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D
<nowiki>L'''a persistance rétinienne :''' La persistance rétinienne est un phénomène qui consiste pour l'œil et le cerveau à superposer une image qui vient d'être vue à l'image que l'on est en train de voir. La persistance rétinienne est plus marquée et plus longue si l'image observée est lumineuse. Nous pouvons comparer notre expérience à ce que l'on observe sur un écran de téléviseur. A nos yeux l'image semble stable, elle ne clignote pas. Or en réalité l'écran n'émet les images que par intermittence, mais notre œil et notre cerveau ne perçoivent pas les interruptions car les images s'enchaînent trop vite.<br /><br />''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Persistance_r%C3%A9tinienne [1]] La persistance rétinienne sur Wikipédia''<br /><br /><br/><br /><br />*'''La somme des couleurs de l'arc en ciel compose "le blanc" :''' La lumière blanche est la somme de la multitude de couleurs présentes dans l'arc en ciel. En effet, nous avons ici colorié sept segments de couleurs différentes, mais en fait l'arc en ciel est composé d'un nombre incalculable de couleurs. Lorsque l'on additionne ces couleurs, on obtient le blanc pur. C'est pour cela qu'en faisant tourner très vite le disque de couleurs on croit le voir blanc.<br /><br />''[https://fr.wikipedia.org/wiki/Spectre_visible [2]] Le spectre visible sur Wikipédia''</nowiki>  +
En fonction de la turbidité de l’eau, des organismes différents vont se développer. En effet, certains préfèrent les eaux sombres, d’autres plus claires, plus ou moins riches en matières organiques. La présence de matières organiques en suspension influe sur la présence de certains organismes photosynthétiques qui utilisent la lumière comme source d’énergie, en particulier les algues et les autres plantes aquatiques.  +
Les différentes stratégies de dissémination s’expliquent par la grande diversité biologique végétale (arbres, lianes, herbes, plantes aquatiques…). Chaque espèce possède ses propres besoins. Par exemple, la forme des graines, caractéristiques d'une espèce, correspond à celle qui a été sélectionnée par l'évolution pour augmenter les chances qu'elles trouvent un lieu favorable. Une espèce ne "met pas au point" une méthode. Il y a de la variabilité qui apparaît au hasard, et quand le hasard fait bien les choses (c'est-à-dire que le nouveau caractère est favorable), c'est cette version qui est sélectionnée. C'est cela qu'on appelle l'évolution, une combinaison entre le hasard des mutations qui fait apparaître de la diversité et la sélection (principe de variation-sélection). Quand le nouveau caractère est favorable dans un certain contexte, il sera sélectionné. Si ce nouveau caractère est "neutre" (ni vraiment favorable, ni vraiment défavorable dans ce contexte-là), c'est le hasard (concept de dérive génétique) qui va déterminer s'il va rester présent ou disparaître. Si ce nouveau caractère est défavorable dans ce contexte-là, il va avoir tendance à disparaître. Les caractères sont favorables dans certaines circonstances et défavorables dans d'autres. Il n'y a pas de caractère meilleur qu'un autre, simplement certains caractères plus adaptés à certaines conditions. Par exemple, un chêne adapté à la sécheresse sera à priori plutôt inadapté aux régions humides. Sauf si cette région humide devient brutalement sèche. C'est pour cette raison qu'il est important de maintenir des niveaux élevés de diversité dans les espèces, cela leur donne plus de "chances" d'avoir en réserve dans la population des caractères qui lui permettront d'encaisser un changement dans le milieu. Toutes les espèces de plantes ne sont pas égales dans leurs possibilités de migrer. Pour certaines, c'est plus facile, car leurs graines sont faites pour aller loin et vite. Un individu se développe puis produit des graines en seulement une année (par exemple les graminées). Pour d'autres, c'est beaucoup plus lent. Par exemple, un chêne met plusieurs années à se développer puis commencer à produire des graines. Il a aussi des graines "lourdes", faites pour atterrir dans un lieu relativement proche du parent. Ainsi, il y a beaucoup de plantes dont la vitesse de déplacement est très inférieure à la vitesse à laquelle les températures évoluent. En effet, le climat a toujours évolué sur Terre. Toutefois, il a toujours évolué lentement, très lentement (hors grandes crises comme celle du Crétacé-Paléogène qui a vu la disparition des dinosaures). Cela laisse le temps aux espèces de s'adapter (sélection de nouveaux caractères qui apparaissent au hasard) ou de migrer. Avec le changement climatique provoqué par les activités humaines, la vitesse de réchauffement est du jamais vu dans l'histoire de la planète. Cette vitesse est clairement incompatible avec la vitesse d'adaptation des êtres vivants. Ne reste plus que la solution de la migration. Les plantes qui ne parviennent pas à se déplacer assez vite sont en grand danger de disparaître.  
L'illusion d'optique résulte d'une mauvaise interprétation par le système visuel des informations qui lui parviennent. Le système visuel ne fonctionne pas comme un instrument de mesure, mais comme un moyen d'interagir efficacement avec l'environnement. Dans la vie quotidienne, en cas de doute, un changement de point de vue donne une vision plus exacte de la réalité. Dans les illusions visuelles, cette possibilité est bloquée, créant une image faussée de la réalité, y compris en faisant apparaître un objet inexistant, ou rendant « invisible » un objet pourtant présent. https://fr.wikipedia.org/wiki/Illusion_d%27optique  +
Les poussières microscopiques présentes dans l’air sous forme solide, liquide ou gazeuse (substances chimiques, micro-organismes, pollens, gaz...) sont en général rejetées par l’organisme. Mais certaines d’entre elles arrivent parfois à pénétrer dans les poumons ou à l’intérieur du corps, ce qui peut avoir des conséquences sur la santé. Ainsi certaines maladies moins fréquentes il y a quelques décennies (allergie, asthme...) se sont développées avec l’accroissement des pollutions (industrielles, agricoles, domestiques) liées aux produits de synthèse qui nous entourent (pesticides, produits d’entretien, colles, plastiques...), ces derniers contenant des matières parfois dangereuses pour l’environnement et la santé. Une courte exposition à fortes doses à un ou plusieurs polluants peut entraîner des irritations, des nausées, des intoxications... Une exposition longue durée à faible dose à certaines substances peut quant à elle entraîner des allergies ou des maladies respiratoires (asthme...), voire dans les cas les plus sévères des troubles neurologiques, hormonaux (problèmes de fertilité, d'obésité) ou des risques de cancers. L’influence du tabac : la fumée de cigarette est constituée multitudes de microparticules qui entraînent un dysfonctionnement de l’ensemble respiratoire au fil des années. Les substances nocives et irritantes qu’elle contient diminuent la ventilation, les broches s’obstruent, le tissu pulmonaire perd de son élasticité et diverses pathologies apparaissent : bronchites, infections, asthme, insuffisance respiratoire, voire un cancer.  +
La formation de la rouille est appelée la corrosion. La corrosion est l'altération d'un matériau par réaction chimique avec un oxydant. Les conditions nécessaires à la réalisation de ce phénomène sont la présence d'eau (H<sub>2</sub>O) et de dioxygène (O<sub>2</sub>).  +
La biodiversité est principalement menacée par 4 facteurs humains : • l’agriculture, les exploitations forestières et minières et la pollution de l’environnement qui détruisent les habitats • l’introduction de nouvelles espèces dans des espaces géographiques où elles étaient absentes • la surexploitation de certaines espèces végétales ou animales • les perturbations dans les chaînes alimentaires Aujourd’hui, les scientifiques s’accordent sur le fait que 75% de la pollution des océans provient de l’impact des activités humaines ! Les pollutions bactériennes sont des bactéries qui proviennent principalement des rejets d’eaux usées qui ne sont pas traitées et contiennent de la matière fécale et des déchets organiques. La pollution chimique provient généralement des rejets d’eaux usées contenant des produits d’entretien, des hydrocarbures et des métaux lourds. Entraînés par les vents et courants marins, (le plus souvent les déchets arrivent en mer via les cours d’eau), les déchets plastiques s’accumulent dans de grandes zones océaniques où, très lentement ils se décomposent ou sont dévorés par les animaux et entrent dans les écosystèmes marins. La surexploitation des ressources est également une menace importante sur la biodiversité marine. Depuis 2009, l’Union Internationale pour la conservation de la nature tire la sonnette d’alarme et recense les espèces de plantes et animaux menacés. 37% des poissons sont menacés d’extinction ! Le thon rouge du Sud est en très grand danger à cause d’une surpêche industrielle. Pendant plusieurs années l’interdiction de sa pêche a été décrétée pour la survie de l’espèce.  +
Nous venons de voir le rôle détaillé de la biodiversité du sol dans le recyclage des feuilles mortes, mais elle ne se limite pas à ça. '''<u>La biodiversité des sols a 3 grandes fonctions :</u>''' *'''Elle RECYCLE '''les matières organiques, végétales mais aussi animales jusqu’à minéralisation ; *'''Elle RÉGULE''' le sol (via la prédation...), le cycle de l’eau ; *'''Elle STRUCTURE''' le sol, elle le forme, le maintien, l’aère, l’assemble. <br/> '''<u>Ainsi, du fait de ses fonctions, les humains tirent nombreux services de la biodiversité du sol (on parle de services écologiques) :</u>''' *'''des services de « support » ''': recyclage des nutriments (''cycle des nutriments, du carbone)'', formation et fertilité des sols ''(altération des roches ; dégradation de la matière organique)''...     *'''des services  de « régulation » :''' **'''régulation de la qualité et quantité d’eau''' : épuration, stockage et rétention contre les inondations ''(l’eau s’infiltre beaucoup plus facilement dans le sol quand il y a des galeries des vers de terre''),                 **'''régulation des populations d’organismes du sol et des maladies des plantes :''' chaînes alimentaires et réseaux trophiques ''(prédation…) ;'' protection des cultures ''(lutte     biologique : actions des lombrics sur les nématodes parasites)…'' '''   ''' **'''régulation du climat'''  ''(émission et absorption de gaz à effet de serre)'' '''   ''' **'''contrôle de l’érosion '''(''les turricules des vers de terre (tortillons de terre rejetés à la surface du sol) deviennent une barrière physique au ruissellement en surface'')   <br/> *'''des services de « production »''' : source de nourriture, de biomasse végétale ''(via les interactions de symbiose qui aident les plantes à pousser)'', habitat, refuge, source de médicaments (''issus des gènes des micro-organismes du sol)''…         *'''des services « culturels »''' : patrimoine géologique, archéologique, récréatif, éducatif, cognitif ''(recherche...)''  
Tout d’abord il existe une faute d’orthographe assez gênante, il est écrit « xylène » or c’est bien le '''xylème.''' Je suis également mitigée sur l’appellation de « bois vivant et actif de l’arbre ». Dans le bois il n’y a que très peu de cellules vivantes. Les seules cellules vivantes se trouvent dans les rayons ligneux (zone de stockage), les cellules constituant les vaisseaux du xylème sont lignifiées et donc mortes. '''Les cellules du xylème ne sont donc pas vivantes''' ! La confusion doit venir des '''cellules du phloème qui elles, effectivement, sont vivantes mais ne se trouvent pas dans l’aubier mais dans le liber'''. Le liber est un des constituants de l’écorce. Une imprécision est également présente. Le jeu de carte présente l’écorce comme une ressource permettant de faire des bouchons de liège. Le liège est une structure qui constitue l’écorce mais qui n’en est pas le seul composant ! D’ailleurs il n’y a que très peu d’espèce qui produisent réellement le liège tel qu’on peut l’imaginer (celui pour faire les bouchons), en l’occurrence le chêne liège (''Quercus suber''). D’ailleurs avec l’écorce il est possible de faire des médicaments comme l’aspirine.  +
'''Qu’est-ce qui permet de dire qu’une espèce fait partie des organismes du sol ?''' Tous les habitants du sol ne vivent pas forcément dans le sol. Et à l’inverse, tout ce qui touche le sol ne fait pas forcément partie des habitants du sol (sinon, nous, humains, en ferions partie) ! Par contre nous sommes toutes et tous dépendants du sol (en tant que support, base de notre alimentation…). Ainsi, les chercheurs s’accordent à dire que '''la biodiversité du sol regroupe l'ensemble des formes de vie qui présentent au moins un stade actif de leur cycle biologique dans le sol. Elle inclut les habitants de la matrice du sol ainsi que ceux de la litière et des bois morts en décomposition.''' Toutes ces espèces, quelle que soit leur taille, interagissent directement avec le sol (via leur habitat, leur reproduction, leur alimentation...), le modèlent, agissent sur sa texture (proportion d’éléments minéraux dans un sol : sables, limons, argiles), sa structure (la taille et l’organisation des particules de sol entre elles), sa composition (les différentes couches de sol). Cette biodiversité du sol est encore assez peu connue, mais elle a un rôle très important. C’est pour cela qu’il est important de la protéger, elle et son habitat. '''<u>Ainsi, parmi la liste des espèces proposées dans l’étape 4 - partie 2</u> :''' *'''<u>font partie des habitants du sol</u> :''' **les moisissures, les bactéries, les micro-algues, les enchytréides (vivent dans le sol), **les renards, les taupes, les vipères, les castors, les lapins, les souris (ont leurs terriers dans le sol), **les chênes et les marguerites (ont leurs racines dans le sol et s’y nourrissent). *'''<u>ne font pas partie des habitants du sol</u>''' : les poules, les chats, les cerfs, les pigeons, les moustiques, les libellules, les chiens, les abeilles (ils n’ont pas d’interactions directes avec le sol, excepté y trouver parfois leur nourriture).  +
Pour pouvoir se développer, l’être humain a depuis toujours utilisé l’environnement qui l’entourait. Il s’est notamment nourrit d’animaux (la chasse) et de plantes (la cueillette), il a utilisé la fourrure de certaines espèces animales pour se vêtir et avoir chaud. Depuis le siècle dernier, l’humain transforme des milieux naturels (forêts, zones humides, cours d’eau…) pour les exploiter, pouvoir faire de l'agriculture ou pour étendre les villes, les routes, construire des barrages, l’exploitation de mines... Ces activités humaines détruisent ou fragmentent les forêts qui abritent de nombreux animaux et végétaux, menaçant leurs survies. Dans des milieux naturels fragmentés, les pandas, comme de nombreuses autres espèces, ne peuvent plus se déplacer pour trouver un partenaire, un nouveau territoire ou de la nourriture. Pour lutter contre ce drame écologique, de nombreuses structures (associations, conservatoires, zoos…) se mettent en place pour protéger ou restaurer les espèces et les milieux naturels.  +
On peut par exemple installer une "barrière" pour retenir le sable et bloquer l'eau à l'aide de graviers, de plaques de carton, de barrages de bâtons... Une autre stratégie possible consiste à surélever les constructions en les installant sur un support bâti sur pilotis (les bâtons plantés dans le sable) pour qu'elle ne touchent pas l'eau, ou sur des fondations renforcées et hautes qui résisteront ou freineront l'infiltration de l'eau (graviers, cartons...). Il est également possible de construire des habitations flottantes en installant les rouleaux sur des radeaux ou des pontons (bouchons de liège attachés par de la ficelle ou autre matériaux flottants). Certaines équipes ont pu décider de retirer les rouleaux du sable afin qu'ils ne soient ni renversés ni mouillés par la montée des eaux. Cela permet aussi de gagner le défi ! Il est interéssant dans ce défi de comparer non seulement l'efficacité des solutions choisies, mais aussi le coût et la complexité de leur mise en place : faut-il utiliser beaucoup de matériaux, construire de nombreux équipements, modifier beaucoup le paysage d'origine ?  +
Pour mesurer la sécheresse les scientifiques utilisent plusieurs indicateurs. Le SPI (de l'anglais Standardized Precipitation Index) est un indice permettant de mesurer la sécheresse météorologique. Il s’agit d’un indice de probabilité qui repose seulement sur les précipitations. Les probabilités sont standardisées de sorte qu’un SPI de 0 indique une quantité de précipitation médiane (par rapport à une climatologie moyenne de référence, calculée sur 30 ans). L’indice est négatif pour les sécheresses, et positif pour les conditions humides Le SWI (de l’anglais Soil Wetness Index ) est un indice d’humidité des sols. Il représente, sur une profondeur d’environ deux mètres, l’état de la réserve en eau du sol par rapport à la réserve utile (eau disponible pour l’alimentation des plantes). Lorsque l'indice d'humidité des sols (SWI) est voisin de 1, le sol est humide (supérieur à 1, le SWI indique que le sol tend vers la saturation). Inversement, lorsqu'il tend vers 0, le sol est en état de stress hydrique (inférieur à 0, il indique que le sol est très sec).  +
<nowiki>Un îlot de chaleur urbain (ICU) est caractérisé par des températures plus élevées dans les villes (et qui ne descendent pas la nuit) comparées aux zones périurbaines ou rurales. En amplifiant les effets des vagues de chaleur, l'îlot de chaleur constitue un risque pour la population. Ce phénomène est attribuable aux types de matériaux présents en milieu urbain, à la morphologie urbaine (routes, taille des bâtiments, etc.), ainsi qu'aux activités humaines (dégagement de chaleur lié au chauffage ou à la climatisation).<br /><br /><br />Les villes emmagasinent plus de chaleur que les campagnes. Les plantes, en plus de fournir de l'ombre, utilisent l'énergie solaire pour évaporer une partie de leur eau, contribuant ainsi au rafraîchissement de l'air. La végétation et le sol eux-mêmes se réchauffent peu, contrairement à l'environnement urbain. Les matériaux de construction tels que le béton, la brique ou la pierre absorbent la chaleur durant la journée par rayonnement solaire, et la libèrent progressivement dans l'atmosphère la nuit, empêchant ainsi l'air de se refroidir.<br /><br />Ainsi, alors que l'air en zone rurale se refroidit rapidement la nuit, les surfaces urbaines plus chaudes limitent ce refroidissement. '''Donc, l'îlot de chaleur urbain n'est pas créé parce que l'air en ville se réchauffe plus rapidement, mais parce qu'il se refroidit plus lentement.'''<br /><br /><br />De plus, de nombreux matériaux urbains possèdent un faible albédo* (représenté dans le défi par le morceau de sac poubelle noir), exacerbant encore davantage le stockage de chaleur en milieu urbain.<br /><br /><br />*Capacité d’une surface à renvoyer une partie des rayons lumineux vers l’espace - voir [[Lumière, couleurs et chaleur]]</nowiki>  +
Une étude menée dans différents pays sur des jeunes de 16 à 25 ans a mis en avant l’impact du changement climatique sur l’état d’esprit des jeunes générations : la grande majorité des jeunes interrogés ont exprimé des émotions négatives face au changement climatique, notamment les jeunes étant déjà confrontés à de forts évènement liés au climat. (Young People's Voices on Climate Anxiety, Government Betrayal and Moral Injury: A Global Phenomenon)  +
L'air est composé de gaz (azote, oxygène, des traces d'autres gaz). Un gaz est constitué de molécules. La masse d'une molécule est constante mais avec la chaleur son volume augmente. Donc le rapport entre la masse et le volume (densité) diminue. Exemple numerique: Une mole d'azote pèse 28 g. Une mole d'azote à 0°C occupe 22,4 litre. Sa masse volumique est 28 / 22,4 = 1,25 kg / m3 ou 1,25 g/L Loi de Mariotte : PV/T = Cste P = Pression atmosphérique (Pa ou bar) V = volume (kg/m3 ou g/L) T = Température (K) La même mole à 50°C (293 K) occupe 22,4 * (273 + 50 ) / 273 = 26, 5 L Sa masse volumique à 50° est 28 / 26,5 = 1,056 kg / m3 ou 1,056 g/L La densité (masse volumique) de la molécule d'azote passe de '''1,25 g/L''' à 0° à '''1,056 g/L''' à 50°  +
E
=== '''Allons plus loin dans l'explication''' === Toute matière est constituée d'atomes qui comportent des charges électriques positives (les protons) et négatives (les électrons). Les électrons sont libres, ils ont la capacité de se déplacer s'ils sont attirés par une charge positive. Lorsque l'on frotte le ballon sur les cheveux ou un pull en laine, des électrons se déplacent des cheveux (ou de la laine) vers le ballon. Comme les électrons sont des charges négatives, les cheveux (ou la laine), qui perdent des électrons, se chargent positivement, tandis que le ballon, qui gagne des électrons, se charge négativement. Il s'agit d'un phénomène d'électrisation par frottement. L'eau du robinet est électriquement neutre, elle contient autant de charges positives et négatives, qui s'équilibrent entre elles. Mais quand on approche un objet chargé électriquement d'un objet neutre, il se produit un phénomène d'électrisation par induction : l'objet chargé attire les charges de signe opposé qui sont présentes dans l'objet neutre. Ici le ballon chargé négativement attire les charges positives contenues dans l'eau. Le filet d'eau est donc dévié vers le ballon, jusqu'à ce que les électrons, en se déplaçant du ballon vers l'eau, aient rétabli l'équilibre. Lorsqu'on les frotte, certains matériaux ont plus tendance à donner des électrons, et donc à se charger positivement, et certains matériaux ont plus tendance à recevoir des électrons, et donc à se charger négativement. Pour savoir si un matériau se charge positivement ou négativement en cas d'électrisation par frottement, on peut consulter une liste triboélectrique.  +
'''Le réchauffement climatique est un processus naturel.''' Les gaz présents dans l'atmosphère filtres les rayons infra-rouges, nous protégeant ainsi naturellement du réchauffement excessif de la planète. Ces rayons sont stoppés pour la plupart par l'atmosphère ou encore les nuages. Néanmoins, tous les rayons infra-rouges ne sont pas stoppés. Bon nombre se réfléchissent sur le sol, ce qui nous permet d'avoir une moyenne de température sur la planète, d'environ 15°C. Certains gaz (CO<sub>2</sub>, CH<sub>4</sub>, H<sub>2</sub>O, ...) présents naturellement dans l'atmosphère, sont aussi produits en grand quantité par l'Homme (transports, agriculutrue intensive, industries, ...). Ces gaz sont responsables de l'accélaration du réchauffement climatique. Ils vont empêcher les infra-rouges, de quitter l'atmosphère lorsqu'ils se sont réfléchis sur le sol de la planète. Emrpisonnant ainsi d'avantage de gaz à effet de serre dans l'atmosphère.  +
La molécule du pigment qui colore l'encre a été modifiée par l'eau chaude, le mélange est alors devenu incolore grâce à la forme basique de l’eau. L’eau est amphotère, c’est à dire qu’elle se comporte en acide en présence de base, et en base en présence d’acide. Ici, le pigment de l’encre est un acide, donc l’eau adopte un comportement basique et fait disparaître la couleur bleue en modifiant la molécule du pigment. L’eau chaude accélère la réaction. Sans chaleur, la réaction serait beaucoup plus longue. Ici, la chaleur est donc un catalyseur. Dans cette expérience, les molécules modifiées sont sensibles au pH (autrement dit à l'acidité du milieu). Quand on ajoute le vinaigre qui est un acide, la solution devient acide, et les molécules subissent une nouvelle transformation : elles reprennent leur état d’origine et le mélange est à nouveau bleu. Quand on ajoute du bicarbonate de sodium, il réagit avec le mélange. L’introduction d’une base (le bicarbonate), permet à l’encre de re-disparaître, car on neutralise l’acidité du vinaigre et on obtient une solution basique permettant la disparition de l’encre. Si on ajoute encore du vinaigre, il va se trouver en plus grande quantité que le bicarbonate de sodium (il n'y a plus assez de bicarbonate de sodium pour « occuper » tout le vinaigre). Le vinaigre va donc une fois de plus réagir avec la molécule modifiée, qui retrouvera son état d'origine pour colorer le mélange en bleu.  +
'''Les liaisons organiques''' sont des liaisons qui, comme pour tous les êtres vivants, contiennent du carbone. Le sucre (dextrose), le beurre, le miel (fructose), le vinaigre (acide acétique) contiennent des liaisons organiques. On appelle '''liaisons inorganiques''' celles qui ne contiennent pas de carbone. L'argile (oxyde d'aluminium) ou le sel de cuisine (chlorure de sodium) contiennent des liaisons non organiques.  +