Attribut:Observations

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C
Les feuilles se poussent l'une contre l'autre  +
Nous observons que deux phases deviennent visibles, une verte et une jaune.  +
Tu peux observer l’eau qui monte sur le papier et emporte les couleurs avec elle. Les points de couleurs vont se diviser en plusieurs couleurs. Du point vert va apparaître du bleu et du jaune. Tu peux constater que les couleurs sont montées jusqu’en haut du filtre à café, alors que tu avais dessiné les points de couleurs en bas.  +
On constate que les LED ne fonctionnent pas si elles sont branchés en série. Dans un circuit en parallèle, tous les composants fonctionnent normalement.  +
La pluie est absorbée par l'éponge humide et s'écoule tout doucement en sortie de la barquette. Par contre, si l'éponge est gorgée d'eau, l'eau s'écoule dessus ! On observe alors toute la pluie arriver à la sortie et ça déborde ! Si on arrose assez longtemps, l’éponge humide sature et n’arrive plus à retenir la pluie ! Enfin, quand on ajoute une couche étanche, quel que soit le sol en dessous, une grande partie de l’eau s’écoule directement jusqu’à l’estuaire. On remarque que l'éponge n'est pas plus mouillée qu'au début : l'eau n'atteint même pas le sol !  +
=> On constate que si l'on enlève la boite de bac, l'eau s'échappe par les trous du dessous, jusqu'à être vide. => Si on refait l'expérience, cette fois ci en mettant directement le doigt sur le trou au centre du couvercle, et qu'on enlève la boite du bac; l'eau ne s'échappe pas de celle-ci !!  +
L'eau ne coule pas, elle est bombée sur le dessus du verre. Combien peut-on ajouter de pièces dans le verre avant que l'eau ne déborde ? (cela dépend de la taille du verre et de celle des pièces)  +
La feuille se met à roussir, voir à s'enflammer !  +
1- Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si une espèce du réseau trophique est fragilisée, c’est le réseau entier qui peut être impacté. 2- L’humain joue ici un rôle important, pouvant apparaître comme un prédateur (pêche, collection, …), comme un perturbateur (changement climatique, surconsommation des ressources…) mais aussi comme un protecteur du milieu (mise en place de réserves naturelles marines, protection des espèces…)  +
- Les organismes vivants se mangent les uns les autres. On remarque que les 5 chaînes alimentaires sont simples, linéaires. Ensemble, elles forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte. - Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si une espèce du réseau trophique est fragilisée, c’est le réseau entier qui peut être impacté. Suite à la destruction de la prairie et des ronces, les premiers maillons du réseau qui sont touchés vont modifier légèrement “la toile”. Puis au fil du temps, de plus en plus d'espèces sont concernées, ce qui déstabilise le réseau trophique (on peut alors parler de « de tensions sur la biodiversité »). - L' humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un prédateur (chasse, cueillette), comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu (mise en place de réserves naturelles, protection des espèces…).  +
<u>On observe que</u> : <u>Étape 3</u> : 2 - Les débris végétaux sont mangés par les fourmis, qui sont mangées par les araignées, elles-mêmes mangées par les poules ; 3 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, qui sont eux-mêmes broutés par les collemboles, mangés par les carabes, mangés par les hérissons ; 4 - Les débris végétaux sont mangés par les bactéries décomposeurs, mangées par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les carabes, mangés par les poules ; 5 - Les débris végétaux sont mangés par les champignons décomposeurs, mangés par les vers nématodes, mangés par les acariens prédateurs, mangés par les fourmis, mangées par les hérissons. <u>Étape 4</u> : Les organismes vivants se mangent les uns les autres. Reliées entre elles, les 5 chaînes alimentaires forment un réseau complexe dans lequel toutes les espèces sont en interactions les unes avec les autres, de façon directe ou indirecte.''' Ce premier réseau, dit trophique, est basé sur des relations alimentaires, de prédation.''' <u>Étape 5</u> : 1 - Les fourmis et les cloportes ''platyarthrus blancs'' ont une relation positive/neutre (+/0) '': on parle de commensalisme.  '' 2 - Les racines des salades et les vers nématodes ''pratylenchus'' ont une relation positive/négative (+/-) '': on parle de parasitisme.'' 3 - Les spores des champignons et les vers de terre ont une relation positive/neutre (+/0) : on parle de ''commensalisme, et même ici de phorésie : interaction neutre / positive liée à la notion de transport.'' 4 - Les racines des arbres et les champignons mycorhizes ont une relation positive/positive indissociable (+/+) : ''on parle de symbiose.'' 5 - Les hérissons et les bactéries de l'intestin ont une relation positive/positive parfois dissociable (+/+) : ''on parle de'' mutualisme. <u>Étape 6</u> : - Les espèces forment un réseau, elles sont toutes liées entre elles, soit par des relations alimentaires (proie/prédateur) soit par d’autres types d’interactions (symbiose/mutualisme, parasitisme, commensalisme). Si un maillon du réseau vient à disparaître, ce sont les espèces voisines, puis au final l’ensemble du réseau qui sera impacté et modifié, amenant parfois à la disparition d'espèces associées (on parle alors de co-extinction). Bien connaître ces réseaux permet de comprendre comment fonctionne la vie sous terre, donc mieux la protéger. - L'humain joue un rôle important, pouvant apparaître comme un perturbateur (destruction de l’habitat, changement climatique…) mais aussi comme un protecteur du milieu.  
On constate que l'ampoule ne s'allume qu'avec certains objets, en particulier les objets en métal (trombone, pièce de monnaie...). <br/>  +
Certains déchets coulent aussitôt mis dans l'eau. D'autres flottent et d'autres encore restent entre deux eaux. Au fond de la bassine le courant rassemble en un tas tous les déchets qui ont coulé. En surface, les déchets se rassemblent pour ne former qu'une seule surface au centre de la bassine.  +
Quand on expose les fils de fer à la flamme, on remarque un changement de couleur : ils deviennent rouges. Quand on fait descendre les fils dans la flamme, ils passent du bleu au blanc.  +
L’eau remonte le long du morceau de papier absorbant et s’étale sur le papier-filtre. Le cercle de feutre noir est alors entraîné avec l’eau.  +
* Dans le verre "eau salée", le mélange devient bleu. * Dans le verre "bicarbonate de soude", le mélange devient bleu, avec de la lessive il devient vert. * Dans le verre "vinaigre", le mélange devient rose.   +
Selon chaque étape on voit : * Étape 1 : l'ampoule ne s'allume pas avec le sel seul. * Étape 2 : l’ampoule ne s’allume pas avec de l’eau seule. * Étape 3 : l’ampoule s’allume, mais l’intensité de la lumière varie en fonction de la quantité de sel présente dans l’eau.  +
On observe un phénomène de scintillement avec l'air.  +
Ce n'est pas toujours évident d'anticiper l'impact qu'auront nos aménagements sur le cours d'eau. En pensant résoudre un problème, on finit souvent par en créer un autre. Contrôler une rivière peut-être compliqué, voir contre-productif. On remarque qu'il est difficile de faire des choix. On ne peut pas laisser la rivière occuper tout l'espace avec ses méandres, mais on ne peut pas non plus tout canaliser. Il n'y a pas de bonne réponse en terme d'aménagement. Il faut à chaque fois essayer de concilier les usages et les besoins de la rivière. Certains aménagements peuvent avoir un gros impact sur le fonctionnement de notre cours d'eau. Un barrage, par exemple, implique d'inonder une partie du tronçon en amont et cause de l'érosion sur les tronçons en aval. Cependant, il permet aussi de prévenir les crues en aval et d'éviter que le cours d'eau ne se retrouve à sec lors des périodes les plus sèches.  +
Au bout de quelques jours, une partie de l'eau a disparu et des cristaux de sel cubiques se forment sur les parois du verre, sur le trombone et sur le fil.  +