font souvent partie de l’histoire. Mais, il est parfois compliqué de les faire évoluer. Nous vous proposons des solutions adaptées à votre environnement. La porte de demain s’utilise à l’intérieur comme à l’extérieur, son coté futuriste peut surpendre mais son fonctionnement est particulièrement simple. +
Au quotidien, les seuls animaux prédateurs que nous mangeons sont issus de la mer. C'est le cas par exemples des poissons carnassiers que sont le thon et le saumon.
Le thon notamment est connu pour accumuler les métaux lourds, c'est éléments chimiques que ni le corps ni les stations de traitement ne savent éliminer. +
Les micro-organismes, très diversifiés, sont mal connus, mal appréciés, souvent identifiés comme néfastes car à l'origine de maladies (choléra, diarrhées, tétanos, intoxications alimentaires...). Mais certains permettent également la fabrication de nombreux aliments, influent sur leur goût, leur consistance, leur apparence. Les humains ont appris à en « domestiquer » quelques-uns, mais ils les utilisaient bien avant de les connaître !
Les produits fermentés, à base de lait (yaourt, fromage), de chou (choucroute), d'orge (bière), de blé (pain) ou de raisin (vin) sont presque aussi vieux que l’agriculture.
Les micro-organismes n’interviennent pas que dans la fabrication des aliments. Ils jouent un rôle essentiel dans différents processus naturels. Ainsi, les bactéries de
notre tube digestif ou celui des animaux interviennent dans la digestion des aliments et leur assimilation par le corps.
Les humains ont su utiliser les micro-organismes dans des domaines très variés, tels que la médecine (fabrication de médicaments) et l’épuration des eaux usées (bactéries
dans les stations d'épuration). +
À travers les siècles, la nature a offert aux humains de nombreux remèdes. 40 ou 50% des médicaments mis sur le marché sont des médicaments d'origine naturelle. Parmi ceux-ci, les deux tiers proviennent de plantes, 5 à 10% d'animaux (dont de nombreuses espèces marines), 20 à 25% de micro-organismes (à l'origine des antibiotiques, par exemple).
Si nous ajoutons les molécules directement inspirées de modèles naturels mais légèrement modifiées par les chercheurs, les remèdes naturels représentent environ 60% de l'ensemble des médicaments utilisés.
La nature constitue un grand catalogue de molécules naturelles, qui résultent de la longue coévolution des espèces vivantes et que les scientifiques explorent à la recherche de nouvelles pistes thérapeutiques. Et ces médicaments potentiels provenant de la nature disparaissent en même temps qu'elle... +
Le compostage est basé sur le même principe.
À l’automne les feuilles tombent des arbres et se dégradent sur le sols, si celles-ci ne sont pas ramassées. Au printemps, on ne les voit plus. +
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