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<u>Explications de la variante :</u>
L'éponge humide a mieux absorbé l'eau que l'éponge sèche. C'est parce que, pour entrer dans l'éponge sèche, l'eau doit d'abord chasser tout l'air qui se trouve à l'intérieur. C'est pour cela que, lorsque tu as mouillé l'éponge avant l'expérience, il a fallu laisser un certain temps l'éponge sous l'eau courante avant qu'elle commence à devenir humide et à absorber efficacement l'eau. Une fois l'éponge humide, celle-ci absorbe beaucoup plus facilement l'eau et la retient au lieu de la laisser ruisseler sur les côtés.
Dans cette expérience, les éponges fonctionnent de la même façon que le sol qui reçoit le ruissellement des pluies. Un sol humide boit mieux, absorbe mieux l'eau de ruissellement qu'un sol sec de même composition. Les zones humides, comme les marais, sont souvent des lieux où se rassemblent toutes les eaux de ruissellement venant de la pluie ou des cours d'eau avoisinants lorsqu'ils débordent, de la même façon que l'éponge humide absorbe l'eau qui déborde du chemin dans notre expérience. Lorsqu'on les assèche, par exemple quand on construit une route ou un parking, ou pour installer des parcelles de culture, ces mêmes zones ne peuvent plus retenir l'eau comme auparavant. Cette eau, si elle ne peut être absorbée par les sols, va aller s'écouler dans les territoires alentour, où se trouvent sans doute des habitations, voire des villages ou des villes. En asséchant les zones humides, on augmente donc le risque d'inondation dans les zones avoisinantes.
+Le centre de gravité (CdG), appelé G, est le point d'application de la résultante des forces de gravité (la pesanteur). Notre système règle + élastique + marteau est soumis à 2 forces extérieures : son poids qui s'applique à son centre de gravité et la force de réaction de la table qui s'applique au point de contact de la règle avec la table.
Pour que le système soit stable, il faut que ces 2 forces soient égales et opposées. Le centre de gravité se positionne naturellement sous le point de sustentation (point de contact avec la table), exactement comme un pendule ou un fil à plomb se stabilise lorsqu'il est à la verticale de son point de sustentation.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Centre_d%27inertie
+'''Les éruptions :'''
Éruption effusive : La lave qui s'accumule au sommet du volcan forme un bouchon. Si les éruptions sont calmes, le bouchon va être creusé petit à petit et la lave va s'écouler le long des pentes.
Éruption explosive : Si la pression des gaz et de la lave est trop grande dans le volcan, le bouchon va sauter ! Entrainant avec lui le gaz et la lave qui vont jaillir vers le haut.
Dans certains volcans, entre les éruptions, des gaz peuvent s'échapper par des fissures. Cela crée des fumées que l'on appelle des fumerolles.
'''La réaction acido-basique :'''
Le mélange de bicarbonate et de vinaigre provoque une réaction acido-basique suivie d'une réaction de décomposition.
Le vinaigre contient de l'acide éthanoïque (CH<sub>3</sub>COOH), et le bicarbonate de sodium (aussi appelé hydrogénocarbonate de sodium, NaHCO<sub>3</sub>) est une base.
Mélangés, le bicarbonate et le vinaigre réagissent et forment de l'acide carbonique (H2CO3) très instable, qui se décompose aussitôt en formant de l'eau et du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>) .
Le dioxyde de carbone produit sous forme gazeuse se dégage dans la bouteille. Comme le ballon fixé sur la bouteille rend l'ensemble étanche, le gaz ne peut pas s'en échapper. La pression augmente, ce qui gonfle le ballon, qui reste alors gonflé s'il n'y a pas de fuite.
<u>Voici le détail des réactions en jeu :</u>
Le bicarbonate de sodium se dissocie au contact de l'eau en ions sodium (Na<sup>+</sup>) et bicarbonate (HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>) :
NaHCO<sub>3</sub> → Na<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub><sup>−</sup>.
Le vinaigre contient une part d' acide éthanoïque (environ 5 %), composé d'ions oxonium (H<sub>3</sub>O<sup>+</sup>) et éthanoate (CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>) :
CH<sub>3</sub>COOH <–> H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + CH<sub>3</sub>COO<sup>−</sup>.
Les ions oxonium réagissent avec les ions bicarbonate et forment de l’acide carbonique : (H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub>) : H<sub>3</sub>O<sup>+</sup> + HCO<sub>3</sub>- → H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> + H<sub>2</sub>O
Instable, l’acide carbonique se dissocie immédiatement en formant du dioxyde de carbone (CO<sub>2</sub>), et de l'eau (H<sub>2</sub>O) :
H<sub>2</sub>CO<sub>3</sub> → H<sub>2</sub>O + CO<sub>2</sub>
La réaction complète se résume ainsi :
NaHCO<sub>3</sub> + CH<sub>3</sub>COOH → CO<sub>2</sub> + H<sub>2</sub>O + CH<sub>3</sub>COONa
Le CO2 une fois formé est soluble dans l'eau. Toutefois lorsque l'eau arrive à saturation de CO2, l'excédent commence à former des bulles qui finissent par remonter. C'est l'effervescence. (C'est la même chose que pour le sel de cuisine. Le sel de cuisine est soluble dans l'eau. Mais quand on arrive à saturation, le sel en excès reste sous forme solide).
Principaux points sur l'évolution du trait de côte de quelques communes littorales :<br /><br />*Brest : en comparant les photos, on remarque qu'une zone portuaire très étendue a été construite, avec hangars, stations d'épuration, bassins à flots, parkings, chantiers navals, aires de carénage... le port de plaisance est bien visible, de même que le chenal creusé pour y accéder. Les surfaces agricoles sont moins nombreuses que dans les années 50, surtout au Nord, où la ville s'est étendue, et les parcelles (champs) sont plus grandes (ce qui facilite le labourage et la récolte par des engins agricoles à moteur).<br />*<br />*Lorient : on constate qu'une grande surface de vasière a été recouverte par la construction d'une vaste zone portuaire. La zone photographiée, située en fond de la rade et au centre ville de Lorient, ne comporte pas de parcelles agricoles, ni dans les années cinquante ni plus tard. Les bateaux de plaisance sont nombreux et bien visibles dans le port sur la photo récente, alors qu'ils étaient peu nombreux et dispersés dans les années cinquante. Ceci illustre bien le très fort développement de la plaisance ces dernières décennies, comme de l'ensemble des loisirs nautiques.<br /><br />*Arzal : sur un site presqu'exclusivement agricole dans les années cinquante, on distingue le nouveau port de plaisance et sa zone portuaire, et le célèbre barrage qui traverse la rivière. Un autre élément frappant est l'accumulation très importante de sédiment apparue en amont du barrage : une zone envasée s'est formée contre le barrage, et un banc de sable ou de vase s'étend maintenant sur plusieurs centaines de mètres. Les villes et villages se sont étendus, et les surface agricoles ont diminué.<br /><div class="annotatedImageDiv" typeof="Image" data-resource="Fichier:Evolution du trait de cote Comparatif photos Arzal.jpg" data-sourceimage="https://www.wikidebrouillard.org/images/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg"><span ><div class="center"><div class="floatnone"><a href="/wiki/Fichier:Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg" class="image" title="Evolution du tracé de la rivière et des zones envasées, des aires bâties et agricoles à Arzal"><img alt="Evolution du tracé de la rivière et des zones envasées, des aires bâties et agricoles à Arzal" src="/images/thumb/4/4f/Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg/600px-Evolution_du_trait_de_cote_Comparatif_photos_Arzal.jpg" width="600" height="450" data-file-width="1824" data-file-height="1368" /></a></div></div></span></div><br /><br /><br />*St Cast le Guildo : Le principale changement observable sur la côte est la construction du port de plaisance, qui abrite de très nombreux bateaux, et l'apparition de surfaces bétonnées (parkings) à proximité. La plage voisine est toujours intacte (attention à ne pas confondre l'érosion et l'effet des marées, la photo ancienne est visiblement prise à marée basse). La ville s'est légèrement étendu, les parcelles agricoles ont reculé.<br />*Roscoff : la commune et sa côte ont beaucoup changé depuis les années 50. Un port-terminal ferry a été construit pour assurer les liaisons des ferries avec l'Angleterre et l'Irlande, accompagné de parkings et voies d'accès de véhicules très étendus. Un important port de plaisance a ensuite été construit (vers 2010). Les surfaces agricoles, très nombreuses dans le passé, ont beaucoup regressé, les champs sont moins nombreux mais ils sont devenus plus grands, les habitations se sont multipliées.<br />*Etel : on observe que la ville s'est nettement développée, remplaçant une part importante des surfaces agricoles et des dunes voisines de la ria. L'installation d'un port de plaisance a sans doute été accompagnée d'opérations de dragage et de consolidation des bords de la rivière (les eaux sont visiblement plus profondes) et d'une artificialisation d'une partie de la zone naturelle de vasière de la ria d'Etel.<br />*Ile de Groix : on est frappé par la multitude de très petites parcelles agricoles visibles dans les années cinquante sur cette partie de l'île, probablement travaillées encore en partie sans engins agricoles mécanisés à cette époque, qui ont cédé la place à des champs individuellement plus étendus mais moins nombreux. Les zones boisées, très rares sur l'île dans le passé, sont plus nombreuses (le bois servant de combustible avant la généralisation de l'électricité, et même les plus petites surfaces étant réservées à l'agriculture, les arbres étaient coupés). Le village (Locmaria) s'est étendu. La célèbre plage convexe des Grands Sables située à la pointe de l'île dans les années cinquante a migré progressivement vers le Nord sous l'effet de l'érosion.<br />*Le Vivier sur Mer : on remarque que les champs occupent globalement une surface moins importante, mais sont chacun plus grands que dans le passé. La ville s'est étendue, et une zone portuaire a été construite. Le chenal naturel a apparemment été élargi et son tracé modifié par dragage.
Avec les théories de la relativité restreinte et de la relativité générale, notre représentation de l'univers a radicalement changé au 20e siècle. L'univers est en expansion. Cela signifie que les distance entre les astres augmentent avec le temps. Etrangement pourtant, ce ne sont pas les astres qui bougent. C'est l'espace-temps entre les astres qui se dilate comme le fait le caoutchouc d'un ballon qu'on gonfle.
L'idée que l'univers ne serait pas infini, fixe, statique, éternel date de bien avant le début du 20e siècle. Le paradoxe de Cheseaux Olbers a été exposé de manière documentée pour la 1ère fois par Thomas Digges en 1576. Si on suppose un univers infini, fixe, statique et éternel, il contient donc une infinité d'étoiles réparties de manière homogène. Si cela est le cas, quelle que soit la direction dans laquelle on regarde, il devrait y avoir une infinité d'étoile. Donc le ciel nocturne devrait être occupé en tout point par une étoile. Donc le ciel nocturne devrait être aussi brillant qu'un étoile.
De manière amusante, Einstein était persuadé que l'univers était fixe au début de sa carrière. Il a ainsi ajouté une constante dans ses équations pour les rendre compatibles avec l'hypothèse d'un univers fixe. Ce sont d'autres chercheurs qui ont produit le modèle du Big Bang à partir de la théorie de la relativité générale d'Eintein. L'expression "Big bang" a été utilisée pour la première fois à la radio dans le but de moquer un modèle considéré par de nombreux astrophysiciens comme absurde.
+Cela s appelle l oxydoreduction
Le glucose sert de "combustible " a la réaction
Clin d'œil a mon ami
+Alors comment faire en sorte que notre stop motion ait l'air encore plus réaliste?
En augmentant le nombre d'images qui se succèdent pas seconde d'une part...
ou en rajoutant à notre animation du [https://fr.wikipedia.org/wiki/Flou_cin%C3%A9tique#mediaviewer/File:Figure-Animation2.gif flou cinétique] à l'aide d'un logiciel d'animation : c'est le flou que l'on peut voir lorsque l'on prend l'on prend une photographie d'une personne qui bouge, et que nous interprétons comme du mouvement.Cette technique est maintenant très commune dans les films (d'animation ou non) et les jeux vidéos. Elle permette d'accentuer la sensation de mouvement, sans pour avoir à augmenter le nombre d'images par secondes. Pratique!
+Une maquette de bassin versant peut être animée et complétée selon les notions que l'on souhaite aborder. On pourra ajouter au sol, notamment sur les bords et aux embouchures des rivières, des morceaux de mousse ou d'éponge, du sable, de la terre, pour illustrer le comportement de l'eau dans des zones humides et les marais littoraux.
Sur les pentes du bassin versant, on peut disposer de longs boudins de pâte à modeler, pour représenter les sillons des champs cultivés et les talus qui bordent certaines parcelles agricoles. En ajoutant des carréponges sur les « champs » et les berges des rivières, ceux-ci absorberont en partie l'eau, comme le font les haies et le couvert végétal que l'on fait pousser entre les récoltes pour limiter le ruissellement.
+La vapeur d'eau, plus légère, s'élève dans les airs jusqu'à atteindre une zone plus froide. L'eau y refroidit au contact de cet air froid (dans notre expérience, l'air froid est représenté par l'assiette pleine de glaçons) et forme de minuscules gouttelettes en suspension dans l'atmosphère, elle se '''condense''', formant ainsi les nuages. Lorsque les gouttes en suspension deviennent trop lourdes, l'eau tombe, on dit qu'elle '''précipite''', c'est ce que l'on appelle la pluie.
+Ceux de la poubelle noire seront enfouis ou brûlés dans un incinérateur. Ils mettront des décennies voir des siècles à être dégradés, déchargeant des produits toxiques dans la terre. Les fumées s’échappant des incinérateurs contiennent aussi des produits toxiques, et rejettent des gaz à effet de serre.
Ceux de la poubelle jaune, ainsi que le verre et les épluchures seront recyclés. Cela signifie qu’ils vont être transformés en de nouvelles matières et objets.
Par exemple :
*le verre sera refondu et deviendra... du verre à nouveau !
*les plastiques de bouteilles deviendront des fibres textiles, qui seront cousues pour faire des polaires
*les canettes en fer, deviendront des cadres de vélos
*le carton et le papier, une fois les encres éliminées, deviendront des feuilles de papier (comme tu viens de le faire !)
*les épluchures et autres “déchets verts” vont être compostés, ils seront transformés en une terre riche, une aubaine pour les jardiniers !
Les piles, ampoules, et médicaments seront traités différemment du fait de leur toxicité.
Tout cela a un coup, et consomme beaucoup d’énergie, c’est pourquoi nous te conseillons de limiter le plus possible les emballages, de les réutiliser. '''Le meilleur déchet est celui que l’on ne produit pas ! '''
+Un planeur ne fait que planer, il n’est pourvu d’aucun moyen de propulsion.
Pour se maintenir en l’air, le planeur se déplace plus vite que l'air environnant. S'il n'y a pas de vent, un planeur peut continuer à planer s'il va assez vite.
Pour pouvoir voler, un planeur doit être accéléré jusqu’à ce qu’il atteigne sa vitesse d’envol, c’est-à-dire la vitesse à laquelle les ailes engendrent une portance suffisante pour vaincre la force de gravitation.
Un planeur a donc besoin d’être amené à une certaine hauteur avant de commencer à voler. Il existe deux techniques : le remorquage et le treuillage.
Pour remorquer un planeur, on utilise un avion remorqueur. Un câble est fixé dans le nez du planeur. L’ensemble décolle et une fois parvenu à la bonne hauteur, le pilote du planeur utilise le système de largage du câble et commence à voler par ses propres moyens.
Pour treuiller, on utilise un treuil, fixé en bout de piste de décollage. Cette technique ressemble un peu à la manière dont on lance un cerf-volant.
Une fois autonome, le planeur peut encore prendre de l’attitude. Le planeur doit être dirigé sur une colonne d’air chaud et y faire un virage. Comme l’air chaud est plus léger que l’air ambiant, lorsque le planeur se trouve dans la colonne d’air, il se trouve aspiré vers les hauteurs. Cette technique permet au pilote de rester plus longtemps en vol. Le record mondial de distance est actuellement de 2100 km réalisé en Nouvelle-Zélande.
+Dans notre cas, nous avons utilisé pour l'impression une Ultimaker 2+ avec du PLA rouge mais n'importe quelle imprimante 3D plastique fera l'affaire. Nous ne savons pas ce que cette catapulte peut donner si elle est imprimée avec une imprimante résine.
+
* la plante elle-même : autochorie.
* la gravité : barochorie.
* le vent : anémochorie.
* l'eau : hydrochorie.
* les animaux : zoochorie (mammifères, oiseaux, insectes, etc.) ...
* les hommes : anthropochorie (ou la culture : hémérochorie)
+Le son : https://www.lumni.fr/video/la-vibration-d-une-colonne-d-air-les-instruments-a-vent
Un peu plus technique : http://culturesciencesphysique.ens-lyon.fr/ressource/son-propagation.xml
+Toutes les matières ont une valeur de conductivité électrique: cela caractérise l'aptitude d'un matériau à conduire l'électricité. La valeur est en siemens par mètre (S/m), et on nomme cette valeur par ce symbole: ''σ.'' Cette formule indique qu'un matériau grand peut conduire plus d'électricité qu'un petit matériau.
Les matériaux ont aussi une capacité à diminuer la conduction d'électricité, cela se nomme la résistivité électrique. Plus la distance de parcours de l'électricité dans la matière est grande, moins il n'y aura d'électricité, le reste sera "absorbé" par la matière.
+Dans ce cas précis, si on utilise du thé chaud, quel facteur augmentant la densité va primer ? La chaleur du thé (il y aurait alors mélange en versant l'eau froide), ou le sucre du thé (le thé reste au fond) ?
+Un corps solide immergé dans un liquide en équilibre est soumis à deux forces verticales et de sens contraires : son poids (P) et la poussée d’Archimède (F).
Trois cas peuvent se présenter :
#Le poids est plus grand que la poussée d’Archimède. Le corps va couler.
#Le poids est plus petit que la poussée d’Archimède. Le corps va flotter
#Le poids est égal à la poussée d’Archimède. Le corps va rester entre deux eaux.
<u>Formule de la poussée d'Archimède</u>
PA = ρ<sub>fluide </sub>x V x g
* PA= Poussée d'Archimède
* ρ<sub>fluide</sub> = masse volumique du liquide déplacé
* V = volume du liquide déplacé
* g= gravité
La gravité sur Terre est égale à 9,807 m/s<sup>-2,</sup> , c'est la force qui nous attire vers le centre de la Terre.
Durant l'expérience nous allons surtout jouer sur le paramètre "volume du liquide déplacé" en modifiant la forme de la pâte.
Pour avoir une plus grande poussée d'Archimède, il faut augmenter le volume du liquide déplacé, ce qui revient à augmenter la surface immergée. En creusant et en étirant l'objet, nous augmentons la surface immergée.
+Profondeur de champs et distance focal: http://apprendre-la-photo.fr/les-secrets-de-la-perspective/
+
* Le bassin versant désigne une zone géographique clairement délimitée, qui englobe l'ensemble de la surface recueillant les eaux se dirigeant naturellement vers un même cours d'eau ou une même nappe phréatique. Un bassin versant est délimité par les lignes de partage des eaux, qui séparent les différents bassins. Ces lignes formées naturellement par le relief, correspondent aux crêtes des montagnes. Les gouttes de pluie tombant de part et d'autre de ces lignes alimenteront deux bassins versants adjacents. À l'instar des poupées gigognes, le bassin versant d'un fleuve résulte de l'assemblage des sous-bassins versants alimentés par ses affluents.
* L'homme occupe de nombreux bassins versants, où ses activités et son mode d’occupation du sol sont variés : habitations, villages, villes, infrastructures, industries, cultures, élevage, loisirs, tourisme, stations de traitement des eaux, barrages, etc. L'aménagement du territoire et l'utilisation de l'eau pour ces activités ont fréquemment des répercussions sur le bassin versant, affectant la quantité d'eau, sa qualité ou son fonctionnement.
*De par sa topographie hydraulique particulière, il est important de s’interroger sur les effets du changement climatique sur le bassin versant : le fonctionnement du régime hydraulique est en effet perturbé par les effets du changement climatique (inondation, sécheresse, éboulements de terrain, etc.).
*Les solutions d’adaptation sont variées. Il est intéressant de distinguer les solutions fondées sur la nature des solutions d’aménagements telles que les barrages ou les bassins de rétention. On peut par exemple montrer les limites d’un barrage hydraulique, que ce soit pour l’entretien (il est nécessaire d’entretenir les barrages pour s’assurer de leur état et leur performance) et en cas de rupture (les effets d’une inondation se ressentiront de manière décuplée si le barrage était amené à rompre).
+<nowiki>Fiche 1 : <br /><br />Les gaz présents dans l'atmosphère filtres les rayons infra-rouges, nous protégeant ainsi naturellement du réchauffement excessif de la planète. Mais certains gaz (CO2, CH4, H2O, ...) présents naturellement dans l'atmosphère, sont aussi produits en grand quantité par l'Homme (transports, agriculture intensive, industries, ...).<br /><br />Ces gaz sont responsables de l'accélération du réchauffement climatique. Ils vont empêcher les infra-rouges, de quitter l'atmosphère, augmentant de fait la température. <br /><br />En période de canicule, plus l'environnement est humide, moins il peut y avoir de vapeur d'eau dans l'air, et la sueur a de plus en plus de mal à s'évaporer. Sans sudation efficace, le corps n'arrive plus à se refroidir correctement, le sang est envoyé en priorité vers la peau pour évacuer la chaleur, privant les organes internes de suffisamment de sang pour fonctionner. Des études récentes ont montré que lorsque l'humidité est proche des 100%, une température de 31°C peut s'avérer critique pour une personne en bonne santé.<br /><br /><br />Fiche 2 :<br /><br />L'augmentation du CO2 dans l'atmosphère se traduit également par une augmentation du CO2 dans l'océan, à cause des échanges permanents qui existent entre l'air et l'eau de surface. Le CO2 se combine avec l'eau, en formant de l'acide carbonique. L’acide carbonique, instable, se dissocie directement en bicarbonate et ions hydrogène H+. Or, la présence d'H+ est directement liée à l'acidité : plus il y a d''H+, plus l'acidité augmente. Les organismes calcifiants, c'est-à-dire ceux qui sont protégés par une coquille, une carapace ou un squelette en calcaire comme par exemple les coquillages, les crustacés sont les plus menacés par l’acidification. L'eau mer, plus acide (le pH ne descendra pas en dessous de 7), empêche les organismes calcifiants de fabriquer correctement leur coquille; et les larves souffrent de malformation. <br /><br />Quand une masse d'air monte en altitude, elle rencontre une pression atmosphérique de plus en plus réduite car il y a de moins en moins d'air au-dessus d'elle. Elle se détend, se « décompresse », et se refroidit. Si cette masse d'air est humide, en se refroidissant elle va rejeter une partie de sa vapeur d'eau qui va se rassembler en... nuage ! Lorsque la vapeur d'eau se mélange avec des particules, comme celles de la fumée de l'allumette, cela crée un plus gros nuage avec des particules en suspension. Les particules produites par les activités humaines se retrouvent donc dans les nuages et peuvent causer des problèmes respiratoires (crises d'asthme, pneumopathies, ...).<br /><br /><br />Fiche 3 :<br /><br />Plus le ballon contient de farine, moins il se gonfle. Cela est dû au fait que la farine occupe du volume dans le ballon, mais également au durcissement de la paroi du ballon, rigidifiée par le mélange d’eau et de farine : moins élastique, la paroi se gonfle plus difficilement. Les poumons reçoivent toutes les petites poussières et gaz présents dans l’air que l’on respire. Ces poussières sont en général rejetées par l’organisme. Mais certaines d’entre elles arrivent parfois à pénétrer dans les poumons ou à l’intérieur du corps, ce qui peut avoir des conséquences sur la santé. Ainsi certaines maladies moins fréquentes il y a quelques décennies (allergie, asthme...) se sont développées avec l’accroissement des pollutions liées aux produits de synthèse qui nous entourent (pesticides, produits d’entretien, colles, plastiques...), ces derniers contenant des matières parfois dangereuses pour l’environnement et la santé.<br /><br />Or, dans nos villes, on a longtemps trouvé du bouleau et des cyprès car ce sont des espèces qui poussent rapidement et ont besoin de beaucoup de lumière. Cependant ces espèces possèdent un potentiel allergisant élevé. Afin de minimiser les risques d'allergies, il est judicieux de restreindre leur présence dans les zones urbanisées. <br /><br /><br />Fiche 4 : <br /><br />Les graviers offrent un obstacle limité au passage de l'eau car il reste de grands espaces entre eux, où l'eau et une grande partie de ses éléments polluants peuvent passer. Ils retiennent donc les plus gros débris. Le sable, constitué de grains très fins, offre des espaces libres beaucoup plus petits pour le passage de l'eau, les débris les plus petits seront donc bloqués par la couche de sable. Mais la filtration n'élimine pas tous les polluants et les bactéries. Ainsi, dans les usines de production d'eau potable, en plus de la filtration, on utilise des procédés chimiques pour capturer les molécules toxiques, et l'eau est désinfectée pour éliminer les bactéries. <br /><br />Dans la nature, les sols et les zones humides agissent comme des filtres naturels sur les eaux de ruissellement.<br /><br />Si les plantes absorbent et transforment une partie de la matière organique et des polluants transportés par l'eau, leurs racines forment également un réseau dense qui lie les particules de terre, réduisant le risque d'érosion par le vent ou l'eau. Les racines absorbent l'excès d'eau, réduisant le risque de saturation du sol, ce qui évite son affaissement ou son emportement. Les canaux formés par les racines permettent à l'eau de s'infiltrer plus efficacement.<br /><br /><br />Fiche 5 : <br /><br />Nous remarquons que l'empreinte est très différente selon les produits et qu' il est possible de la réduire en choisissant notre consommation. Mais malgré toutes les informations présentes sur les emballages, il n'est pas toujours facile d'avoir les informations nécessaires sur le lieu de production : le lieu de conditionnement est indiqué mais la provenance des produits rarement. Pour évaluer l’impact environnemental des transports, le ‘kilomètre alimentaire’ permet de calculer la quantité de CO<sub>2</sub> émise pour transporter une tonne d’aliments sur un kilomètre. <br /><br />En France, comme dans l’ensemble des pays industrialisés, les habitudes alimentaires ont beaucoup plus changé au cours des 50 dernières années qu’au cours des siècles précédents. De nouveaux aliments ont été introduits, d’autres ont pratiquement disparu de la composition des repas. Ces profondes modifications comportent, sur le plan de la santé et de l'environnement des avantages et des inconvénients. Ainsi, le progrès technologique a permis un meilleur accès de la majorité de la population à des aliments plus variés, puisque l'agro-alimentaire produit en grande quantité et peut distribuer à grande échelle. Mais l'augmentation des produits ultra transformés dans notre alimentation posent des problèmes à la fois de santé (aliments trop gras ou salé, avec beaucoup d'additifs, associés à l'augmentation de certaines maladies) et environnementale (consommation importante d'eau, transport sur des milliers de km, déforestation pour nourrir le bétail …). Notre alimentation future doit prendre en compte ces enjeux. <br /><br /><br/></nowiki>