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Le programme, lorsqu'il est lancé, trouve une valeur aléatoire entre 1 et 5. Par la suite, en fonction de la valeur, la carte arduino enverra de l'électricité dans les LEDs. Par exemple, si le programme trouve la valeur 2, la carte enverra de l'électricité dans les LEDs haut droite et bas gauche, ce qui fera que ces deux LEDs s'allumeront.
Le bouton, lorsqu'il est enclenché, ouvre le circuit, l'électricité ne passe plus et éteint la carte. Le relâchement du bouton fait que le circuit se referme et relance le programme.
+Vous contrôler les barres de Pong avec les touches z et s pour la première barre et les flèches du haut et du bas pour la seconde. Le but est de faire passer la balle dans le camp adverse (représenté par la barre grise de chaque côté de l'écran) pour gagner. Il est préférable d'y jouer à deux mais vous pouvez y jouer seul aussi.
+Le but est de tuer les chauves-souris tout en évitant de tirer sur la grenouille magique. Vous dirigez le viseur avec la souris et vous appuyez sur le clic droit pour tirer.
+L'engrenage permet de ramener les extrémités des deux bras latéraux vers le centre de la catapulte, accumulant ainsi de l'énergie qui propulsera le projectile une fois libérée
+La pile fournie un courant électrique, en faisant toucher les piste entre les pate de la LED et la pile on ferme ce circuit laissant le courant passer d'un pole de la pile a l'autre, ce courant traversant la LED vas l'allumer d'une certaine couleur dépendent de qu'elle pate elle passe
+Lorsque l'on tape la cuillère sur la table, on fait vibrer la cuillère.
La '''vibration''' va être transmise par la ficelle puis passer par tes os au bout de tes doigts jusqu'à ton oreille.
La vibration est alors interprétée par l'organe du corps qui transmet l'information sonore au cerveau : '''ton système auditif.'''
+
*Au contact de l'air et avec le temps, la surface des pièces en cuivre devient noirâtre, on dit que le cuivre s''''oxyde'''.
*Dans le verre, des particules de cuivre se détachent alors de la surface des pièces de monnaie : on les appelle des '''ions''' cuivre.
*Une fois dans le vinaigre les ions cuivre rencontrent le clou qui est en acier. L'acier contient du fer qui réagit avec les ions cuivre.
*Les ions cuivre se retransforment en cuivre sur la surface du clou et les particules de fer deviennent des ions ferreux.
*Nous venons de faire une réaction chimique qu'on appelle '''oxydo-réduction'''.
+<nowiki>Sous l'exposition à des '''rayons ultraviolets''', le fer des surfaces exposées est réduit, formant sur le papier une couleur bleu de Prusse à bleu cyan. <br /><br /><br />L’intensité du changement de couleur dépend de la quantité de rayons UV, mais on peut obtenir des résultats satisfaisants après trois à six minutes d’exposition en plein soleil en été. <br /><br /><br />Les motifs, qui apparaissent en clair sur fond sombre, peuvent être obtenus par contact avec tous formats de négatifs, sachant qu’il n’y a évidemment aucun agrandissement dans ce cas. N’importe quel type d'objet peut aussi être utilisé pour obtenir des photogrammes. Après l’exposition, le fer non réagi (jaune-vert) est éliminé par rinçage à l’eau courante. La couleur bleue est due à un précipité bleu de ferrocyanure ferrique de formule chimique complexe : KFe2(CN)6, appelé historiquement bleu de Prusse ou bleu de Turnbull.<br /><br /><br />En réalité les deux ions du fer sont à des degrés d'oxydation différents : KFe+III[Fe+II(CN)6].<br /><br /><br />Ce pigment bleu, solide et peu soluble dans l'eau, est incrusté dans les fibres du papier. Aussi, le type de papier que vous utiliserez aura une incidence sur la tenue de votre cyanotype.</nowiki>
+Le phénomène illustré par cette expérience, montre qu'une plante se nourrit grâce à l'effet de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Capillarit%C3%A9 capillarité] (On appelle capillarité la montée naturelle de certains liquides (dont l'eau) dans des canaux de très petit diamètre). La tige des fleurs et des plantes est constituée de plusieurs canaux minuscules. Chaque canal est relié à une partie précise d'un pétale. Ainsi, le canal qui plonge dans l'eau colorée en rouge conduit cette eau à toutes les extrémités du céleri.
+Plus la bille sera en hauteur, plus elle accumulera d’énergie. Lorsqu’on la lâche, l’énergie se transforme en vitesse. Puis en son (le son du choc) et on voit le cratère se former. Le cratère est une visualisation de l’énergie libérée par la bille.
+Pour mieux comprendre les différents types de sécheresse :
https://aquagir.fr/gestion-eaux-pluviales/connaissances/secheresse-et-sols/
Est-ce que l'ombre d'un arbre est équivalente a l'ombre d'un mur en béton ?
On peut parfois voir des différences entre les ombres d'un arbre et d'un mur en béton car l'arbre n'apporte pas que de l'ombre, il apporte aussi le phénomène d'évapotranspiration, comme pour beaucoup d'animaux terrestres, les plantes transpirent par leurs feuilles et laisse l'eau s'évaporer pour se rafraîchir.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89vapotranspiration
Une quantité de chaleur appelée enthalpie de changement d'état est nécessaire pour passer de liquide à gazeux (évaporation) cette chaleur sera prise sur la feuille de l'arbre (ou sur notre peau dans le cas de notre transpiration) ce qui le rafraîchit. C'est aussi pour cette raison qu'un glaçon qui est a -15°C ne rafraîchit pas beaucoup plus un verre d'eau qu'un glaçon a -5°C, c'est principalement au moment du changement de phase que l'eau va absorber de la chaleur.
+Il n’existe pas de définition universelle en dessin de l’arbre tant cette notion recouvre une grande variété de formations et d'espèces aux agencements divers.
L’une des définitions communément acceptée est la suivante : l’arbre est considéré comme un végétal ligneux, c’est à dire composé de bois (à l’inverse de l’herbe), ayant un tronc nu et non composé de branche (donc non ramifié) dès la base, d'une hauteur supérieure ou égale à sept mètres ou susceptible d'atteindre cette dimension à maturité. Lorsque la taille est inférieure à 7 mètres, on parle d’arbustes.
+Le champ de vision qu'on a de notre fenêtre est restreint. Il se limite généralement à environ 180°, c'est à dire ce qu'on peut voir en regardant à droite et à gauche.
Lorsqu'on bénéficie de fenêtres sur d'autres façades du bâtiment, on peut élargir ce champ de vision et changer un peu le paysage qu'on voit.
+====== <u>ÉTAPE 1</u>. ======
Les dessins se ressemblent car le peu de temps donné pour dessiner oblige le cerveau à aller au plus efficace, à simplifier, à schématiser : ''par exemple, sapin = trois/quatre triangles + un tronc rectangulaire. ''
Nous sommes allés très rapidement rechercher les informations les plus simplifiées rangées dans notre cerveau et associées au mot sapin, permettant de le décrire.
====== <u>ÉTAPE 2</u>. ======
Moins notre cerveau a le temps de s'imaginer l'objet, plus il va le schématiser, sélectionnant les éléments les plus représentatifs qui vont permettre selon nous de le décrire. À l'inverse, avec du temps, notre cerveau peut plus personnaliser l'objet, l'enrichir et prendre en compte plus de détails venant de notre culture, de notre éducation, de notre rapport personnel à l'objet ''(cf sapin avec des boules de Noël, pistes de ski...)'' et de la société dans laquelle nous vivons ''(cf. enfants qui ne fêtent pas Noël mais qui dessinent un sapin avec des cadeaux, car ils en voient à l'école, dans les magasins...). ''
====== <u>ÉTAPE 3.</u> ======
Notre cerveau catégorise, c'est-à-dire qu'il associe, trie, range les informations qu'il reçoit d'un objet par rapport à des éléments qui le décrivent (sa couleur, sa forme...) et des éléments associés à son contexte (ses usages, son milieu de vie...). Dans ces informations que notre cerveau associe à l'objet, certaines viennent de nos expériences collectives (en lien avec notre culture, notre éducation...) et sont communes à d'autres personnes, d'autres viennent de nos expériences personnelles (en lien avec nos souvenirs...) et sont individuelles.
Ainsi, quand notre cerveau crée une catégorie avec le mot sapin, il regroupe un certain nombre d'informations que nous collons au mot sapin. Selon le temps disponible pour le représenter, nous allons chercher les informations qui sont les plus représentatives du sapin, nous les hiérarchisons. Plus nous aurons de temps pour le dessiner, plus nous pourrons le détailler, le personnaliser, le différencier du sapin dessiné par un autre. Selon le temps disponible et notre culture, nous n'utilisons pas les mêmes catégories.
Le changement climatique va amener des périodes de manque d'eau de plus en plus fréquentes : économiser l'eau du robinet est une mesure d'adaptation au changement climatique. Économiser l'eau du robinet est aussi un moyen de prélever moins d'eau en milieu naturel, ce qui est bon pour la biodiversité. Or favoriser la biodiversité autour de soi est aussi une mesure d'adaptation au changement climatique. En effet, les écosystèmes qui se portent bien retiennent mieux l'eau quand il y en a trop, libèrent de l'eau lorsqu'on en manque, la végétation créé des ilôts de fraîcheur en cas de canicule etc.
+Lorsqu’une membrane vibrante du diapason est plongé dans l’eau, la vibration du diapason va se propager en continue dans l’eau, c’est le déplacement de celle-ci que l’on peut percevoir sur la surface.
+==== De manière simple : ====
Chaque couleur est perçue un court instant par notre œil : cela s'appelle la "persistance rétinienne". Comme le disque tourne rapidement, les couleurs se superposent en raison de ce phénomène. Or le mélange de toutes ces couleurs donne le blanc de la lumière. Notre cerveau est donc abusé et perçoit le blanc.
+La turbidité correspond à l’opacité (l’inverse de la transparence) d’un liquide, ici l’eau d’une rivière ou d’un lac par exemple, à cause de matières en suspension (comme de la terre) ou d’algues microscopiques.
Le disque de Secchi permet de déterminer la profondeur de pénétration de la lumière et donc la quantité de matière qui absorbe la lumière présente entre le disque et la surface de l’eau.
+Les plantes représentent près de '''80 % de la biomasse vivante''' de la planète. Elles jouent un rôle central dans la '''régulation du climat''' et constituent la '''base de toutes les chaînes alimentaires''', grâce à leur capacité à produire de la matière organique à partir d’eau, de minéraux, de dioxyde de carbone (CO₂) et de lumière.
Elles assurent leur reproduction et leur propagation à travers une grande diversité de mécanismes issus de l’évolution. Contrairement à certaines algues, la plupart des plantes terrestres sont immobiles : leur « déplacement » repose sur la '''dispersion de leurs graines''', qui permettent à leurs descendants d’occuper de nouveaux espaces.
Dans le contexte actuel de '''changement climatique''', cette faculté de dispersion devient cruciale. Les plantes doivent suivre le déplacement des zones où les conditions environnementales leur sont favorables. Certaines espèces tolèrent une certaine variation de température ou d’humidité, mais lorsque ces changements deviennent trop importants, leur survie est compromise… à moins qu’elles ne parviennent à '''coloniser de nouveaux milieux''', souvent plus au nord ou en altitude.
La '''dissémination des graines''' constitue l’un des principaux moyens de conquête de nouveaux territoires. Les stratégies sont multiples : certaines graines roulent, éclatent, flottent sur l’eau ou se laissent emporter par le vent ; d’autres profitent des animaux pour voyager. Certaines s’accrochent aux poils, d’autres sont enfouies par des rongeurs ou transportées après avoir été ingérées, puis rejetées plus loin. Certaines espèces végétales, dont les graines possèdent un '''élaïosome''' riche en nutriments, sont même dispersées par les fourmis. Plus facile à observé, les érables dont leurs graines ailées leur permettent d'être portées par le vent tout en ralentissant leur chute.
Cette '''dispersion spatiale''' présente plusieurs avantages majeurs :
* elle permet aux graines d’atteindre des '''habitats favorables''' à la germination ;
* elle '''limite la compétition''' entre individus d’une même espèce ;
* elle '''favorise le brassage génétique''', essentiel à l’adaptation progressive des espèces.
Ainsi, lorsqu’une graine issue d’un chêne résistant à la sécheresse s’implante plus au nord, elle transmet ses caractères à une nouvelle génération mieux adaptée aux conditions locales. Cette dynamique contribue à la '''résilience des populations végétales''' et à leur capacité d’évolution face aux changements environnementaux.
En somme, la dissémination des graines illustre la remarquable inventivité du vivant : un ensemble de stratégies qui permettent aux plantes de se reproduire, de se diversifier et de maintenir l’équilibre des écosystèmes.
Malgré nos différences, nous nous ressemblons sur de nombreux aspects, et nos ressemblances sont beaucoup plus importantes que nos différences : notre code génétique, l’intérieur de notre corps (notre anatomie, notre organisation, la forme et l’emplacement de nos organes, de nos os...) sont quasi identiques entre chaque être humain ; nous avons toutes et tous le même fonctionnement du cerveau, le même métabolisme... nous naissons, nous vivons, nous respirons, nous marchons, nous grandissons toutes et tous de la
même façon...
'''Il y a plus infiniment plus de choses qui nous rassemblent que de choses qui nous séparent !'''
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